Tu me rejoignais finalement dans le bain après m’avoir demandé de fermer les yeux. J’t’avais même pas nécessairement dit de venir dans l’eau tu sais? J’avais rien précisé, tu pouvais juste venir t’asseoir à côté de la baignoire pour me tenir compagnie. Mais non, t’avais interprété mes paroles autrement. Ça reflétait bien ton état d’esprit, non? Tes envies, même. Tu fais genre que c’est pas correct, tu m’effleures l’entrejambe, tu me fais des avances mais tu recules en disant que tu préfères rester loin puis tu me rejoins dans le bain? Tu sais pas ce que tu veux, Cléo. J’sais même pas ce qui se passe dans ta tête en ce moment en fait. Mais soit, moi, je prends les choses comme elles viennent. Et en l’occurrence, c’est toi qui viens. Littéralement. Tu te retournes et viens te caler entre mes jambes, ton dos contre mon torse, la tête dans mon cou. Ouais sauf que non. Fin, on est tous les deux nus et j’sens tes fesses contre mon entrejambe. J’reste un gars qui réagit au quart de tour, tu te souviens? Et là, tu me poses une question complètement irrationnelle. Si j’arrive à me réchauffer? Honnêtement? "Un peu trop de ta faute là…" Mais je passe quand même mes bras autour de toi pour que tu sois mieux calée, plus confortable. "J’t’avoue que je préfère le bain chaud à l’oeuf froid." Sauf que ouais, là, y’a rien qui me retient de réagir. Y’a plus le froid qui me paralyse, en bas. Alors ce que tu fais là, c’est risqué. Vraiment. Et j’voudrais pas qu’on affronte une situation malaisante toi et moi.

Face à face, c'était pas mal, mais pas parfait. Alors je me retournais un peu pour venir coller mon dos contre ton torse et m'imposer près de toi. Est-ce que ça te dérangeait Elliot ? T'avais le droit de me repousser, je pouvais certainement comprendre dans l'fond que ce n'était pas forcément moi que tu voulais à cette place. Dans le plus grand des calmes et sans entrevoir une quelconque hésitation de ma part, je te demandais si t'arrivais à te réchauffer et ta réponse me faisait sourire. Ce n'était pas ce que je t'avais dit pendant la séance il y a quelques minutes ? « J'ai pris ton "ah ouais" comme un défi tout à l'heure.. » Que je soufflais en baissant un peu la tête pour venir regarder ton visage le sourire aux lèvres d'un air angélique. T'avais oublié que j'étais joueuse ? En tout cas, j'appréciais retrouver ton corps, et d'autant plus quand tu venais enrouler tes bras autour de moi. « C'était peut-être dur sur le coup, mais tu verras que ça te fera vite du bien. » Ouais, j'étais consciente que ce n'était pas évident d'être dans cet œuf glacé, mais dans le fond, c'était hyper bénéfique pour nous. Ça nous avait rapprochés un peu.. L'espace d'un instant, on avait retrouvé notre bulle. « Quelque chose te ferait plaisir avant qu'on se prépare pour partir ? » On avait encore pas mal de temps à tuer, enfin plus ou moins selon le temps qu'on allait passer dans le bain, mais c'était le seul truc que j'avais trouvé à dire de pas gênant.

"Peut-être que ça l’était." Peut-être pas. J’en sais rien en fait. T’sais, j’essayais de redevenir le Elliot d’avant, et ça incluait la spontanéité. J’essayais de parler sans trop réfléchir quoi, et ouais, c’était une interrogation curieuse. J’pensais pas que t’allais réellement mordre à l’hameçon. "Hm, on verra ça." que je dis en souriant légèrement. "Non, t’inquiète pas, on peut se préparer tranquillement, tu me raconteras ton road trip en attendant." Et donc on continue notre bain, on sort, on se prépare et on papote. Tu me racontes tes vacances et t’as l’air d’avoir assuré avec ton équipe donc j’suis content pour toi. Puis faut dire qu’entendre les histoires des autres, ça permet de ne pas penser aux miennes et c’est tout ce que je demande.

Deux heures plus tard, je me lève soudainement et tapote ma montre. "Tic tac, c’est l’heuuuuure!" J’vais enfin savoir ce qu’est mon cadeau. Et ouais, j’ai hâte, la patience n’est pas mon fort. "J’ai bien tenu quand même non?" Allez, félicite-moi un peu, ça fait deux heures que j’te saoule pas à te demander de me donner des indices. "J’suis assez bien sapé? Faut que je prenne quelque chose? J’ai des trucs à savoir?" J’sais pas du tout où on va alors j’essaye de me rencarder comme je peux en attendant de me retrouver devant le fait accompli. "T’es sûre de toi? T’es sûre que ton cadeau me plaira?" Tiens, le petit coup de pression, c’est cadeau. C’est pour m’avoir fait patienter autant de temps sans rien me dire.

Alors c'était peut-être un défi ? Je n'arrivais même pas à savoir ce que moi, je cherchais en étant proche de toi, alors savoir ce que toi, tu voulais ? Encore moins. J'étais là, c'était déjà bien, parce que de toute ma vie, je ne m'étais jamais senti aussi mal que depuis juin. J'avais réussi à relever la tête hors de l'eau, mais je nageais toujours en eaux troubles, sans trouver e but précis à mon existence. Alors être contre toi, retrouver notre bulle, ça me permettait de mettre en stand-by tout mes soucis. Tu ne me demandais aucune faveur, préférant alors écouter le récit de mon aventure de ce road trip.

Il était l'heure et tu n'oubliais pas de me le rappeler. Habillée d'un simple jean, d'un petit haut blanc et d'une paire de basket, je souriais en tendant me dire qu'on pouvait y aller. « Oui et je suis agréablement surprise. J'suis même fière de toi. » Parce que c'était de la torture, je le savais, mais j'étais persuadée que ça te permettrait de faire le vide. « T'es parfait comme ça, t'en fait pas. » Tu croyais que j'allais t'emmener faire quoi en fait ? Les soirées mondaines ce n'était pas ton délire, et même si je savais que ce n'était pas un cadeau si original, je pensais que c'était pile ce qu'il te fallait. « J'espère.. Et si ce n'est pas le cas, c'est que j'ai mal compris le message. » Notre appel tout ça, j'avais bien pris le temps de t'écouter.. On descendait de la chambre, alors qu'un chauffeur nous attendait, alors qu'on s'installait à l'arrière. « Dans à peine quelques minutes, nous y serons.. » Et ça allait tellement vite, que le trajet passait vite. On arrivait devant un bâtiment au abord de la ville et une fois la porte ouverte, on s'extirpait de la voiture pour que dans un souffle, je te dise. « On y est.. Presque. » Je poussais la porte d'entrer, avant d'aller dans l'ascenseur et appuyer sur le dernier étage. Une fois en haut, on sortait par la porte extérieur pour y trouver un hélicoptère. « Je sais que ce n'est pas l'activité du siècle et que t'auras un autre pilote avec toi à bord, au cas où ça se passerait mal, mais je me suis dit que peut-être ça te ferait un peu de bien de renouer avec ta passion.. » Tu voyais comment je n'étais pas sereine ? Je fuyais même ton regard, parce que j'avais peur que ma surprise soit un flop total et que tu m'en veuilles de t'avoir fait venir pour ça..

C’était enfin l’heure de mon cadeau et j’avais trop hâte de voir ce que tu m’avais préparé après tant de mystère et de refus d’indices. "Merci bien." que je réplique quand tu me félicites — c’était tout ce que j’attendais. Tu me disais que j’étais parfait et ça me faisait sourire un peu. Je ne répliquais pas mais c’était agréable de recevoir des compliments, j’m’en cache pas. Tu pensais sincèrement que ça allait me plaire, que ça allait me convenir et j’étais d’autant plus curieux. On descend, tu nous fais monter dans un taxi et je regarde la route qui passe assez lentement à mon goût. Mais ça, c’est l’impatience, j’le sais. On sort enfin de la voiture, tu me guides je ne sais où, une porte, un bâtiment, une deuxième porte, un ascenseur, une autre porte qui nous mène sur l’extérieur et… Oh. Un hélico. J’ai des frissons qui me parcourent le corps et j’te jure, c’est pas à cause des pales de l’hélico qui font du vent. "Cléo, j’veux pas faire ça. Pas avec toi. J’veux pas prendre ce risque." Et si y’a un truc qui va pas? Ok, y’aurait un autre pilote au cas où. Mais… j’veux pas que tu vois un fail de ma part. J’veux pas que tu me voies échouer, tu sais que j’supporte pas d’être en position de faiblesse. Et j’ai envie de piloter hein, ça me démange, faudrait que je me rachète un hélicoptère à Boston mais… non, j’peux pas avec toi. On sait jamais, ça peut être dangereux.

Tu avais attendu un bon moment ma surprise, mais maintenant qu'on était dans la voiture, j'angoissais. Et si c'était pas à la hauteur de tes espérances ? Et si tu n'aimais vraiment pas et que j'avais visé à côté ? C'étaient des questions qui m'angoissaient. Je n'étais pas sereine, à tel point que je n'arrêtais pas de jouer avec mes doigts tout le long du trajet sans t'adresser un mot. À croire que j'en devenais mal poli.. On arrivait enfin à destination, alors que la pression ne faisait que d'accroître. On passait les portes, puis l'ascenseur avant d'atterri sur le toit ou tu pouvais enfin comprendre ce que j'avais pris tant de temps à te cacher, ton cadeau. Et je ne te regardais pas, par peur d'être déçue de ta réaction, par peur de voir que je te décevais et tes mots, prouvaient mon inquiétude. Tu ne voulais pas. Pas avec moi en tout cas, alors je baissais les yeux, regardant mes chaussures sans broncher, avalant ma salive difficilement. « Tu n'as pas envie d'en faire ? » Que je soufflais doucement. J'étais même pas certaine que tu m'entendais, vu le bordel que les pales de l'hélico faisaient. Je prenais une grande inspiration avant de venir me poster devant toi et d'attraper tes mains pour les serrer entre les miennes. « On a vécu bien trop de choses, pour laisser la peur nous envahir Elliot.. Tu sais qu'à deux on est plus fort et que quoi qu'il se passe la haut, je serais là pour te soutenir. Je n'ai pas envie que tu te prives de quelque chose que tu aimes plus que tout, parce que tu as peur pour moi. » J'connaissais les risques, et je connaissais aussi ton traumatisme, puisque j'avais déjà dû te calmer en Australie à cause de tes terreurs nocturnes. « Fais-toi confiance et arrête de douter de toi, parce que t'es bien plus fort que tu ne le penses. Moi, j'ai confiance en toi. » Il n'y avait aucune raison pour que ça se passe mal.

Faut pas croire, c’était une belle surprise hein. C’est juste que… tu savais que ça m’avait pris énormément de temps pour remonter dans un hélicoptère suite au crash, t’avais été témoin de mes cauchemars, de mes crises de panique, tu savais à quel point ça avait pu me hanter et… même si j’avais fini par piloter de nouveau avec Serah, bah j’avais fait une crise de panique cette fois là et depuis, j’étais remonté quoi? Une fois seul? Non, franchement, j’voulais pas avoir cette responsabilité envers toi. "Bien sûr que si j’ai envie. Tu sais que c’est ma passion." Et je sais que t’as toujours voulu que j’t’emmène faire un tour, mais que l’occasion ne s’est jamais présentée. Peut-être que c’est un cadeau déguisé pour toi en même temps, cette balade. "J’veux pas te faire flipper." T’as vécu assez de traumatisme pour avoir en plus la peur de mourir en hélico si je perds les commandes. Tu te cales face à moi et tu prends mes mains dans les tiennes. "A deux on est plus forts?" Ah bon? Alors pourquoi quand on était réellement à deux, tout nous séparait? Pourquoi quand on était censé se soutenir corps et âme, on ne faisait que se repousser et se lâcher? Et ouais, ça me serrait le coeur rien que d’y penser. Peut-être que j’étais pas totalement passé par dessus notre histoire et la façon dont les choses s’étaient déroulées entre nous en fin de compte. Tu parles de confiance, et j’sais qu’on est en train de vivre deux conversations différentes. Toi dans la réalité, moi dans ma tête. J’avais confiance en toi en fait, et tu m’as trahi. Je t’ai trahi en retour, certes, mais c’était pas de la vengeance, c’était pas prévu comme ça, y’avait juste aucun d’intérêt dans notre couple puisqu’on se parlait à peine. Et putain, faut que j’arrête de penser à ça. "C’est bon, on y va." Allez, hop, on remet le masque, pas de sentiments, pas d’émotions, tout va bien se passer. Je m’avance vers le pilote, lui serre la main attrape un casque-micro. Il t’en donne un également parce que sans ça, on peut pas communiquer dans l’appareil. "Faut que tu montes à gauche par contre, on pilote à droite." Tu te souviens quand on a surfé? Que je parlais trop, j’étais trop dans mon élément et toi un peu à côté de la plaque sans trop comprendre mes termes techniques? Bah ça risquait d’être pareil. T’allais être à nouveau plongée dans mon monde.

Tu ne semblais pas réceptif face à ma surprise, enfin pas dans le bon sens. Alors oui bien sûr que je me sentais mal, quand je voyais que ça n'avait pas l'air de te plaire et instinctivement, je me faisais petit, limite honteuse. Pendant notre appel, l'hélico semblait réellement te manquer, alors je me demandais si ce n'était pas moi le problème et visiblement, c'était bien ça qui t'empêchais de vouloir profiter de ton cadeau. T'avais envie de faire, en tout cas, c'était ce que tu me disais avant d'avouer ne pas vouloir me faire flipper. Tu pensais que j'étais du genre à prendre des risques inconscient ? Non mais si j'avais peur de toi aux commandes d'un hélico, ce n'était pas ce que je t'aurais offert, mais t'étais bien trop bornée pour voir que je te faisais suffisamment confiance. J'étais bête de croire qu'on avait réussi à laisser notre passée houleux de côté, alors je me postais devant toi, attrapant tes mains dans les miennes, essayant d'être rassurante dans mes mots. Toi, tu semblais ailleurs, te perdant dans tes pensées, n'étant pas plus réceptif qu'avant à mes propos. Je levais les yeux au ciel, me rendant compte qu'on avait une facilité hors normes à s'exaspérer l'un l'autre. « Si tu n'es pas assez conscient pour t'en rendre compte, c'est plus mon problème, tu m'dois rien. Mais peut-être que vers la fin, j'étais plus suffisamment présente, mais j'ai fait des choses pour toi, que je n'aurais fait pour personne d'autre... » Comme venir dans une prison, te soutenir, même si j'étais blessée. Te calmer quand en pleine nuit, tu paniquais et bordel, t'avais oublié tout ce qu'on avait pu vivre ensemble ? Je voyais bien que tu n'étais pas bien, et encore une fois, c'était moi qu'était là malgré la peine que ton histoire avec Meghan m'avait fait. À croire que ça ne comptait pas. Que ça ne comptait plus. Sèchement, tu me disais qu'on y allait, puis tu saluais l'autre pilote. J'attrapais le casque que j'enfilais après avoir mis mes cheveux en arrière d'une main et je grimpais à gauche comme tu me le disais. « Ok chef. » Je me hissais jusqu'à ma place, alors que tu faisais de même de ton côté, à la différence que ton co-pilote m'aidait. Je n'allais pas trop l'ouvrir de toute façon, c'était ton moment, j'allais juste me contenter d'être là dans l'ombre et de toute façon au vu de tes réactions, j'ferais mieux de rester à ma place.

Bien sûr que j’veux piloter, mais avec tout ce qui s’est passé, j’suis pas sûr de vouloir le faire avec toi. T’avais une bonne image de moi en ce moment — je crois? — et imagine je paniquais? J’voulais pas que tu me vois faible, encore. T’avais déjà eu trop de moments comme ça avec moi. J’voulais que tu continues de penser que j’étais guéri, que tout allait mieux pour moi, même si ce n’était qu’une belle illusion. La vérité était que, dès que j’allais mieux, y’avait un nouveau truc qui me tombait dessus et me foutait ko. Tu reprends la parole, visiblement agacée, ce qui a le don de m’agacer également. Oui, cercle vicieux. "J’ai pas parlé de notre relation. Mais je sais." Pourquoi tu ramènes toujours le sujet sur la table? Pourquoi on ramène toujours le sujet sur la table? C’est fatiguant en fait. Ça date de fin janvier, début février. Ça fait six mois. Combien de temps met-on à réellement passer au-dessus d’une relation qui nous a détruit? J’en savais rien, mais j’espérais bientôt pour qu’on puisse arrêter les sous-entendus et les ambiguïtés. J’décide finalement d’accepter ton cadeau bien pensé, je l’avoue, et de monter dans l’hélico. Je te dis où monter, et une fois tout le monde installé, je respire. Inspire, expire. Faut que j’me concentre en fait. Pour pas tout faire foirer. Et je prends les commandes. Je parle pas, et c’est même pas contre toi là, c’est juste que j’suis à fond dans mon truc, à m’assurer que j’fais tout bien comme il faut. On s’élève dans le ciel au fur et à mesure pour finalement surplomber Mykonos. Je demande au co-pilote l’itinéraire de vol pour pouvoir le suivre et ne pas m’égarer. C’est un peu flippant, de voler en territoire inconnu. Moi, j’connaissais les routes aériennes de Boston par coeur. Et une fois stable et sur la bonne trajectoire, je m’autorisais un peu à me détendre et profiter du paysage. De la mer bleue, des îles qu’on pouvait apercevoir au loin, des rues de la ville qui rapetissait au fur et à mesure qu’on prenait de l’altitude. Et j’espérais que tu verrais la beauté de la chose, la liberté que j’pouvais ressentir quand j’étais là, tout là haut, perché dans le ciel.

Vraisemblablement je ne comprenais pas la question que tu m'avais posé, puisque j'avais répondu à côté. Je comprenais de moins en moins la raison de ta présence ici en fait et j'en venais presque à me sentir mal de t'avoir fait venir. T'étais froid, alors que quelques heures auparavants tu repondais à mes avances et c'était incompréhensible. J'étais peut-être bien une fille de ton passé, mais défi ou non t'avais qu'à pas m'embrasser dans l'oeuf glacé si tu voulais pas de moi. Je grimpais à bord de l'hélicoptère après t'avoir dit qu'un tout petit. « Ok... » Tu commençais à t'installer à bord alors que je regardais tes gestes sans dire un mot. Ça m'impressionnait même si je voyais que tu te concenterais. On commençait à s'elever alors que tu stabilisais l'appareil, echangeant quelques mots avec le co-pilote quand au plan de vol. Mes yeux ne regardaient plus que l'horizon, complètement subjugué par la beauté de Mykonos. C'était une destination que je n'avais jamais visité et je commençais à la découvrir de la plus belle des façons. Un « Wow.. » s'echappait de mes lèvres, alors que je fixais l'eau en dessous de nous. Tu pouvais voir que j'avais pas peur là ? Non mais comme quoi tu te faisais du souci pour rien, à vouloir me protéger d'un potentiel problème que tu aurais pu déclencher. Je n'étais pas en sucre, t'avais pris le temps de me le rappeler quand on c'etait revu la première fois.