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I LOVE HARVARD
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    No Thanks Were Given (Joyce & William)
    Page 2 sur 2 Précédent  1, 2
    William BennettDark Rises
    feat
    Arrivée
    Multicomptes
    Crédits
    Discord
    Pseudo & pronom IRL
    William Bennett
    Dark Rises
    Informations
    Âge : 35
    Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Downtown Boston.
    Situation sentimentale : Célibataire, maintenant qu'il a fait sciemment fait partir l'amour de sa vie
    Études & Métiers : Enquêteur du FBI
    Date d'inscription : 12/10/2021
    Pseudo & pronom IRL : Lovecraft
    Icon : Let's play the Game, shall we now ?
    Avatar utilisé : Liam Hemsworth
    Crédits : : Polaroid Papers (avatar) : Lovebug (code profi)
    Multicomptes : /
    Description un :
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    ☾ HIT ME WITH YOUR BEST SHOT

    Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


    Credit du code du profil : Lovebug
    Description deux :
    No Thanks Were Given (Joyce & William) - Page 2 5PoHBm2
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    ☾ TIMELINE

    Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
    Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


    Credit du code du profil : Lovebug
    Warning : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
    RPS : 131
    Messages : 1627
    Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t139889-william-bennett-liam-hemsworth
    Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t139928-william-bennett-let-s-play-the-game-shall-we
    Complément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t141523-the-hunger-in-my-soul-w-bennett
    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postMer 31 Jan - 2:04
    taggercitereditionsupprimeradresse
    No Thanks Were Given
    Joyce and William
    tw ✧ DUI  


    Il attrapa avec grande maladresse le coussin avec ses genoux et une partie de l’avant-bras, un peu surpris du geste, considérant le contexte, mais tout de même satisfait de savoir ses souhaits de pudeur relativement exaucé. Même dans le meilleur des contextes, il ne s’éternisait guère en tenue d’Adam.

    «Jusqu’où on est allé ? »

    Pour tout réponse, il secoua son bras gauche menotté à son lit.

    Pour être honnête, lui-même n’en était pas exactement certain. Il se souvenait très clairement que les choses avaient rapidement pris de l’ampleur dans la voiture, mais pour tout ce qui concernait la fin de la nuit à la maison, tout se révélait encore de façon épisodique, en une série décousue d’images et d’impressions.

    De très charmantes images, cela dit.

    Son égo un peu froissé par la froideur et la réaction initiale d’une Joyce qui, pour des raisons encore assez obscures avaient choisi de chercher le sommeil sur le plancher, il poursuivit, un peu sèchement.

    «J’aurais tendance à répondre plus loin que je ne l’ai jamais été… »

    Il poussa un bref soupir et ferma les yeux un bref instant. Pour tenter de calmer son mal de crâne et pour relativiser. Après tout, il n’y avait absolument rien de dramatique dans tout ça. Juste une nuit incroyable, voilà tout.

    «Nous avons probablement simplement fait tomber la clé. »

    Au vu de l’état dans lequel se trouvait la chambre, il n’y avait doute que, dans le feu de l’action, le petit objet puisse avoir disparu de leur radar.

    «Regarde dans les couvertures, peut-être ? »

    Il se redressa à moitié, jetant un bref regard à gauche, puis à droite, avant de finalement se retourner vers les dites menottes. Au cas où les clés s’y trouvent toujours.

    «Ce… ce ne sont pas les miennes.  »

    Blanc comme un drap, il s’approcha le visage de ce qui lui enserrait le poignet, abasourdi de ce que lui révélait ses yeux. Puis, se retournant vers Joyce, il poursuivit.

    « Au Bureau, nous utilisons des Peerless. Ce sont des Smith &Wesson. Celles de la police de Boston… »

    Comment diable s’était-il retrouvé en possession d’un tel objet.

    « Deuxième porte à droite, en sortant de la chambre. Tu tomberas sur le rangement où je conserve mes outils. Ramène-moi une scie ? »




       
    @Joyce Millett 


    Power is a cruel Master
    No light, no light in your bright blue eyes. I never knew daylight could be so violent. A revelation in the light of day. You can't choose what stays and what fades away
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    participer à veritas ?les secrets à ne pas révéler
    Veritas
    Lien du postJeu 1 Fév - 12:11
    taggercitereditionsupprimeradresse
    Joyce se sentait complètement submergée par la situation. L’impression de sortir d’un mauvais rêve avec, en prime, un mal de tête carabiné – merci la gueule de bois. Apparemment, quoi qu’elle ait fait la veille, il n’y avait pas dû avoir dans son plan de terminer la soirée en buvant trois litres d’eau. Et la déshydratation commençait à se faire sentir, de même que l’évidente mauvaise humeur de William, son poignet toujours attaché au lit. Elle ignore si c’est à cause de la situation ou si c’est sa propre panique qui semble l’agacer, mais on est loin du réveil romantique où les deux héros sont tirés du sommeil par les premiers rayons du soleil, serrés l’un contre l’autre et frais comme des pinsons, prêt à remettre ça. Serrant un peu plus fort la couverture autour d’elle, la doctorante baisse un regard coupable face à la remarque acerbe. Plus loin qu’il n’a jamais été, ça lui donne un peu l’impression d’avoir dépassé des frontières que l’homme avait pu dresser et qu’elle n’a pas su respecter.
    Sans compter qu’il est toujours attaché. Fouillant du regard la pièce dans un désordre qui lui donne le tournis, elle réalise qu’il ne sera pas facile de retrouver cette fameuse clé, à l’image de cette aiguille dans un botte de foin. Du bout des pieds, elle bouge ce qui s’est répandu part terre dans l’espoir de voir un éclair argenté en jaillir, mais sa fouille est interrompue par une nouvelle aussi surprenante que mauvaise. Froncement de sourcil ; auraient-ils conduit jusqu’à un sex-shop pour acheter l’un de ces objets de pacotille – et qui n’ont pas toujours une clé, ce qui au moins résoudrait un premier problème. La conclusion de l’agent du FBI, cependant, est bien plus déstabilisante. Apparemment ces menottes appartiennent à la police de Boston. Ok, maintenant c’est la merde.
    Sans s’attarder plus longtemps dans la chambre, Joyce suit les instructions jusqu’à trouver les différents outils du bricoleur du dimanche – il faut forcément l’être un peu pour penser en premier lieu à une scie, que compte-il faire avec, scier les barreaux du lit ? Elle choisit plutôt une pince à découper et ressort de la pièce, son regard s’attardant un instant sur le reste de l’appartement, jusqu’à remarquer un détail étonnant. Un collier avec une laisse. Marrant, elle n’aurait pas pensé que William était le genre de personne à posséder un animal de compagnie. Et, s’il avait fallu choisir, elle l’aurait plutôt imaginé avec un chat, plus indépendant et qui correspondrait mieux à l’emploi du temps sans doute bien chargé de l’inspecteur. Comme quoi, on en apprend tous les jours…

    – Je ne savais pas que tu avais un chien, aborde-t-elle le sujet, de retour dans la chambre.

    Avec la pince, elle coin les maillons qui relient les deux bracelets entre eux, puis à l’aide d’un peu de pression, parvient à les briser. Il porte toujours un bout de la menotte à son poignet gauche, mais au moins est-il séparé du lit. Cette solution lui a paru bien moins risquée que de venir s’attaquer de trop près au poignet qu’elle n’aurait pas envie de blesser. Il ne manquerait plus qu’il faille appeler une ambulance parce qu’il pisserait le sang en étant toujours attacher à son lit.
    William enfin détaché, Joyce pose l’outil sur la table de chevet avant de s’asseoir sur le matelas, un soupir au bord des lèvres. Elle n’a pas envie que toute cette situation, aussi absurde qu’elle soit, puisse entacher leur amitié – même s’il est certain que, désormais, celle-ci a pris une tournure un peu différente… Ça n’empêche pas qu’elle a l’impression de lui devoir une certaine honnêteté ; ce n’est pas le genre de situation où on se contente de se casser en catimini au petit matin, en espérant ne plus jamais recroiser la personne. Et il vaut parfois mieux ire la vérité, aussi brute peut-elle paraître.

    – Écoute je… enfin hier soir c’était très bien, au moins la partie dont je me souviens, mais… j’ai l’impression de m’être un peu servi de toi et c’est pas très correct. En fait… j’aime toujours mon ex, alors… je suis désolée. Crois pas que je regrette, mais je sais pas bien où tout ça peut nous mener.

    Apparemment, à des menottes qui ne sont pas les leurs une pince coupante et un tatouage au stylo bille. Ils n’ont pas fait dans la demi-mesure niveau bêtise. Sans parler qu’elle n’a toujours pas vu la moindre trace de capote et qu’il faut aussi tirer ça au clair.

    – Et est-ce que tu te rappelles de si on s’est protégés ? Parce que je ne prends pas de contraceptif, alors…

    Alors si elle doit faire un détour par la pharmacie pour obtenir une pilule du lendemain, elle préfère se préparer dès maintenant.

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