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I LOVE HARVARD
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    No Thanks Were Given (Joyce & William)
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    William BennettDark Rises
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    William Bennett
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    Âge : 35
    Lieu de naissance : New-York, bien qu'ayant des origines albanaises
    Quartier.s d'habitation & Colocation : Downtown Boston.
    Situation sentimentale : Célibataire, maintenant qu'il a fait sciemment fait partir l'amour de sa vie
    Études & Métiers : Enquêteur du FBI
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    Infos ⊹ L'un des plus jeune et plus prometeur enquêteur du bureau du FBI à Boston. Spécialisé dans les crimes financiers et la corruption. Anciennement homme de famille, ce volet de sa vie s'écroule suite à son divorce. Il est maintenant rendu à mettre le feu à sa vie et à ses valeurs pour voir jusqu'où s'élèvera le brasier. De plus en plus addict au pouvoir, il joue maintenant un double jeu dangereux avec ceux que sa profession voudrait mettre derrière les barreaux.


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    Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
    Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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    Warning : WARNING // concernant (William) Langage occasionnellement abusif. Partage des vues politiques très à droite. Référence à la religion catholiqueTRIGGER // refuse de jouer ; L'extrême violence. Des actes sexuels explicites. Discutons-en au préalable.
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    Lien du postVen 1 Déc - 5:43
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    Il ne savait pas s’il s’agissait d’une inéluctabilité ou d’un mauvais tour du hasard. De lâcheté ou de courage. Mais un fait demeurait : il était devenu un fils de pute en bonne et due forme…

    Il célébra la chose comme il se doit, adressant un sourire sans joie à sa pinte qu’il initiait en solitaire dans un bar étudiant à peu près désert par un jeudi après-midi. Il était responsable de tous ses malheurs, bien entendu. En rétrospective, il était même plutôt étonnant que son univers ait mis autant de temps à imploser. Force était d’admettre que devant le succès de ses manigances, il avait relâché sa vigilance…

    Résultats ? L’égo de son ‘partenaire’ depuis leur mutinerie contre Romano prenait de l’ampleur, alors que ses capacités cognitives, elles, fondaient comme neige au soleil. Et tandis que la tension entre les deux hommes grandissait, les pires craintes de William se concrétisèrent alors qu’il tomba par hasard sur une voiture suspecte garée devant l’appartement de Victoria…

    Son téléphone vibra, annonçant que Joyce s’apprêtait à venir le rejoindre.

    Tant qu’à être devenu un enfoiré, autant en tirer profit et envoyer les chaînes de sa moralité bancale le précéder dans les feux de l’enfer…

    **********

    « Comme je te disais, le jeudi du Thanksgiving, depuis que m’a femme m’a largué, c’était un peu devenu ma journée où j’envoie chier l’univers, tu vois ? J’veux dire, je suis aussi névrosé que n’importe quel trentenaire – et petit aparté pour te dire, fais gaffe, ça t’attend toi aussi dans quelques années – mais j’arrive à prendre sur moi un bon 364 jours par année. Sauf le jeudi de l’action de grâce. Et là, tu vois, c’était il y a deux ans, je crois. Je venais tout juste d’arriver à Boston, et il y a cette espèce de fête d’organisée par le comité citoyen. J’me dis, ben ouais, Will, vas-y, rencontre de nouveaux visages dans ta terre d’adoption. Sauf que c’était le jeudi du Thanksgiving, tu vois ? Du coup, j’arrive là à 15h, complètement bourré après pratiquement un bouteille de scotch – c’était une année difficile, je ne te le cacherais pas- et la fête n’a pas encore commencé… J’ai rarement eu aussi peur dans ma vie que lorsque le regard de l’organisatrice du truc s’est posé sur moi… »

    Il s’interrompit momentanément pour prendre une gorgée de sa quatrième (ou était-ce sa cinquième ?) pinte, ne remarquant pas du tout que le bar commençait à s’animer tranquillement. Tout comme lui.  

    « Mais tu vois, l’univers il n’en manque pas une, et pour honorer la tradition, puisque moi je ne l’ai pas envoyé chier, lui s’en est chargé… »

    Malgré le caractère absolument discutable de ce narratif, c’était celui qui faisait la meilleure histoire… Et puis, à force de le répéter, d’ici quelques mois, il viendrait à le croire lui-même.


       
    @Joyce Millett 


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    Lien du postLun 11 Déc - 16:13
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    L’avantage d’être doctorante, c’est qu’elle pouvait jongler avec ses horaires un peu comme ça l’arrangeait – en dehors des quelques meetings de sa semaine ou de ses diverses obligations. C’était ainsi bien agréable quand il fallait prendre rendez-vous chez le médecin ou aller faire des courses en dehors des heures de pointe. C’était également une excellente nouvelle quand elle recevait le message d’un ami au plein milieu de l’après-midi pour lui proposer d’aller boire un verre. Là où elle n’aurait pas pu filer de la plupart des jobs ou cours, elle pouvait enregistrer ses documents, refermer son ordinateur et saluer ses collègues. Elle équilibrerait ses horaires à un autre moment – de toute manière elle ne comptait pas vraiment ses heures, il fallait surtout que le travail soit fait, ce qui en soit demandait bien plus qu’un classique 8h-18h. Et c’est d’ailleurs exactement ce qu’elle fait en ce jeudi qui suit Thanksgiving, et afin de répondre à cette invitation qui ressemble un peu à un appel à l’aide. Moins de trois quart d’heure plus tard, c’est une Joyce enjouée qui débarque dans un bar quasiment vide et ne met pas longtemps à repérer son futur compère de soirée.

    – Bill !

    * * *

    La tête posée lourdement dans sa paume, Joyce écoute le monologue de William d’une oreille alors que sa tête commence déjà tourner sous l’effet des pintes vides qui s’accumulent sur leur ardoise. Le liquide ambré tourne dans le fond de son verre et libère la parole aussi sûrement qu’un puissant sérum de vérité concocté par Rogue en personne.

    – Non, mais ça c’est le karma. Ça rate jamais ! Tu peux te comporter trop bien toute ‘année, tu merdes une seule fois et ça se retourne automatiquement contre toi ! Ça ne loupe jamais. C’est pire que le Père Noël, on dirait que ça répertorie absolument toute nos actions et que ça souligne en gros et en rouge les pires. À côté de ça t’as beau être sympa le reste de l’année… c’est la merde Bill, la merde complète. Regarde, j’ai couché une fois, une seule fois, avec un mec alors que j’étais plus en couple et que j’étais censée ne plus rien devoir à personne, et ça a niqué ma plus belle histoire d’amour. Maintenant mon ex s’est trouvé une autre et moi je… je… putain, quelle merde !

    Les mots hésitent, trébuchent, perdent de leur sens au fur et à mesure qu’ils sortent de sa bouche. En revanche, là où ils le retrouvent entièrement, c’est quand elle se tourne en direction du serveur, deux doigts levés comme le V d’une victoire qu’elle n’a pas connue, avec une commande en tête.

    – Deux whisky s’il te plaît !

    Il est temps de passer à quelque chose d’un peu plus costaud histoire de n’épargner plus aucune confidence. Sur sa lancée, elle se tourner de nouveau en direction de l’agent du FBI pour reprendre ses dérivations.

    – Je disais quoi…? Ah oui ! Le pire dans cette histoire, le pire, c’est que c’était même pas un bon coup ce mec l’été dernier ! J’aurais mieux fait de fauter jusqu’au bout et de coucher avec ce grec qui me draguait à l’aéroport, ou ma voisine dans l’avion… qu’est-ce qu’elle était belle ! Mais non, non et non. Tu vois, elle est là notre connerie finalement, on devrait pas juste  merdé un seul jour de l’année, mais toute l’année ! Quitte à se prendre un retour de bâton de toute manière, il faut au moins qu’on fasse en sorte qu’il soit mérité.

    Elle n’a même pas conscience des inepties qu’elle écoule et s’interrompt seulement quand le serveur arrive avec leur nouveau verre, afin de vider cul sec son reste de bière et de pouvoir lui tendre la pinte vide en échange du nouveau breuvage. L’addition sera sans doute un peu salée – mais elle s’en fout –, la gueule du bois du lendemain le sera sûrement tout autant…

    @William Bennett
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    Lien du postSam 13 Jan - 3:42
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    « Une seule fois, Joyce ? » , souligna-t-il avec son humour pince-sans-rire habituel, légèrement trahi par un sourire en coin que ses facultés affaiblies ne lui permirent pas de retenir complètement.

    « Les exs…. »

    Cette évocation ne manqua pas de le rendre maussade de façon passagère, alors qu’il se remémore la sienne. Il ne put s’empêcher de se demander comment elle vivait chose de son côté ? Et s’il serait encore possible de revenir en arrière ? D’aller la retrouver pour tout lui avouer. Pour lui expliquer qu’il l’aimait en fait encore autant qu’aux premiers jours, mais qu’il avait pris des décisions qui lui faisait courir des risques immenses. Que c’était pour ça, qu’il avait saboté leur relation autour de cette banale histoire d’adotion…  Il chassa rapidement cette idée en finissant d’un trait les quelques onces restants de sa bière. La tentation était définitivement trop forte. Il devait se concentrer à nouveau sur celle avec laquelle il s’appâtait lui-même…

    « J’sais pas pourquoi on y revient toujours. Pourquoi on comprend jamais qu’on a un jour pris la décision – on qu’on a pris la décision pour nous, mais s’pareil- que ce n’était pas ce dont nous avions besoin. Et qu’une fois qu’une décision à été prise, qu’on a bifurqué de route, ben que ça ne sert à rien de regarder en arrière. On a choisi l’autre chemin… »

    Le sage argument s’adressait clairement à la version sobre de lui-même…

    « D’toute façon, ton ex, il est loin d’être aussi cool que la version idéalisée qui te tourmente en ce moment…Puis, attend, ta plus belle histoire d’amour… Et nos fiançailles au festival du cochon, t’en fais quoi ? »

    Il acquiesça avec grand plaisir lorsque l’étudiante à l’impressionnante descente décida de les faire passer au whisky, puis écouta avec toute l’attention dont il disposait encore la suite des récriminations de l’étudiante. Et elle n’avait pas tort, en fait. C’était même l’essentiel de ses propres convictions : tandis que la très grande majorité des bonnes personnes se privent de tellement de choses dans l’espoir d’un tout aussi providentiel qu’illusoire retour du balancier cosmique, d’autres sans scrupules se servent dans le buffet à deux mains. Et sans fourchette

    « Merdons à l’année! Will and Joy against the world.»

    Il s’empressa d’enfiler son verre de spiritueux sur ces belles paroles, question de profiter de la proximité du serveur qui n’a pas encore eu le temps de trop s’éloigner pour s’en commander deux autres. Qu’il partagera – ou non – avec sa partenaire en malheur. Sa conscience est encore un peu trop éveillée pour supporter ses sombres desseins…

    Pinçant un peu les lèvres alors que le Jack lui brûlait la gorge, il enchaîna…

    «Ça sonne bien en plus. Il ne nous manque plus qu’à convenir de notre premier acte de désobéissance universel…»

    Soudainement très sérieux, il s’avança légèrement vers l’étudiante, fixant sans broncher l’étudiante qu’il estimait passablement éméchée.

    Il s’en voudrait probablement pour le restant de ses jours. Mais ça ne ferait toujours qu’un seul tourment de plus à hanter son quotidien.

    Un monstre supplémentaire sous son lit…



       
    @Joyce Millett 





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    Lien du postMar 16 Jan - 10:46
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    Tout à son monologue, Joyce n’entend même pas la remarque e William. Combien même elle l’aurait entendu, ça aurait probablement glissé sur elle ; Jay n’a pas été réglo sur ce coup-là, à lui reprocher une erreur – l’était-ce vraiment alors qu’ils étaient séparés éternelle question à la Ross et Rachel – quand de son côté il en était à draguer des filles pour, au final, finir avec l’une d’entre elle. En couple. Un couple qu’il affichait au grand jour quand il lui avait reproché dessalement parlé de lui à sa meilleure amie et à sa mère et qu’ils avaient dû se cacher à Nouvel An pour s’embrasser. Oh oui, il y avait toujours un fond de colère dans tout ça et l’alcool ne faisait rien d’autre que de le remonter un peu plus à la surface. Alors oui, elle avait merdé une seule fois, et encore, c’était même pas vraiment merder, tout dépendait de l’interprétation.
    Ce qui lui échappe par la suite, en revanche, elle l’entend bien et ça lui tire un grognement. Oui.s Les ex. Vaste sujet aussi douloureux qu’agaçant, en particulier quand, comme elle, on avait encore bien trop de sentiments pour le dernier en date. À croire qu’elle ne parviendrait jamais à s’en défaire pendant que lui faisait tranquillement sa vie de son côté. Enfin tranquillement… en ce moment sa santé n’était pas exactement au meilleur de sa forme et ça la minait un peu. Déchirée entre les blessures qui la marquait encore et une inquiétude nouvelle pour la santé du doctorant. Merde à la fin, pourquoi c’était toujours aussi compliqué ? L’impression de se prendre la tête en permanence sur les mêmes questions. Voilà pourquoi elle préférait s’enfoncer un peu trop dans ses études ; au moins c’était simple ; au moins il y avait des solutions claires à chercher, on savait dans quelle direction aller.

    – J’aime pas qu’on prenne les décisions à ma place.

    Parce que là, en l’occurence, ce n’était clairement pas son idée de rompre avec son ex. Et ça faisait putain de mal. Alors oui, certes, elle était consentante quand elle avait couché avec un autre cet été – but they were on a break –, mais il n’en restait pas moins que l’origine de la décision de leur séparation venait de lui. Et qu’elle n’était pas encore certaine d’avoir trouver un autre chemin sur lequel bifurquer ; un chemin sans trop de petits cailloux écorchant les pieds en tout cas, et qui allaient jusqu’à se glisser sous son matelas la nuit pour l’empêcher de dormir.
    L’esprit morose, elle fait virevolter la fin du liquide doré dans son verre à pierre avant soudain d’éclater de rire. William est définitivement un bon compagnon de beuverie, avec assez d’humour pour la tirer de ses pensées noires.

    – Sans parler de notre mariage au bal de Harvard ! J’aurais peut-être dû poster les photos sur mes réseaux pour faire enrager mon ex.

    Voilà probablement une très mauvaise idée poussée par l’ivresse. Surtout que Jay ne comprendrait certainement pas d’où sortait cette idylle. Pire encore, il serait aujourd’hui capable de la féliciter alors que c’était tout le contraire qu’elle voulait. Ou pas. Elle en savait rien. Mais merde à la fin, pourquoi c’était toujours aussi compliqué ?
    Valait mieux repousser ces bêtises pour s’épargner la mauvaise gueule de bois du lendemain et se contenter de vider des verres – se réhydrater était toujours plus simple que de rattraper des conneries. Trinquant avec son partner in crime, elle s’autorise ensuite une grande gorgée ambrée. À croire que de passer sur cette boisson rend tout beaucoup plus sérieux d’un coup. Elle voit William se pencher vers elle et attirée par le mouvement, suit son exemple, avec plus que quelques centimètres les séparant l’un de l’autre.

    – On pourrait… braquer une banque ?

    Elle a murmuré ça sur le ton de la conspiration avant soudain d’écarter les yeux en se rappelant à qui elle parle. Un agent du FBI.

    – Attends. t’as le droit de m’arrêter simplement pour avoir dit ça ?

    Elle grimace et réfléchit un instant, se mordillant la lèvre au passage.

    – Quoi que t’as des menottes en fait ? J’ai toujours rêvé de me faire attacher en plein acte.

    L’alcool a vraiment les accents d’un sérum de vérité un peu trop puissant. Du genre à la pousser à balancer des fantasmes à un homme sur lequel, certes, elle doit avouer avoir un petit crash, mais qui surtout lui a déjà fait comprendre il y a un moment qu’il n’y aurait rien de plus entre eux.

    – Pardon. Oublie que j’ai dit ça.

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    «À qui le dis-tu…»

    Prendre des décisions. Il ne voulait pas se perdre dans des débats philosophiques, mais pour William, il s’agissait de la plus grande démonstration d’émancipation. Et donc, de puissance. Avoir la liberté de réellement choisir.

    Est-ce que c’était pour ça qu’il avait tout mis en œuvre pour sciemment saboter la relation si salvatrice, si épanouissante, si pleine d’espoir qu’il entretenait jadis avec Victoria ? Parce qu’elle rendait insignifiantes toutes les autres options ?

    Ses yeux se perdirent un instant sur ces lèvres qui s’approchaient et qui, à défaut de tout autre contact, se repliaient contre elles-mêmes. Il ne put s’empêcher de réaliser, une fois de plus, à quel point ils se retrouvaient naturellement en phase, elle et lui. Il s’avançait, elle en faisait de même. Elle tendait la main, il la saisissait sans perdre un battement. Comme la soirée au gala de charité. Comme les chansonnettes partagées au bal d’Harvard. Comme leurs fiançailles improvisées, au festival du cochon. Malgré leur univers aux antipodes, force était d’admettre qu’il connectait avec Joyce d’une façon bien particulière.

    Voilà bien pourquoi elle se trouvait ici ce soir, la pauvre…

    «Nah… non seulement le pauvre fonctionnaire que je suis n’est pas payé assez cher pour faire du temps supplémentaire, mais en plus, voler des banques, c’est un crime vulgaire qui serait pris en charge par la police du Boston.»

    Il arqua un sourcil lorsqu’elle lui mentionna cette histoire de menottes, lui rappelamt cette autre anecdote impliquant un policier qu’elle lui avait racontée par le passé. Elle avait définitivement un truc pour les représentants des forces de l’ordre, la doctorante en biologie marine.

    Il joua cependant le jeu et, la mine très sérieuse, il vint lui saisir avec délicatesse les poignets alors qu’elle tenait encore son verre, dans un geste qui imitait l’idée d’un menottage en bonne et due forme.

    «Par contre, si jamais dans le processus de voler une banque, tu mentionnes ta volonté de brûler l’Amérique au nom de tes ancêtres les épaulards, ou si tu copies illégalement des films en blu-ray, là je n’aurai d’autre choix que de te conduire directement à ma voiture et de t’y menotter…»

    Il conserva le contact visuel et physique bien au-delà des convenances, attendant le moindre geste de Joyce pour se retirer. Et il réalisa qu’à travers leurs nombreux moments de proximité, il venait de franchir une barrière qu’il ne s’était jamais permis de franchir auparavant.  



       
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    La mine boudeuse, Joyce songe à toutes ces décisions qui ont été prises et pou lesquelles elle n’a pas eu son mot à dire. À commencer par les tribulations frauduleuses contre lesquelles William et elle ont œuvré durant l’été. C’est toujours la même chose de toute manière dans cette société ; les riches et puissants prennent les décisions pour le reste de la société et personne n’a le droit de dire quoi que ce soit face à ça. Alors si, en plus, on est privé de son pouvoir décisionnel dans sa vie privée… C’est déroutant autant qu’agaçant, ça lui donnerait presque envie d’appeler son ex pour lui crier qu’il n’avait pas le droit de décider la quitter, qu’elle le lui interdit et que c’est désormais son tour de contrôler tout ça – encore une brillante idée due à l’ivresse.
    Heureusement, celle-ci est bien vite effacée par la suite de la conversation, avant qu’elle n’envoie un message qu’elle aurait pu regretter. Légère tension qui l’électrise alors qu’elle s’imagine soudain en , combinaison de cuir noir – pourquoi de cuir, c’est complètement ridicule dans le contexte, mais son imagination a dérivé depuis bien trop longtemps –, un flingue braqué sur le capitalisme. Et William qui débarque, des menottes à la main et… non, décidément, la suite il vaut mieux ne pas y songer, ça en devient rocambolesque tellement c’est ridicule. Et puis de toute manière, son enthousiasme est bien vite douché ; il ne l’arrêtera pas pour ce genre de crime, ça relève plutôt de la police. Trop compliqué pour que la doctorante, d’autant plus bourrée, puisse comprendre. Tout ce qu’elle retient, c’est qu’il faut écarter le braquage – dommage, sur un malentendu ça aurait pu marcher et elle se serait retrouvée assez riche pour enfin avoir les moyens de trouver quelque chose pour dépolluer les océans. Robin des mers.

    Ce qui ne lui échappe pas en revanche, c’est cette histoire de Blu-ray copié et l’ambiance étrange qui semble soudain s’être assise avec eux. Joyce a soudain beaucoup trop chaud et se dit que le bar doit définitivement bien marché pour pousser autant ses radiateurs. À moins que ce soit une technique pour donner envie à ses clients de consommer encore plus afin de se désaltérer. Elle n’en sait rien, mais les yeux que posent l’agent du FBI sur elle et la manière dont il attrape son poignet la perturbe un peu, assez pour la pousser à avouer – peut-être que c’est comme ça qu’il agit en interrogatoire pour arracher la vérité à ses suspects ?

    – Est-ce que ça compte si je te dis que j’ai téléchargé illégalement un documentaire sur les planctons la semaine dernière ?

    Elle se penche un peu plus vers lui, comme si elle allait lui révéler une chose affreuse, le genre de confession qui pourrait lui faire passer une éternité derrière les barreaux. La maigre distance devient encore plus fragile, presque assez faible pour que leur nez puissent s’effleurer. Assez, en tout cas, pour qu’elle puisse sentir la chaleur de son souffle.

    – J’ai très envie de t’embrasser, Bill.

    Son regard s’égare un instant sur ses lèvres qui lui paraissent presque floues, probablement un mélange de leur proximité et de l’alcool qui coule dans ses veines. Puis elle remonte ses yeux dans son regard, avec le plus grand sérieux du monde.

    – Ça serait sûrement une bêtise, mais comme on a décidé que ce soir on merdait…

    De sa main encore libre, elle vient caresser la joue bien plus rugueuse que celle à laquelle elle a été habitué. Puis d’un mouvement presque instinctif, elle clôt les quelques centimètres qui les séparent encore afin de poser ses lèvres sur les siennes dans un baiser qui ne cherche en rien à être chaste. Il est assoiffé, parce que tout tourne autour d’elle, et que de toute manière il fait bien trop chaud pour qu’elle puisse réfléchir.
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    Février 1989 ⊹ Naissance à New-York. Sept 2007 ⊹ Accepté à Columbia en finance (New-York). Octobre 2012 ⊹ Engagé au FBI, section crimes financiers (New-York). Août 2014 ⊹ Il se marie avec sa fiancée, rencontrée à Columbia (New-York). Décembre 2018 ⊹ Il se divorce. Janvier 2019 ⊹ Obtient une promotion et est transferé à Boston. Février 2019 ⊹ Emménage avec sa soeur, Bisha (Boston). Octobre 2019 ⊹ Trouve son propre appartement (Boston).
    Octobre 2021 ⊹ Retourne habiter avec Bisha (Boston).


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    Lien du postJeu 25 Jan - 2:55
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    «Tsk, tsk, tsk…. Someone’s been a very, very bad girl…»

    Il se surprit à se demander, extrêmement brièvement, si les planctons possédaient une phase de reproduction ?

    Il n'osa pas chercher la confirmation.

    «Je sais,» répondit-il, paraphrasant un célèbre vaurien galactique ayant traversé les décennies. Ironiquement, il le savait pour vrai. Pour autant qu’on pouvait être certain de ce genre de choses tant qu’elles n’aient pas été clairement formulées. C’était d’ailleurs bien la raison de sa présence ici.

    Il répondit initialement timidement au baiser de Joyce, avant de progressivement se laisser gagner par tout ce qu’il promettait. À sa défense, le palmarès de ses conquêtes se chiffrait très, très bas, et il y avait encore un mois à peine, il croyait ne jamais embrasser qui que ce soit d’autre que Victoria. Et pourtant…

    Sûrement une bêtise ? La pauvre Joyce serait servie si seulement elle connaissait toutes les mauvaises raisons pour lesquelles il se trouvait ici ce soir. S’il orchestrait tout ceci pour ajouter de la crédibilité à sa rupture avec Victoria. Pour s’assurer que les hommes de son associé cessent de surveiller celle qu’il aimait encore dangereusement fort. Pour fuir tous les regrets qui accompagnaient sa décision initiale.

    Il avait longtemps considéré franchir ce cap avec une professionnelle. Mais il avait dû se rendre à l’évidence : le narratif serait mille fois plus crédible avec Joyce…

    Et il n’était pas certain qu’il aurait été capable avec qui que ce soit d’autre que Joyce. Parce que malgré son horrible malhonnêteté, la soirée du bal d’Harvard restait profondément gravée dans sa mémoire. Comme un puissant ‘What If’ que la vie lui permettait maintenant d’explorer.

    Il rompit momentanément leur long baiser, se reculant de quelques pouces.

    «Tiens- je croyais qu’on avait décidé de merdé glorieusement. Et potentiellement pour plus qu’un soir… »

    Il s’en voulait presque de prononcer ses mots. Elle valait tellement mieux que ça.

    Il plaqua à nouveau ses lèvres contre celles de l’étudiante, tout en entreprenant de se lever sans rompre le contact. Et de la prendre dans ses bras dans l’intention de la conduire, théâtralement, vers sa voiture.



       
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    Lien du postJeu 25 Jan - 11:54
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    Ça crépitait, bourdonnait un peu trop fort pour ne pas réaliser que ce qui se déroulait était sans doute une très mauvaise idée. De la fine arrogance qui marquait la réplique de l’agent du FBI au gloussement ridicule de Joyce qui lui répond, rien ne devrait sembler cohérent si tout cela n’était pas marqué par une pointe d’ivresse aguicheuse. Au point qu’elle en vient à plaquer ses lèvres sur celles qui sont bien trop proches pour rester raisonnable dans cette configuration. La barbe qui irrite ses doigts devraient tirer le signal d’alarme dans sa tête ; ce n’est pas la joue toujours rasée de Jay, ce n’est pas l’homme qu’elle aime et ça la plonge dans les tourments estivaux qui avaient fini de fracasser son couple. La joue d’Eduardo aussi était rugueuse, souvenir qui s’ancrait alors que ses joues à elle était couvertes de larmes cette fois où ils s’étaient embrassés sur le bateau. Une autre bêtise. Qui lui avait coûté bien trop cher. Et maintenant Jay s’était trouvé une nouvelle copine avec qui il baisait sans doute chaque jour. Alors pourquoi culpabiliser ?
    Non, le seul vis à vis de qui tout cela n’était pas très honnête, c’était William. À quoi ça rimait de l’embrasser alors qu’elle était amoureuse d’un autre ? Mais, merde à la fin, elle ne lui avait rien promis non plus et il avait la trentaine bien entamée, assez pour ne plus être un gamin qui s’enflamme pour un rien. Chacun ses problèmes à gérer. Qu’est-ce qui lui interdisait d’être comme tous ses potes qui choppaient en soirée dans des bars et ramenaient des inconnus chez eux ? D’autant plus que William n’était pas exactement un inconnu et qu’il y avait toujours eu une certaine tension entre eux, qu’elle était bien incapable d’expliquer. Peut-être bien que la Joyce sobre du lendemain de soirée s’en voudrait de risquer une amitié pour céder à des pulsions, mais ça serait un problème pour demain. Et puis, après tout, ils étaient tous les deux adultes et consentants, alors où était le problème ?

    – Après tout on a eu notre mariage, mais jamais de nuit de noce.

    Il fallait pallier à ce trou dans le scénario finement élaboré lors d’une foire aux cochons et d’un bal passé à chanter sur Taylor Swift. Alors elle se laisse sans opposer la moindre résistance quand il l’embrasse à nouveau et l’attire vers lui pour la relever. D’un bras rapide qui se tend derrière elle, elle a à peine le temps d’attraper ses affaires avant de le suivre à l’extérieur. Oups, il y a peut-être une étape qu’ils ont sauté… Addition que personne n’a réglée dans le bar, heureusement l’animation qui s’y est installée en fin de journée a dissimulé leur départ, assez longtemps en tout cas pour qu’ils franchissent les portes de l’établissement et rejoignent la voiture de William. Une bêtise de plus à leur actif, mais ne se sont-ils pas promis de merder jusqu’au bout ? Il serait bien bête de passer la nuit au poste pour ça, mais avec le statut de l’agent, elle doute que ça puisse arriver ; d’ailleurs elle n’y pense même pas vraiment, sur le moment, à cette addition. Encore un problème pour la Joyce de demain.
    Elle n’a aucune peine à reconnaître la voiture dans laquelle elle est plusieurs fois montée au fil de leurs aventures rocambolesques – celle dans laquelle ils semblent s’apprêter à plonger, est bien plus grossière à côté. Et n’hésite pas à s’y adosser, attirant contre elle ces lèvres soudain un peu trop hypnotiques. Ça rimait pas à grand chose tout ça, comédie farfelue de ce devoir conjugal par lequel ils étaient faussement liés, mais qu’importe. Fallait bien vivre.
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    Lien du postJeu 25 Jan - 20:45
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    Les sens engourdis par l’alcool, William navigua la suite des événements sur le radar, assaillit de l’impression que quelque chose clochait dans son plan sans pour autant parvenir à se concentrer suffisamment pour mettre le doigt sur l’évidence : que des deux côtés, ils sautaient dans le vide à reculons. Comme pour se prouver à eux-mêmes qu’ils n’avaient pas peur. Comme pour immoler une partie de leur nature dont ils ne voulaient plus rien savoir… Pas suffisant pour freiner leurs élans. Parce qu’à mesure qu’ils avançaient dans cette voie, leur instinct et leur corps prenaient de plus en plus la barre, sentant que leur conscience vacillait. Et puis, l’attirance qu’il éprouvait pour Joyce était sincère.

    Toute l’aventure lui laissait cependant un arrière-goût un peu amer. Comme une opportunité gaspillée. Parce qu’il y avait tellement, tellement plus à cultiver entre eux que cet abandon charnel qui puisait sa force dans les mauvaises motivations.


    Il ne conserva que des souvenirs diffus de cette nuit de folie. Entre les galipettes commencées dans la voiture, leur sortie sans payer la facture, le fait qu’il ait conduit jusqu’à la maison, le mur de son appartement qu’ils avaient légèrement défoncé, les quelques comprimés d’amphétamine pris à la dérobée durant l’une des courtes pauses où ses lèvres ne se trouvaient pas occupées, la bouteille de whiskey offerte par son père à son trentième anniversaire, abandonnée pour morte sur le tapis du salon.

    Pas très étonnant, donc, qu’il se soit sentit un peu à l’ouest lorsque ses yeux s’ouvrirent sur un nouveau jour. Et qu’il ne se rappelle pas exactement le comment du pourquoi il se retrouvait avec le bras gauche menotté au montant de son lit, complètement nu, avec les couvertures qui gisaient au sol. Enfin, il se doutait bien du pourquoi, mais dans ses souvenirs, les rôles étaient légèrement différents.

    Et ça ne l’aidait pas du tout à se rappeler de ce qu’il avait fait des clés…




       
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    Lien du postVen 26 Jan - 0:22
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    Il lui faut un long moment pour se rappeler exactement où elle peut bien être lorsque Joyce ouvre les yeux. Une chose est certaine en tout cas ; où qu'elle soit, dormir à même le sol sur une simple couverture n'est définitivement pas confortable. Bon, première info, donc, elle a dormi par terre. Deuxième info – et non des moindres –, elle est complètement nue. Et pour compléter le tableau, elle repère sur son corps un bleu à sa cheville qui sort de nul part, ainsi qu'un dessin qui décore une bonne partie de son ventre et qui – heureusement – a dû sûrement être réalisé au stylo bille étant donné qu'il est déjà à moitié effacé, et pas à l'encre et à l'aiguille ce qui serait beaucoup plus problématique. Cela dit, aucune de ces choses ne lui indique exactement où elle est, et c'est plus proche de la panique que du doux réveil qu'elle se redresse en tâchant d'utiliser le plaid sur lequel elle a dormi comme une robe de fortune. Et c'est là que quelques indices supplémentaires viennent s'installer dans son champ de vision. Un, en particulier qui éclairci une bonne partie du tableau : William, tout aussi nu qu'elle et visiblement attaché au barreau du lit – au moins, lui a-t-il dormi dans un lit. Son lit, selon toute logique.

    – Oh merde.

    Ok, hier était définitivement une grosse bêtise. Et la douleur affreuse qui vibre entre ses tempes corrobore amplement cette théorie. D'autant plus que malgré l'image qui lui saute aux yeux, pas mal d'éléments restent encore flous. Elle se rappelle les premiers verres au bar, qu'à un moment la conversation a pris une tournure complètement inattendue, que Jay lui manquait un peu trop alors qu'elle s'accrochait à des lèvres qui n'étaient pas les siennes, qu'ils se sont barrés – sans payés – du bar pour rejoindre la voiture de William où les choses sont devenues un peu trop pressantes et intimes, dérive de leurs mains sous des frontières jusque là encore inexplorées. La conduite de l'agent du FBI jusque chez lui et, elle, complètement absente de ses souvenirs – et tant mieux, dans le fond, car ça paraît immensément irresponsable –, quant à l'après… il lui semble avoir un goût de whisky, des habits qui volent et, surtout, beaucoup de blancs.
    Son regard reste figé un instant sur une partie du corps de Bill qu'elle n'avait pas prévu de voir ainsi dévêtu un matin, avant qu'elle ne réagisse et attrape un coussin pour qu'il puisse tenter tant bien que mal de garder un peu d'intimité.

    – Merde, répète-t-elle. Tu sais jusqu'où on a été hier soir ?

    Question complètement stupide. Ils sont nus. Du regard, elle fouille la chambre à la recherche d'un nouvel indice et ne repère ni préservatif, ni emballage qui pourrait l'orienter. Et elle ne sait pas si ça devrait la rassurer – peut-être qu'ils sont s'en tenus aux préliminaires et que, trop ivres, ils ont abandonnés la partie – ou, au contraire, l'inquiéter – seraient-ils assez stupides pour ne pas s'être protégés ? À moins que le cadavre d'une capote se trouve ailleurs…

    – Et… t'as une idée de comment je pourrais te libérer ?

    Il lui semblait vaguement lui avoir confié la veille son fantasme de se retrouver attachée par des menottes. De toute évidence cependant, la situation était… légèrement inversée. Et elle n'avait aucune foutre idée de comment on pouvait bien ouvrir de véritables menottes – et pas les jouets trouvables dans des sex shop.
    Tout ça était bien trop absurde.
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