"Bavarde?!" Nan mais heuuu elle voulait juste qu'il prenne soin de ses robes. Et vu la facon dont il les posaient a l'arrière, c'etait pas le cas! Elle soupira, l'air renfrognée. Puis son téléphone se mit a sonner et la, faisant partie de la présidence de la Dunster, elle ne pouvait que se sentir viser. "T'as reçu ca aussi?" Avant même de lui répondre, il lui prit son téléphone des mains pour le balancer sur la plage arrière. "hey! ca va pas la tête??" Lui demanda t elle avec de grands yeux. "Ca va, je m'attache..." dit elle en soupirant. Puis elle posa son coude droit contre la portière et fixa son regard sur la route, histoire de ne pas croiser son regard puisqu'il faisait expreees de la fixer. Elle qui avait l'habitude de tout contrôler... ce n'était jamais le cas avec lui. Il faisait tout pour l'énerver! C'était comme il voulait, quand il voulait, et elle ne supportait pas que le contrôle de la situation lui échappe des mains.

« Trop ! » Bavarde ou bougon, un truc comme ça ou un peu des deux. Dans tous les cas elle s'intéresse trop à ce truc superficiel qu'on appelle robe chez les filles. Ce n'est qu'un bout de tissus, ce n'est pas de le balancer sur la banquette arrière que ça va le casser. D'ailleurs son téléphone non plus. « Quoi encore ? Ma tête va bien ! La tienne aussi non ? Jusqu'à preuve du contraire tu ne t'appelles pas Livia ou je sais pas quoi non ? Et t'es à la tête qu'aucune maison non ? Alors la paix. » J'en sais rien qu'elle préside les dunsters moi et au pire je m'en fous, c'est pas avec moi qu'il va lui arrive quelque chose. Attache toi, la ceinture oui attachée, mais attache toi à moi aussi. Ah ah si elle pouvait lire dans mes pensées elle me tuerait surement. Je démarre en on file chez moi. Je tourne la clé dans la serrure, Simba n'est pas là puisque c'est vérouillé. Je la fais entrer et je referme derrière elle à clé, je fais tout le temps ça. « Mesure de sécurité, histoire que tu ne t'échappes pas ! » Je lui montre toutes mes dents en souriant et je la fixe, encore et toujours. « Défilé ? » J'hausse les sourcils plusieurs fois, toujours pour la chercher. C'est drôle non ?

"T'es pénible!" Dit elle simplement, sans s'énerver. De toute façon, s'énerver avec lui ne servait a rien, a par le faire jubiler. Et ca, c'est hooors de question! Le trajet se passa plutôt rapidement, malgré le fait qu'elle faisait la tronche. Il n'avait pas menti, il habitait bien a 10 min de la. Il gara la voiture et Sienna sortit, mais avant de rejoindre son appart, elle prit soin de récupérer son téléphone. Mlle Rose, jamais sans son portable! Elle le suivit a l'intérieur sans rien dire. et... il ferma la porte derrière eux. "heu..?" Oui, il fait ca a chaque fois, et alors? "Tu sais que tu fais un peu flipper parfois?" Il se retourna vers elle, et une fois de plus elle fut quelque peu troublé par son regard. "Arrêtes... oublies ce défilé. Même pas dans tes rêves..." une fois qu'elle réussit a lacher ses yeux, elle s'avança dans l'appart et balança son sac sur le canapé. "Simba n'est pas la?" Demanda t elle en se retourna et s'adossant au canapé.

« Avec vous les femmes c'est toujours les mecs les chieurs ! » Et bien sûr ça se confirme pendant le trajet, hein, c'est vrai que c'est moi qui boude, et quand on arrive chez moi c'est vrai que c'est moi qui fait le difficile à faire ce qu'on me demande. Je suis sympa je l'invite à passer un peu de temps chez moi, à découvrir mon appartement pour qu'elle voit où j'habite et tout depuis le temps qu'on disait qu'il fallait qu'on le fasse, et non elle est encore pas contente. « T'as récupéré ton téléphone, mais moi j'ai pris les robes, c'est pas pour refaire la tapisserie de mon appartement ! » Puis elle me parle de mon coloc. Ok je vais peut être rouvrir la porte et l'encourage à s'enfuir. « Ah moins qu'il ne soit fantôme je ne le vois pas, t'sais quand même que je vois les mêmes choses que toi ? Rien de plus ? Tu voulais qu'il te sauve de mon regard ou juste en déverrouillant la porte ? » Je pointe un à un tous les trucs qui la trouble, la perturbe parce que c'est chouette de la voir comme ça et de se demander pourquoi elle l'est. « Défilé ? » Oui j'insiste.

Oui oui, elle savait bien qu'il le voulait vraiment son défilé... et qu'il n'avait pas pris la peine de prendre ses robes pour rien... "Dommage, parce qu'entre nous... la couleur de ses murs n'est pas génial..." dit elle en faisant mine d'examiner chaque cm carré de l'appartement du garçon avant de venir poser ses belles fesses fermes contre le dossier du canapé. Purée, ce type est trop fort. Il fait tout pour la déstabiliser, et ca marche. Ok, elle ne laisserait plus faire. Et si elle faisait la même chose? Parce que bon, elle n'est pas bête, elle sait très bien qu'il n'est pas insensible a son charme. Sienna ne repondit rien a ses petits pics bien placés, et finit par s'avancer vers lui. Près, très près... le faisant même reculer jusqu'au mur, sans le quitter des yeux. elle voulait lui montrer qu'elle était plus forte que lui. Son visage a quelques centimètres du sien, elle se mordit le coin de la lèvre tout en louchant sur les siennes, comme si elle allait l'embrasser. "J'ai dit non. Pas de défiler." Lui souffla t 'elle doucement avant de lui tapoter sur le nez avec son index et de s'éloigner!

« C'est blanc quoi ! » C'est un appartement banal comme on en voit de partout avec une couleur de mur passe partout pour plaire au plus grand nombre, voilà tout, mais avec ses robes ça serait surement magnifique. Elle me laisse parler puis d'un coup elle fonce sur moi pour se rapprocher beaucoup plus près qu'elle ne devrait si elle ne veut pas franchir la ligne de sécurité. Elle croit qu'elle me déstabilise ? Certainement pas. Elle me tape sur le nez après avoir dit non au défile, comme les enfants puis elle s'éloigne. Enfin elle essaye, parce que rapidement ma main vient saisir son poignée et je l'attire de nouveau contre moi, comme elle l'était juste auparavant, sauf que cette fois, on inverse les rôles, c'est elle bloquée contre le mur et moi toi près d'elle. « Et moi j'ai dit que j'allais trouvé un moyen de te faire taire si tu continuais de parler pour rien dire ! » J'approche dangereusement mes lèvres des siennes, les frôlant juste pour finalement venir lui siffler à l'oreille : « Ne m'oblige pas à t'aider à te déshabiller pour que tu puisses enfiler tes robes ensuite Sienna. »

Oui, c'est blanc... mais on regarde bien, cest pas blanc blanc, c'est genre un blanc cassé pas très beau, et ouais. "T'es bien un homme toi, tu ne vois aucune nuance..." Dit elle en levant les yeux au ciel. Il l'enquiquinait avec ses histoires de défilé. elle n'avait aucune envie de se foutre a poil pour enfiler ses robes et les lui montrer. Elle savait qu'il ne pourrait pas résister, qu'il allait lui sauter dessus, et elle n'était pas la pour ca. Un verre! JUSTE UN VERRE. Le truc, cest qu'elle se prit a son propre piege en voulant l'exciter pour rien. Elle réussit a se détacher de lui, mais quand il attrapa son bras... elle vit volte face, ses cheveux blonds volant dans les airs, et en une fraction de seconde elle se retrouva coincée entre le mur et son corps follement excitant. Mais ca cest pas le pire... son regard. Toujours son putin de regard! Elle ferma donc les yeux pour ne pas être trop perturbée, mais cest a ce moment qu'elle sentit ses lèvres effleurer les siennes. Mon dieu. Elle sentait son cœur qui s'accélérait sans qu'elle ne puisse plus rien contrôler. "De quoi tu te plains? T'attends que ca..."

« T'amuses pas à ça Sienna tu sais que tu vas perdre... » Mon visage va dans son cou, mon souffle tellement près d'elle fait bouger ses cheveux et je finis par déposer un baiser sur sa peau douce et chaude alors que je sens son pouls s'accélérer. Je m'approche et mes mains se dirigent dans le bas de son dos pour suivre la fermeture éclair de sa robe jusqu'à la cime et sans peur ni crainte, la faire descendre. « Et ton coeur qui s'emballe et tes yeux qui fuient les miens me confirment que tu ne me repousseras pas, ou pas longtemps. » L'une de mes mains passent sur la peau dénudée du dos de la jeune femme alors que l'autre s'infiltre dans son cou pour ne pas qu'elle s'écarte quand je l'embrasse dans le cou et que je remonte vers ses lèvres, doucement mais surement. Enfin jusqu'à la commissure. Non non l'embrasser là si vite ça serait lui faire plaisir beaucoup trop vite.

Sans qu'elle n'ait le temps de s'en apercevoir, elle se retrouvait piégée. Sentir son souffle chaud s'écraser dans le creu de son cou lui donnait de doux frissons qui descendait doucement le long de son échine. Elle était fouuutue! Elle inspira doucement en fermant les yeux, puis, c'était comme si son thorax restait bloqué. Elle suffoquait presque. C'est dingue l'effet que ce type arrivait a avoir sur elle. "Micah..." souffla t elle en basculant son visage en arrière alors qu'elle sentait la fermeture éclaire de sa robe descendre dans une lenteur délicieuse, le long de son dos nu et cambré. Elle bascula la tête sur le coté, tout en appuyant doucement une main derrière la nuque du jeune homme, l'enfouissant encore plus dans sa chevelure blonde. "Qu'est ce que tu cherches Micah..." Elle le laissa remonter a ses lèvres, sans pour autant l'embrasser. Elle détestait cette emprise qu'il a sur elle. Elle déteste se retrouver dans cette position de faiblesse, le voir faire d'elle ce qu'il veut... néanmoins, c'est bien trop dur de résister. D'un geste, elle prit sa place et le plaqua violemment contre le mur. "Ok, mais a ma façon..." Elle prit chacune de ses mains dans les siennes et les plaqua au mur avant de l'embrasser langoureusement.

Je joue clairement avec elle, parce que je l'adore mais aussi parce qu'elle me plait et que je la désire tout autant qu'elle est des pieds à la tête. Sauf que je me prends au jeu de la faire flancher, j'aime le fait qu'elle résiste qu'elle ne se laisse pas faire mais elle craque rapidement et sort son côté sauvage. J'hausse les sourcils et je manque de faire un commentaire mais ses lèvres viennent s'accrocher aux miennes avant que je n'ai pu dire ouf pour un baiser intense. Je finis par la faire doucement reculer et lui dire : « Mon défilé... Je veux juste mon défilé... » Un sourire s'étire sur mes lèvres pour l'embêter. Vous voulez savoir le pire dans l'histoire ? C'est que je suis sérieux. « Je t'ai proposé de te déshabiller, pas de te prendre sauvagement sur le plan de travail de la cuisine alors calme tes ardeurs blondie et laisse moi terminer ce que j'étais décidé à faire. » Je lui laisse pas le temps de répliquer, je la soulève légèrement pour l'assoir sur un tabouret du bar qui est là, je rapproche mon visage du sien et redescends, de la commissure de ses lèvres à son cou, puis ses clavicules une fois que j'ai baissé le haut de sa robe pour commencer à la faire tomber, petit à petit, dans un doux supplice.