Tu en rajoutais des tas certes, mais c'est ce qui rendait le tout amusant. Vous vous cherchiez, vous titilliez la fierté de l'autre pour finir par chercher le meilleur moyen de vous retrouver. Et là, tu avais un peu improvisé et pourtant tu sentais qu'elle cédait. Peu importe.. on aurait pu aussi danser. Tu aurais pu danser pour moi. As-tu précisé sensuellement au creux de son oreille. Tu n'avais pas pensé à tout cela avant mais plus ça avançait plus tu semblais inspiré. Cela dit tes petites bêtises finissaient par payer puisqu'elle ne te tournait plus le dos et surtout elle était pour se passer de Snoopy. Je vais faire comme si je n'avais pas entendu la deuxième partie de ta phrase. Oui, pour ce soir était un peu de trop. Mais au fond si le chiot se comportait bien ce soir, y'avait pas de raison de lui filer de mauvaises habitudes après, non ? Donc tu avais tes chances. Alors comme ça, tu voulais ton bisou.. tu sais que je peux encore rattrapé ça ? As-tu dit amusé en la regardant et en jouant avec la dentelle de sa nuisette.

Tu en faisais des tonnes, et ça suffisait à ce qu'elle déboude. C'est ce qui t'intéressait finalement. La voir lâcher prise après avoir essayer de te faire culpabiliser quand elle était celle qui avait commencé les hostilités avec son chiot que toi tu espérais déjà voir grandir. Ne me brise pas mon cœur, lors d'un jour de fête, tu veux ? Parler de mérite ce n'était pas rien. Cela dit tu la prenais un peu par les sentiments. Un petit peu, ça ne faisait pas de mal, non ? Un chiot que tu veux faire dormir avec nous, c'est différent. Du temps tu avais un chien tu dormais avec, c'est vrai. Cela dit c'était compliqué de savoir ce qui te poussait à refuser Snoopy avec vous. Le fait d'être un couple, le fait qu'il soit si petit ? Mais en tout cas tu semblais pas emballé par l'idée de voir de vilaines habitudes s'installer. Puis il avait des besoins de petit. T'es sure ? Oui, bon, tu n'allais peut-être pas recevoir de baiser de sa part, ni même toucher ses lèvres des tiennes mais tu ne semblais pas vouloir renoncer à lui des bisous, puisqu'à son décolleté, tu déposais des petits baisers.

Tu te victimisais gentiment, pensant que ça marcherait mais elle était douée à t'embêter ainsi. C'était rageant, n'est-ce pas ? Voilà qui m'apprendra à être monogame ! As-tu ajouté. Un vrai comédien. Cela dit, tu savais qu'elle était douée, puis elle bossait pour toi aux dernières nouvelles. Tu donnes des cours, et tu ne danserais pas pour ton homme ? Oui elle aimait tellement t'appeler comme ça. Puis c'est ce que tu étais son homme. C'était toujours plaisant à entendre dans sa bouche d'ailleurs. Quoiqu'il en soit, tu profitais du moment, même si tu donnais plus que tu ne recevais, mais tu ne t'en plaignais que faussement. Elle ne dormait pas et ça te faisait un moment avec elle. Il va nous pisser dessus, nous empêcher de dormir. Un vrai tue l'amour.. c'est pas ce que tu veux, si ? C'est ça prend la par les sentiments. Mais vous étiez tellement bien ensemble, que tu n'étais prêt à renoncer à des moments d'intimité avec ta femme au profit d'un chiot. Tu ne l'étais déjà pas au profit d'un deuxième enfant pour l'instant, alors un chiot ! Alors profite en sans donner en retour.. Tes lèvres à son décolleté remontaient au creux de son cou et ta main remontait sa nuisette. Tu étais surtout curieux de voir si elle te repousserait.

Au fond tu étais bien trop romantique pour ne pas être monogame. Bien sûr tu la taquinait sur ce coup-là, mais tu savais aussi qu'elle cherchait à t'emmerder volontairement en te refusant une danse, une deuxième partie de soirée, un baiser. Alors forcément toi aussi tu abusais un petit tout en restant plein d'initiatives. Tu jouais les bonnes cartes. Je dois tout faire finalement, tu fais plus rien toi. As-tu dit taquin. Parce que oui tu étais celui qui la bichonnait à cet instant quand elle profitait telle une princesse mais si en plus tu devais aussi lui donner envie de t'offrir une danse : c'était l'occasion pour toi de te plaindre gentiment. Pour autant, allais-tu arrêter le début de supplice que tu lui imposais ? Certainement pas. D'ailleurs c'est en continuant votre conversation, que tu faisais doucement sentir des petits baisers langoureux à son épaule alors que la bretelle de sa nuisette glissait malencontreusement. Tu vois des points positifs à avoir un chiot... qui dormirait avec nous, toi ? Autant dire que ce n'était pas ton cas. Puis tu ferais pas ce que tu faisais maintenant si Noopsy était là, c'était certain. Elle signalait que ta main était un peu trop haut, et tu finissais par dire. J'y peux rien, je les aies baladeuses. C'était vrai, d'ailleurs doucement tu frôlais l'intérieur de sa cuisse en souriant, remontant doucement vers bien plus de danger encore.

Mais ce serait moins drôle.. je veux que tu me surprennes. Oui, autant faire en sorte de ne pas quémander. Tu lui donnais des idées, et finalement peut-être que tu ne tenais plus à avoir une danse ce soir, mais tu adorais qu'elle danse pour toi, qu'importe quand, tant que c'était fait pour vous faire partager un bon moment, rien qu'à deux. Y'a pas assez d'amour dans nos lits, d'après toi ? Oui elle se laissait dans une pente glissante avec ses arguments boiteux. Tu savais qu'elle ne pourrait pas trouver de véritables arguments pour avoir le chien avec vous, si ce n'était son envie qu'il soit là. Mais apparemment ça ne suffisait pas pour toi. Ou du moins ça ne pesait pas assez lourd comparé à ce que tu risquais de perdre. Amusé quand elle coinçait ta main entre ses cuisses, tu as fini par la regarder en osant dire. Okay, t'as gagné. Pour autant doucement tu avais bougé tes doigts sur le tissu de string, avec un petit sourire espiègle. Cela dit c'était bien la seule chose que tu avais pu faire, vu ta main complètement coincée.