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{would you lie with me and just forget the world}
crédit/ tumblr ✰ w/pluson

Il m'était totalement impossible de résister. Elle était là, à ma merci et ouais, si elle avait réussi à détourner mon défi pour en faire le sien, je venais de céder à ma propre pulsion. Mes lèvres retrouvent les siens, retrouvent ce qu'elles cherchaient dès l'instant même où je suis arrivé ici, où mes yeux se sont posés sur elle. Elle est belle à en damner plus d'un. Moi-même j'ai été pris au piège de cette fille qui n'avait rien voulu d'autre qu'oublier ses propres peines. Seulement, j'oubliais les miennes à ses côtés et c'était peut-être ce côté écorché vif qui m'attirait chez elle, j'en sais trop rien. Je sais juste que je cède à cette pulsion et je l'embrasse, sans retenue, me mettant même à la porter pour qu'elle enroule ses jambes autour de ma taille. Cette proximité, elle me rendait totalement fou. Cette fille me rendait fou. C'était pas étonnant que j'en redemande toujours plus. Après une série de smacks, bien déçu de ne pas pouvoir avoir plus - ou alors je la provoquais pour que justement il n'y ait plus cette contrainte - elle m'imitait en me smackant à son tour, mentionnant un bouton play. Sourire en coin, continuant de la dévorer du regard dans ce couloir vide, je me sentais invincible. « Le bouton qui se trouve juste là..? » que je demandais en indiquant son entrejambe. Mais elle était bien trop occupée à caresser mon visage de ses mains, glissant son visage dans mon cou pour y déposer des baisers et bordel, que j'aimais cette proximité, cette complicité également. Mine de rien, au delà des parties de jambes en l'air, on avait réellement une connexion qui se faisait et ça me plaisait. D'où ma possessivité excessive j'ai envie de dire. « Tu es un mystère et tu le resteras... crois-moi que je suis loin d'avoir déchiffré qui tu étais Chamberlain » Que ce soit sexuellement parlant ou même la personne qu'elle pouvait être, elle restait une énigme que je voulais tenter de résoudre par tous les moyens. L'embrassant doucement, je finissais par sourire, me remémorant très bien ce que je devais faire. « La tentation est grande... et comme je ne suis pas raisonnable, je me dis que le meilleur moyen de chercher à te décrypter, c'est de retourner dans cette chambre immédiatement » Et c'était ce que je faisais, sans hésiter. Rouvrant la porte, la française dans mes bras, je refermais du pied avant d'avancer jusqu'au lit pour la laisser tomber dessus. Me positionnant au dessus d'elle, le regard plongé dans le sien. « Je peux.. » Je venais glisser mon visage dans son cou, embrassant une nouvelle fois sa peau. « .. te goûter... » Je faisais la même chose, de l'autre côté de son cou. « ... puis te prendre dans ces draps... » Je me redressais pour lui voler un baiser sur ses lèvres. « Puis t'emmener dans ma suite, le temps de redescendre un peu.. afin de tester la piscine » que je finissais par dire, me mordant la lèvre inférieure, guettant alors ses réactions, dans l'espoir que ça l'émoustille.

Tu peins son visage de tes doigts, le mémorisant dans le moindre de ses détails pour t’en souvenir si tout venait à s’arrêter demain. Putain, tu ne veux pas que tout s’arrête. Tu veux entrer dans sa vie, la foutre en feu, la retourner et te perdre dans son regard de longues heures. Ce soir-là, quand il a posé cette échelle pour venir s’ajouter à ta soirée, tu as craqué. Il ne s’en doute peut être pas encore, mais tu as flanché en sa faveur cette nuit, sur ton balcon, dans ce couloir du Meliá Nassau Beach Resort. Agrippée à lui, totalement en effervescence, tu raccroches les promesses que tu t’étais faites sur l’utilisation de ton… vagin. Tu ne peux pas t’infliger une telle punition plus longtemps. « Oui ce bouton… » chuchotes-tu avant de te livrer sur tes craintes. Pluton te rassure, mais au fond de toi, tu sais que cela ne sera que passager. Tu restes une simple mortelle après tout. Et qui dit mortelle, dit péché. Pluton en réveille un en particulier, la luxure. Il te ramène ainsi à ta chambre sans te faire tomber, avec une adresse qui te fait encore plus chavirer. Il t’aguiche, sur ton lit, au dessus de toi, avec ses rictus qui te font tourner la tête. Ses jeux te rendent folle, tu veux y jouer tous les jours à présent. « Je crois que tu peux tout me faire, j’suis sérieuse » lui réponds-tu en te redressant sur tes coudes « J’veux me souvenir de toi demain Pluton, j’veux que mon vagin s’en souvienne » Tu éclates de rire et le fais basculer à tes côtés pour sortir de son emprise. Tu sautes alors du lit pendant qu’il s'allonge confortablement pour guetter ce que tu fabriques. C’est simple, tu retires juste ta nuisette pour te retrouver en petite culotte. « Tu arriveras à t’arrêter au bon moment pour tester la piscine au moins ? » lui demandes-tu en lui jetant ton semblant de pyjama au visage. Le temps qu’il le retire de ses yeux, tu te débarrasses de ta culotte pour lui offrir l’intégralité de ton corps. « Tadaaaam, ça te plaît ce que tu vois ? » lui demandes-tu en tirant un des élastiques accroché à ton poignet pour t'attacher les cheveux. À ce même moment, un courant d'air tiède s’infiltre dans la pièce et caresse ta peau. Les rideaux virevoltent, la baie vitrée est encore ouverte et tu comptes la laisser ainsi, pour qu’on vous entende tous les deux. « Pluton, mon chaton, tu n’as toujours pas appuyé pour me réactiver, il faut que tu viennes m’embrasser ici » tu écartes légèrement tes cuisses et de tes deux index, tu lui indiques la zone sous ton nombril « Chiche de me bouffer ? » lui proposes-tu en le rejoignant sur le lit à califourchon « J’ai carrément envie de m'asseoir sur ton visage, ça fait de moi une mauvaise personne ? » Tu ris et croques dans ta lèvre inférieure. Inconsciemment, tu te tortilles sur lui en frottant ton intimité à son bas-ventre. « Mh tu m’fais un strip tease avant ? » C’est que tu veux le sentir peau contre peau et là, il y a bien trop de tissus qui vous séparent. « Pour ça, j’suis sûre que t’es pas chiche du tout ! » Tu crains surtout que cela prenne une dimension comique et que le désir chute à tout jamais pour la soirée... Et si cela venait à arriver, pas sûre que tu puisses t'en remettre.

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Mine de rien, c’était quand même un putain de moment que j’étais en train de vivre. Dire à cette fille que j’avais des vues sur elle et pas que sexuellement parlant… ouais, j’avais tout donné. J’avais même pas respecté sa demande où elle souhaitait un peu de temps pour elle afin de réfléchir à ce qu’elle voulait vraiment. Enzo, moi, aucun des deux. Après tout, on s’était battu et ça peut ne pas plaire à tout le monde ça. M’enfin, je m’en fichais pas mal, parce que là, je passais du bon temps en sa compagnie, l’humour étant au rendez-vous comme à chaque fois. Le bouton “on” était juste là, à portée de main, mais pas le temps de vraiment l’activer, la conversation était telle que l’excitation montait toute seule. Et forcément, je n’en loupais pas une pour rentrer de nouveau dans la chambre, la déposant sur le lit pour venir m’installer au dessus d’elle, non sans jouer un petit peu. « Va pour la formule complète alors » que je disais d’un sourire malicieux avant de finir allongé à mon tour sur le lit puisqu’elle s’était défaite de mon emprise afin d’être debout face à moi. « Ton vagin se souviendra de moi pendant longtemps » Après tout, je l’avais pas mal marqué dès la première fois, il me semble. Me calant parfaitement, je la regardais, que dis-je, je la bouffais du regard. Et voilà qu’elle retirait sa nuisette, portant simplement une petite culotte et bordel, je ne pouvais pas retirer ce sourire de mes lèvres.  « Je ne compte pas m’arrêter, je compte faire les deux rounds de A à Z » que je finissais alors par dire, recevant sa nuisette sur les yeux. Et voilà que je la découvre à présent entièrement nue face à moi, et l’envie d’aller plus loin se faisant de plus en plus présente. « Ça me plait énormément. Énormémeeeeent. » que je finissais par dire en riant doucement. Voilà qu’elle me titille de nouveau, parlant de son bouton qu’elle montrait sans gêne en écartant légèrement les cuisses. Me redressant assis sur le lit, elle venait s’installer sur moi, à califourchon et nos deux visages étaient bien proches pour la peine. « Chiche. T’as qu’à faire ça oui, ça fait de toi une fille qui sait ce qu’elle veut » Et elle me veut, et bordel, c’est jouissif. Et j’avais juste hâte de pouvoir la sentir sous ma langue en vrai. Seulement, avant de pouvoir attaquer tout ça, elle avait une requête un peu particulière qui ne m’angoissait pas, mais presque. Faut dire, j’étais un boulet en puissance. Et… J’étais capable de tout foirer en une seconde. « Je suis chiche mais… je suis pas sûr que le rendu soit vraiment sexy » que je disais en rigolant, lui volant un baiser avant de la laisser sur le côté, me mettant debout à mon tour face au lit, puis lui laisser la chance d’assister au spectacle. Attrapant mon téléphone, j’y mettais la musique la plus connue pour les stripteases et je le laissais sur le meuble à côté, alors que les premières mélodies se faisaient entendre. Doucement, je retirais mon t-shirt, dans des mouvements maladroits mais se voulant sexy. Jusque là, tout va bien. Le balançant sur elle, je m’attaquais à présent au short. Le bouton, le zip et voilà que je le descends jusqu’aux chevilles. Avec chance, toujours rien de maladroit, si ce n’est les mouvements non assurés. Et finalement, le clou du spectacle, après avoir retiré mes tongs, je jouais avec l’élastique de mon boxer, bougeant encore sur le rythme de la musique et je le baissais petit à petit.. jusqu’à me dévoiler entièrement. Jusqu’à voir son regard malicieux me regardant avec envie. Jusqu’à voir l’envie monter en elle de façon presque exponentielle. Mais voilà, la maladresse, elle me guettait. Elle était là. Et au moment de retirer mon boxer, j’me prenais les pieds dedans. Incapable de garder mon équilibre, je savais que la chute était là, toute proche, et je faisais tout mon possible pour que j’atterrisse sur le lit, chose faite. Et je faisais comme si tout était prémédité. Sur le côté, totalement nu, la tête reposée sur ma main, je la regardais avec un sourcillement suggestif. « Chiche » finissais-je alors par dire avant de venir l’embrasser sans retenue.

T’écarquilles tes yeux, t’auras droit à deux rounds ? Complet ? Mh. Tu arques un sourcil en envoyant ta nuisette sur son beau et doux visage. Tu te retrouves vite à poil et toujours rongée par une petite pointe de honte. Est-ce que tu es assez bien foutue ? Voit-il des défauts ? Tu te poses toujours un tas de questions et pour les limiter, tu fonces sur lui pour te retrouver à cheval au niveau de son entrejambe. Tu lui transmets ensuite tes désirs les plus profonds, mais avant cela,  tu ne veux qu’une chose, qu’il soit aussi nu que toi. Certes, il aurait simplement pu se débarrasser de ses vêtements sans en faire des tonnes, seulement, t’as envie de faire durer ta frustration. Tu le mets alors au défi de te faire un strip-tease et rien qu’en y songeant, tu te fends la poire intérieurement. « J’suis sûre que si, tu es bon pour les jeux de rôle, je le sens » lui adresses-tu avant qu’il te délaisse pour commencer le show. « Wouhouuuuu, owi, fais monter la température mon chou » Tu l’acclames pendant qu’il lance une des célèbres musique accompagnant souvent ce type de pratique. Tu te recules jusqu’à la tête de lit et serres tes jambes en le regardant se déshabiller progressivement. Tes cuisses se frottent entre elles quand son torse apparaît. Tu pinces tes lèvres et attrapes son tee-shirt qu’il vient de t’envoyer. Tu le respires intensément en le frictionnant contre tes seins. Ses doigts s’occupent de son short, puis de son boxer, ce qui suffit à t’agiter comme une hystérique. Ton coeur s’envole dans un galop poussé à toute vitesse. Pluton te fait languir en jouant avec l’élastique de son sous-vêtement. « Alleeeeez, montre moi leeee » Après des secondes bien trop longues à sentir tes seins et ton clitoris s’enflammer, t’aperçois enfin son petit oiseau, qui n’a en soi rien de petit. Tu te mets aussitôt à fixer ardemment Pluton, jonglant entre sa virilité et son regard fripon. Tu jettes aussi son tee-shirt imprégné de son odeur et tortures tes tétons quand tu sais qu’il ne va pas tarder à te rejoindre. Sauf que ce maladroit de première s’emmêle les pinceaux et s’écroule sur le lit en mode « c’était voulu » Ta bouche tremblote et essaie de ne pas exploser de rire. Il se rue sur toi et tu l’accueilles les bras et cuisses grandes ouvertes. Tu l’embrasses sans modération, parce que Pluton, t’imagines que ce n’est pas une drogue dangereuse pour la santé, quoique… Ta santé mentale pourrait en prendre un coup, t’en es plus que consciente. Il est aussi en bordel que toi, pour ne pas dire plus. Il pourrait te mener à ta perte, bien plus que celle que tu as déjà pu expérimenter. Pourtant, tu t’en fous complet. Tu veux prendre le risque de t’intoxiquer avec ce mec. Tu romps votre baiser et attrapes ses fesses au lieu de son visage « On est d’accord… Tu t’es vautré en beauté et t’as fait style qu'il ne s’est rien passé ? » Tu ricanes, parce que cela te démangeait trop depuis son retour sur le pieu et tu le dévores des yeux. « Bouffe moi idiot ! Mais attends ! J’sais que tu vas me manquer alors il faut que… » tes doigts circulent sur son dos et tracent de petits cercles « je t’embrasse encore un peu » tu encadres son visage quand tes mains terminent leur course sur sa nuque. Puis, tu coinces ta lèvre supérieure entre les siennes pour aspirer sa lèvre inférieure et la mordiller. Tu recommences à l’inverse pour sa lèvre supérieure. Tu veux à présent sa langue et mélanger ta salive à la sienne. Quand vos bouches se rencontrent une nouvelle fois pour un baiser langoureux, tu sens un goût de menthe qui réveille tes papilles. Tu te mets à te tortiller et tu t’enchaînes à ce suédois qui hante tes nuits. Tu finis néanmoins par vous séparer en posant tes mains sur ses épaules. Ta respiration est déjà décousue, tu tortilles ton bassin sous son corps et sens son érection brûlante sur ton ventre. « J’ai très envie de toi… très très… » murmures-tu en hochant positivement ta frimousse aux joues écarlate. 

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Après tout, c'était pas nouveau que mon endurance surprenait les gens. Même elle l'avait été le soir de la St Valentin, quand on l'avait fait à plusieurs reprises dans sa voiture. Alors ouais, c'était toujours aussi opé de le faire deux fois ce soir. Ici, dans son lit. Et dans la piscine de ma chambre, avec vue sur la mer. Alors ouais, j'étais totalement opérationnel pour les deux rounds et j'étais capable de le lui promettre même. Après tout, elle voulait que son vagin se souvienne de moi, et c'était bien ce que j'allais faire. En plus de ça, elle voulait que je fasse un strip tease. Ne pouvant résister à ses beaux yeux, j'acceptais de le faire, mais avec l'aide de la musique. Après tout, ça aidait pour les mouvements, le rythme, et on pourrait dire que je m'investis. « C'est parti... » et je commençais alors à bouger sur le rythme de la chanson, en débutant par le t-shirt. Voyant bien qu'elle s'était installée au bout du lit, je m'étais tout de même rapproché de ce dernier afin de minimiser la distance entre nous. Et puis je continuais mon show, elle qui tenait mon t-shirt, le sentant comme pour être encore plus proche de moi. Puis je retirais mon short et venait alors le moment du boxer. Et ouais, je la faisais languir, elle me réclamait. Elle le réclamait. Alors finalement, je cédais à sa demande, baissant le bout de tissu jusqu'à mes chevilles. Seulement, en voulant m'en défaire, je trébuchais, atterrissant presque automatiquement sur le lit. Bon, la position que j'avais adopté laissait sous entendre que c'était voulu, c'était prévu. Pas du tout, mais faisons genre. Je ne lui laissais même pas le temps de réagir que je venais récupérer ses lèvres, en me positionnant au dessus d'elle, dans ses bras, entre ses cuisses. J'étais comme elle après tout, entièrement nu, pour ses beaux yeux, et elle remarquera l'effort que j'ai fait pour le strip tease. La température n'avait même pas baissé d'un degré et j'en étais assez fier. Ses mains retrouvaient mes fesses et je me mis à rire, baissant le visage avant de le glisser dans son cou. « Je nierai toute information compromettante quand à mon savoir faire de stripteaseur » Puis je redressais la tête, plongeant une nouvelle fois mon regard dans le sien - chose à laquelle je pourrai probablement jamais me lasser - avant de recevoir cet ordre provenant de sa bouche. Mais avant tout, elle voulait quand même profiter une dernière fois de mes lèvres avant qu'elles ne soient trop occupées à la suçoter un peu plus bas. Et ouais, je répondais avec envie à son baiser, clairement sous le charme de cette française sortie de nul part. Elle avait débarqué dans ma vie par un swipe tinder, et maintenant je n'avais plus envie de la partager. Il était encore trop tôt pour s'avancer dans cette relation, mais on était suffisamment avancé pour savoir qu'on se faisait du bien mutuellement. Reste à savoir si je lui en faisais plus qu'à l'autre idiot qui m'avait cassé la gueule. Enfin, qu'importe, ses mains se retrouvaient sur mes épaules, ses joues rosées trahissaient la chaleur qu'elle avait en elle et c'était le signal. Le vrai, le bon. Celui qui ne ferait que la faire monter au septième ciel. J'avais envie d'elle, mon corps le traduisait très bien, mais mon envie n'était pas à satisfaire maintenant, je devais m'occuper d'elle dans un premier temps et c'était bien pour cette raison que doucement, je glissais le long de son corps, déposant des baisers sur la peau que je trouvais sur mon chemin, jusqu'à arriver à son entrejambe.