Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEt quand je parle d'amour, je parle de toi (Ash) - Page 3
I LOVE HARVARD
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    Et quand je parle d'amour, je parle de toi (Ash)
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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 0:34
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      La route était trop longue clairement. C’était dingue comment une demi heure, ce qui n’était rien comparé à la semaine passée à la croire partie définitivement, la fin de la semaine suivante où elle était hospitalisée, ou encore ces deux derniers jours où elle était à NY, comment une demi heure donc, trente petites minutes, ça pouvait vous paraître sans fin. Je redoublais de concentration et d’attention sur la route, comme si les feux et panneaux de signalisation allaient m’aider d’une quelconque manière ou rendre ce trajet retour plus court. C’est finalement le bâtiment où nous vivions qui se dessina devant nous. A peine garés, à peine sortis du break, que mademoiselle Strauss me pressait à son tour, me soufflant de laisser tomber sa, très lourde, valise et abandonnant l’objet sans me faire prier je soulignais à mon tour son impatience qui selon elle, n’était rien encore, son ‘t'as rien vu encore’ me promettant bien d’autre témoignage de sa hâte. Et en effet, dans l’ascenseur, j’en eus une belle démo. Plaqué en deux deux contre la paroi des lieux, ses lèvres venaient se saisir des miennes et je répondais à son baiser avec plaisir. Baiser qui n’avaient plus rien de furtif, de volé, de retenu. Non, nos langues se cherchaient, se liaient, s’emmêlaient, exprimant là tout le désir qu’avaient nos corps entiers de se retrouver. D’ailleurs, à sa question, assez explicite, sur le timing dont on disposait, je répondais immédiatement que oui, le temps on l’avait. Juste histoire de classer l’affaire, parce qu’en réalité, j’en savais strictement rien et que je n’étais pas en état de réfléchir. En un baiser, elle venait d’affoler tous mes sens et disons que les échanges de sms et de snaps du week end m’avaient déjà rendu plus que fiévreux. Alors mes doigts cherchèrent le bouton stop et l’enclenchèrent, bloquant la machine dans son ascension et c’est joueur, reprenant nos habituelles joute de questions que je l’interrogeais sur son expérience passé dans un tel lieu. Et l’imitant quand elle me retourna la question, je lui servis un « pas avec autant d’envie » Et histoire de clore tout débat, n’ayant vraiment pas envie et de m’appesantir sur la personne et le contexte avec qui elle, elle l’avait fait, ni de l’entendre m’interroger davantage sur ce sujet, je fondis sur ses lèvres. Toujours aussi fougueux, pressant, avide. Impossible de me contenir, impossible de me maîtriser. Mes doigts se baladaient sur son corps, relevant le tissu de sa robe, qu’elle m’aida à retirer relevant ses bras. J’eus un sourire conquis en remettant une des mèches blondes que le vêtement avait fait s’envoler sur son visage sur son passage, en songeant à combien elle était belle, combien ce petit côté décoiffé la sublimait encore plus, et combien j’avais de la chance de l’avoir là devant moi. Oui exit les questions qui avaient jailli un peu plus tôt à l’aéroport, sur notre statut flou, de couple ou non… Exit tout ça. En fait, je ne pensais plus à rien. Qu’à son corps, qu’à l’envie de me glisser en elle, de ne fait plus qu’un avec elle, de gémir à l’unisson avec elle… Tout oublié. J’avais tout oublié. Même quand elle fit voler mon T shirt, je n’y pensais pas… A ce qui m’avait pourtant élancé pendant quelques jours, là, pectoral gauche, sur ma peau… Y’avait ses lèvres sur les miennes. Mes mains qui voyageaient dans son dos et se débattaient avec les agrafes de son soutien gorge alors qu’elle réussissait avec plus d’aisance à défaire le bouton de mon bermuda qui termina à mes pieds me laissant en simple caleçon. Et lorsqu’elle s’avança contre moi, son bassin contre mon érection désormais uniquement recouverte par le tissu de mon sous vêtement, un frisson me parcourut. Mon pouls s’affola un peu plus. Et clairement là, c’était fichu pour que j’y repense, pour que je trouve un prétexte pour renfiler un T shirt. Son prénom tatoué sur mon torse, je n’y pensais absolument plus. Trop occupé à obtempérer à sa demande en répétant lentement : « J’ai terriblement envie de te faire l’amour… » Version un peu différente cette fois. Peut être un peu plus intense dans les choix de mes mots. Et sa bouche se mettait à voyager sur mon corps, mes paupières se fermaient quelques secondes, et je repartais en bataille avec son soutien gorge alors que d’un coup, elle se figeai, cessant ses baisers sur ma peau, se redressant. « Désolé… J’espère que ceux que t’as acheté sont moins compliqués à retir… » commençai-je à rigoler en pensant d’abord que son ‘c’est quoi ça’ et son doigts contre mon torse c’était sa manière de me taquiner sur ma galère avec son soutif. Mais son regard me fit tiquer lorsqu’elle me plongea dans le mien et je ne terminai pas ma phrase, comprenant d’un coup d’un seul ce à quoi elle se référait. Ca me revint soudain. Mon tatouage… « Merde… » soufflai-je en m’écartant et en me penchant pour attraper mon T shirt, le renfilant aussitôt. « Ash… T’étais pas censée le voir je… J’étais pas dans mon état normal quand j’ai fait faire ça. » OMG, pire que mon ‘je t’aime’ à Gabrielle dans les plus ou moins mêmes conditions. Définitivement Denys Zacharias : le sexe dans les ascenseurs est à proscrire pour toi. Note le bien.
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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 1:17
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    La tension était plus que palpable entre vous deux. Des jours que vous vous cherchez. Des jours à vous retenir, car c'était trop tôt suite à ta sortie du coma, car y avait eut ton week end à New York, et là, enfin, c'était possible. Après de nombreux sms et snaps, c'était possible, quelques minutes que vous deux. Et vous le saviez que c'était pas pour discuter de ton week end. Y avait pas eut besoin de préciser. L'évidence avait été là, qu'à peine retrouvé, vous alliez succomber à l'autre, à vos pulsions, vos désirs. C'était comme ça depuis des semaines déjà. Y avait plus de barrières, plus de retenue. Vous passiez beaucoup de temps le corps l'un sur l'autre, à onduler ensemble. Et si t'avais eut des craintes, que ça ne représente que ça, que du sexe, ça avait été vite balayé quand vous aviez eut cette discussion juste avant ton accident. Tu savais que non, qu'il ne voulait pas juste ça, juste que tu bloquais le reste, la suite logique de vos comportements. Mais il savait, que toi aussi tu ne voulais pas que du sexe venant de lui. Mais cette attirance, cette envie de l'autre, elle était forte, quasi intenable. Et après des jours d'abstinence, contre votre gré, tu ne perdais pas une seconde, pas sachant que vous deviez avoir une invitée qui débarque. Dans l'ascenseur, tu en venais directement aux choses sérieuses. La température montait, la question de votre jeu aussi, venant certifier que lui aussi il l'avait déjà fait dans un ascenseur. Profite bien, ça sera la meilleure des autres fois que tu annonces, voix de séductrice, afin de lui donner encore plus envie et de lui annoncer la couleur. T'étais bouyante et il allait passer à la casserole comme jamais. Fait le... que tu souffles quand il exprime vouloir te faire l'amour. Ces mots bien choisi, qui affirme qu'il ne veut pas juste coucher avec toi, pas juste te sauter ou se vider. Mais bien te faire l'amour. Enfin, ce que tu croyais, parce que l'eau chaude, elle allait bien vite refroidir, en un rien de temps. Après avoir fait voler ta robe, puis son haut, ainsi que son bas, tu voulais que cette fois, avec toi, soit la meilleure, et pour ça tu descendais en déposant des baisers sur son corps, afin d'aller jusqu'à son bas ventre. Mettre la barre haute, l'exciter bien comme il faut, c'est ce que tu comptais faire. Tu cherchais ainsi son regard pour son feu vert, et y lire combien il avait envie que tu le fasses, que tu poses tes lèvres sur son membre. Sauf que tes yeux eux, ils virent autre chose, te faisant ainsi remonter pour en avoir l’exactitude, alors qu'il se débattait avec ton soutien gorge, encore, et que t'en oubliais presque ses doigts dans ton dos. Et quand tu touchais l'encre noire, l'écriture gravée, cherchant à savoir ce que c'était, lui il captait pas, encore en galère avec ton sous vêtement. Un simple regard vers lui, suffit à le faire comprendre. Il se détacha de toi et rattrapa aussitôt son haut pour le remettre. Preuve était de constater que c'était donc pas un faux. C'était réel pour qu'il réagisse comme ça ? Le regard bloqué sur lui, tu clignais des yeux en l'écoutant. T'en oubliais ta tenue légère. L'acte que vous vous apprêtiez à faire. J'étais pas censée le voir ? Et tu comptais me le cacher comment alors qu'on couche ensemble ? C'est pas comme si c'était un endroit bien caché ou peu visible. Là c'était évident que tu allais le remarquer vu que vous couchez ensemble souvent, que vous vivez ensemble, que vous allez faire du surf ensemble, que vous partagez la même salle de bain désormais. Vraiment, comment il pouvait envisager que tu ne le remarques pas ? Pourquoi t'as fait ça Denys ? Tu sais que ça partira pas, que c'est gravé en toi maintenant ? Bien sûr qu'il devait le savoir, puisqu'il devait le voir tous les jours ce tatouage sur sa peau, en sortant de sa douche. Qu'est ce qui t'est passé par l'esprit pour faire ça ? Un tatouage c'est symbolique, c'est à vie, c'est... T'en perdais tes mots en fait. Tu ne t'attendais pas à ça. T'étais plus que surprise, qu'il ne t'ait rien dit, de le découvrir comme ça. Puis pourquoi ? Pourquoi faire ça ? Ca te faisait flipper qu'il soit aussi inconscient. Peut être encore plus flippé qu'il soit aussi accrochée à toi, au point de te graver sur sa peau.

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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 14:42
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      Y’avait pas eu plusieurs fois dans un ascenceurs. Y’en avait qu’une seule, et… Et c’était pas le moment d’y penser. Pas même de penser au fait que ces mots, son choix du pluriel pour ‘les autres fois’ devait laisser croire qu’elle, de son côté, avait eu l’expérience à plusieurs reprises. Non. Pas le moment de se mettre de telles imagines en tête. Ash avait été ma meilleure amie bien avant d’être… un peu plus que ma meilleure amie, puisque d’étiquette précise sur ce que nous étions je ne pouvais pas mettre, et donc je n’ignorais rien de son passé sulfureux et de ses nombreuses conquêtes. Ca ne m’étonnait presque pas en fait, qu’elle réponde à la positive à mes questions lorsqu’on jouait à notre jeu. Peut être juste que j’avais envie d’être celui avec qui elle baptiserait chaque rare endroit pour lequel elle répondrait à la négative. Peut être que pour tous les autres déjà testé, comme elle, je voulais m’assurer d’éclipser de son esprit tous ses anciens partenaires. Alors oui, dans cet ascenseur, le moment promettait milles plaisirs, vu l’impatience avec lequel on se dévorait littéralement, vu l’urgence avec laquelle nos vêtements volèrent, vu le ton brûlant avec lequel je lui répétais mon envie intenable de lui faire l’amour, chose à quoi elle me souffla de le faire… Les baisers reprirent. Mes mains s’aventuraient dans son dos, jusqu’aux agrafes de son soutien gorge, frémissant sous ses baisers, ne m’inquiétant pas un instant du trajet dangereux que ses lèvres opéraient. Elles allaient exactement là où il fallait pour attiser un peu plus le feu en moi… J’étais loin de repenser au tatouage qui ornait mon torse. Même quand elle cessa son semage de bisous, même quand elle se redressa, même quand elle me questionna son index sur ma peau… Là encore, je n’y pensais pas tout de suite, rigolant, pensant qu’elle me charriait de mon combat avec sa lingerie résistante. Sauf que son regard… Merde. La connexion se fit d’un coup. Son changement d’attitude me sauta aux yeux et c’est mon comportement à moi qui vrilla direct. M’écartant, me penchant, attrapant mon haut pour le renfiler, pour cacher cette inscription, son prénom gravé sur mon pectoral gauche, en espérant que le planquer sous le tissu ferait disparaître le malaise. « Je pensais pas qu’on se sauterait dessus dans l’ascenseur… » J’avais fait attention, même lorsqu’on s’envoyait des snaps dénudés, de ne pas l’exhiber, le fameux tatouage. J’étais pas bête. Je savais que si un smack en public la faisait se crisper, une inscription à caractère aussi symbolique et définitif sur ma peau ça allait complètement la faire flipper. Alors naïvement, je m’étais dit que je surferais en combi, que je ne me déshabillerait que dans la pénombre de nos chambres, enfin bref, j’avais cru que je pourrais lui cacher oui… Du Denys tout craché. J’aurais surement mieux fait de tout lui dire d’emblée, dès nos retrouvailles à l’hôpital. Alors c’est maintenant, que je me lançais dans des explications, essayant de raconter, un peu confus, comment je m’étais retrouvé avec son prénom ancré en moi. « C’était pas calculé, j’étais pas dans mon état normal. Je venais d’apprendre ton décès, j’étais bourré, je me suis retrouvé chez un tatoueur… Je sais plus trop comment. C’est flou dans ma tête. Tout ce que je sais c’est que quand je me suis réveillé au poste de police le lendemain, j’avais la peau qui m’élançait, et y’avait ton prénom sur mon torse… » Je baissais les yeux en entendant son sermon. Comme un gosse qui se faisait engueuler après avoir commis une bêtise. « Je sais… Je sais… Je suis désolé. Tu m’en veux ? »
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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 15:50
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    Dans cet ascenseur c'était pire que le feu d'artifice pour le 4 juillet. La tension sexuelle était plus que présente entre vous. Et d'un point de vu extérieur, ça se serait vu, que ces baisers, cette façon de dévorer l'autre, du regard, des lèvres, ça n'exprimait pas juste une envie à assouvir. C'était pas QUE sexuel, non. Ca se sentait, se voyait, qui avait plus derrière. Plus que de l'attirance physique, plus qu'une parfaite harmonie entre vos deux corps pour cet acte charnel. Y avait réellement du désir, de l'envie, et des sentiments, qui accentuaient cette étreinte. Comme un besoin de se retrouver, de s'unir plus que jamais. Une dépendance. C'était un peu ça qui avait entre vous désormais, cette dépendance de l'un et l'autre. Ce besoin que l'autre aille bien, pour aller soi même bien. Une nécessité de partager le quotidien de l'autre, pour se sentir vivre. Tout ça en ressortait dans les gestes qui en découlaient. La façon dont il replaçait une mèche de tes cheveux après que ta robe ait été retiré. Les mains qui étaient emmêlées dans ses cheveux, ou posées sur son corps. Mais cette parfaite fusion fut bien vite écourtée quand tu t'apprêtais à lui donner une petite gâterie, qui te fit apercevoir LE détail qui te stoppa. Remontant vers lui, vers cette encre noire, vers ces lettres qui formaient ton prénom, tu lui demandais ce que c'était. Aucune explication d'abord, c'était plutôt un Denys sur la défensive, qui se rhabillait et qui justifiait que t'aurais pas dû le voir. Remarque qui accentua ton incompréhension, tes peurs. Comme si c'était possible de te cacher une telle chose quand vous couchez ensemble. Où avait-il la tête pour penser comme ça ? Dans l'ascenseur ou pas dans l'ascenseur, ose me dire que tu comptais plus qu'on couche ensemble ? Et attention à ta réponse Zacharias. Si la réponse est bien ce que je pense, tu crois tout de même pas que j'allais me contenter de te laisser ton haut sur toi à chaque fois tout de même ? Parce que t'attendais un 'non' pour la première question. Toi même tu savais que tu ne pouvais pas t'empêcher de le chercher, de lui succomber. Et puisqu'il était celui qui espérait une officialisation, tu concevais pas qu'il n'envisageait pas encore d'autres fois sous la couette. Alors, pensait-il vraiment pouvoir s'en tirer si facilement ? Pensait-il qu'il allait pouvoir coucher avec toi en gardant son haut ? Il était bien assez rare que vous vous contentiez de le faire le soir. La plupart du temps ça avait toujours lieu en pleine journée, matinée. Spontanément. Du coup tu ne pouvais t'empêcher de le sermonner, lui faire comprendre l'intensité de son acte. C'est un tatouage, quelque chose qui se garde à vie, qu'il devra vivre avec le restant de ses jours. Voilà qu'il s'explique donc. Ta 'mort' ayant été le motif de cet acte, ainsi que l'alcool qu'il avait ingurgité juste avant. Encore plus irresponsable, inconscient. Oui. Non. Oui. Je sais pas que tu réponds à sa question, laissant des petites secondes entre chaque réponse que tu donnais. Tu savais pas. Parce que en l'écoutant, en repensant à ses paroles, tu savais que t'avais ta part de responsabilité quelque part. S'il t'avait pas pensé morte, il aurait sûrement pas fait cette connerie, et tu t'en voulais encore de lui avoir fait du mal comme ça, de leur en avoir tous fait. Comment ça tu t'es réveillé au poste de police le lendemain ? Ca te revient à l'esprit. Ca te frappe. Qu'est ce qu'il a fait comme autre connerie ? Parce qu'il a été vague sur sa semaine où toi tu étais dans le coma et qu'il te pensait morte. Quelle connerie avait-il fait pour avoir fini au poste ? Et là, c'était ce détail qui te faisait flipper, qui te mettait en colère. T'as pas respecté les heures d'assignation au domicile, c'est ça ? Non seulement tu te fais faire ça, mais en plus tu prends le risque de retourner en taule ? Tout ça pour quoi ?... Pour toi. Mais tu continues pas, excédée. Tu lui tournes juste le dos, passant une de tes mains dans tes cheveux, terminant la course de celle ci dans ta nuque. Les yeux fermés, tu tentes de réfléchir, de te calmer surtout. Vous venez de vous retrouvez, c'est pas le moment, et Alexys risque d'arriver, elle le sentira tout de suite si y a des tensions. Tu souffles donc quelques secondes, avant de te retourner à nouveau et de te rapprocher de lui. Ton regard se pose sur le tatouage, malgré toi. Ecoute, je peux comprendre que ça devait pas être facile, et je m'en excuse encore, de vous avoir fait cette peur, je suis désolée, mais... tu ne peux pas foutre ta vie en l'air comme ça, bêtement, sans réfléchir aux conséquences. Et tu parles pour le tatouage comme pour le poste de police. Et si tu avais vraiment été morte, comment il aurait expliqué ce tatouage à ses futures copines ? Parce que même si ça te faisait chier d'y penser, tout ce que tu voulais, c'était son bonheur à lui, et qu'il continue son chemin, avec quelqu'un, si tu venais à ne plus être là. Et il méritait mieux que de finir sa vie en prison. Il méritait bien mieux. Tu n'aurais pas supporté à ton réveil, de le savoir encore enfermé là bas.

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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 17:38
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     Et l’ambiance vrilla en un quart de seconde. Il me fallut quelques secondes pour comprendre, pour réaliser qui était le coupable, ce que j’avais si facilement zappé : mon tatouage qui était toujours bien là, éternellement gravé sur ma peau : son prénom. Alors oui, je m’écartais aussi sec d’elle, me penchant, attrapant par terre mon T shirt, espérant qu’ainsi cela calmerait le malaise. Sauf que ça ne calmait rien. Ca ne faisait que lancer un flot de questions. Pourquoi, comment etc. « Non, non… C’est pas ça. » Et quand je commençais par lâcher qu’elle n’était pas censée le voir, ça soulevait forcément la question de nos coucheries. Alors bien sûr, à aucun moment j’avais envisagé que cela ne s’arrête… Y’avait qu’à voir la facilité avec laquelle elle savait m’allumer, réveiller mon désir. En un regard, quelques baisers, quelques caresses, elle parvenait toujours à réveiller mon envie d’elle. Même si là, le coup du tatouage m’avait calmé direct et mon caleçon avait retrouvé sa forme habituelle. Je n’avais plus vraiment ça en tête, clairement. J’essayais plus de justifier ce que je m’étais naïvement imaginé comme scénario. « Je me disais que j’pourrais le cacher avec ton fond de teint, ou je pensais qu’on se déshabillerait dans un lieu plus obscur… Ou qu’on opterait pour une autre position… » Bref, vu comme on finissait toujours par se sauter dessus sans que ça soit calculé, j’avais été bien crédule. Comme souvent. Alors encaissant le sermon de la jeune femme, je baissais les yeux. Oui, je savais tout ça. Pas besoin de me l’entendre dire, surtout sur ce ton, surtout quand les minutes précédentes nos corps se cherchaient encore avec passion. Le froid qui régnait maintenant ça me laissait un goût d’autant plus amer en bouche. Je lui demandais si elle était fâchée, sa réponse était confuse. Et puis, elle me laissait pas le temps de reprendre la parole, reprenant sur la révélation qui s’était glissée dans ma parole. « Euh… Oui… Ca… C’est peut être pas la peine d’en parler… » Elle avait déjà l’air suffisamment furieuse comme ça. Sauf qu’Ash était maligne et elle enchainait, ayant compris toute seule ce qui avait du se produire. Ma tête se baissait d’autant plus, fixant le sol avec une gêne croissante. Elle avait un bon aperçu de ce que ça avait été, cette semaine sans elle, à la croire morte : du grand n’importe quoi. Du Denys Zacharias dans toute sa splendeur…. « Ash je… » Je ne savais pas quoi dire en fait. Et je relevais le visage vers elle pour la voir me tourner le dos.  Je fis un petit pas vers elle, ma main effleurant son bras, cherchant mes mots mais elle fit alors volte face vers moi et son regard se posait de nouveau sur moi, sur mon torse. « Arrête de le regarder si ça te dérange tant… » Je me glissais alors dans mon T shirt, pour cacher ma peau tatouée. Et son jugement m’écorchait en fait, comme son regard… En fait, tout ça ne faisait que me rappeler, me renvoyer en pleine figure qu’on n’était pas du tout sur la même longueur d’onde sur ce point. Si moi j’étais capable de me faire tatouer son nom sur mon corps, certes bourré, certes complètement paumé, mais décidé quand même, puisque même dans mon ivresse j’avais été capable d’épeler son nom au tatoueur, elle, de son côté, ça le choquait complètement. C’était un beau projecteur sur la différence de notre attachement mutuel l’un à l’autre. « Tu veux que je te dise quoi ? Que je suis désolé ? Que je regrette ? Parce que c’est pas le cas. Oui j’étais inconscient, oui j’ai pas réfléchi, oui j’ai fait n’importe quoi. Mais c’était mon moyen à moi de gérer le fait que t’étais plus là, que t’étais partie. T’étais MORTE Ash. On m’a annoncé que t’étais décédée, tu te rends compte un peu ? » Au final ce tatouage c’était rien. C’était rien du tout comparé à ce qui aurait pu arriver, même si des deuils j’en avais encaissé déjà pas mal dans ma vie.
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    Lien du postLun 17 Juil 2017 - 18:14
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    Quand tu savais qu'il allait venir te chercher à l'aéroport, quand tu avais été dans son break sur le chemin pour rentrer au loft, quand tu l'avais plaqué contre la paroi de cet ascenseur, pas une seconde tu n'aurais pensé que ça allait tourner comme ça. Toute envie coupée, évaporée. Vos deux corps refroidis, éloignés. Ni même que tu allais passer de ce désir de lui faire l'amour, à cet énervement que tu ressentais actuellement. Comment pouvais tu savoir qu'il avait fait une telle chose en ton 'absence' ? Pourtant, la tension était bien présente, mais plus du tout sexuelle. Et s'il pensait que tu ne l'aurais jamais vu, tu trouvais ça absurde. Que tu saches, il est aussi présent quand vous faites des galipettes, et il sait très bien que ça arrive pas une fois tous les trente six du mois à présent. Il sait que ça arrive plusieurs fois dans la semaine. Plusieurs fois dans le mois, comment pouvait-il espérer que tu ne le remarquerais jamais ? Son explication, il l'avait, assez confuse. Lui même avait l'air paumé de comment il aurait pu le cacher. Le coup du fond de teint c'était bien tenté. Quant à celui de la nouvelle position, si ça avait été un autre moment, t'aurais eut ce sourire sur les lèvres qui en dit long sur tes pensées face à ces aveux, mais là, là t'étais encore trop sous le choc, trop en train d'encaisser la pilule, pour y voir du positif, de l'envie. Tu ne répondis rien, juste tes pupilles qui se lèvent au ciel. Geste bien explicite de l'absurdité que tu pensais dans ses paroles. Quant au reste, tu retenais aussi qu'il avait fait un séjour au poste de police, chose qu'il t'avait aussi caché. T'en convenais bien vite que c'était à cause des horaires qu'il devait respectait à être au loft. Et bingo, il avouait en préférant ne pas continuer sur ce sujet là. Mais si, si, c'était mal te connaître que de vouloir y échapper. Tu te tournais, afin de te calmer, de te détendre. T'avais aucune envie de te disputer plus avec lui, Alexys qui allait arriver tu ne savais quand. Tu reviens donc vers lui, ton regard qui se pose malgré toi vers son pectoral, vers le tatouage. Et tu vois bien qu'il est aussi désemparé que toi. Que la situation ne lui plaît pas. Mais tu continues, à lui dire qu'il peut pas gâcher sa vie comme ça. Tu lui avais dit à l'hôpital que tu voulais qu'il soit heureux même si t'étais plus là, qu'il devait pas faire le con comme ça. T'avais juste pas capté que ça avait été à ce point. Toi, tu avais imaginé un Denys qui répondait à personne, d'après ce qu'on t'avait dit. Un Denys qui avait bu, encore et encore, de la cuite qu'il c'était prit la veille de la sortie de ton coma et de ce que Darren t'avait dit. Mais t'avais pas pensé que c'était allé jusqu'à qu'il se tatoue ton prénom, jusqu'à qu'il ait encore des soucis avec les flics. Ca tu ne voulais pas. Tu le sermonnais donc et ça ne lui plaisait pas. A son tour, il prenait la parole, sans aucune hésitation cette fois. Te mettant en pleine face le fait que tu avais été morte. Cette insistance bien appuyée sur le mot 'morte', qui te lança un coup au cœur. Il te rappelait qu'ils avaient tous pensé que tu ne reviendrais plus les faire rire, les faire chier, jouer au cupidon, à la bonne copine mère poule. Et ça te faisait mal. De savoir que tu les avais fait souffrir, de voir que lui en avait bavé plus que les autres, qu'il avait été profondément touché. Et son regard, qui approfondit les paroles qu'il balance, ça t'arrache le cœur. Ca te calme net également. Il t'avait cru morte, alors t'étais qui pour venir juger cet acte, ce tatouage ? Je... C'était à ton tour d'en perdre les mots. C'était peut être une belle preuve de sincérité ce geste non ? Si même bourré, son inconscient l'avait poussé à te graver dans sa peau, toi, pas une autre, juste toi. Je sais... mais... pourquoi t'as pas juste fait un A, comme on en avait parlé ? Juste ton initiale, ça aurait été moins voyant, moins 'grave' plutôt que ton prénom, non ? D'ailleurs, vous en aviez rigolé de ce tatouage, de graver l'initiale de l'autre sur votre peau, t'en aurais été capable de le faire ce D, alors pourquoi tout ce cirque pour ton prénom ? Au fond, tu flippais juste encore plus de voir que tu risquais juste de le faire souffrir, de le détruire, le briser, vu combien il était attaché. Tu flippais un peu plus de le mener à sa perte, ou bien de toi te perdre totalement. Ce qui se produisait déjà pas mal, rien qu'à voir comme il arrivait à te calmer juste avec son regard. A faire baisser le ton de ta voix, à te faire décolérer, simplement avec des mots, avec son regard, avec ce que tu ressens pour lui...

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    Lien du postMer 19 Juil 2017 - 14:10
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        Revirement total de situation. Voilà comment mon torse mis à nu, le tatouage, que j’avais un peu zappé dans l’empressement de nos retrouvailles et l’urgence de nos baisers, avait eu un effet douche froide immédiat. Le ton montait vite, Ashleigh essayait de comprendre et je crois que mes explications étaient surement pires. Oui parce que l’histoire du poste de police, ma nuit là bas, qui d’ailleurs s’accordaient normalement au pluriel, puisqu’il y en avait eu deux,  ça la fit tiquer, ça la fit me questionner sauf que vu son état d’énervement, je bottais le sujet en touche… On avait déjà assez à faire avec mon prénom inscrit sur son torse. Je connaissais trop bien Ash pour savoir combien ça devait la faire flipper… Mais son regard, son jugement… Ca finit par avoir raison de mon calme. Me glissant dans mon T shirt en lui intimant l’ordre d’arrêter de le zieuter ainsi, je finis par perdre ma patience en lui rappelant sur un ton un peu emporté, bien moins doux, le contexte dans lequel j’avais fait faire ce truc : sa mort. Bordel, j’aurais pu en faire des conneries, j’aurais même pu mettre ma vie en danger je crois, tellement plus rien n’avait de sens pendant cette semaine où je l’avais cru définitivement disparue. Alors ce tatouage, là, c’était vraiment rien, c’était pas grand chose.  Je m’en voulus d’avoir un peu haussé le ton, d’avoir perdu mon calme, en voyant le changement dans ses yeux, en la voyant hésiter, bégayer pour reprendre la parole. « Désolé… » soufflai-je alors qu’elle reprenait contenance ensuite, pour me poser une question plus douce, moins agressive, moins chargée de jugement. Pourquoi le prénom en entier ? Pourquoi pas juste son initiale ? Parce que c’était pas le A que j’aimais, c’était l’entièreté de son nom, l’originalité de son orthographe à laquelle elle était si attachée. Enfin ce qui m’était passé par la tête ce soir là, avec le grammage que j’avais, je n’en étais pas très sûr. J’haussais les épaules. « Peut être que j’avais peur que depuis le ciel, avec un simple A, ton fantôme aille s’imaginer que j’en pinçais pour Agathe. » lançai-je, pas sérieux pour un sous, faisant redescendre la pression comme je pouvais, de la seule façon dont je savais le faire : en racontant des conneries. « Peut être que je pourrais le faire enlever… » suggérai-je ensuite avec plus de sérieux, en massant mon T shirt à l’endroit où le tatouage se trouvait sous le tissu. « Tu veux que je le fasse effacer ? Ca doit faire mal non ? »
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    Lien du postJeu 20 Juil 2017 - 13:04
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    Si tu t'étais vite emportée en découvrant son tatouage, ton prénom sur sa peau. Si le ton était monté, les reproches avaient filé. Ca avait fini par s'arrêter quand il avait évoqué ta 'mort' qui était la raison de ce geste, fou, non prémédité, impulsif. Et là, tu te retrouvais sans voix. Tu ne pouvais pas vraiment imaginer la chose, imaginer à quel point cette semaine avait dû être atroce pour lui, comme elle l'aurait été pour toi si ça avait été le cas contraire. Alors il avait peut être raison, ça avait été son moyen à LUI de peut être faire son deuil, de gérer ça comme il pouvait. Tout comme ton moyen à toi avait été de lui faire des lettres, une chanson, quand il avait été enfermé derrière les barreaux. On est d'accord, c'est pas le même degré d'importance, mais ça te faisait un peu changer d'avis et baisser le ton, arrêter les reproches, le 'jugement'. Après tout c'est sa peau, son corps non ? Alors t'en perdais les mots et il s'excusa, tandis que tu secouais le tête de gauche à droite, comme pour lui dire non de ne pas s'excuser. Une question te vint cependant, pourquoi ne pas avoir fait un truc plus petit, simple, comme juste ton initiale. Si les gens le questionne, il aurait pu dire c'est pour un prénom, point, là c'était directement un prénom de fille qui allait être lu. Ca allait lui causer bien plus de questionnement, de 'problèmes' à l'avenir, rien qu'avec des futures conquêtes. Tu ne pus t'empêcher de sourire face à son explication et même de lui donner un léger coup de poing dans l'épaule. Jusqu'au bout il pouvait pas être sérieux celui là. Toujours à dire des âneries. C'était ça aussi que tu aimais chez lui. Qu'il arrive à détendre l'atmosphère en un rien de temps, à faire le clown, dire des pitreries. Et plus sérieux, il évoquait le faire enlever, te demandant même ton avis et si ça devait faire mal. T'avais aucun tatouage, alors tu étais pas la bonne personne pour savoir si ça faisait mal de le faire enlever. Tu savais déjà même pas la douleur que ça faisait d'en faire un... Je sais pas si ça doit faire mal. Je sais pas non plus si tu dois l'enlever. C'est ton corps, ta peau, maintenant c'est fait, c'est pas à moi de te dire de l'enlever. Si tu veux le faire supprimer alors fait le, ou si tu veux le garder... garde le. C'était pas à toi de lui dire quoi faire, pas à toi de l'obliger à l'enlever tout de même. S'il y tenait, s'il l'aimait son tatouage, et si surtout ça le dérangeait pas d'avoir ton prénom gravé sur lui, alors t'avais rien à dire. C'était sa décision. La sienne uniquement. Tant que tu me supprimes pas de là, ta main se posa sur sa poitrine gauche, à l'emplacement de son cœur. Ou de ta vie. Le reste c'était qu'un détail. Tant que tu restes dans son cœur et sa vie, s'il voulait s'en débarrasser de son tatouage, ça le regardait... Mais... je peux savoir pour combien t'en a eut ? Parce qu'aussi petit soit il, tu savais que les tatouages ça coûtait un bras. Rien que pour une écriture, même s'il avait dû y rester quinze minutes à le faire, il avait dû banqué un peu.

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    Lien du postJeu 20 Juil 2017 - 23:17
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      Je pourrais lui répondre qu’un simple A aurait pas la même symbolique, que j’avais pas besoin d’un truc évasif, parce que j’étais sur de moi, et que j’aimais chaque lettre de son prénom, comme j’aimais chaque parcelle de son être, mais je crois que de voir son prénom ancré dans ma peau, ça devait déjà l’avoir suffisamment fait flipper comme ça. Je connaissais la demoiselle. Je me souvenais sa crispation de tout à l’heure, à l’aéroport, j’avais rien raté de son coup d’œil pour s’assurer que des connaissances à nous ne nous avait pas vu. Si l’idée d’être vu proche de moi l’alarmait déjà, alors j’imaginais bien ce qu’elle devait penser de ce tatouage. Peut être qu’elle s’était emportée aussi vite pour ça, enfin c’était ainsi que je le comprenais. Parce qu’elle était loin d’assumer ce truc entre nous et que de me voir capable de l’afficher sur ma peau, ça la déroutait. Alors fidèle à moi même, je me justifiais avec humour. Baragouinant une connerie. Parce que le A pouvait se référer à Agathe, le premier prénom en A qui me vint à l’esprit parmi nos amies communes, et je lui soutirais ainsi un sourire, tout en récoltant un petit coup de poing contre mon épaule. Et puis je repris mon sérieux. Si elle le voulait, je l’effacerais.. J’émettais l’idée mais bizarrement, d’un coup, elle me parut moins fermée et moins catégorique quand au dessin sur mon torse. « Non, mais Ash… Est-ce qu’à chaque fois que tu vas le voir ça va se passer comme ça ? » demandai-je, gêné, hésitant un peu sur les mots. « Enfin, tu vois quoi… » En gros est-ce que ça allait à chaque fois lui couper toute envie ? « Non parce que sinon, mal ou pas mal, cher ou pas cher, je vais le faire effacer direct. » ajoutai-je, révélant surement un peu trop mon addiction à ses bras, nos étreintes torrides, son corps contre le mien… Non, je ne m’en priverais pas pour un tatouage alors si elle, ça la bloquait, j’irais le faire effacer. Mais elle me laissait le choix, du moment que je la gardais dans mon cœur et dans ma vie. « Comme si c’était possible… » soufflai-je en secouant la tête, avant de venir coller mon front contre le sien avec douceur. La jeune femme reprenait sur le prix. « On s’en fiche Ash. J’ai payé en cash, je ne m’en souviens plus… Tu demandes pour savoir combien te coûtera le Denys Zacharias sur tes fesses c’est ça ? » demandai-je en riant, taquin, retrouvant un peu ma bonne humeur en réalisant qu’on avait finalement désamorcé cette situation.
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    Lien du postVen 21 Juil 2017 - 0:14
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    La surprise tombée, tu flippais moins à l'idée de ce tatouage. Certes il allait te falloir encore du temps pour t'y faire, pour ne pas bloquer dessus à chaque fois que tu le verrais, ou pour ne pas penser qu'il était fou, complètement fou, mais tu t'étais rendue compte qu'il était majeur et vacciné, libre de faire ce qu'il veut. Si t'approuvait pas, t'avais quand même aucun droit de lui faire retirer. Mais il voulait ton avis et s'assurer que ça causerait pas de soucis à l'avenir. Tu disais les choses, clairement, plus posée, plus ouverte. Cétait son choix, tout ce qui comptait à tes yeux soit qu'il te suppr pas des deux choses les plus importantes : son cœur et sa vie. Le reste tu pouvais encaisser. Mais il voulait être vraiment certain que ça n'allait pas te bloquer la prochaine fois, ou les prochaines fois. Je te dis pas que je vais pas bloquer dessus, que je vais pas le regarder bizarrement au début, me dire que t'es fou, mais... j'arrêterai pas de te vouloir pour autant... si c'était bien ça qu'il entendait. Ca serait compliqué au départ mais ça serait normal non ? Il fallait le temps que tu t'y fasses, que ça devienne limite banale à tes yeux. Mais un élément t'interpellait, celui de l'argent, de la somme qu'il avait dépensé pour ce petit truc. Souvenir qu'il n'avait pas, ni relevé ou ticket puisqu'il avait payé en cash. C'est pour te... Ta phrase fut coupé par la plaisanterie qu'il sortait. Ou connerie plutôt. Un Denys Zacharias sur les fesses, ah ben c'est du propre ça. Tu m'as grillé dis tu d'un air triste, blasé, feignant la comédie. Le visage baissé au sol, regardant vos pieds, tu faisais celle qui était dég qu'il ait capté la chose, avant de relever le visage vers lui. Tu veux que je t'appartienne c'est ça ? Souriante, rigolote, tu t'approches encore plus près de lui. Est ce que t'as fait d'autres bêtises pendant cette semaine ? que tu le questionnes, pour savoir si tu dois t'attendre à découvrir d'autres nouvelles à venir. Une question sérieuse mais pas chargé de reproches. La curiosité simplement.

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