J’étais entrains de m’imaginer en lapine, non vraiment, il fallait surtout ne pas imaginer ce genre de chose ! Moi en lapine, trop sexy pour que l’on puisse garder notre sérieux. Je ris légèrement à sa remarque, il ne voulait pas non plus que j’enfile un déguisement sexy de lapine ? Je verse un bourbon de vingt ans d’âge dans nos verres et lui tends le sien. C’était un grand cru pour un bourbon, un gout fort, puissant mais aussi fruité, car oui mes alcool je les aime un peu fruité ou alors boisé, mais certainement pas sec ! Je laisse mon verre de cristal venir percuter très délicatement le sien. On appel sa trinquer les enfants.

« A nous, nos rêves, nos passions, à notre relation et pourvu qu’elle dure toute notre vie, mais aussi à cette rentrée au prêt de toi mon chéri, dans cette magnifique et prestigieuse confrérie, la Eliot House. Je t’aime bébé, pour toujours et à jamais. »

Voilà qui été dit. J’avais besoin qu’il sache que je l’aimerais toute ma vie. Amaël m’appartenais tout comme je lui appartenais aussi, nous étions lié l’un à l’autre. Avec nous on ne s’ennuyait jamais ! Il est vrai qu’Amaël et ma meilleure amie Jolene étaient les deux seules personnes qui savaient mon vrai visage, celui de la petite peste pourrie gâtée à son papa. Avec eux j’étais moi-même, je ne faisais pas semblant d’être un ange, je pouvais être moi sans me mettre des barrières. Mon chéri était l’homme de ma vie, mais aussi mon partenaire de crime ! Lorsque je faisais un coup bas à quelqu’un ou une humiliation indirect et j’en passe, il était toujours mon complices tout comme j’étais sa complices aussi.

« Si nous profitions de ce trajet pour trouver notre prochaine cible pour la rentrée ? Tiens tu parles toujours à cette Danneel machin truc ? »

Lui demandais-je avec un sourire diabolique au lèvres, à elle si je pouvais me la faire, entre mon cousin et mon chéri, je la trouvais un peu trop proche des gens que j’aime, et une amie à mon deuxième cousins aussi … Non décidément si je pouvais lui nuire, lui faire du mal, je le ferais bien volontiers ! J'avais remis mon unique sous-vêtement, puisque je n'avais pas de soutiens-gorges sous ma robe en dos nue, rappelons le.

En simple tenue de petite culotte un verre à la main on carrément dire que ma chérie faisait pas les choses à moitié elle avais de quoi plaire aux hommes mais à moi tout particulièrement. Je souris tout grandement quand elle me dis qu'elle m'aime et je rougis légèrement quand elle parle de m'aimer toute sa vie, c'est aussi ce que j'ai de prévus avec elle. Je n'allais certainement pas la blesser, lui faire du mal ou quoi que ce soit, j'avais déjà en tête le jour ou je me marierais avec elle parce que je ne voulais personne d'autre qu'elle, même les femmes qui me trainer autour n'avais pas l'attention toute particulière de cette demoiselle. Je la regardais tendrement et je trinquais avec elle, on entrais tout les deux dans la même confrérie cette années et sa voulais clairement dire qu'on allais se trouvé des cibles à abattre de nos jeux stupide et notre méchanceté. Il ne faut pas se fier à toute la mignonitude de notre relation en dehors de tout ça les autres souffraient de nos moqueries, de nos sales coups qu'on faisait encore une fois tout les deux. Je pouffe de rire quand elle en viens à parle de l'une de mes deux meilleures amie, en effet elle et Danneel ne se supportait pas, elle trouvais qu'elle était trop proche des gens qu'elle aime et moi je trouvais mignon qu'elle protège à ce point les gens qu'elle aime.

« Oui chérie, je parle encore avec Dann, tu sais bien que c'est une gentille femme, elle ne fera jamais rien pour blesser les gens que tu aime même si tu trouve qu'elle en ai proche. Voyons tu n'a pas besoin de pensé ça d'elle, elle est un fille tout aussi blesser par la vie que j'ai pu l'être, et que toi aussi tu a pu l'être avant qu'on ne se trouve toi et moi. »

Je tire sur son poignet mettant maintenant assis sur la banquette de la voiture, pour qu'elle se retrouve face à moi sur mes cuisses. je la regarde et je viens poser un baiser au creux de son cou.

« On pourrais peut-être oublié Dann là et voir pour martyriser quelqu'un d'autre qu'en-pense-tu ? Il y aura des nouveau a Harvard cette année on trouvera bien une cible facile pour commencer. Et si tu devenais amie avec un fille timide ? On pourrais lui faire croire qu'un garçon l'aime et lui foutre la honte ? »

Je la regarde tendrement en posant ma main sur son derrière et je boit une gorgé d'alcool.

Je fronce les sourcils, comment ça oublier Danneel ? Je n’étais vraiment pas d’accord et je croise les bras, lui faisait une moue déçue. Je ne suis pas d’accord du tout avec ça décision ! Je commence à réfléchir, je n’ai pas été blessé par la vie ! Jamais ! Enfin si souvent même, mais je détesté l’entendre dire ou en parler. Je commencer à grogner un peu, je n’aimais pas me prendre la tête avec mon chéri, mais pour le coup je ne pouvais pas laisser passer ce qu’il avait dit, certaine pas ! Je plonge mon regard azure dans le sien, sourcil fronçaient et regard sombre, je prends la parole sur un ton ferme.

« Jamais, tu m’entends jamais je n’ai été blessé dans ma vie, malgré le manque maternelle, et après tout ? Je ne l’ai jamais connus alors je m’en fiche bien, mon père a toujours su combler ce manque ! Et puis quoi quelques ruptures, soit toute de mon propre chef donc je n’ai jamais eu le cœur brisé. Ne dit plus jamais que la vie m’a blessée ! Je ne suis pas comme ta paumée de meilleure amie suédoise, elle à aimer un homme qui a fuis en lui posant un lapin le jour où elle voulait lui annoncer, elle à fait sa salope pendant le summer camp en couchant avec plein de mec, en plus elle est bisexuelle, et sa génitrice va crever ! Alors oui elle est blessée par la vie cette droguée, mais je ne suis pas comme elle ! Ta pute tu te la garde et tu ne me compare plus jamais à elle ! »

Je me retirais de ses genoux allant me posé en face de lui, et là c’était le froid, je boudé, et quand c’était le cas, Amaël le savait j’étais compliquée à amadouer. Je ne voulais plus jamais qu’il me compare à l’autre artiste raté. Elle n’était rien, une punaise sur ma route que je me ferais un plaisir de pulvériser tôt ou tard. Je lançais un regard glacial à mon chéri. Dieu que je l’aime cette homme et je ne supporte pas lui faire la tête mais cette fois il avait dépassé les borne, on ne me compare pas à une salope sans que je m’énerve. Alors que rien ne semblais pouvoir se passé de plus, mon téléphone sonna. Habituellement je ne l’aurais pas regardé pour profiter de la présence de mon chéri, mais comme je lui faisais la tête, j’attraper mon smartphone pour lire un sms d’une Mather, une certaine Echo. Je fronçais le sourcil, mes joues devenaient rouge de colère ! C’était une blague ?! Une petite conne de Mather s’en prenais à l’image soigner de mon cousin et à Noah, bien que je n’apprécier pas ce dernier, je prenais sa défense et pour raison, c’est un Eliot, s’en prendre à un Eliot, c’et s’en prendre à tous les Eliot.

« Non mais je rêve !! C’est qui cette grognasse ? Encore une Mather mal lécher et mal baisé ! Alors elle je ne vais pas le loupé. Tiens chéri tu voulais une cible, la voilà ta cible, une certaine Echo. Chéri, elle s’en prend ouvertement à mon cousin, ton futur beau-cousin, on ne peut pas laisser passer une tel chose, pour le coup soit tu es avec moi pour régler cette histoire, soit tu es contre moi, mais dans le cas échéant, nous devrons avoir une discussion, mais pour qui elle se prend ! Regarde ça ! »

Je lui donner mon portable en venant finalement reprendre place à côté de lui, entre temps je remise ma robe sur mon petit corps frêle. Berlioz baissa le volume de sa radio, il venait de m’entendre grogner, et il tendait l’oreille non pas contre Amaël, mais il était protecteur envers moi, un peu comme un oncle. J’étais furieuse, si j’avais pu aller voir cette fille là tout de suite je l’aurais fait, mais non il me fallait un plan et un bon, je n’avais qu’une envie, faire d’Echo ma Franchie numéro deux, Amaël ne savait rien de cette histoire, et je ne voulais pas lui en parler, j’avais peur qu’il ne me voit plus comme la femme qu’il aime mais comme le monstre que je suis réellement.

« Alors mon tendre amour, dit tout à ta petite copine super lapine super belle, quelle va être ta décision vis-à-vis de cette fille qui visiblement ne sait pas à qui elle s’en prend, pauvre petite âme sans défense. Es-tu prêt à faire d’elle notre victime ? »

Lui demandais-je en plongeant mon regard azur dans le sien. Lorsque j’étais en colère, il le savait, je devenais très vite une garce sans cœur envers mes ennemis. Je devais tout apprendre sur cette fille et au plus vite, j’allais utiliser ses faiblesses contre elle, trouver ces pire secret et Cambridge Secret’s allait devenir ma meilleure alliée pour dévoiler toute mes trouvailles qui ruinerais sa vie. Hors de question qu’elle s’en sorte cette petite catin des bas-fonds, cette droguée ! Décidément les Mather commencé à me sortir par les yeux, l’année commencée tout juste et ils faisaient déjà des problèmes !

Tout avais dérapé en moins de deux et je regardais Athénaëlle qui semblais m'en vouloir d'avoir oser la comparé à elle, à ma meilleure amie, ce qu'elle n'a pas pensé à mentionné c'est que j'était aussi dans le lot quand j'ai dis qu'on avais souffert et elle m'a exclus sans la moindre once de tendresse envers moi, je m'en sentais cependant pas déçus ou triste parce que je savais bien que sa haine pour Dann était des plus forte et des plus dure. Je la regardais s'asseoir en face de moi et je finissait mon verre, ce soir devais être une soirée romantique parce que depuis notre retour de nos vacances nous avions eu des choses à faire de notre côté et qu'on s'était manqué mais apparemment, les gens s'acharné a gâcher notre nuit d'amour. Je fermais les yeux après avoir posé le verre et je soupirais ma déception.

« Chérie voyons, ne m'en veux pas tu sais bien qu'elle est mon amie et toi tu est la femme de ma vie, je sais bien que tu ne l'a supporte pas et je ne t'en veux pas le moins du monde quant au fait que tu ne l'aime pas. Cependant, ne me dis pas que tu n'a pas souffert, je connais certaines de t'es peine et mon rôles c'est de t'aider à les porter comme tu as porter les miennes quand je t'ai parlé de mes parents, les vrais. Cette soirée devais être notre soirée et les gens s'acharnent à la détruire je commence à être frustré parce que ce que je voulais ce soir c'est toi et toute seule juste pour moi, pas ce serveur... Cet encu.. qui touche ton corps devant, pas cette dispute... »

Soudain alors que j'essaie de ma sortir en vain de la petite crise que fais ma copine concernant Ma maladresse concernant Danneel, et concernant notre soirée gâché elle enchaine avec se message, elle n'a pas pour habitude de me couper la parole pour parler d'un message reçus alors que moi je voulais règle notre différent. Cette femme, Echo cherchais des poux à ma chérie et la connaissant sa n'allais pas passer comme une lettre à la poste au contraire. Echo parle du cousin de ma chérie et sa achève de me la mettre en colère. Elle en viens même à me demandé si je serais contre elle. Je fronce à mon tour les sourcil et je la regarde.

« Quand je te dis que ces gens gâchent notre soirée en amoureux Athénaëlle. Bien sûr que je suis avec toi, bien spur que je serais dans t'es rangs et je ferais aussi de sales tour pour qu'elle souffre en ose s'en prendre à Cole c'est comme s'en prendre à toi et sa ne passe pas. Faisons donc d'elle notre futur victime, allons lui réglé son compte dans les prochains jours. »

Je soupire, me baisse et je me r'habille, une chose est sûre notre soirée romantique est belle et bien terminé et je m'en sent triste parce que les cours reprennent et qu'on risque de ce soir moins souvent que ces vances où nous étions totalement ensemble presque h24. Je me r'assoie et je la regarde.

« Qu'as-tu en tête pour commencer notre plan ? Je te suis comme d'habitude chérie. »

Je soupirais, je n’aimais pas me prendre la tête avec mon chéri et lui faire un scandale n’étais pas dans mes habitude. Nous avions passé des vacances de rêves, dans des coins paradisiaque du monde, et nous avions dus rentrer et reprendre nos vis, ce soir nous nous revoyons pour la première fois depuis notre atterrissage. Je lève les yeux sur lui. Quand il me dit que s’en prendre à mon cousin c’et s’en prendre à moi et que ça ne passe pas, j’ai un sourire satisfait qui se colle à mes lèvres si douce. Je soupire une nouvelle fois, attestant qu’il n’avait pas tort sur un point. Nous avions juste besoin d’une soirée en amoureux, nous ne demandions pas grand choses, mais les gens ne le voyais pas du même œil et venais nous pourrir notre belle soirée. Je réfléchi un peu avant de lui répondre.

« Oui tu as raison mon amour, les gens s’évertue à gâcher notre belle soirée. Bon pardonne moi pour mon scandale, mais je n’aime pas ta meilleure amie, au mieux je pourrais finir par la tolérer mais rien de plus. Et si je le fais ça sera uniquement par amour pour toi. Bon aller arrêtons de nous disputer, je ne veux pas qu’on se dispute. Pardonne-moi, parfois je réagis comme une imbécile, mais que veux-tu, je suis une femme, et les femmes parlent avant de réfléchir à leur colère. »

Parlent ? Je n’avais pas parlé, j’avais aboyais sans lui laisser l’occasion d’en placer une, encore un défaut des femmes que de tout minimiser. Nous avions peu de temps pour agir, et je voulais tout savoir sur Echo, absolument tout. J’avais déjà un plan en tête, qui n’allait pas plaire du tout à Amaël, mais tant pis, nous devions agir dans les plus brefs délais. Je lui dépose un baiser sur ses douces lèvres histoire de me faire pardonner pour le scandale sur sa meilleure amie mais aussi pour ce que j’allais lui annoncer comme plan.

« J’ai un plan, mais il ne va pas te plaire. Nous allons avoir besoin de ton frère aussi. Tu vas te rapprocher d’Echo, lui dire que tu as entendue parler de son message et que tu es entièrement d’accord avec elle. Tu vas devoir lui avouer que l’année commence tout juste, mais que tu voudrais déjà planter les Eliot car tu ne les supporte plus, que tu ne te sens plus à ta place dans ce monde d’Elite médiocre et sans cœur. Si elle te demande d’entrer dans les détails tu lui dis que je t’ai lourdé pour ton frère, tout simplement car il est plus vieux. Et moi je me pavanerais bras dessus et bras dessous avec ton frère, promis rien de plus chéri, et quand elle commencera à te faire confiance parle le lui de ton passé, enfin non invente en un qu’elle n’ait rien contre toi après. A ce moment-là elle va finir par être triste et compatissante envers toi et elle va se livrer à toi. Parler de tout, je veux tout savoir sur elle, ses ex, ses secret inavouable tout ! Fait lui croire que tu commences à l’apprécié bien plus, que tu veux tenter une histoire d’amour avec elle après avoir eu toutes les infos. Et lorsque je balancerais la bombe à CS, vous aurez un rendez-vous au quel tu lui poseras un lapin, et je lui enverrais Juan et Estbàn, deux frères qui sont très réputé pour les viols, les humiliations, les enlèvements et j’en passe. Ils l’enlèveront, la mettrons nus dans les bois, et lui feront croire qu’ils vont la violée, pour au final l’abandonné dans les bois sans vêtement ni portable. »

Je buvais une petite gorgée de mon verre avant de reposer une nouvelle fois mes lèvres contre c’elle de mon amoureux, je l’aime et si jamais il ne veut pas faire le plan avec moi alors tant pis je devrais le poussé à vouloir quant même.

Ma chérie revenant vers moi avec un large sourire je sentais que ce plan allais être des plan les plus diaboliques qu'elle n'est jamais fais. Je l'écoutait alors que je fut plus que surprit de la tournure de ce plan. Moi qui ne supportait pas vraiment les viols et tout ça voilà qu'elle voulais poussé cette fille au suicide. Parce que oui, on sait qu'Echo n'est pas la plus douce des filles mais tout de même lui faire croire à un viol.. C'est vraiment violent cette fois-ci.

« Hey chérie, d'où sort tu un plan pareille, je le trouve plus cinglant que tout ce qu'on à pu déjà faire. Concernant le point de lui faire croire à un viol je trouve ça vraiment abuser. Je suis désolé d'être contre toi sur ce point mais tu doit savoir que je n'aime pas ça, tu n'a pas peur de poussé cette pauvre fille à qui on a surement dictée tout ce message au suicide. Tu sais elle est peut être instable mentalement et on devrais pas être impliqué si elle passe à l'acte après ça. Je sais bien qu'on est fourbe qu'on fait des plan et qu'on s'occupe de remettre les gens à leurs place mais tu n'a pas l'impression qu'on va trop loin là ? »

Je mordille ma lèvre vraiment inquiet. Je la regarde et je prends sa main dans la mienne en baissant le regard un moment. Je me sens vraiment dégoûté et en colère contre ceux qui ont gâcher notre soirée, mais ça prends une tournure qui ne me plais pas vraiment.

« Tout ce que je voulais moi, c'était du temps avec toi, rien de plus. Encore moins un sms de ce genre, je suis en colère contre cette fille parce qu'elle s'en prends à ta famille et je sais que tu n'aime pas ça mais, tu pourrais pas revoir ton plan, trouver un truc moins dur. Attention chérie je ne prends pas sa défenses loin de là, mais je trouve que c'est excessif. J'ai pas envie que ça nous retombe dessus. Et impliquer mon frère alors qu'il ne cherche que la faille pour te piquer à moi ? Vraiment ? »

Mon frère (PNJ), à toujours voulu avoir ma petite amie, parce qu'il avais craquer sur elle bien avant qu'elle et moi ce soit du concret. Il en a toujours voulu à notre couple et je craint que cette fois, ne pas être d'accord avec elle sur ce plan puisse être la chance qu'il cherche pour se rapprocher d'elle et tenté de faire qu'elle me quitte. Je n'aime décidément pas du tout le tournure de cette soirée. Dire que tout commençait bien et que tout est gâcher. On peut voir cette soirée comme une soirée baise dans une voiture plutôt qu'un rendez-vous amoureux. Je n'ose plus rien dire, je m'attends simplement aux foudre que va m'envoyer Athé' quand elle verra que je ne suis pas serein.

« Franchement Athé, ma chérie, je t'aime plus que tout au monde mais ce coup là, je ne le sens vraiment pas, j'ai l'impression que sa va tout briser.. Je ne sait pas pourquoi, et je comprendrais que tu soit en colère après moi, ou que tu ne veuille plus me voir pour un moment ou peut-être toujours mais, j'en sais rien c'est peut-être trop gros cette fois non ? »

J'avais déployé tout les moyens possible pour qu'elle comprenne que cette fois pour moi c'était beaucoup trop gros, je ne veux pas qu'on soit associé a cette Echo, qu'on disent que c'est nous qui lui avions fais du mal. Je voulais qu'une soirée romantique merde. Pourquoi tout le monde cherche à détruire notre couple, j'aime cette fille putain de fort, puissamment je pourrais tout faire pour elle. Elle est mon souffle et je peut pas vivre sans elle. Vraiment, si elle me quitte un jour, je suis mort, considérez vraiment ce point. J'aime Athénaëlle plus que tout au monde.

Certain mot que Amaël venais d’utiliser me faisait ma, pouvait-il être au courant pour cette petite française ? Je n’en savais rien et je ne voulais pas le savoir. Je ne voulais pas me souvenir de sa. Il avait bien raison sur un point, être responsable indirectement de la mort de quelqu’un vous marque à tout jamais, et moi j’avais été marquée, même si je vivais très bien avec ce secret. Je plongeais mon regard dans le sien. J’avoue que inclure son frère dans le plan n’étais pas une bonne idée nous plus. Je lâche un soupire de frustration malgré tout. Je me revoyais dans les couloirs, riant avec mes deux camarades de nos futur plan d’humiliation contre la petite française, sauf que ce jour-là nous ne l’avions pas vus arrivée, c’est seulement quelque heure plus tard qu’une prof nous annonça la nouvelle, elle avait mis fin à ses jours en dénonçant avoir été victime d’un meurtre par humiliation. Je ne voulais pas revivre ça, jamais, alors quand Amaël avoué ne pas avoir envie d’être mêlé à ce qui pourrait très vite tournée à la même conclusion que mon histoire dans le passé, je soupirais, le ventre noué ! Je me serais contre lui, cherchant du réconfort sans lui en dire la raison. Je posé ma tête sur son épaule.

« Tu as raison chéri, je te propose qu’on revoit tout ça plus tard, on trouvera quelque choses de beaucoup plus soft, après tout nous ne sommes pas des montre non plus. Si on rentré et qu’on se posait devant un petit feu de cheminé ? Ou devant une série ? Ou tout simplement qu’on reprenait le cours de notre soirée ? Je n’aime pas te voir comme ça. Et pardonne moi pour l’idée avec ton frère, c’est atroce de t’avoir dit ça alors qu’il est contre notre couple, pardonne moi. Je te promets que plus jamais une idée pareille ne traversera mon esprit diabolique. »

Berlioz ouvrais le petit fenestron qui donnais communiquer entre la cabine conducteur et le reste de la limousine. Il me faisait comprendre que Monsieur voulais que je réponde à mon portable. Monsieur c’était le nom que donné Berlioz à mon père. Je faisais donc la remarque à Berlioz de dire à mon père que je le recontacterais demain et que j’allais me coucher. Berlioz savait mentir pour me couvrir parfois, et c’est avec un sourire aux lèvres qu’il refermait la petite vitre et s’exécuta. La limousine se garée enfin devant la villa gigantesque, je n’avais qu’une envie, prendre une bonne douche avec mon chéri, et puis qui sais peut-être que le courant sensuelle allait nous toucher à nouveau, mais pour le moment il fallait sortir du véhicule. Berlioz mon chauffeur venais alors m’ouvrir la porte et me tendais sa mains avec galanterie pour m’aider à descendre de l’automobile. Je prenais sa main et la relâchais aussitôt sortie de l’habitacle.

« Au moins un qui fait preuve de galanterie, cela fait plaisir à voir que les us et coutume d’un temps que nous n’avons pas connus sont toujours en pratique de nos jours. N’est-ce pas mon amour ? » Me moquais-je de mon tendre amour avant de venir l’embrassais. «  Ne boude pas je plaisante. Berlioz vous pouvez prendre votre soirée, je suis en sécurité avec Amaël, bonne soirée Berlioz à demain matin. »

Je prenais la main de mon chéri et l’entrainé avec moi dans la villa. Une fois la porte verrouillée je me tournais vers lui et lui offrais un sourire. Faisais-je réellement comme si aucune dispute n’avait eu lieu entre nous ? Oui et alors ? Je ne voulais plus qu’on se déchire pour des raisons bêtes. Dans l’entrée il y avait un portrait de ma mère, je le fixais comme à chaque fois que j’entrais dans cette maison. Habituellement tel une enfant en manque de sa mère qu’elle n’as jamais connu, je prenais le temps de lui raconter ma journée, et de lui dire un je t’aime. Etrange pour une fille qui dit ne jamais avoir souffert de l’absence d’une mère. Mais je ne voulais pas faire ça devant Amaël, il allait croire que j’étais folle. Je me contente donc de reconcentré mon attention sur le jeune homme face à moi. Je venais contre lui pour lui dérobé un tendre baissé passionné.

« Je t’aime mon amour, si on allait se détendre un peu ? On peut faire ce que tu veux. Boire un verre, regarder un film dans la salle de projection, aller dans ma chambre nous reposer, prendre une douche dans ma salle de bain, aller dans le jacuzzi ou dans le sauna, plonger dans la piscine pour prendre un bain de minuit, on peut même faire venir un prête pour se marier en douce. Ou alors commander plein de bonne choses à manger, tout ça pour dire que ce soir, pour me faire pardonner, c’est toi qui choisit ce qu’on fait. »

Je prenais sa main dans la mienne et après un long regarde échangé, je venais posée mes douce lèvres sucrées contre les sienne, j’aimais être avec lui-même si certaines personnes naviguer très franchement contre notre couple, tel que son frère mais aussi Noah Ferrari ce sale petit prétentieux, et certainement d’autre personnes mais nous ne le savions pas encore. Peu m’importais les jaloux, les envieux, tant que nous étions ensemble nous leur tiendrions tête à tous. Je venais poser sa main au niveau de mon cœur, rompant le baisé intime et tendre que nous échangions, je mettais ma main sur la sienne pour qu’il la plaque contre ma poitrine sous la quelle bat mon petit cœur de pierre et de glace. Durant toute ma vie je m’étais forgé une carapace, mais lui, il avait sus me mettre à nue, et voilà aujourd’hui je l’aime bien plus que tout.

« Tu sens ce petit cœur qui bat mon amour ? Il ne bat que pour toi, oui uniquement toi. Et ce soir on a vécu un moment vraiment pas facile et je voulais que tu sache à quel point je suis folle de toi. L’année dernière si on m’avait dit que je sortirais avec mon meilleur ami d’enfance j’aurais rigolé, jusqu’à ce que j’ouvre enfin les yeux sur la nature de mes sentiments, que je laisse enfin mon cœur s’ouvrir à toi. Je t’aime Amaël, et je voulais que tu sache que tu es et restera le seul homme de ma vie. Aucun autre homme ne peut t’arrive à la cheville. Tu me connais par cœur, tu me dompte quand je deviens sauvage, m’adoucie quand je suis en colère, tu es le seul à savoir me faire entendre raison quand mes plan sont bien trop mauvais et méchant. Alors oui en ce jour ici et maintenant je veux que tu sache que ce petit cœur qui bat juste sous ta main, il est à toi pour toujours, prend en soins, il est unique. »

Je souriais en le laissant enlever sa main de ma poitrine. Je n’avais qu’une envie, qu’il me pardonne ce qui venais de ce passé dans la voiture, il voulait être ami avec cette pimbêche de Suédoise ? Alors qu’il le soit, après tout j’avais confiance en lui, j’avais confiance en l’amour qu’il me porté. Je ne pouvais pas fermer les yeux sur cette amour juste pour un plan stupide qui risquais de mené de nouveau à un drame. Je refusais de le perdre à cause d’une paumée et droguée de Mather ! Je plongeais mon regard dans le sien, le laissant maintenant décisionnaire de ce qui allait ce passé par la suite. Mais si jamais il voulait prendre du recul et rentré chez lui, je ne pourrais pas lui en vouloir, après tout ce soir j’avais été beaucoup trop loin. Je l’aime d’un amour indéfini.

On avais été trop loin dans le plan ce soir, inclure une droguée et mon frère dans ce plan là, je ne le sentait vraiment pas et je l'avais fait comprendre à ma chérie. Elle était une bonne personne, elle ne voulais pas qu'on soit impliqué dans des plans vraiment très dur. Qu'est-ce que je disait déjà ? Que ma chérie était une bonne personne. Quand elle comprends que pour le coup je ne le sens pas elle me dis qu'on verra plus tard et qu'on fera quelque chose de plus soft et tranquille. On pourra lui faire bouffer la poussière à cet idiote de nana qui ose s'en prendre à la famille de la femme de ma vie.

« Chérie, ne t'en veux pas d'avoir impliquer mon frère dans cette histoire je comprends bien que tu aie voulu m'envoyer auprès de cet pimbêche pour que tu soit sûr que je récolterais les informations nécessaires et que mon frère fasse pas tout capoter, mais te laisser seule avec cet hypocrite juste une minute me brise tu comprends. Il fera tout pour nous briser, il pourrais dire que vous aviez coucher ensemble alors que moi je sais que ce ne serais pas le cas, il jouerais contre nous pour nous mettre le doute de l'autre en tête. On a confiance l'un en l'autre et je ne veux pas qu'il gâche tout ce que j'ai dis chérie. Je t'aime tellement que j'ai peur qu'il te brise. »

Et j'en pensais chaque mots, mon frère ne faisait pas partis des personnes que j'aimais le plus, il croyais être le meilleur de la famille parce qu'il à été adopté en premier mais il gâche tout et avec tout le monde, il veux que la perte de mes parents et je le haie pour bien plus de raison encore. Alors que j'était perdu dans mes pensées envers mon frère j'entends qu'elle ne souhaite pas parler avec son père et qu'elle lui dis qu'elle lui parlera le lendemain, je glisse ma main dans la sienne alors que je la sentais se lover contre moi, je m'appliquais à la prendre dans mes bras. Il arrive à tout les couple de se disputais nous c'était à cause e Dann puis du plan mais jamais je n'aurais laissé tomber mon amour pour autant. On arrivais enfin dans la grande maison et je riais à la petite blague d'Athénaëlle avant de la suivre dans la demeure, quelques choses de magique se trouvais dans cette maison je ne saurais dire quoi exactement mais c'est comme si j'avais laissé ma session boudage dans la voiture. Je n'en voulais pas à Athénaëlle. Mais elle en avais décidé autrement et venais de s'excuser, elle me disait que je pouvais choisir ce qu'il me plaisais qu'on ferais tout ce que je voudrais, je l'enlaçais alors je je venais déposé un baiser sur son front.

« Bébé, je ne t'en veux pas, en fait je comprend tes mots et ton envie de te venger. Vraiment. Je peux comprendre que la famille c'est précieux et que tu ne voulais simplement que les protéger, je ne dis pas qu'on ne doit pas se venger mais simplement qu'on y aille en douceur, parfois c'est ce qui fais le plus mal. Pour ce qu'il en ai de notre soirée, je penses qu'on devra remettre ça, je parle bien sûr d'une vraie soirée ou l'on quittera la ville, ou l'on éteindra nos portable. Toi et moi contre le monde bébé. Ce soir et pour rattraper ce que tous ont tenté de détruire, j'aimerais qu'on prenne une bonne douche tout les deux, j'aimerais glisser mes mains sur ton corps, j'aimerais aussi embrasser cette peau qui me fais tant envie. Je t'aime Athénaëlle et je veux être avec toi. je ris légèrement. Ou sinon, marrions-nous, mais touts nous en voudrons. »

Je riais doucement curieux de sa futur réaction quant à ma dernière phrase, si on venais à se marier ce soir dans le dos de tous je croit qu'ils nous tuerais. Ma mère la première parce qu'elle voudra faire le plus grands des mariages quand je lui annoncerais. Et puis pour ma demande je veux faire quelques choses de parfait pour la plus parfaite des femmes que je n'ai jamais connut. Celle qui me soutient en tout temps, celle qui m'aime envers et contre tout, celle qui me connait mieux que tout. Quand elle pose ma main sur son cœur qui bat et qu'elle me dis tout ces mots qui me touchent plus que tout je sens l'émotion se bloquer dans ma gorges. Athénaëlle est le femme qui j'aimerais vraiment toute ma vie. Ses mots me touchent en plein cœur et me donne envie de pleuré. On dis que la première femme dans la vie d'un femme c'est sa mère, mais la mienne(la vraie) n'a jamais été la bonne pour moi. Ce soir, je veux qu'Athénaëlle sache que je l'aime à en crever pour elle.

« Mon amour, j'ai envie de pleuré, je pourrais passer pour faible là, mais je m'en tape, je t'aime et ces mots là ne sont pas assez fort pour m'exprimer, tu sais que ma mère adoptive n'a jamais pris le rôle de ma vraie mère, tu sais qu'elle, madame McAlloy, est ce que j'avais de plus précieux, mais toi tu est arrivé et ta foutu le bordel et je veux que tu sache que tu est celle qui est ma numéro un, celle qui pourrais me détruire, celle pour qui je vis, je t'aime d'un amour tellement fort qu'il me fais peur. Athé, mon ange. Si seulement tu pouvais comprendre... Je croit que les mots les plus important que je puisse te dire c'est que j'aime la femme que tu est plus que ma propre vie. »

Je baisse la tête et je mordille ma lèvres, elle ne se rends pas compte qu'elle me comble plus que tout.

« est-ce qu'on va prendre une bonne douche ? »

Comme si je n'aurais rien pu dire de mieux, Amaël idiot.

L’échange de mot doux étais ce que j’adorais, mais en réalité que Amaël me propose d’aller prendre une douche était tombé pile au bon moment, j’avais très envie qu’on arrête de parler de mon plan, de cette fille et j’en passe. Je voulais être dans ses bras, bon nous n’avions plus de capote au cas où, mais tant pis, après tout nous étions jeune, et la vie passe trop vite pour ce soucier des détails et ce retenir. Je me dirigeais vers lui avec un air malicieux au visage. « Bon dans ce cas, tu me porte. » Quoi j’avais tout de même le droit d’avoir envie que mon petit copain me porte jusque dans la salle de bain la plus proche de la maison non ? Mais avant j’avais quelque chose à faire. Je prenais donc le soin de prendre une profonde inspiration. Avant de mettre ma main sur son torse. « Amaël, avant je dois te dire quelque chose. Tu te souviens quand je t’ai dit que je n’ai jamais souffert, que la vie ne m’as jamais blessée, je t’ai mentis. » Je pris la photo de ma mère, puis je la regardais longuement. Mon père commencer peu à peu à retirer les photos de ma mère, comme si un changement allais arriver très prochainement, et ça me faisait peur, terriblement peur. J’avais besoin de confié sa à mon chéri pour avoir le cœur moins lourd de tout ce qui ce passé dans ma vie en ce moment. « Ma mère, je souffre de son absence, elle est morte en me donnant la vie, ça fais très mal de savoir que j’ai retiré la mère à ma vie. Elle était sur le chemin de l’hôpital à cause des contractions et un camion à percuter la limousine, elle a survécu, mais après m’avoir mise au monde, elle été trop faible, et elle est morte. Mon père me l’as enfin avoué quand on est rentré de Paris. On s’est disputé et il me l’a jeté à la figure avant de partir. C’est pour ça que j’ai refusé de lui parler toute à l’heure. » Je reposer la photo à son emplacement. Avant de plonger mon regard dans celui de l’homme que j’aime, me noyant dans son regard attendris par l’histoire de ma vie, cette histoire qu’il venait tout juste de connaitre. Je ne voulais pas de sa pitié, juste qu’il comprenne pourquoi en ce moment j’avais changé de comportement, pourquoi je ne voulais plus être ici dans cette villa familiale. « Maintenant que tu sais tout, je me sens mieux, aller allons prendre cette douche. » lâchais-je avant d’afficher un sourire sur mon visage. Je dois avouer que ce sourire était un peu forcé, mais je ne voulais pas en parler plus que ça, je voulais qu’on oublie tout ça. Je mettais ma main dans la sienne et je dépose un tendre baisé sur ses lèvres.