I LOVE HARVARD :: Première Aventure :: Carte identité :: Fiches de présentation :: Présentations archivées
RIO WOLFE ► Alexis RenInvitéInvité
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Nom : Wolfe. Louve devenue solitaire, les canines toujours de sorties. Sauvage parce que le manque me ronge, toujours dans l’ombre d’une forêt hostile pour oublier que je suis seule au milieu de tout les arbres. ◇ Prénom : Rio. Un doux rêve, une douce promesse d’avenir, les mains liées avec ma moitié. On se l’était promis, on l’avait imaginé cent fois, fait défiler les photos cent fois avant de se dire que, c’est bon, cette fois c’est la bonne. Rio, c’est le goût du sang amer et d’une promesse morte incendiée.◇ Âge : Vingt-deux ans. Je ne vois plus le temps passer, je ne sais plus quand est-ce qu’on doit dormir et quand est-ce qu’on doit se lever. Je ne vois plus que les barreaux de cette cellule encore et encore, que des murs épais de béton et un bout de rayon de soleil auquel je ne fais plus attention. ◇ Date et lieu de naissance : Vingt-quatre Novembre 1996. Pas loin de Cali, nuit agitée, nuit sombre mais la lune qui ne se défait jamais de sa beauté. L’une de nous en a gardé un morceau, de la lune, l’autre n’a gardé que le tonnerre et les orages dévastateurs.◇ Nationalité : Américaine pour oublier. Pour effacer et tout recommencer. ◇ Orientation sexuelle : Ni l’un, ni l’autre. Il y a un moment maintenant que je n’accorde plus aucune importance à la chaire. Plus aucun plaisir charnel depuis des années, est-ce que je m’en souviens même encore ? Je prends, je baise, je jette sans jamais y trouver mon compte, sans jamais rien ressentir. ◇ Statut amoureux : Seule. À vie, à vif. ◇ Statut social : Les poches pleines de mensonges, de drame et d’illégale. ◇ Job étudiant : Aucun. ◇ Études majeures : ◇ Astronomie. Études mineures : Sociologie.
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Rio Wolfe - 22 ans - cinquième année - astronomie -
Rio Wolfe
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La vraie liberté c’est pas de s’enfermer dans des boites où règnent quelques adjectifs à la con fais pour se représenter. J’ai pas besoin de ces boites pour être libre d’être ce que je suis, pour qu’une confrérie merdique me représente. La vraie liberté, c’est être ce qu’on a envie d’être quand on le veut. Un caméléon dans toute sa splendeur, un jour dessiné de rouge, l’autre de noir et le lendemain un peu des deux. J’ai pas envie de m’allier à ces clichés qui ne sont là que pour qu’on se sente exister.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je n’étais pas là à l’époque. J’en ai entendu parler par les bruits de couloirs, par les autres qui revenaient du parloir, mais c’est tout. J’étais déjà en train de croupir dans une cellule, à l’abris du monde et de ceux qui l’assassinent. J’ai fais partie de ceux-là, ceux qui soufflent l’anarchie sur le monde alors est-ce que j’ai vraiment le droit de porter un jugement ? Ça ne serait qu’hypocrisie, alors j’ai juste regardé de loin sans dire un mot. J’ai entendu de loin sans répéter, sans m’offusquer.
Je n’étais pas là à l’époque. J’en ai entendu parler par les bruits de couloirs, par les autres qui revenaient du parloir, mais c’est tout. J’étais déjà en train de croupir dans une cellule, à l’abris du monde et de ceux qui l’assassinent. J’ai fais partie de ceux-là, ceux qui soufflent l’anarchie sur le monde alors est-ce que j’ai vraiment le droit de porter un jugement ? Ça ne serait qu’hypocrisie, alors j’ai juste regardé de loin sans dire un mot. J’ai entendu de loin sans répéter, sans m’offusquer.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Là aussi j’étais absente. J’étais bien loin de tout ça. Mère nature qui fait encore des ravages, des caprices et nous, qu’est ce qu’on y peut dans tout ça ? Rien. J’en avais même pas entendu parler ou alors c’est juste que je ne m’en souviens pas. Les événements passent, fusent, les journaux télévisés ne cessent de déblatérer et à force, on écoute plus. On lâche prise.
Là aussi j’étais absente. J’étais bien loin de tout ça. Mère nature qui fait encore des ravages, des caprices et nous, qu’est ce qu’on y peut dans tout ça ? Rien. J’en avais même pas entendu parler ou alors c’est juste que je ne m’en souviens pas. Les événements passent, fusent, les journaux télévisés ne cessent de déblatérer et à force, on écoute plus. On lâche prise.
TON ADMISSION À HARVARD
Pas un rêve, pas une envie, juste un peu trop de pognon pour l’image qui passe bien. Je suis restée dans l’ombre, un an, un an entier pour parcourir les bouquins, jamais fermer l’œil de la nuit. Je voulais pas lâcher le morceau, j’avais pas le choix pour réussir à entrer dans l’université des plus prestigieuses. Pour la retrouver. Je devais réussir pour elle, pour moi, pour nous. Alors j’ai travaillé nuits et jours, jours et nuits pour avoir une note qui m’ouvrirait les portes. J’ai réussi, je l’ai eu à la sueur de mon front, le cerveau en miette et les cernes jusqu’aux genoux. J’étais ici par la seule motivation de casser un mythe, d’être sûre, de soulager mon esprit une bonne fois pour toute. J’étais là pour elle, pour me reconstruire et tout reprendre à zéro. On m’a dit qu’elle était ici, qu’elle était là à Harvard alors j’étais venue juste pour elle. Palmyr. Pour faire cesser mes cauchemars, me réinventer une deuxième fois.
Pas un rêve, pas une envie, juste un peu trop de pognon pour l’image qui passe bien. Je suis restée dans l’ombre, un an, un an entier pour parcourir les bouquins, jamais fermer l’œil de la nuit. Je voulais pas lâcher le morceau, j’avais pas le choix pour réussir à entrer dans l’université des plus prestigieuses. Pour la retrouver. Je devais réussir pour elle, pour moi, pour nous. Alors j’ai travaillé nuits et jours, jours et nuits pour avoir une note qui m’ouvrirait les portes. J’ai réussi, je l’ai eu à la sueur de mon front, le cerveau en miette et les cernes jusqu’aux genoux. J’étais ici par la seule motivation de casser un mythe, d’être sûre, de soulager mon esprit une bonne fois pour toute. J’étais là pour elle, pour me reconstruire et tout reprendre à zéro. On m’a dit qu’elle était ici, qu’elle était là à Harvard alors j’étais venue juste pour elle. Palmyr. Pour faire cesser mes cauchemars, me réinventer une deuxième fois.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle ARABELLA et j'ai 23 piges . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi-même. cheum Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Dina J. Ricci (Mather). J'utilise Alexis Ren comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 500-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé..
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8108]►[/url] ► <span class="pris">ALEXIS REN</span> ◊ “ Rio Wolfe ”[/size]
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MORE OF YOUR OWN STORY
Il pleut, comme le jour où tout a commencé. Il pleut et les larmes se mêlent aux gouttes, les visages qui passent sous nos yeux et le regard plein de chagrin, de pitié, de nostalgie parfois. Il y a ces visages que je ne connais même pas, il y en a d’autres beaucoup trop familiers. C’est eux qui se montrent les plus compatissants, c’est eux qui nous font ressentir réellement que tout est fini, qu’à présent, on est toutes seules. Je les détestent ces visages qui reflètent tout ce qu’on ne dit pas pour ne pas faire peur, pour ne pas pleurer plus fort, pour se vouloir rassurant dans toute leur hypocrisie parfaite. La vérité est ce qu’elle est, à partir de maintenant, c’et toi et moi contre le monde. Pour toujours et à jamais. On se l’est promis devant ces cercueils, deux mains qui se lient, sans s’adresser ni un mot ni un regard. On se l’est promis. Il y a cette femme, debout près de toi qui veut calmer tes peines d’une douce caresse trop maternelle. Elle te rappelle celle de notre mère et tes yeux s’inondent à la seconde même. Je serre les dents, moi j’ai pas le droit de pleurer, je dois être là pour toi et te montrer qu’on pourra tout surmonter tant qu’on est toutes les deux. À quatre ans déjà, je voulais être ton pilier, ta force, celle qui te donnera toujours envie d’avancer. Pourtant j’ai le cœur en miettes, j’ai l’âme qui brûle et qui s’éteint ce jour-là. J’ai décidé de mettre à feu et à sang n’importe quel sentiment qui pourrait me rendre vulnérable. J’ai tout détruit à l’intérieur, l’amour, l’amitié, l’attachement, l’envie, le plaisir. Tout sauf toi. Je ne t’ai jamais abandonné au fond de moi. Ce jour là, tu es devenue ma seule raison de vivre, mon seul espoir et c’était toi et moi contre le monde.
« Fais moi confiance ». C’est comme ça que tout a commencé, c’est comme ça, avec quelques mots que j’ai réduit à cendres notre union. Toi, tu le sentais pas ce coup, tu savais qu’il ne se terminerait pas aussi bien que je pouvais te le faire croire. Mais t’as quand même accepté, pour moi, et c’est ton amour pour moi qui t’as tué. Parce qu’avec moi, t’avais peur de rien. Quand on est là, toutes les deux, on se sent invincible, comme si personne ne pouvait nous atteindre. Pourtant si, ils ont pu, ils ont réussis, soufflant sur nos rêves et nos espoirs d’un seul appuie sur la détente, d’une seule balle, d’un bout de fer. On s’était pourries à force de traîner de foyer en foyer, on s’était salies et on avait oublié ce qu’on était avant que l’ange de la mort vienne récupérer leur âmes. On avait tout oublié, même leurs visages, alors c’est sûrement pour ça qu’on a préféré sombrer vers le côté obscur. C’était plus facile pour oublier qu’on oublie, plus facile d’acheter l’amour de quelques caïds plutôt que de la gagner pour de vrai. On était quatre, on a finit qu’à trois. Les cris, les hurlements qui m’arrache la gorge à l’en faire saigner. Les larmes qui coulent pour la première fois, et le sang qui tâche tes vêtements. Je peux même pas t’approcher, pourtant je fais tout pour, je suis même à deux doigts de me briser les poignets dans ces menottes. T’es par terre, gisant au sol, qu’à quelques mètres de moi mais je ne peux même pas te toucher. Te sauver. On me pousse, je me débat mais rien y fait. La fin est la même, aucune issue, juste une voiture de flic dans laquelle on me jette. Je te regarde par la fenêtre, les dents serrées et la rage qui m’emporte. Tout est de ma faute, je t’ai tué ce soir là. T’es morte pour moi ce soir là.
Il y a ces murs en n’en plus finir. Qui donne le tournis à force de les regarder, qui nous abrite du temps, de l’heure, de la vie qui coule entre mes doigts sans que je ne puisse la rattraper. J’étais foutue. Je t’avais condamnée à mort toi et moi, condamnée à vie. Alors j’avais le droit à des lettres aux milles promesses, à des lettres qui nous transporte. Qui nous enivre à l’encre douce. C’était la seule chose à laquelle je m’accrochais là-bas, derrière la prison de fer, de béton. Tes lettres qui me donnait l’impression que ça vie était un peu moins à chier. Que je valais le coup d’être aimé, d’être encore en vie alors qu’elle était morte. Putain de morte. Mais t’as tout arrêté toi aussi, t’as plus envoyé de lettres du jour au lendemain, je suis retourné en Enfer du jour au lendemain. Je t’en veux. Je te déteste. T’as réveillé la flamme sans avoir l’intention de te brûler. Elles me manquent, tes lettres, mais je te le dirais pas. Jamais. Je n’ai droit qu’à ses trois murs, des barreaux et un bout de ciel.
Pas morte. C’est le bruit qui court, c’est le bruit que j’entends dehors quand je n’ai pas envie de sortir. C’est le bruit et le mensonge qui ronge mon esprit, pourtant j’ai envie de savoir. J’ai envie d’être certaine que c’est faux, que ça n’est qu’une stupide rumeur, qu’un putain de mytho pour enfoncer le couteau dans la plaie plus fort. Même après toutes ces années ici. Je devais savoir. Alors j’ai fait appel, j’ai demandé à être libéré pour bonne conduite. Un fantôme dans une cellule, voilà ce que j’étais. Certaine ne savait même pas que j’étais là, que je respirais encore sous le drap crade. Alors ils ont acceptés, j’ai refoulé le goudron à nouveau, j’ai respiré le soleil, j’ai attrapé la lune et j’ai respiré à nouveau. Je n’avais qu’un but, te retrouver. Faire taire le mensonge ou faire crier la vérité. Te retrouver. Harvard, nouveau visage, nouvelle vie, celle de la gamine trimballée de foyer en foyer elle était morte. Restée en taule, entre ces trois murs. Aujourd’hui, c’était Rio Wolfe. Juste, Rio Wolfe. Pour une rêve inaccomplie, pour la vie de louve que j’ai menée.
« Fais moi confiance ». C’est comme ça que tout a commencé, c’est comme ça, avec quelques mots que j’ai réduit à cendres notre union. Toi, tu le sentais pas ce coup, tu savais qu’il ne se terminerait pas aussi bien que je pouvais te le faire croire. Mais t’as quand même accepté, pour moi, et c’est ton amour pour moi qui t’as tué. Parce qu’avec moi, t’avais peur de rien. Quand on est là, toutes les deux, on se sent invincible, comme si personne ne pouvait nous atteindre. Pourtant si, ils ont pu, ils ont réussis, soufflant sur nos rêves et nos espoirs d’un seul appuie sur la détente, d’une seule balle, d’un bout de fer. On s’était pourries à force de traîner de foyer en foyer, on s’était salies et on avait oublié ce qu’on était avant que l’ange de la mort vienne récupérer leur âmes. On avait tout oublié, même leurs visages, alors c’est sûrement pour ça qu’on a préféré sombrer vers le côté obscur. C’était plus facile pour oublier qu’on oublie, plus facile d’acheter l’amour de quelques caïds plutôt que de la gagner pour de vrai. On était quatre, on a finit qu’à trois. Les cris, les hurlements qui m’arrache la gorge à l’en faire saigner. Les larmes qui coulent pour la première fois, et le sang qui tâche tes vêtements. Je peux même pas t’approcher, pourtant je fais tout pour, je suis même à deux doigts de me briser les poignets dans ces menottes. T’es par terre, gisant au sol, qu’à quelques mètres de moi mais je ne peux même pas te toucher. Te sauver. On me pousse, je me débat mais rien y fait. La fin est la même, aucune issue, juste une voiture de flic dans laquelle on me jette. Je te regarde par la fenêtre, les dents serrées et la rage qui m’emporte. Tout est de ma faute, je t’ai tué ce soir là. T’es morte pour moi ce soir là.
Il y a ces murs en n’en plus finir. Qui donne le tournis à force de les regarder, qui nous abrite du temps, de l’heure, de la vie qui coule entre mes doigts sans que je ne puisse la rattraper. J’étais foutue. Je t’avais condamnée à mort toi et moi, condamnée à vie. Alors j’avais le droit à des lettres aux milles promesses, à des lettres qui nous transporte. Qui nous enivre à l’encre douce. C’était la seule chose à laquelle je m’accrochais là-bas, derrière la prison de fer, de béton. Tes lettres qui me donnait l’impression que ça vie était un peu moins à chier. Que je valais le coup d’être aimé, d’être encore en vie alors qu’elle était morte. Putain de morte. Mais t’as tout arrêté toi aussi, t’as plus envoyé de lettres du jour au lendemain, je suis retourné en Enfer du jour au lendemain. Je t’en veux. Je te déteste. T’as réveillé la flamme sans avoir l’intention de te brûler. Elles me manquent, tes lettres, mais je te le dirais pas. Jamais. Je n’ai droit qu’à ses trois murs, des barreaux et un bout de ciel.
Pas morte. C’est le bruit qui court, c’est le bruit que j’entends dehors quand je n’ai pas envie de sortir. C’est le bruit et le mensonge qui ronge mon esprit, pourtant j’ai envie de savoir. J’ai envie d’être certaine que c’est faux, que ça n’est qu’une stupide rumeur, qu’un putain de mytho pour enfoncer le couteau dans la plaie plus fort. Même après toutes ces années ici. Je devais savoir. Alors j’ai fait appel, j’ai demandé à être libéré pour bonne conduite. Un fantôme dans une cellule, voilà ce que j’étais. Certaine ne savait même pas que j’étais là, que je respirais encore sous le drap crade. Alors ils ont acceptés, j’ai refoulé le goudron à nouveau, j’ai respiré le soleil, j’ai attrapé la lune et j’ai respiré à nouveau. Je n’avais qu’un but, te retrouver. Faire taire le mensonge ou faire crier la vérité. Te retrouver. Harvard, nouveau visage, nouvelle vie, celle de la gamine trimballée de foyer en foyer elle était morte. Restée en taule, entre ces trois murs. Aujourd’hui, c’était Rio Wolfe. Juste, Rio Wolfe. Pour une rêve inaccomplie, pour la vie de louve que j’ai menée.
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Rebienvenue bon courage pour ta fiche
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Rebienvenue ici & bonne chance pour ta fiche
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(re)bienvenue.
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Lien du postMer 7 Fév - 22:07
Rebienvenuuuuuuuue
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Lien du postMer 7 Fév - 22:16
Ton prénom j'ai direct penser à la casa de papel
Rebienvenuuuuue bb
Rebienvenuuuuue bb
Ottis HeimannMembre de la Pforzheimer House
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Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier.s d'habitation & Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études & Métiers : étudiant en technologie et innovation (5ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & pronom IRL : overlander (elle)
Icon :
Avatar utilisé : Arón Piper
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Multicomptes : loyd mansfield
Description un :
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
Description deux :
KATTIS
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
⬖ ⬖ ⬖
KATTIS
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
⬖ ⬖ ⬖
Description trois : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Capucine Nesbitt : meilleure amie ⬖ Aidan Nesbitt : meilleur ami ⬖ Elvira Kaine : amie ⬖ Jackson Brennan-Jobs : ami ⬖ Theodora Pasquier : amie ⬖ Jayson King : ami ⬖ Perséphone Lenoir : connaissance
Warning : maladie/cancer, sexe
RPS : 139
Messages : 53422
Lien du postMer 7 Fév - 22:27
Rebienvenue
✧. ❛ love on top. i know nothing'sperfect but it's worth it after fighting through mytears and finally you put me first. it'syou .
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Lien du postMer 7 Fév - 22:28
reeeee
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Lien du postMer 7 Fév - 22:41
Rebienvenue et bon courage pour ta fiche.
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