Je l'observais un long moment sans jamais savoir quoi faire. Merde alors sa mère est morte en lui donnant là vie, bon sa je savais il me semble qu'elle m'en avais fais part un fois mais que sa mort à elle soit causé par un accident je ne savais vraiment pas quoi dire. J'était un gars qu'on considéré de connard pur et dur parce que je savais pas comment remonter le moral des gens. En fait dans un sens moins je m'impliquais moins j'avais mal. Pourtant avec elle, cette femme là, je ne pouvais pas m'impliquer parce qu'elle était ma nouvelle raison de vivre et c'est aussi sans doute ce qui me pousser dans ma jalousie ou dans mes gestes. Là, par exemple, je la prends dans mes bras, je l'enlace avant de l'embrasse des plus tendrement et au lieu de resté sur cette touche triste et qui nous blessais tout les deux je la portais tout contre moi, mon torse, laissant ses jambes s'enrouler autour de mes hanche. Je la regardais droit dans les yeux avec un sourire malicieux et je lui fis un signe de tête pour qu'elle me dise le chemin de la salle de bain la plus proche. une fois en route je me guidais selon ses dires tout en venant poser mes lèvres dans son cou, ou bien sous son oreille. Je riais, c'était bête mais j'évacuais la tension comme ça en cet instant. une fois dans la pièce je la pause sur l'évier. Je la regarde et je défais ses cheveux qui tombent en cascade dans son dos. Je glisse ma main dedans sans jamais parlé. J'observais ce moment me semblais plus intense ainsi. Je caressait ses cheveux et je venais faire des baisers sur ses joues, ses paupières closes, ses lèvres, son nez, le front sur lequel je m'attardais sans doute un peu trop. Je venais à présent glisser mes doigts sur la fermeture de cette robes que je m'appliquer a ouvrir, je retirais cette robes en levant ses bras et en la faisant passer par dessus sa tête. je susurre.

« Ne la remet plus celle-ci, elle attire trop l'attention sur la femme de ma vie, elle rends les autres jaloux et ils essaient de te retiré de ma vie. Je ne le supporterait pas. Je t'achèterais un robe de none ce sera sans doute mieux. »

Je reste sérieux l'espace d'un instant histoire de voir là tête qu'elle fera suite à mes mots avant de rire davantage, Mon dieu cette tête me fera toujours rire. J'explose et je ris doucement en secouant la tête comme l'idiot que je peux être parfois mais je voulais qu'on décompresse qu'on profite du reste de cette nuit. Je la regarde et je viens l'enlacer, la collant contre mon torse encore recouvert, je sens sa chaleur et elle m'apaise. Je recule une nouvelle fois et je l'observe un dernier instant avant de finir totalement par la mettre nu sur cet évier. Je voit son dos, ses cheveux et sa cambrure au travers du miroir et j'adore ce que je voit, cela se lis dans mon regard.