J'suis normalement pas une fille qui réfléchis beaucoup. Je vis l'émotion dès que je la ressens, je ne me pose pas trop de questions. J'suis qui je suis et si on ne m'aime pas, ça ne me fait pas un plis. Mais Serah... tout c'que j'fais est calculé, j'ai pas envie de la décevoir et j'ai pas envie de faire une folle de moi. Pourtant on ne se connait pas, j'peux pas dire que j'suis amoureuse, c'est juste... inexplicable. Je fini par retrouver ma voix et lui demande de me faire un striptease. La belle se lève après m'avoir demandé si j'avais de la musique et j'hoche la tête. Je m'avance pour attraper mon téléphone qui trainait sur la table et vite-fait, je met une chanson sur les enceintes bluetooth. Comme un homme dans un bar de danseuse, je m'enfonce dans mon siège et appuie mon bras sur l'accoudoir. Serah commence à se déhancher, jouer avec son jeans moulant et je l'admire en sirotant dans mon verre une fois de temps en temps. Elle est séduisante, c'est fou. Je suis ensorcelée par sa beauté, mes yeux ne veulent pas la quitter. Puis, elle baisse son pantalon à la hauteur de ses fesses et se retourne pour me laisser une meilleure vue sur son postérieur. Une jolie culotte brésilienne noire orne son petit cul rebondi et j'humecte mes lèvres en la dévorant du regard. Plus je profitais du spectacle, plus j'avais envie de revenir sur mes paroles. D'ailleurs, je sentais déjà mon entrejambe se réveiller et je n'arrivais pas à trouver une position qui me fasse oublier cet inconfort. Après une grande inspiration, je me met au bout du siège pour poser mes mains sur ses hanches, afin de sentir ses mouvements.

Je continus de danser sans réellement me soucier de si je fais bien cela ou non, c’est pas ça l’important. C’qui compte, c’est que je le fais pour toi et que j’y prends plaisir. Je me sens sexy et désiré et y’a rien au monde qui rend une fille plus belle que d’être confiante. Tu sembles inconfortable sur le canapé ce qui me laisse aussi croire que je fais bien cela et me fait sourire bien sûr. Lorsque finalement tu viens poser les mains sur mes hanches, je m’approche un peu de toi et plante mon regard dans le tient. J’ai gravement envie de toi, mais si tu veux faire durer le plaisir encore un peu alors pourquoi pas. J’ai attendu cinq ans, je peux attendre quelques minutes de plus. Arrêtant de danser un instant, je me penche pour retirer complètement mon jeans et me retrouve simplement en sous-vêtements. J’attrape tes mains et m’en sers pour danser, ondulant un peu, me penchant presque jusqu’au sol avant de remonter. « Ça te plait..? » je te souris de plus belle, guidant tes mains sur ma peau chaude, caressant mes hanches, ma taille, mon ventre..