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I LOVE HARVARD
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    Three words, eight letters. - with Alejandro
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    Lien du postDim 25 Mar - 21:20
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    THREE WORDS, EIGHT LETTERS
    — with @Alejandro Ortega

    Alejandro me tournait la tête. Ses arguments commentaient à avoir raison de moi, et faible, je cédais à cette douce tentation, acceptant mes sentiments pour lui. Je lui souris faiblement, répondant tout doucement. « C’était déjà fait … depuis le premier jour. » Depuis le premier jour je n’avais cessé de penser à lui. Et c’est précisément à cet instant que ma peur avait commencé à me dévorer. La place qu’il occupait avait été si grande qu’il s’agissait de chaque parcelle de mon esprit depuis ce jour là. Mon sourire s’élargit davantage lorsqu’il feint la prétention d’être le seul et l’unique. Effectivement, il n’y avait que lui pour foncer la tête la première en enfer, je ne voyais personne d’autre. Mais mon énergie pour le repousser s’en allant, une nouvelle force naissait en moi et me venait de lui, celle de devenir la douce Harper qui l’avait fait flancher la première fois, puisque j’étais persuadée qu’il ne pourrait aimer celle que j’étais en réalité, celle dont il ne connaissait encore que le côté rudimentaire. Alejandro vint m’embrasser. Si doux, si beau. Mon âme fondait littéralement.
    Quelques instants plus tard, sans même avoir le temps de m’en rendre compte, Alejandro me tournait et m’élevait afin de me déposer sur le bureau. Je l’observais, légèrement désorientée par ce geste mais surtout par toute cette situation. Lui également avait quelques incertitudes nous concernant, à qui la faute … mais je décidais pour une fois de fermer les yeux, me laissant délibérément envahir par ce sentiment que je ne pouvais plus taire. Pas ce soir. J’attrapais une de ses mains et le dirigeais lentement vers moi, écartant légèrement les cuisses afin qu’il se rapproche encore un peu plus de mon corps. Je sentais sa main caresser ma joue, son front contre le mien. Je restais quelques secondes comme ça, sans dire un mot, à simplement ressentir la seule musique qui me berçait, les battements de mon coeur qui allaient bon train. Mais c’est cette phrase. Cette phrase me secoua le coeur. Ces choix de mots ne devaient assurément pas être sortis du hasard. « Dis-moi comment faire. » lui murmurais-je à l’oreille. Un pas de plus vers lui. Je pouvais enfin sentir la délicieuse chaleur qui émanait de son corps, l’enlaçant de mes bras, collant ma tête au creux de son cou, juste quelques instants nécessaires, avant d’à nouveau lever les yeux vers lui, le regardant intensément. Yeux qui descendirent sur ses lèvres, dont je m’approchais précautionneusement, venant d’abord les effleurer des miennes, puis les capturais lascivement dans un baiser des plus sensuels. Mes mains venaient se poser sur son visage, descendant sur son cou, puis sur son torse où je décidais de lui retirer sa veste, la déposant sur une chaise derrière le bureau. Je me tournais de nouveau vers lui. Il devait maintenant avoir compris où je voulais en venir. J’avais désormais une peur viscérale qu’il me repousse à son tour, après la frustration que je lui avais infligée au Spring Break. Mais c’était une façon à moi, ici, dans ma cachette secrète de lui montrer que j’acceptais de faire ce pas vers lui. Que j’acceptais de lui faire une place dans ma vie. Je n’y étais simplement jamais arrivée à voix haute, mais cette fois-ci, je ne voulais plus avoir peur de dire les choses. Je sentais l’adrénaline monter en moi comme un immense souffle de chaleur et de froid à la fois, les battements de mon coeur s’accélérant comme jamais auparavant, sachant ce que je m’apprêtais à lui dire. Je le regarda alors droit dans les yeux, glissant tout bas. « Je t’aime. »


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    Lien du postLun 26 Mar - 0:00
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    THREE WORDS, EIGHT LETTERS
    — with
    @Harper Eleanor F. Kennedy

    C'est vrai que depuis le début, malgré leurs déboires, Harper l'avait somme toute suivi, ou rattrapé, la plupart du temps. Il est un peu comme ce guide qui s'engage sur un sentier escarpé et dont le client hésite, mais finalement approuve, jetant un coup d’œil à ce sommet qui vaut sans doute le détour. Elle l'avait suivi jusqu'à cette île éloignée, avait accepté le dîner, l'avait rejoint à sa chambre après qu'il l'eut invité à venir le voir quand elle serait prête à faire face à sa peur et ainsi de suite. Aujourd'hui, pour la première fois, c'était le hasard qui les réunissait, mais à nouveau, Alejandro en profitait pour convaincre la demoiselle et laissait de côté cette première idée qu'elle avait eu, à savoir, de faire des adieux à l'Espagnol et de passer à autre chose. Le beau bru eut donc un petit sourire et on connait la suite.

    Encore une fois, les deux amants s'embrassent. Un geste devenu quasi-inévitable entre eux, comme l'appel de leurs corps d'ailleurs. Il y a de cela aussi dans cette relation si passionnée et intense. Alejandro ne demandait qu'à comprendre Harper, à aimer, qu'elle se laisse aimer. La jeune femme voulait bien, mais voulait que son amant lui montre la voie. Une chose pas aussi aisée qu'il le voudrait. Derrière cette confiance et cette assurance, Alejandro aussi souffre de doutes et de craintes, surtout au cours des derniers jours. Non, l'incident du striptease, il a déjà oublié pour l'essentiel. Ce sont plutôt les appels non retournés, les textos sans réponse, la distance d'Harper et le fait qu'il doive souvent être celui qui fait le premier pas qui le mine. Peut-être cette soirée allait-elle enfin marquer un tournant?

    -Je ne sais pas si des mots peuvent l'expliquer. Je pense que... qu'il faut que tu me fasses une place près de toi, que tu me fasses confiance, comme je te fais confiance. Je crois en toi.

    Peut-être est-elle la reine des glaces, une femme qui a tant à se reprocher. Il n'est pas parfait non plus, mais il a foi en elle, vraiment. Autrement, il ne s'investirait pas autant, ne prendrait pas tant de risque. Il est convaincu que le jeu en vaut la peine, que derrière ses murailles et ses fortifications se trouvent le trésor d'une vie pour lui. Enfin, qui sait, tient-il cette partenaire de vie qu'il cherche depuis si longtemps.

    Leurs nez s'effleurent, leurs fronts sont un contre l'autre et leurs lèvres ne tardent pas à se toucher de nouveau, dans une nouvelle série de baisers. Un de ceux qu'Harper ajoute est sensuel à souhait, chaud et doux tout à la fois, le genre de baiser qu'il se prenait à prolonger autant que possible et auquel il était accro'. La jeune femme lui enlevait alors sa veste, une bonne chose dans un sens, car il commençait en effet à avoir chaud. Pourtant, n'était-ce pas folie que de faire cela ici?

    Alejandro allait mettre les freins, les ramener à la raison, quand trois mots, tous simples, sortent de la bouche d'Harper et le prennent de cours. Son regard vacille, ses yeux deviennent humides, sous le coup de l'émotion, de la surprise et pourtant, il n'est pas ce genre d'hommes à pleurnicher pour un rien. Sa main vient prendre celle de la belle contre sa joue et dépose un baiser dessus.

    -Comment tu t'appelles? Ton nom complet?

    Eleanor? Que c'est beau ce prénom. Alejandro inspire et ancre son regard dans celui de son amoureuse. Oui, c'est ainsi qu'à partir de ce jour, il considérait Harper et rien de moins. Ils ne sont peut-être pas encore en couple, mais peu importe, elle l'aime et lui aussi.

    -Harper Eleanor Fitzgerald Kennedy, je t'aime.

    Alejandro Amancio Ortega, un vrai romantique. Le plan de mettre les freins, de suggérer qu'ils retournent à la fête avant de faire des folies? Parti en fumée, surtout vu comment l'Espagnol n'avait de cesse maintenant d'embrasser son amoureuses, de baisers de plus en plus brûlant. Une bretelle de sa robe tombe vite, suivit d'une autre. Il caressait alors ses épaules, ses bras, avant de lui jeter un regard d'amour, de passion et de revenir l'embrasser. Les mains du jeune homme glissaient maintenant contre les cuisses de la belle, remontait sa robe. Il avait le souffle court, le cœur qui sautait des battements. Il avait l'impression de devenir fou: elle le possédait.

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    Lien du postLun 26 Mar - 1:03
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    — with @Alejandro Ortega

    Il croyait en moi. Comment je me sentais à cette instant ? En sécurité. Je savais alors qu’avec lui, rien de mal ne pouvait m’arriver. Je glissa mes doigts le long de sa mâchoire, les yeux dans les yeux avec douceur avant d’acquiescer tout doucement. « Je te fais confiance Alejandro. » Des mots que je n’avais pas l’habitude de dire. Mais à lui … c’était si différent. J’osais enfin le lui avouer. Mon amour pour lui. Le coeur battant à mille à l’heure. De peur, d’angoisse mais aussi de passion. La réaction d’Alejandro ne se fit pas attendre, je le voyais bien, il avait les larmes aux yeux. Avais-je dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Je commençais doucement à paniquer lorsqu’il me demanda mon prénom entier, bien qu’il me baisait la main tendrement. La voix tremblante, je glissais. « Harper Eleanor Fitzgerald Kennedy … » Et là … ses mots. Je l’observais béate. Le coeur s’emballant de plus belle, les yeux remplit d’émotions. Ses mots résonnaient en moi jusqu’à mon âme. C’était de la folie. C’était donc ça l’amour ? Etait-ce si intense ? Etait-ce si fort que je pouvais risquer à tout instant l’infarctus ?  Je ne pouvais le quitter de ce regard épris, éperdu … chamboulé. « Embrasse-moi … » murmurais-je, presque suppliante.


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    @Harper Eleanor F. Kennedy



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    Lien du postLun 26 Mar - 17:44
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    @Harper Eleanor F. Kennedy



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    Lien du postLun 26 Mar - 21:37
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    — with @Alejandro Ortega

    Je venais l’embrasser plus amoureusement que jamais. J’étais littéralement folle de luI. Cette façon qu’il avait de me regarder … Je sentais quelque chose dans ses yeux changer. Je ne savais pas exactement quoi, mais j’aimais ça. Il ne le savait pas encore, et de toute manière, je n’aurais su trouver les mots à cet instant pour le lui dire, mais c’était la première fois pour moi que ma sexualité prenait une autre dimension. Je n’avais jamais vécu ça encore, jusqu’à ce soir. Faire véritablement l’amour … avec l’être aimé. Je le regardais émue de ce qu’il venait me donner. Je me sentais vivante, comme ressuscitée. Je prenais cette main qui caressait ma joue, entrelaçant ses doigts, tenter de la garder contre mon visage. S’enfuir tous les deux ? J’avais l’impression d’être dans un film. L’adrénaline ne redescendant pas, je me sentais sur un petit nuage avec lui. Evidemment, ma seule envie était de m’enfuir avec lui de cette soirée. Je voulais que ce moment dure aussi longtemps que possible. Je lui souriais à mon tour. « Emmène-moi avec toi, je veux partir d’ici, je veux être avec toi, rien qu’avec toi. » Je me hâtais de remettre mes bretelles à leur place, aidant même Alejandro à récupérer sa veste le temps qu’il reboutonne sa chemise et referme sa ceinture. Après avoir remis un peu d’ordre dans mes cheveux, j’ouvrais discrètement la porte, guettant à droite et à gauche avant de prendre mon amant par la main, me dépêchant de sortir de ces grands corridors. Nous traversâmes finalement la pièce bondée de nouveau, me faisant personnellement la plus discrète possible. Je lui lâchais la main le temps de quelques secondes, fixant la sortie droit devant moi. Je récupérais mon manteau à l’entrée principale et nous sortions. Dehors, sur les marches dans le froid, je me retournais vers Alejandro avec un grand sourire joyeux et euphorique avant d’éclater de rire, repensant à ce que nous venions de faire. « On vient vraiment de faire l’amour dans une bibliothèque ? » Avais-je rêvé ? Etions-nous vraiment dit que nous nous aimions ? Je le regardais finalement avec tendresse, ne regrettant absolument pas ce que j’avais pu faire, ou dire. Me couvrant de mon long manteau en tweed Chanel, je me rapprochais de lui, me collant contre lui, cherchant à retrouver un peu de sa chaleur dans ce froid encore hivernal. Je lui murmurais à l’oreille. « Emmène-moi chez toi, s’il-te-plait. »


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    Lien du postLun 26 Mar - 23:46
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    — with
    @Harper Eleanor F. Kennedy

    Harper ne demandait pas mieux à ce que son amant l'emmène ailleurs, loin de cette soirée mondaine contre laquelle ils n'avaient rien contre, mais ils avaient tous deux envie d'autre chose maintenant. À ses belles paroles, il sourit et embrasser son amoureuse.

    -Je veux la même chose.

    Tellement. Elle remet vite sa robe, il remit ses pantalons de manière décente, boucla sa ceinture et commençait à mettre la chemise quand la jeune femme prit le relais, ce qui le fit sourire et il lui murmura un petit "gracias mi bella", son regard sur elle. Harper allait ensuite vérifier avant de sortir que la voie était libre. Alejandro allait la suivre et elle attrapait sa main d'ailleurs, mais le beau brun l'attire contre lui, sans prévenir.

    -Oh, attends, j'ai oublié un détail... Je t'aime.


    C'était si libérateur de le dire, de le sentir à travers des baisers, des caresses. Alejandro espère vraiment que c'est le début d'une relation qui les verront se trouver, s'accomplir, grandir tous les deux. La relation à laquelle on rêve tous en somme. Après, ils passaient vite faut aux vestiaires pour récupérer leur manteau et une fois dehors, comme elle, il se mit à rire. Il pensait à la même chose qu'elle!

    -Du musée des beaux arts de Boston! Hey oui. Je pense qu'on est fou tous les deux.

    Alejandro avait un manteau style trench un peu, noir et long. Il marchait vite vers sa Audi, Harper près de lui, blottit même. Lui-même frissonnait, loin d'être endurant au froid nord-américain. Il fit un bisou sur la joue de belle brune qui voulait qu'ils aillent chez lui.

    -D'accord... Bon dieu que j'ai hâte que cet hiver finisse.

    Il annonce même une tempête à Pâques, c'est dire. De tous les hivers, celui-ci est probablement le plus pénible, le plus long en tout cas. Alejandro fait démarrer sa voiture à distance et ouvrait la portière côté passager pour Harper, avant de grimper de son côté, de faire vrombir le moteur de sa voiture sport avant de filer chez lui.

    Où habite donc Alejandro Ortega? Du côté du Harbor Area, dans une tour à appartements de luxe avec vue sur la mer, comme il l'avait raconté au Spring Break. Stationnement souterrain privé, ascenseur sécurisé qui mène aux étages... S'ils étaient passés par le hall, ils auraient vu l'agent de sécurité à son poste. Arrivé devant sa porte au huitième étage, le beau brun ouvre avec ses clés.

    -Bienvenue chez moi señorita Kennedy. Fais comme chez toi.

    Il se pourrait bien qu'elle vienne ici de plus en plus souvent. Et l'appartement lui? Ah bien imaginez l'appart' le plus luxueux de Boston et cela vous donne une bonne idée. Grande baie vitrée et balcon avec vu sur le port, la mer, un foyer, un grand salon, une cuisine, une chambre à coucher un peu plus isolée, deux chambres de bains, tout y était quoi, il y avait même une chambre d'invité. Tout était en ordre, bien rangé. Ici et là, quelques bibelots, dont plusieurs petit modèle de bateaux: des voiliers, des galions espagnols, ses planches de surf et quelques photos de famille. L'Espagnol posait les clés et vidait ses poches sur le petit meuble à l'entrée.

    -Tu veux à boire? Avant, j'ai une requête. Tu veux bien qu'on passe à ma chambre et que tu m'enlèves ma chemise et mon veston? J'aime bien quand c'est toi qui le fait.

    Promis, il n'a pas d'idée coquine en tête, il a juste envie d'être à l'aise, bien et oui, de profiter des attentions de sa nouvelle amante.

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    Lien du postMar 27 Mar - 0:35
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    — with @Alejandro Ortega

    Alejandro me tirait vers lui et je tombais immédiatement dans ses bras comme une petite chose frêle, qui d’ailleurs frissonna à l’entente de ces deux mots magiques. Je l’embrassais follement en réponse à cela, un baiser fou, avant de nous précipiter vers la sortie du musée. Alejandro et moi riions de ce que nous venions de faire. Peu de gens pouvaient s’en vanter, et je ne pu m’empêcher de dresser en quelques secondes une liste de nouveaux endroits incongrus à baptiser avec lui. Une obsédée sexuelle naissait-elle en moi ? Le beau Dunster me réchauffait rien qu’à sa présence. « Je rêve d’être dans un pays chaud, là tout de suite. » répondis-je à sa remarque, grelotant de froid. Il me prit sous son bras tandis que nous avancions vers sa voiture. Une magnifique Audi de sport. Personnellement, je n’avais jamais vraiment été intéressée par les voitures, j’étais plus une collectionneuse d’art contemporain et me contentais d’avoir un chauffeur avec une Mercedes certes luxueuse, mais surtout blindée, au vu de mon historique familial. Je n’avais même pas mon permis de conduire, c’est dire ! Je n’avais pas non plus l’habitude de m’asseoir à l’avant, mais étant donné qu’il conduisait, je n’allais certainement pas m’asseoir derrière ! Gentleman, il m’ouvrit la portière avant et je m’y installais, attendant qu’Alejandro nous conduise jusque Harbor Area, où il résidait. Nous montions finalement chez lui par les ascenseurs privés par lesquels nous accédions à son étage. Arrivés chez lui, il m’accueillait comme une princesse et à ses mots, je le suivais dans son entre, lâchant sa main, m’avançant timidement. Une vue imprenable sur le port et la mer éclairés par les lumières nocturnes donnait grâce à l’immense baie vitrée, l’impression de vivre à la belle étoile. Je repérais son sens de la décoration sur lequel j’étais assez exigente, et savais désormais qu’il était véritablement un homme de goût. Je passais devant quelques de ses photos de famille et touchais délicatement ses bibelots, curieuse. Je prenais une photo entre mes mains avant de me retourner brièvement vers mon amant. « Tu as véritablement pris le sourire de ta mère ! » disais-je émerveillée de découvrir un petit bout de la vie d’Alejandro. Je redéposais tranquillement le cadre photo à sa place et marchais lentement à la découverte de son appartement luxueux. C’était bien plus chaleureux que chez moi … Finalement, les foyers ressemblent bien plus à leur propriétaire qu’on ne le croit, pensais-je. J’écoutais Alejandro à l’autre bout de la pièce avec un petit sourire qui se dessina dans au coin de mes lèvres. « Un verre de vin ne serait pas de refus … pour ce qui est de tes vêtements, comme tu as récemment pu le constater, c’est toujours un plaisir ! … » Je m’avançais lentement vers lui, jouant des épaules pour le titiller un peu dans la rigolade. Finalement, je pouvais être marrante quand je le voulais … quand il était là, surtout. Il m’emmenait dans une chambre, la sienne. Parfaitement rangée, immense également, avec un grand lit. Je tournais le visage vers lui avec ce même sourire coquin, pour le narguer. Je vins l’embrasser inlassablement, passant mes mains sur son torse alors que je le poussais lentement près du lit. Evidemment, nous n’allions pas refaire l’amour tout de suite, je voulais profiter de son esprit aussi, de ses mots, de sa présence intellectuelle, mais rien n’empêchait un peu de sensualité. Je déboutonnais alors lentement sa chemise après lui avoir retiré sa veste, et une fois au sol, je passa mes mains sur son cou, les glissant sur sa mâchoire, le regardant un peu plus sérieusement, droit dans les yeux. Je repensais à ce qu’il m’avait dit tout à l’heure. Je n’étais évidemment pas du genre à avoir dit beaucoup ces choses dans ma vie, et estimais justement qu’il fallait les dire uniquement lorsque le besoin s’en faisait ressentir. Ce que je fis à cet instant. « Alejandro. Je suis irrévocablement amoureuse de toi … »


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    Lien du postMar 27 Mar - 1:15
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    @Harper Eleanor F. Kennedy  

    Lorsqu'Harper parla de rêver d'être dans un pays chaud, une idée traversa Alejandro. Et s'il l'invitait à venir passer Pâques chez lui, en Espagne, avec lui bien sûr? Une idée qu'il mit dans un coin de sa tête. Il voulait se montrer prudent avec Harper et ne pas s'enthousiasmer trop vite non plus ou lui mettre la pression. Ce soir surtout, il fallait qu'ils célèbrent de toute façon, cette liberté qu'ils avaient maintenant trouvé.

    Arrivé à son appartement, il vit Harper s'y aventurer tout de suite. Elle regardait la décoration, moderne et de bon goût, sans être trop non plus, comme aimait à le penser Alejandro. Elle s'aventura aussi du côté des photos. Alejandro sourit, à la voir se montrer curieuse et prendre ses aises ainsi. Il aperçut sa pile de livres de droit sur la table basse du salon, sur lequel se trouvait aussi son ordinateur portable. Quand elle évoque le sourire de sa mère, le beau brun sourit comme pour le confirmer et s'approchait pour regarder la photo.

    -Son regard et son visage aussi.

    L'hôte offrit ensuite à boire à son invitée surprise, mais il avait une condition quand même, ou plutôt, une petite demande à faire. Impossible de ne pas rire à nouveau à la petite blague qu'elle fait. Il rit de nouveau et lui lançait un petit regard complice quand elle prend la démarche sexy. Petit détour à sa chambre donc, où la belle brune prit plaisir à déshabiller son homme, qui restait sage et docile. À nouveau, la jeune femme lui déclarait son amour et il vint l'embrasser, avant de prendre la main de la belle et de la poser contre son cœur à lui.

    -Chaque fois que tu le dis, je deviens tellement heureux, un vrai gamin.


    Elle pouvait sentir son cœur qui battait aussi. Une question le tiraillait et il décida de la poser tout de suite, histoire qu'ils soient sur la même longueur d'onde.

    -Je ne veux pas passer pour le plus terre à terre de nous deux mais... nous sommes amants, amoureux. Est-ce que tu es ma petite amie? Je veux bien, mais si tu préfères qu'on se fréquente encore quelques temps avant, ça ne me dérange pas.

    De toute façon, petite amie ou non, à partir de maintenant, Alejandro ne se voyait pas passer de moments intimes avec une autre femme qu'Harper, un sentiment qu'il avait déjà après le Spring Break du reste. La pauvre Sheila en a fait les frais. Cette petite question réglée, le beau brun embrassait encore son amante et filait à la cuisine pour dénicher une bouteille de vin de son petit cellier et leur servir deux coupes.


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