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Uriel Vernon ► Evan PetersPage 1 sur 3 • 1, 2, 3
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C'est le 31 octobre à Nob Hill, que les membres de la famille Vernon m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Uriel. Je suis libertin mais marié (explication dans l'histoire) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale vraiment aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que dealeur et joueur poker professionnel depuis 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizen. Uriel Alcide Vernon | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtard. Plutôt coquet ou négligé ? À la fin l'un et l'autre. Plutôt assidu ou sécheur pro ? Plutôt assidu. Plutôt romantique ou réaliste ? Aujourd'hui réaliste... Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Sympatiquement déplaisant. Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste. Plutôt optimiste ou pessimiste ? Pessimiste. Plutôt extraverti ou introverti ? Ici encore, l'un et l'autre. Plutôt sucré ou salé ? Salé. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Pacifiste. Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Physique... Style vestimentaire Parisien. Piercing Aucun Tatouage Aucun Je crois... Aux fantômes ? oui À l'apocalypse ? oui Aux coups de foudre ? oui À l'amitié fille/garçon ? non Aux sexfriends ? oui À une religion ? Déiste. À la magie de Noël ? non Au destin ? oui Aux fins heureuses ? non Je/j'ai... Déjà fait un threesome oui Une voiture Non Bois de l'alcool oui Fume oui Prend de la drogue Je suis dealer : teush, MDMA, speed, C, LSD, Mescaline ou encore opium.. etc Je prends de tout pour différentes raisons que vou découvrirez. Veux me marier non Veux des enfants 2. Une maladie grave non Un lourd secret oui
Beaucoup d'expérience au lit oui Beaucoup d'expérience en amour non Eu beaucoup de déception en amour non Eu beaucoup de déception en amitié non De la facilité à me faire des amis oui Des envies de meurtres oui Peur du noir non Peur de la solitude non De bonnes notes oui Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de groupe1 Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. ou de groupe2 Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. |
Pseudo/Prénom Plop. Âge 19 ans. Pays/Région Paris. Où as-tu connu le forum ? un forum. Tes impressions ici. Crédits tumblr. Avatar Evan Peters. Scénario ou PI ? Inventé. Facilité à s'intégrer ? ? /10 Mot de la fin ? |
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Histoire
Je me tus encore et fit craquer nerveusement mes doigts. Le silence était pesant. Seul le tic-tac de l'horloge semblait vouloir venir rompre le silence. Nous nous regardâmes ainsi pendant quelques minutes qui me parurent interminables. J'observai la pièce lentement. Des canapés de velours, un bureau massif en bois orné. À ma gauche se dressait une gigantesque bibliothèque murale. Je m'attardai sur une rangée de livre et parcouru rapidement les auteurs : certains étaient français, d'autres Irlandais mais la majorité venaient d'Albion. La psychologue finit par décroiser les jambes, poser les coudes sur ses genoux puis s'éclaircir la gorge.
- Uriel, si je veux parvenir à mieux vous cerner, il va falloir m'en dire plus sur vous, me dit-elle en me regardant par dessus ses lunettes en forme de demi-lune. Ses lèvres étaient pincés et le haut de sa chemise mal-boutonnée laissait apparaître un bout de la dentelle de son soutien-gorge. Je relevai les yeux.
- Vous voulez donc tout savoir ?, demandai-je. Tout ? Absolument tout ?
Elle opina du chef. J'arquai un sourcil puis m'installa au fond de mon fauteuil. D'une manière ou d'une autre de toute manière, j'allais bien devoir le faire bien que je n'en ai eu aucune envie. Si j'étais ici, c'était uniquement car la mère de ma... femme s’inquiétait. Mais il n'y avait aucunement matière à s'inquiéter, la réponse était claire : je n'aimais pas sa fille, je n'aimais pas ce mariage organisé. J'en aimais une autre.
Je me lançais donc dans le récit. Le récit de ma vie.
- Je suis né en Californie par une chaude nuit de printemps. J'étais un enfant charmant et extraverti. Mais aussi loin que je m’en souvienne, mon père m’a toujours détesté. Je sais, c’est un cliché et ça sonne faux. C’est énervant, mais formidable en même temps – le genre d’arme dont les gosses se servent à coup sûr quand le vieux ne veut pas vous accorder ce que vous lui demandez. En ce siècle de lumières, où tout le monde pense que la psychologie est un don de Dieu pour la pauvre vieille race humaine immobilisée au stade anal, et que même le président des États-Unis se bourre de tranquillisants avant le dîner, c’est un bon moyen de se libérer des vieilles culpabilités judéo-chrétiennes qui nous serrent la gorge comme l’arrière-goût d’un mauvais plat dont on s’est goinfré. Si on dit que son père nous déteste depuis qu’on est gosse, on peut s’exhiber dans tout le quartier, violer, ou incendier le bureau des casinos et obtenir les circonstances atténuantes.
Je marquais une pause, restant de marbre alors que je la voyais me contempler, légèrement ébahi. À sa tête, je vis qu'elle ne comprit par la référence. Elle baissa les yeux et commença à griffonner dans son carnet. Je la regardais ainsi écrire quelques secondes de plus avant qu'un sourire se dessine lentement sur mes lèvres. J'enchaînai.
- J'ai grandi en majorité tout seul. Mes parents étaient très souvent absent à cause de leurs boulot et j'ai du apprendre à décider par moi-même très tôt. Je ne sais pas si se fut une bonne chose, car je dois l'avouer aujourd'hui j'ai du mal à me dire que le monde entier ne m'appartient pas. (Je ris.) Rapidement, dès lors que j'ai su lire, j'ai fais des livres mes amis et de la bibliothèque de Snob Hill mon repère. Oh oui, normalement, j'habite à Nob Hill, mais cette ville est tellement blindé de riche qu'on nous appelle Snob Hill. C'est là-bas aussi que j'ai rencontré mon meilleur ami. Il s'appelle Gabriel et lui aussi est un féru de littérature. C'est souvent que j'allais chez lui passer du temps. D'ailleurs quand j'y réfléchis aujourd'hui, j'ai l'impression d'avoir habité chez lui tellement j'y allais.
- À l'école, j'étais bon. Excellent même. Je raflai tous les prix. Mes professeurs finirent par me faire passer un test psychométrique et il s'avérera que je suis un génie. Ca me fait rire. Vous savez, pour moi le génie est à l'intelligence ce que la folie est à l’imbécillité. Je me serai plutôt retrouvé dans le deuxième cas. D'ailleurs, pour alimenter mon génie, dis-je dans un accent anglais un brin moqueur, je côtoie bien trop souvent les paradis artificiels. Vous savez, les drogues quoi. D'ailleurs avec Gabriel on a commencé vraiment tôt quand j'y pense. Mais l'argent vous savez... L'argent. C'est une source de plaisir mais aussi de malheur. Aujourd'hui, il fait mon malheur. Il me détruit de façon parallèle.
Mon visage se referma et mes traits se durcirent. Je baissais la tête vers mes mains qui se crispèrent autour d'un bout du canapé. Ma respiration s’accéléra subitement mais je finis par retrouver mon calme et réussit à poursuivre mon histoire.
- Je ne voulais pas me marier avec Elle. J'ai été forcé. Nos familles sont parvenus à un accord il y a peu. Et je n'étais pas au courant... Non je ne l'étais pas. J'ai l'impression d'être revenu au Moyen-Age. (Je relevais la tête et plongeais mes yeux azurs dans les siens.) Vous savez en venant ici pour essayer de retrouver Gabriel, j'ai trouvé l'amour. Le vrai. Celui qui fait mal lorsque ça ne va pas. Celui qui brûle, qui déchire. Et aujourd'hui plus rien ne va ! Je suis à terre. Et amoureux, mais incapable de vivre cette histoire. Elle s'appelle Pénélope. Si seulement vous la voyez, elle est si belle. Ses cheveux sont d'un roux que j'ai rarement vu, sa peau est laiteuse et contraste magnifiquement bien avec le rouge de ces lèvres. Ses yeux sont légèrement en amande et pétillent tout le temps. Elle respire la joie de vivre, elle dégage tant de sensualité. Elle... Elle...
Ma phrase resta en suspens. Mes yeux commencèrent à briller et je retins mes larmes. Penser à elle était douloureux car je ne pourrai jamais être en mesure d'être avec elle, ni de lui interdire d'aller voir d'autres hommes que moi.
- Après ce mariage, je n'ai eu d'autres choix que de me tourner vers ceux à quoi j'avais goûté plus tôt dans ma jeunesse : le libertinage. Vous savez, ma famille m'a peut-être imposé une femme, mais on ne m'imposera pas de l'aimer ! D'ailleurs, savez-vous pourquoi m'a-t-on marié à la fille de votre amie, Madame ? (Elle secoua vivement la tête de gauche à droite, plongé dans mon récit) Car Pénélope n'est pas aussi riche que nous. Tout simplement.
- Aujourd'hui je vis donc une vie de plaisir, de femme peu souvent apprécié au-delà d'une nuit et mon nom est alors chuchoté par toutes les donzelles séduites comme une promesse de luxure. J'enchaîne à un rythme effréné les soirées qui me permettent l'espace de quelques heures la douleur de mon coeur. Madame, je vis torturé par l'amour que je porte à cette autre femme que je ne peux résolument pas interdire d'aller voir d'autres hommes..
- Uriel, si je veux parvenir à mieux vous cerner, il va falloir m'en dire plus sur vous, me dit-elle en me regardant par dessus ses lunettes en forme de demi-lune. Ses lèvres étaient pincés et le haut de sa chemise mal-boutonnée laissait apparaître un bout de la dentelle de son soutien-gorge. Je relevai les yeux.
- Vous voulez donc tout savoir ?, demandai-je. Tout ? Absolument tout ?
Elle opina du chef. J'arquai un sourcil puis m'installa au fond de mon fauteuil. D'une manière ou d'une autre de toute manière, j'allais bien devoir le faire bien que je n'en ai eu aucune envie. Si j'étais ici, c'était uniquement car la mère de ma... femme s’inquiétait. Mais il n'y avait aucunement matière à s'inquiéter, la réponse était claire : je n'aimais pas sa fille, je n'aimais pas ce mariage organisé. J'en aimais une autre.
Je me lançais donc dans le récit. Le récit de ma vie.
- Je suis né en Californie par une chaude nuit de printemps. J'étais un enfant charmant et extraverti. Mais aussi loin que je m’en souvienne, mon père m’a toujours détesté. Je sais, c’est un cliché et ça sonne faux. C’est énervant, mais formidable en même temps – le genre d’arme dont les gosses se servent à coup sûr quand le vieux ne veut pas vous accorder ce que vous lui demandez. En ce siècle de lumières, où tout le monde pense que la psychologie est un don de Dieu pour la pauvre vieille race humaine immobilisée au stade anal, et que même le président des États-Unis se bourre de tranquillisants avant le dîner, c’est un bon moyen de se libérer des vieilles culpabilités judéo-chrétiennes qui nous serrent la gorge comme l’arrière-goût d’un mauvais plat dont on s’est goinfré. Si on dit que son père nous déteste depuis qu’on est gosse, on peut s’exhiber dans tout le quartier, violer, ou incendier le bureau des casinos et obtenir les circonstances atténuantes.
Je marquais une pause, restant de marbre alors que je la voyais me contempler, légèrement ébahi. À sa tête, je vis qu'elle ne comprit par la référence. Elle baissa les yeux et commença à griffonner dans son carnet. Je la regardais ainsi écrire quelques secondes de plus avant qu'un sourire se dessine lentement sur mes lèvres. J'enchaînai.
- J'ai grandi en majorité tout seul. Mes parents étaient très souvent absent à cause de leurs boulot et j'ai du apprendre à décider par moi-même très tôt. Je ne sais pas si se fut une bonne chose, car je dois l'avouer aujourd'hui j'ai du mal à me dire que le monde entier ne m'appartient pas. (Je ris.) Rapidement, dès lors que j'ai su lire, j'ai fais des livres mes amis et de la bibliothèque de Snob Hill mon repère. Oh oui, normalement, j'habite à Nob Hill, mais cette ville est tellement blindé de riche qu'on nous appelle Snob Hill. C'est là-bas aussi que j'ai rencontré mon meilleur ami. Il s'appelle Gabriel et lui aussi est un féru de littérature. C'est souvent que j'allais chez lui passer du temps. D'ailleurs quand j'y réfléchis aujourd'hui, j'ai l'impression d'avoir habité chez lui tellement j'y allais.
- À l'école, j'étais bon. Excellent même. Je raflai tous les prix. Mes professeurs finirent par me faire passer un test psychométrique et il s'avérera que je suis un génie. Ca me fait rire. Vous savez, pour moi le génie est à l'intelligence ce que la folie est à l’imbécillité. Je me serai plutôt retrouvé dans le deuxième cas. D'ailleurs, pour alimenter mon génie, dis-je dans un accent anglais un brin moqueur, je côtoie bien trop souvent les paradis artificiels. Vous savez, les drogues quoi. D'ailleurs avec Gabriel on a commencé vraiment tôt quand j'y pense. Mais l'argent vous savez... L'argent. C'est une source de plaisir mais aussi de malheur. Aujourd'hui, il fait mon malheur. Il me détruit de façon parallèle.
Mon visage se referma et mes traits se durcirent. Je baissais la tête vers mes mains qui se crispèrent autour d'un bout du canapé. Ma respiration s’accéléra subitement mais je finis par retrouver mon calme et réussit à poursuivre mon histoire.
- Je ne voulais pas me marier avec Elle. J'ai été forcé. Nos familles sont parvenus à un accord il y a peu. Et je n'étais pas au courant... Non je ne l'étais pas. J'ai l'impression d'être revenu au Moyen-Age. (Je relevais la tête et plongeais mes yeux azurs dans les siens.) Vous savez en venant ici pour essayer de retrouver Gabriel, j'ai trouvé l'amour. Le vrai. Celui qui fait mal lorsque ça ne va pas. Celui qui brûle, qui déchire. Et aujourd'hui plus rien ne va ! Je suis à terre. Et amoureux, mais incapable de vivre cette histoire. Elle s'appelle Pénélope. Si seulement vous la voyez, elle est si belle. Ses cheveux sont d'un roux que j'ai rarement vu, sa peau est laiteuse et contraste magnifiquement bien avec le rouge de ces lèvres. Ses yeux sont légèrement en amande et pétillent tout le temps. Elle respire la joie de vivre, elle dégage tant de sensualité. Elle... Elle...
Ma phrase resta en suspens. Mes yeux commencèrent à briller et je retins mes larmes. Penser à elle était douloureux car je ne pourrai jamais être en mesure d'être avec elle, ni de lui interdire d'aller voir d'autres hommes que moi.
- Après ce mariage, je n'ai eu d'autres choix que de me tourner vers ceux à quoi j'avais goûté plus tôt dans ma jeunesse : le libertinage. Vous savez, ma famille m'a peut-être imposé une femme, mais on ne m'imposera pas de l'aimer ! D'ailleurs, savez-vous pourquoi m'a-t-on marié à la fille de votre amie, Madame ? (Elle secoua vivement la tête de gauche à droite, plongé dans mon récit) Car Pénélope n'est pas aussi riche que nous. Tout simplement.
- Aujourd'hui je vis donc une vie de plaisir, de femme peu souvent apprécié au-delà d'une nuit et mon nom est alors chuchoté par toutes les donzelles séduites comme une promesse de luxure. J'enchaîne à un rythme effréné les soirées qui me permettent l'espace de quelques heures la douleur de mon coeur. Madame, je vis torturé par l'amour que je porte à cette autre femme que je ne peux résolument pas interdire d'aller voir d'autres hommes..
Ottis HeimannMembre de la Pforzheimer House
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Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier.s d'habitation & Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études & Métiers : étudiant en technologie et innovation (4ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & pronom IRL : overlander (elle)
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Avatar utilisé : Arón Piper
Crédits : notaboo
Multicomptes : loyd mansfield
Description un :
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
Description deux :
KATTIS
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⬖ ⬖ ⬖
KATTIS
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
⬖ ⬖ ⬖
Description trois : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Capucine Nesbitt : meilleure amie ⬖ Aidan Nesbitt : meilleur ami ⬖ Elvira Kaine : amie ⬖ Jackson Brennan-Jobs : ami ⬖ Theodora Pasquier : amie ⬖ Jayson King : ami ⬖ Perséphone Lenoir : connaissance
Warning : maladie/cancer, sexe
RPS : 135
Messages : 53364
Lien du postVen 19 Oct - 22:04
Bienvenue!
✧. ❛ love on top. i know nothing'sperfect but it's worth it after fighting through mytears and finally you put me first. it'syou .
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Lien du postVen 19 Oct - 22:09
Merci bien belle demoiselle ! :rvmp:
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Lien du postVen 19 Oct - 22:13
Bienvenue officiellement !
Ouh ça sent la fiche préparée à l'avance
Ouh ça sent la fiche préparée à l'avance
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Lien du postVen 19 Oct - 22:19
EVAN PETERS, NEVER BACK DOWN
Il nous faudra un lien
Amuses toi bien parmi nous
Il nous faudra un lien
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Lien du postVen 19 Oct - 22:21
Andy McDougall a écrit:Bienvenue officiellement !
Ouh ça sent la fiche préparée à l'avance
Merci beaucoup ! :lol!:
Pour le spoiler, oui, c'était écrit depuis quelques temps. L'histoire elle, je viens de la réécrire en séance chez le psy. Je suis un mec plutôt productif.
G. Teodora Leonetti a écrit:EVAN PETERS, NEVER BACK DOWN
Il nous faudra un lien
Amuses toi bien parmi nous
Merci merci ! Avec plaisir pour le lien, tant qu'on ficelle bien le truc eheh. ;)
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Lien du postVen 19 Oct - 22:26
Ta fiche est terminée ? Tu veux rejoindre l'enfer ? :twisted: *pan*
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Lien du postVen 19 Oct - 22:30
- Bienvenue en enfer, j'ai hâte de pouvoir te pervertir mon enfant !
(Mondieu, si ça, ça fait pas fuir mdrrrrrrrrr)
(le smiley pour faire chou à la fin)
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Lien du postVen 19 Oct - 22:32
Andy McDougall a écrit:Ta fiche est terminée ? Tu veux rejoindre l'enfer ? :twisted: *pan*
Oui ! :twisted:
Rio Whitaker a écrit:Bienvenue en enfer, j'ai hâte de pouvoir te pervertir mon enfant !
(Mondieu, si ça, ça fait pas fuir mdrrrrrrrrr)
(le smiley pour faire chou à la fin)
Me pervertir ? As-tu lu ma fiche ?
Eheh, j'adore ce smiley de fin moi ! Merci pour le bienvenue. :twisted:
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