Je ne sais pas ce qui lui a pris de s'en aller comme ça en chaussettes, comme si elle allait rentrer chez elle à pieds mais au moins, elle a trouvé la force pour revenir dans la chambre. Elle a eu un déclic ? J'sais pas, elle s'est peut-être dit qu'elle avait la flemme de rentrer, qu'il faisait froid dehors. En tout cas, plus jamais je lui laisse prendre de la coke, ça la rend trop à fleur de peau, trop sensible. Je ne sais même pas si c'est vraiment elle qui parle, du fond de son coeur, ou si c'est la drogue qui lui fait dire et faire n'importe quoi. Je suis dans un état un peu second aussi, mais léger. Disons que c'est comme si je fumais une ou deux taffes d'un joint. Pour vous dire à quel point mon addiction est importante... Je la prends dans mes bras vu qu'elle ne me laisse pas le choix de la laisser se coller contre moi et le reste se déroule très vite. Des baisers, des mains baladeuses et hop, je me retrouve plus ou moins prisonnier d'elle, assise sur mon bassin. « mh je sais pas, à tester. » je reviens seulement de prendre du poil de la bête niveau sexe, j'essaye déjà de me perfectionner alors faut pas trop m'en demander de trop. Keep calm. Je bouge mes fesses et elle m'embrasse de nouveau. Je glisse mes doigts et empoigne ses petites pommes d'amour. Qu'elle retire son pull ouais. « genre... toi t'as froid ? t'es constamment chaude ! » j'étire un sourire et je la regarde s'éloigner. Hey non, reviens ici. Qu'est-ce que tu fous ? Elle joue avec son pull, mh ok. Un petit strip tease ? Et puis paf. « mais t'es tarée ! » je lui lance l'oreiller dessus pour qu'elle se décale de la fenêtre. Finalement, je suis obligé de fermer les rideaux, et rapidement, je l'attrape par derrière pour coller son dos contre mon torse. Je plaque mes mains sur ses seins et je me mords la lèvre. Je suis sensé l'engueuler mais je la touche et ça me fait gonfler mon slip. Je presse mes doigts, le creux de mes mains épousent parfaitement le bout de ses seins, gonflés. Je m'amuse avec. « je devrais te punir pour ça. » t'es à moi, mine, alors t'es boobs, tu t'abstiens de les montrer à qui que ce soit, y compris ma fenêtre et que je sois dans la même pièce. J'sais pas si c'est l'excitation, l'envie de la baiser qui me donne cet air autoritaire. Mais ouais, y'a que moi qui peut profiter de ton corps. « la prochaine fois que tu veux faire un trip-tease, évite de le faire pour mes voisins. » je mords son oreille et je glisse une main sur sa fesse. Je suis là moi, j'existe, et crois-moi, si un jour ça arrive, olala, tu vas me perdre, appelle déjà les pompiers.