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{ i wasn't enough }
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— Mercredi 27 juin | Nirvana
Il n’était que l’ombre de lui-même Sullivan et ne savait pas tellement quoi faire. Père célibataire de jumeaux, il n’avait même pas de chez-lui pour les accueillir quand ils seront capables de sortir. Il n’était clairement pas digne d’être père, il n’était qu’une déception aux yeux de tous, mais surtout aux yeux de Meghan. Elle le voyait comme celui qui la retenait de faire tout ce dont elle avait envie, elle en avait eu marre et avait décidé de briser les chaînes afin de retrouver sa liberté. Il le regrettait, ce qui s’était passé par message. Preuve étant qu’il avait tenté par les moyens à son bord de la faire revenir sur sa décision. Mais non, elle ne voulait plus de lui, elle ne voulait plus de leur couple, de leur amour. Est-ce qu’elle l’aimait finalement ? Lui il en était certain, puisqu’il n’était qu’en train de trainer son âme à chaque endroit où il se rendait, sans grand enthousiasme. Elle… Il la voyait, en train de se déhancher ce soir sur ce podium de striptease. Il avait pu entrer grâce à son fake ID déniché quelques mois plus tôt. Il la regardait être à l’aise, le sourire aux lèvres. Il aimait ça, qu’elle soit heureuse. Il aimait moins le fait qu’elle le soit quand il n’était pas dans les parages. Baissant la tête, le nœud se formant un peu plus dans sa gorge, il finissait par s’éclipser pour se rendre dans sa loge, pour l’y attendre le temps qu’elle termine son show. Il était incapable de regarder les autres hommes baver sur celle qu’il aimait, cette vue était insupportable pour Sullivan et imaginer qu’ils pouvaient poser leurs mains sur elle était encore pire.

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je crois que quelque part, je ne voulais pas réaliser. je ne voulais pas me dire que c’était terminé. comment ça pouvait l’être ? j’avais accouché y a pas longtemps, on avait des projets et d’un coup, tout s’écroulait. et c’était sûrement pour ça que je passais mes journées dehors. parce que quand je rentrais et que je me couchais seule dans le lit, ça rendait les choses beaucoup trop réelles. t’étais plus là. t’étais plus là et tu ne m’appelais pas. comme si c’était ce que tu voulais dans le fond. comme si t’attendais de pouvoir te débarrasser de moi. j’avais la boule au ventre alors que je me préparais pour le show de ce soir, déposant des paillettes sur mon corps, finissant de coiffer mes cheveux. j’avais pas le moral mais être ici, c’était comme un échappatoire. parce que pendant mes dix minutes sur scène, j’oubliais tout le reste et ouais, ça faisait du bien. et c’était exactement ce qui se produisait. j’oubliais tout, je faisais le vide dans ma tête et je me laissais porter par la musique, ondulant en rythme, esquissant des sourires se voulant charmeur jusqu’à ce que la dernière note retentisse. puis c’était la réalité qui revenait en même temps que la lumière s’éteignait et je regagnais l’arrière, un peu éteinte, plus vraiment moi. « pas ce soir kim, j’suis fatiguée » que je répondais à une collègue proposant un verre avant de pousser la porte de ma loge. et c’était toi qui était là. assis sur un fauteuil, à m’attendre. moi qui me décomposait un peu plus alors que je refermais la porte derrière moi, attrapant un peignoir pour me couvrir. « tu devrais pas être ici » puisque tu détestes tellement cet endroit et ce que j’y fais. alors pourquoi t’infliger ça et me l’infliger par la même occasion ?

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— Mercredi 27 juin | Nirvana
Il ne savait pas trop ce qui l’avait poussé à venir ici Sullivan. Ce lieu, il le révulsait de bien des façons et il ne comprenait pas vraiment ce qui pouvait attirer Meghan. Mais il était là de toute façon, pour elle, et il gardait la tête haute pour avoir les explications qu’il attendait. Les deux avaient eu quelques jours pour se laisser redescendre. C’était bien pour cette raison qu’il avait évité d’envoyer des messages à celle qu’il aimait. Évidemment, ça n’aidait pas vraiment pour aller voir les enfants, surtout s’ils voulaient s’éviter. Mais bon, il avait tenu bon. Il avait vraiment tenu bon, jusqu’à ce retrouver ici, au Nirvana, dans la loge de Meghan. Et il entendait bien les applaudissements des gens qui assistaient à son show, preuve que c’était terminé. Elle allait bientôt le rejoindre, lui qui était là, dans cet endroit supposément interdit. Et il se disait que n’importe qui pouvait faire ça dans son dos et ça le dégoûtait. Ça le révulsait qu’elle puisse accepter tout ça. Fermant les yeux, serrant le poing contre sa bouche, il cherchait une façon de se calmer avant d’entendre la porte s’ouvrir, puis se refermer. Posant son regard sur elle qui se rhabillait d’un peignoir pour cacher sa nudité presque intégrale. Il ne comprenait pas pourquoi elle faisait ça devant lui, alors qu’elle était en petite tenue devant des gens qu’elle ne connaissait ni d’Eve, ni d’Adam. « Je sais je… Je voulais qu’on discute. Tous les deux » Oui, forcément, pas elle et sa main.

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je ne te trouves pas logique pour le coup mais j’insiste pas plus que ça. j’ai pas envie de me prendre la tête ou d’hausser la voix. alors je reste calme, de marbre. et tu sais que quand je suis comme ça, impassible, c’est que ça ne va pas. je me planque derrière des tonnes de barrière juste pour pas laisser voir mes faiblesses. mais toi, t’es censé me connaître par coeur, tu devrais pas être dupe. mais on a tellement du mal à s’entendre ces derniers temps que dans la finalité, je ne serais même pas étonnée que tu prennes ça pour du détachement. « ah » je souffle, m’assoit sur une chaise libre et croise les jambes, pas certaine du sujet que tu veux aborder. t’es là pour discuter ? très bien, parle. moi, j’ai pas grand chose à dire. à partir du moment où t’as balancé que t’étais peut être juste amoureux de l’image que tu t’étais créé de moi, j’ai plus rien eu à raconter. parce que tu m’as fais tomber de très haut tu sais ? j’ai eu une chute monumentale. et j’poussais un soupir fermant les yeux quelques secondes comme si ça allait suffire à m’apaiser. « je t’écoute » que je reprends finalement pour t’encourager à balancer ce que t’avais sur le coeur. parce qu’on va clairement pas rester là à se regarder dans le blanc des yeux. et tu sais, la dernière fois que t’es venu ici, c’est le jour ou t’as eu le cran de me dire que t’étais amoureux de moi. étrangement, maintenant, ça me semble plutôt faux tout ça. et ouais, ça fait mal.

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— Mercredi 27 juin | Nirvana
C’était étrange comme tout avait pu dégénérer entre les deux amoureux en si peu de temps. Ils filaient le parfait amour, ils étaient fiancés et parents, ils allaient se marier et fonder cette famille. Maintenant, tout était parti en fumée quand ils se sont retrouvés à avoir cet échange de SMS qui avait dégénéré. Maintenant, il se retrouvait à être dans ce lieu qu’il méprisait, juste pour avoir une légère ouverture pour la reconquérir. Est-ce qu’il était le fautif dans tout ça ? Pas totalement, mais il avait une part de responsabilité, il le savait. Et il avait besoin d’arranger les choses, il avait besoin de faire en sorte que leur couple reprenne parce qu’il était incapable de pouvoir poursuivre sa vie sans elle. Elle était son pilier, son roc, son tout. Et depuis quelques jours, il était plus bas que terre, incapable d’avancer. D’où sa présence ici. Assise face à lui, elle avait cet air détaché mais il savait qu’elle était blessée. Il savait qu’elle avait du mal à agir normalement alors qu’il avait pu la froisser. Alors il se contentait de cette façade qu’elle arborait, avec espoir qu’il sache l’attendrir par ses mots. « Je t’aime. Je t’aime toi et la personne que tu es. Pas l’image que je me suis fait de toi. Je t’aime toi et ta façon de prendre soin des gens que tu aimes, ta façon d’agir quand une personne est dans le besoin. Je t’aime pour ce que tu es… Et j’aurais pas du répondre un “peut-être” qui t’a mise dans tous tes états » soufflait-il alors, le regard évasif avant de se poser sur elle. « Tu es Meghan Harrison, tu es Ziggy Atkinson. Tu es Meghan Wright. À mes yeux, tu es toutes ces femmes et tu es la plus belle personne qu’on m’ait donné de rencontrer. Alors certes, je n’aime pas tes activités, mais je ferai des efforts. Je ferai des efforts parce que tu mérites tous les efforts du monde » 

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j’sais plus quoi penser en fait. j’en viens à me demander si t’as été sincère une fois ou si tu t’es juste toujours persuadé dans ta tête que j’étais la femme parfaite et que tu ne m’as jamais vu comme j’étais vraiment. j’veux dire.. j’ai l’impression par moment que tu ne sais pas qui je suis. que tout ce que je représente ou fait est mal à tes yeux alors que j’ai jamais changé. j’ai toujours été à l’aise avec mon corps, ma sexualité et j’crois pas que ce soit tabou. on est juste différent mais maintenant, ça a l’air de te déranger. comme si tu préfèrerais que je sois comme toi. un peu plus comme marla. mais j’suis pas marla tu sais ? je ne le serais jamais. puis tu parles, tu entres dans le vif du sujet et je ne fais rien d’autres que t’écouter. mais je sais pas, je bloque. j’y arrive pas. t’es pas censé devoir faire des efforts, t’es censé juste m’accepter comme je suis. t’es censé me connaître et ne pas bloquer devant mes envies ou mes activités. t’as voulu être avec moi quand je bossais encore ici mais maintenant, ça devient un problème. j’ai l’impression que tout est un problème pour toi en fait. que tu me juges sans arrêt sur tout. mais j’suis pas ce genre de fille avec une éthique digne d’une marie-sue. j’suis juste moi. cette nana avec un peu trop d’énergie, difficile à canaliser, ressentant le besoin d’aider tout le monde tout le temps mais bien trop dissipée pour suivre des études, mener une vie calme et routinière. je peux pas. c’est pas moi. « je ne te reconnais plus. je ne sais plus qui tu es » c’est moche tu vois. « t’étais.. mon meilleur ami. celui vers qui je me tournais à chaque fois et maintenant, on arrive même plus à se parler, à se comprendre. » et j’sais pas. j’suis paumée.

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— Mercredi 27 juin | Nirvana
Il n’aimait pas les confrontations Sullivan, c’était bien connu. Il était de ceux qui ne disaient rien et qui se complaisaient dans le silence et le fait qu’il n’y ait aucune vague. Mais il avait bien vite compris que ça allait être différent de ce qu’il avait en tête. La vie n’était pas facile, il l’apprenait de la façon la plus rude qui soit. Preuve étant qu’il avait tout de même fait des efforts pour se retrouver face à elle ce soir. Il était dans sa loge avec dans le but de mettre à plat et reprendre leur relation où ils l’avaient laissé, avec tous les avantages que ça pouvait avoir. Il venait alors déballer tout ce qu’il avait sur le cœur et c’était pas forcément simple. Sullivan n’était pas de ceux qui se livraient facilement, au contraire. Il était plutôt réservé et assez pudique des sentiments. Mais pour elle, il faisait des efforts, comprenant bien qu’ils étaient dans une voie sans issue et qu’il serait compliqué pour tous les deux de reprendre là où tout était parfait. Du travail allait devoir être fourni durant tout l’été, s’ils voulaient avoir une chance de passer le reste de leur vie ensemble. Seulement, quand elle lui répondait, il se prit comme un énorme coup de massue sur la tête, tant ça le désarçonnait. Sûrement que la surprise était visible sur son visage, parce qu’il ne le cachait même pas. « Je euh… » Et il se mettait à tousser, détournant le visage pour tenter de réprimer ces émotions qui cherchaient à s’emparer de lui. Il toussait pour retirer cette boule qui se formait dans sa gorge, celle qui l’empêchait de parler correctement. Respirant un coup, il cherchait à reprendre confiance en lui, mais c’était compliqué. Elle ne savait plus qui il était et c’était certainement les mots les plus durs à entendre, après avoir lu qu’elle annulait le mariage, après avoir lu qu’elle voulait rompre avec lui. Oui non, il n’arrivait pas à s’en remettre et finissait par craquer, pleurant son visage enfoui dans ses mains comme pour se cacher, honteux qu’elle ressente ça vis à vis de lui.

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crois pas que ça ne me déchire pas. parce que c’est pas le cas. ça me déchire à l’intérieur de nous voir comme ça. de ne plus être capable de venir vers toi. de ne plus savoir comment t’aborder. je te jure que j’essaie. j’essaie de toutes mes forces mais j’ai l’impression qu’il y a un fossé qui s’est creusé petit à petit entre nous et que malgré tous nos efforts, on a été incapable de réussir à rester du même côté. et ouais, ça me rend malade parce que te perdre, c’est la pire chose qui puisse m’arriver et pourtant, je me sens totalement impuissante. impuissante face à toi. comme si je n’avais pas les cartes en main, que j’avais pas la possibilité de faire en sorte que les choses aillent mieux. j’en souffre sullivan, j’ai beau faire bloc, j’ai beau tout tenter pour ne rien laisser transparaître, j’en souffre terriblement. et je sais que ce que je dis te fais mal. je le vois dans tes yeux, sur le manque de mot, sur ton visage qui se décompose petit à petit. et je sais que tu vas craquer. je reconnais les signes chez toi et d’ailleurs, ça ne tarde pas. tes mains qui viennent protéger ton visage alors que les premiers sanglots surviennent. tu crois que ça me fais plaisir ? tu crois que j’aime te voir comme ça ? c’est pas le cas. je déteste le fait que tu puisses être dans cet état. encore plus quand j’en suis la cause. et j’sais pas, je ne peux pas rester impassible face à ça. je ne peux pas te laisser sur ce fauteuil à pleurer sans réagir. je finis par me lever m’approchant de toi doucement. mes mains venant chercher les tiennes pour libérer ton visage. regarde moi sully, regarde moi. et je te pousse un peu, m’assois à califourchon sur tes genoux, capte ton attention. c’est mes pouces qui viennent doucement essuyer tes larmes, mes lèvres qui parcourent ton visage de baiser. ne pleure pas s’il te plaît, c’est la dernière chose que je veux. « je t’aime. tu sais que je t’aime. je t’aimerais toute ma vie, arrête. » s’il te plaît, arrête.

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— Mercredi 27 juin | Nirvana
Il ne supportait pas cette situation. Il voulait la retrouver. Sullivan voulait retrouver Meghan, retrouver leur vie, leur appartement et les projets qu’ils avaient eux ensemble. Les projets qui étaient en suspens, ou même totalement annulé actuellement. Il voulait retrouver tout ça, sa vie qui semblait si parfaite et qui le confortait dans les choix qu’il avait pu faire tout au long de sa vie. Meghan était son repère, son ancre, son centre du monde en somme. Et ces quelques jours loin d’elle, à être totalement séparé, ne plus être un couple, il avait vécu tout ça tellement mal qu’il voulait juste la retrouver. Mais c’était elle qui avait rompu, c’était sa décision à elle, et il n’avait pas grand chose à faire, si ce n’est la supplier de le reprendre. Mais avec les mots qu’elle venait de dire, il ne pouvait pas supporter tout ça et se mettait à craquer face à elle. Pas étonnant qu’elle l’ait quitté dans le fond. Il était loin d’être comme les hommes présents dans la pièce non loin d’eux. Les machos qui ne feraient tomber une larme pour rien au monde. Sullivan était sensible, elle le savait et en avait une nouvelle fois la preuve. Mais elle ne restait pas impassible, au contraire. Il sentait sa présence venir à ses côtés, le poussant même pour qu’il se redresse afin qu’elle s’installe à califourchon sur lui, glissant ses mains le long de son visage, ne serait-ce que pour essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues mais pas que. Meghan déposait plusieurs baisers sur le visage du Winthrop. « Je t’aime aussi.. Je veux pas, je peux pas être loin de toi… Dis moi quoi faire pour que tu me récupères s’il te plait, je peux pas Meg… je peux pas vivre sans toi, je peux pas… » suppliait-il alors à plusieurs reprises avant de venir enfouir son visage dans le cou de celle qu’il adorait plus que sa propre personne. Ils étaient parents tous les deux et il se demandait encore comment les choses avaient pu dégénéré à ce point.

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je ne peux pas supporter ça. je ne peux pas supporter de voir les larmes inonder ton visage. tu sais que c’est la pire chose au monde pour moi ? parce que ça me brise le coeur. je sais que c’est à cause de moi, j’en suis consciente. et en fait, là, j’ai juste l’impression que tout est de ma faute. alors je laisse soudainement tomber toutes mes barrières pour venir sur toi. j’veux que tu sentes que je suis là. que je t’aime. que j’arrête pas de t’aimer malgré nos différents. « je suis là ok ? je suis là » que je souffle te serrant un peu plus contre moi, mes doigts caressant doucement la naissance de tes cheveux. « je suis désolée de te décevoir constamment » vraiment. j’voudrais tellement être celle que tu attends, te convenir, ne pas voir ce regard sur ton visage. j’voudrais tellement être bien pour toi et j’ai l’impression de ne jamais y arriver. j’le vis mal, vraiment. parce que j’comprends pas pourquoi tu me veux autant alors que tu vaux tellement mieux que ça. « je suis désolée pour les photos, pour être ici.. je suis désolée d’être bonne à rien. » de ne pas avoir eu mon année, de n’avoir aucun objectif dans ma vie. de ne pas savoir quoi faire et de tourner en rond. j’suis désolée, sincèrement. « t’as besoin de rien faire, je suis là » j’ai jamais voulu que tu sortes de ma vie. et tu sais que quand je suis en colère, j’dirais tout et n’importe quoi juste pour avoir raison. juste pour avoir le dernier mot. mais c’était horrible de ne pas t’avoir près de moi. de ne pas pouvoir me blottir dans tes bras et te murmurer des mots doux. j’suis désolée sullivan de jamais être à la hauteur. j’voudrais être parfaite pour toi. et j’continue doucement à caresser tes cheveux, mes lèvres se posant sur ta tempe. « viens, on rentre à la maison » chez nous, toi et moi.