C'est le seul truc que je n'aime pas trop lors du bal de fin d'année. Le fait de devoir porter une robe qui, la plupart du temps, je me conviens pas. Comme cette robe par exemple. Autant je suis bien dans un jeans, une petite robe fluide ou encore un short autant, je me sens pas vraiment bien dans une robe qui dessine toutes les courbes de mon corps. J'ai l'impression d'être emballée dans du cellophane, je peux pas respirer comme je veux. Ouais, ça me rappelle la fois où mon frère a décidé de me transformer en momie pour Halloween quand on était gosses ! En tout cas, ça fait bien rire Zakhar, ça me n'étonne pas. Je me contente de lui tirer la langue en guise de réponse. Je fais que râler tout le long du trajet et quand on arrive sur les lieux, la première chose à laquelle je pense, c'est le fait de pouvoir l'enlever une fois à la maison. Mon cher fiancé ne peut pas passer à côté de cela et je souris doucement tout en décalant ses mains sur mes hanches. Pervers ! Je me tourne légèrement pour déposer un baiser sur ses lèvres. En fait, la soirée va finir comme celle de l'année dernière sauf que cette fois-ci, on va rentrer chez nous et non dans ma petite chambre à la Mather House. Sans parler du fait qu'on m'aurait dit que je me serais fiancée un an plus tôt, même si cela concernait Zakhar, j'aurais très certainement ri. Les choses évoluent, on grandit, on se rend compte que les gens ne sont pas ce qu'ils prétendent être. Parfois, ça a du mauvais et d'autres fois, du bon voire même du très bon. Je faisais le point sur notre situation et j'eus à peine le temps de terminer ma phrase que Grace vint nous rejoindre. Je rigole suite à ses propos avant de la prendre dans mes bras en faisant attention à ne pas écrabouiller le bébé. Hey ! Mais dis-moi, t'es magnifique ! Franchement, la grossesse te va bien ! Alors, comment il va mon petit bout de chou ? J'ai hâte qu'il arrive ! Je suis toute contente de la voir et de voir surtout que son ventre à pousser et donc, que le petit également. Je suis sérieuse quand je dis que j'ai hâte de le rencontrer. Finalement, je commence à m'y faire à tous ces bébés un peu partout. Je tourne la tête vers Zakar qui doit rien comprendre puisque je n'ai pas eu l'occasion de lui dire que je m'étais réconciliée avec Grace. Longue histoire ! Non en fait c'est simple, je m'étais excusée auprès de Grace, elle avait accepté mes excuses et en avait fait de même alors aujourd'hui, on repartait sur de nouvelles bases.

Je souris largement à #Nemo et ris légèrement. " C'est ça, j'ai fais mon chant de sirène et hop, ils ont tous voté pour moi " Soufflais-je en haussant les épaules. Ouai mais il parait que les sirènes sont hypra moches en fait et que leur chant aveugle les voyageurs. Pas le cas pour moi. Je suis une bombe, qu'on se le dise. Je lève les yeux au ciel quand Nemo râle parce que je le pousse légèrement et je le laisse passer d'abord. Les femmes et les enfants d'abord, il est les deux pour moi - ahah. Il finit son speech et je m'avance légèrement. " Eh bien merci ! Comme quoi on a pas besoin d'appartenir à une confrérie pour être quelqu'un " Je souris largement. " Merci à vous et à l'année prochaine " Soufflais-je avant de descendre. Y a pas grand chose à dire en même temps. L'intervention que @tate l.murray a eu m'a fait rire, je dois l'avouer. Je descends et je souris à @n. hippolyte dunford quand elle parle de ma grande gueule. " J'ai appris des meilleures, de toi, bien évidemment, mon modèle de toujours " Allez, tu joues à la maline ? Et bien viens mon Hippopotame, on va jouer ! En tout cas, c'est elle qui est appelée et je ris légèrement. Je me place près de #Nemo et j'applaudis la blonde quand elle fait une remarque sur les Mather ! " On devrait la nommer ambassadrice de la Eliot House " Lançais-je à Tate avec un large sourire. " Ça fait une heure que je te cherche, ça va avec @Athena V. Campbell ? " Demandais-je, applaudissant ma fourmi sur scène avant que tout le monde descende.

J'ai abandonné Stuart. A moi que ça ne soit lui qui m'est abandonné. C'est peut-être un peu des deux aussi. Je ne sais pas vraiment en tout cas, on s'est perdus alors, je me suis mis dans un coin pour pouvoir admirer la remise des awards 2016. J'applaudis quand il le faut et finis par croise le jeune homme qui a reçu son prix il y a peu de temps. Nemo, il est Eliot et c'est sans doute pour cette raison qu'il obtient cette fameuse récompense. Hey ! Félicitations pour ton titre ! Même si t'as pas l'air aussi snobe que ça. Je tente d'engager la conversation, maladroitement je l'avoue. Faut dire que je ne sais jamais comment on fait pour paraître normale dans ce genre de situation. Assez rapidement, je me rends compte qu'il doit me prendre pour une folle alors, je secoue légèrement la tête et je décide de me présenter : Oh mh... Moi, c'est Gigi !

Se décalant légèrement sur le côté pour laisser les trois étudiants recevoir leurs prix, le Doyen écouta attentivement le discours tout en jouant avec enveloppe qui se trouvait entre ces doigts. C'était la première année qu'il faisait ça à Harvard, et pour le moment, tout se passait assez bien. C'est évident que certains élèves ne vont peut-être pas apprécier de recevoir un razzie, mais, c'est le jeu non ? Une fois que les élèves on quittés la scène, le Doyen repris sa place au centre, et ressortie sa liste pour annoncer la suite des prix. "Merci à vous... Passons à la suite si vous le voulez bien [...] L'award de la plus drole revient à @Alaska Granger ! Et le razzie du plus narcissique à... @Caesar S-Belobrova !" Applaudissant à la fin de l'appel, il chercha du regard les deux étudiants pour voir la réaction qu'ils pourraient avoir.

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Vous avez 48h pour venir chercher l'award sans quoi, nous passerons aux résultats suivants. Merci

@Kyla Carmichael en sirène séductrice et manipulatrice ? Ça lui allait comme un gant, et tu étais certain qu'elle n'avait, avec certains hommes, besoin que d'un sourire appuyé et d'un ton de voix légèrement plus bas et mielleux pour faire son petit effet et exercer une sorte de pouvoir sur eux. Après tes paroles devant la salle entière et l'intervention de @Tate L.Murray, elle remerciait à son tour brièvement les votes reçus pour elle, et vous descendiez de l'estrade afin de laisser le Doyen le loisir de continuez à donner les prochains awards. Une fois de nouveau dans l'ombre, @N. Hippolyte Dunford s'approchait sans attendre de vous et tu lui faisais la bise avant de rire doucement lorsqu'elle te félicitait. « Exaspérant n'est-ce pas ? J'imagine que tenter d'être une bonne personne ne sert à rien quand on est catégorisé Eliot. » Tu te moquais, puisque malgré tous tes efforts, les personnes ne devaient pas comprendre ton attitude et ton comportement. Au final, c'était plutôt drôle, et t'étais plutôt content d'avoir remporté ce beau award qui sera parfait dans ton appartement. Tu faisais une petite moue boudeuse devant ses prochaines paroles, lui tirant la langue. « Ce n'est pas la même chose, j'ai l'esprit fermé que sur quelques sujets ! » Tu te défendais en riant, avant que, comble de l'ironie, ce soit à Hippolyte d'entendre son prénom au micro. La plus égoïste, rien que ça – et elle le savait, ça lui allait plutôt bien. Elle montait sur l'estrade avec les deux autres étudiants nommés pour les plus bavards, et wow, elle livrait un discours qui montrait franchement ce qu'elle pensait des mathers, et tu riais, secouant ton visage doucement de droite à gauche – elle ne changerait malheureusement jamais.

Quelques secondes plus tard, tu tournais ton visage à l'entente d'une voix près de toi, et tu posais tes yeux sur une jolie jeune fille brune ( @Gigi Thomspers ) que tu n'avais encore jamais croisé depuis que tu étais à Harvard. Tu faisais une petite grimace amusée à ses paroles, haussant légèrement tes épaules. « Peut-être que j'ai changé sans m'en rendre compte. » Comme quoi, en côtoyant un certains type de personnes tous les jours, on pouvait comme se perdre, mais t'aimais faire parti des Eliots – du moins, des vrais Eliots présents dans la confrérie. « Mais merci, ça m'a rendu tout ému. » Tu te moquais, avant d'étirer tes lèvres en un sourire lorsqu'elle se présentait finalement à toi. « Enchanté Gigi, moi c'est Nemo. Tu vises un titre ce soir ? » Tu lui demandais, tes yeux regardant @Alaska Granger qui avait gagné un award assez cool, monter les marches avec ton fraté @Caesar S-Belobrova qui recevait le razzie du plus narcissique – décidément, vous aviez été des muses et vous récoltiez maintenant tous les prix.

Les bals ce n’était pas ton truc. Il se passait toujours quelque chose de mal pour toi en tout cas mais cette année avait été tellement chargée en émotion que plus rien ne pouvait se passer de si terrible. Tu avais même retrouvée quelques amis dont Alexys. Après tant de temps à vous faire la guerre et à vous cracher dessus vous voilà à nouveau réunis. Harvard risquait d’être surpris quand la nouvelle se mettrait à circuler. C’est justement elle que tu avait rejoins alors que les heureux élus défilés sur scène les uns après les autres. Tu lui faisais remarquer qu’elle n’aurait pas du mettre cette robe là, car elle était évidemment trop jolie. Tu avais tout racontée sur Alexys mais tu n’avais jamais niée qu’elle était de toute beauté. Et évidemment, elle n’était pas seule. Zakhar son fiancé était avec elle. Tu l’avais rencontré, vous vous étiez tournés autour tu voulais surtout faire du mal à Alexys mais au final il ne c’était rien passé, car il était beaucoup trop amoureux d’elle et que tu étais une garce mais tu avais un cœur au final. Il te saluait et tu lui faisais la bise avec un grand sourire. « Félicitations ! Tu devrais recevoir le prix de l’homme à avoir réussi à mettre une bague autour du doigt de la fille la plus inaccessible d’Harvard » Tu rigolais un peu alors qu’Alexys te prenait dans ses bras te faisant remarquer que la grossesse t’allait à merveille. Tu secouais la tête en souriant. « Je me suis jamais sentie aussi ballonné de ma vie et mon dos me fait une misère mais ça va. Je ne recommencerais pas de sitôt mais c’est plutôt sympa la grossesse surtout quand je le sens bouger et crois-moi qu’il va très très bien, un futur rugbyman je pense vu les coups qu’il met » Tu souriais à Alexys, reposant ton regard sur Zakhar qui ne semblait pas tout comprendre. Il s’attendait à du sang et des cris mais finalement c’est tout le contraire. « A croire que même les deux plus grosses connes d’Harvard arrive à mettre leur égo de côté » Tu haussais un peu les épaules. Tu posais ton regard sur Alexys. « Maxime t’as dit ? Isaac a accepté d’être le parrain du petit, il est ravi de devenir tonton » Tu étais tellement contente que tout se passe à merveille tu ne pouvais pas rêver mieux. Tu regardais Zakhar qui ne devait pas tout saisir et finalement tu voulais mettre les choses au claires. Tu regardais alors Zakhar. « Je ne sors pas avec Maxime et cet enfant est un accident mais nous sommes les parents célibataires les plus heureux du monde » Tu élargissais ton sourire, de toute façon tu ne pouvais même pas pleurer tout était merveilleux. « Bon et vous ? Tu pourras attendre que j’ai retrouvée ma taille de guêpe histoire que je sois présentable à ton mariage ? » Tu espérais qu’ils avaient fixés une date, tu étais tellement excitée à l’idée de savoir qu’ils allaient se marier et puis avoir des bébés et puis… bon, ok tu l’enviais aussi mais tu étais vraiment contente pour elle, pour eux.

@Zakhar A. Mordachov @Alexys Carpenter

Alaska. Hein, mais c'est toi ça. T'avais la tête un peu ailleurs, quand ton voisin te pousse un peu pour t'avertir, qui m'appel ? Tu lèves les yeux vers la scène, un prix, moi ? Pour être drôle ? Un sourire se dessine sur tes lèvres, parce que merde, c'est pas le genre de prix que tu redouter.. fin, c'est sûre t'aurais pas eu la couronne de la reine du bal, mais tu pensais plus tomber sur un razzie. @Caesar S-Belobrova lui a le droit à un razzie. Tu te redresse pour monter sur la scène, tu doit dire quelques choses quand même. « Hum, merci beaucoup pour ce prix les gars, et pour cité Cody Bleeker, si il peut nous entendre de sa cabane dans les bois entourer de caribou et de sirop d'érable : la terre et ronde, mais on trouve plein de con à chaque coin de rue. » très philosophique cette petite phrase, on adore. Tu sert la main au doyen et à Caesar également. « Félicitation pour ton razzie. » dis-tu dans un rire.

Au départ, t'étais là pour venir applaudir Nemo et Hippolyte qui ont reçu un award ou plutôt un razzie, peu importe, ça reste un prix. Tu es fier de regarder les gens de haut en bas limite pour leur faire savoir qu'ils pouvaient bien foutre leur opinion dans le cul, bien profondément. Tu ris en entendant Tate exiger qu'on recompte les votes pour le prix du plus snob. Fais pas cette tête Tate, peut-être que l'année prochaine tu recevras le prix du meilleur jongleur de relation. Tu siffles Nemo lorsqu'il monte sur la scène et tu fais pareil pour ta cavalière de ce soir, Hippolyte. T'applaudis les deux Eliots et tu rigoles encore plus en entendant le discours de la blonde. Le Doyen passe ensuite aux deux prochains prix. T'as les mains dans tes poches lorsqu'il nomme une gonzesse, suivi de ton prénom. Voilà quelque chose d'intéressant et de flatteur, recevoir un prix de plus narcissique. T'as toujours été cette définition, quoique haha. Et c'est un des meilleurs prix que tu peux recevoir de toute façon, c'est ce qui caractérise un Eliot, anyway. Tu te diriges vers les escaliers qui mènent sur la scène, en suivant la brunette devant toi. La gonzesse prend déjà possession du micro, en commençant son discours des plus étranges et tu te forces à rire de ce qu'elle dit, même si ça ne tient absolument pas debout. Elle vient serrer la main du Doyen et la tienne, en te félicitant pour ton prix. Tu hoches la tête; « C'est loin d'être un razzie, c'est parfait comme prix. Félicitations pour ton award. » Voilà c'est à ton tour Caesar. Tu t'approches du micro, en levant ce trophée dans les airs et tu regardes l'assistance. « Je tiens à vous remercier d'avoir pensés à moi, c'est gratifiant de recevoir ça ce soir. Vous me connaissez bien je dois l'avouer. Je vous remercie également d'avoir votés pour Nemo et Hippolyte. La Eliot House porte bien sa définition avec ces trois prix maintenant. Pour finir, je tiens à vous rappeler que c'est la dernière fois avant l'année prochaine que je m'adresse à vous, mesdemoiselles et messieurs. Parce que dès que je redescends de cette scène, vous redeviendrez un vent de poussière à mes yeux. Merci! » La gentillesse ça ne sera jamais ton point fort haha. Autant être honnête. Tu serres la main du Doyen avant de redescendre les marches et de venir rejoindre les quelques Eliots en paquet dans un coin de la salle.