Cet été, on peut dire que j'ai passer de bonne vacances, entre le petit voyage avec mes parents et mes frère et sœur, puis ensuite un temps a boston. Avec Athénaëlle, nous étions partis en amoureux vraiment partout, même dans la ville de l'amour, Paris. On s'était retrouver juste tout les deux. C'était vraiment cool et j'ai déjà hâte qu'on remette ça, j'adore l'avoir juste pour moi. En rentrant y a deux jours j'avais raccompagné ma belle chez elle et j'était rentré rejoindre mes parents pour leurs raconté notre voyage. Il avaient été content pour moi, ma mère voulais vraiment que je lui raconte comme était ma petite amie, elle rêve déjà de la rencontré. Je lui avais dis que ça arriverais en temps voulu et qu'elle ne soit pas impatiente ce par quoi elle m'a répondu que je paraissait des plus heureux avec elle et que sa me rendais encore plus beau que lorsqu'elle m'avais rencontré il y a longtemps maintenant. Puis, je m'était occupé de la rentré d'Harvard pressé d'y aller enfin à la rentré. Athénaëlle m'avais ensuite envoyer un message pour qu'on se retrouve au restaurant et même si j'avais déjà accepté voir sa superbe robe m'as carrément motivé à me surpasser pour être le plus beau pour aller la voir. J'avais donc enfilé un costard noir de chez Hugo Boss et j'avais coiffé un peu mes cheveux histoire de ne pas faire tâche dans le décor, et alors que je sortais rejoindre son chauffeur je souris en lui envoyant un nouveau message : Sms : Chérie je suis en direction pour te rejoindre, à de suite. Je t'aime ♥ Après ça nous voilà en direction du restaurant en question. J'entre dedans une fois que nous sommes arrivé et je la cherche du regard, je m'approche d'elle et je pose un bisous sur sa joue en souriant. « Salut toi ~ »

Lorsque je le vis enfin arrivé, mon cœur accéléra son rythme, il avait ce don sur moi de me faire rougir à n’importe quel situation, de me faire vivre un rêve éveillée. Je le regardais approcher, et bien entendue lorsqu’il déposa un baiser sur ma joue en me saluant par la suite, je ne pouvais plus m’empêcher d’orner sur mes lèvres un magnifique sourire. J’étais une garce sous un faux air d’ange, mais avec Amaël, tout été différent, il savait faire de moi un véritable ange, une femme douce et aimante. Je plongeais mon regard dans le sien, plongeant ainsi au plus profond de mon cœur. Mon regard sur lui était doux, ampli d’amour. Oui je n’ai pas peur de le dire j’aime cet homme, et avoir passé des moments loin de tout rien qu’entre nous m’avez fait un bien fou. « Salut, comment tu vas ? » lui demandais-je par politesse même si je n’avais qu’une envie c’était de lui dire que je l’aimais. Nous avions le balcon entièrement privatisé pour nous ce soir, encore un exploit dus à la richesse de mon père. Un large sourire aux lèvres, je regardais, si bien habillé, coiffé, moi qui avait tendance à largement préféré sa coupe au petit matin, un coiffé décoiffé. Un petit rire discret sorti de ma bouche en pensant à cela. « Je vois que tu à ordonné ta belle tignasse. Dommage j’aime bien ce petit côté sauvage que ça te donne. Tu m’avais manquais chéri. » Dès qu’il eut enfin pris place à table et que je vis sa main sur cette dernière, je m’empressé avec élégance d’y mette la mienne. Main dans la main sur le bord de la table, et le dévorant du regard. « Tu es très beau ce soir. Amaël, je t’aime. » Nous avions pris l’habitude de nous dire je t’aime même bien avant d’être en couple. Nous nous sommes connus si jeune, et nous voilà bien des années plus tard à enfin comprendre la réelle signification de nos sentiments et surtout à nous laisser bercer par eux. J’avais de la chance, je devais bien être l’une des seules Wildingham à vivre ma relation sans embuche. Il suffit de voir Carter et Dimitri, un désastre les pauvres, avec Carter qui est détestée, Camila qui a été trompé par Pluton, et Cole avec Cléolya, dont cette dernière est la sœur de Aymalyne avec qui il a des petits problèmes en ce moment. Oui j’étais finalement la seule à pouvoir être heureuse sans dérangement.

Je restais bouche bée devant la robe que portait ma petite amie. Noire, longue, fluide et surtout, magnifique. Elle mettais vraiment toutes les courbes que j'aimais en valeur. Je ne me gênais pas pour l'observer de haut en bas en prenant soin de lui faire un petit clin d'œil pour qu'elle comprenne que son choix de robe était des plus exquis pour mon regard. Je souriait davantage comme à chaque fois que je me retrouvais prêt d'elle, et je m'empresser de coller à nouveau mes lèvres contre sa joue une fois que j'ai eu réussis de décrocher mon regard du sien. Nos regard signifiaient tout, absolument tout. Une colère ? Un regard, une envie ? Un regard, un sous entendu voilà, un autre regard. On parlais comme ça on arrivais à faire ressentir à l'autre ce qu'on ressentais à travers ce regard et ceux depuis nos début ensemble. Nous étions bien jeune mais on savais clairement que l'un était à l'autre. Voilà qu'elle avais le balcon de ce magnifique restaurant juste pour nous deux, rien de mieux . Une fois installé et presque enlacé comme si nous ne pouvions pas ne pas avoir de contacte entre nous, nos mains entrelacé nous nous regardions et elle me disait qu'elle m'aimais. Je souris doucement et mon cœur s'accélère comme si j'avais fais le plus belle des grande folies.

« Je t'aime aussi mon amour, et tu est des plus belles ce soir, je suis content d'avoir une petite amie aussi charmante que toi tu le sais ça ? »

Je souris encore une fois suite à mes paroles, qui pour d'autres doivent passer pour des paroles d'un homme qui veux cette fille pour son lit, mais avec Athénaëlle, ce n'était pas ça, loin de là même, ça va au delà et bien plus encore. Elle m'apporte tout ce que je n'ai jamais, eu avec elle je me sens revivre et ce soir je suis clairement prêt a le lui faire savoir. Ce soir je vais lui ouvrir mon cœur et je vais lui crée une des place d'or des plus élevé pour cette situation. Je veux passer le plus de temps possible avec elle.

Nous étions dans un endroit magnifique, et bien entendus nous étions magnifiques tous les deux, alors quand il me demande si je sais qu’il est heureux d’avoir une petite amie tel que moi, je ne peux pas m’empêcher de déposer un baiser sur ses lèvres pour le faire taire. S’il est heureux oui je le sais, mais sais-t-il que je suis tout aussi heureuse que lui ? Je l’observe, nos regard ne se quittaient plus, tous nos regard signifiaient quelque chose. A ce moment même il avait une grande place dans mon cœur, mais je voulais qu’il sache que ces je t’aime que je lui disais n’était pas juste une habitude que nous avions prise. Je voulais qu’il sache que derrière chaque je t’aime il y avait de la sincérité, de l’amour, et bien au-delà de ça, l’envie d’être sa petite amie ici maintenant et pour toujours. Pouvais-je dire que notre amour été éternel ? Oui, à mes yeux il l’était ! Je prenais le temps de le regardais encore un peu, avant de finalement lui sourire tendrement et de prendre la parole. « Oui je le sais. Et je toi tu sais que tu me rends tellement heureuse ? Que tu es la plus belle chose qui me soit arrivé dans ma vie, je suis sincère Amaël, au-delà des mots, des regards, de toutes ses choses-là, tu me connais par cœur, tu as sus percé mon âme, je t’aime sincèrement. » Ce n’étais pas une belle et longue déclaration d’amour, mais c’était moi, ma façon de lui dire que désormais, il était mon petit ami officiel et que ma famille était au courant. Mon père avait déjà qu’une seule envie, le rencontrer. Mon regard se posa sur le serveur qui venais nous apportez la carte, j’en profiter pour commander une bouteille de champagne. Mon cœur était un tambour battant les rythme de l’amour à chaque fois que mon regard croiser le sien. Est-ce que sa phrase était déplacée ? Beaucoup le penserait, mais pas moi, non moi je savais que son amour était bel et bien l’un des plus beau et des plus pure que personne ne trouvera jamais sur cette terre.

Je m’étais éprise de ce jeune homme, et je voulais lier ma vie à la sienne. Bien entendue nous allions avoir à vivre des moments de charme, de doute, d’amour, de stresse, et bien d’autres situation, parfois ma famille s’en mêlerais car ils finissent toujours par le faire, mais je n’avais pas peur, avec Amaël nous serions fort, beau, puissant, une reine à son roi et un roi à sa reine. « Comme je te l’ai dit par message, désormais mes cousins et ma cousine sont au courant pour nous, c’était important pour moi qu’ils le sachent enfin. Mon amour, je suis heureuse que nous puissions partager ce moment ensemble ce soir. » Oui pour moi passé le plus de temps possible avec lui était quelque chose de vitale, d’indispensable. J’avais un besoin constant de le voir, d’être physiquement à ses côté. Nous étions jeunes, et pourtant déjà si mature, nous savions ce que nous voulions de nos vies, et de nous, oui nous, car désormais à mes yeux il n’y avait plus de lui ou de moi, il y avait juste un nous, deux corps pour une seule âme, et bien plus que les sentiments, il y avait la compréhension et le respect mutuel. Je n’avais pas regarder la carte, le serveur aller devoir être patient avec nous ce soir, car je n’avais faim que d’une seule chose, de lui, je n’avais soif que de ses paroles.

Athénaëlle et moi, c'était une telle évidence et depuis tellement longtemps que je ne faisait plus gaffe des regard envieux de ma petite copine. je leurs souriaient et je leurs faisait comprendre que j'était conscient de la chance que j'avais d'avoir une telle merveille dans ma vie. Je suis peut-être un charmeur ou peut importe mais je pensais réellement tout ça. je la regardais encore et toujours envouté par son regard, par ses yeux qui faisais battre mon cœur plus fort, ces joues qui me donnais tout le temps envie de les mordre pour m'amuser, ou encore ses lèvres qui me faisait totalement fondre de par leurs plénitude et leurs beauté. Elle me faisais une déclaration d'amour et je m'en sentais fondre, et oui actuellement je suis comme une fillette et son premier amour mais merde, Athé' avec toujours eu ce truc de savoir quoi dire à quel moment surtout.

« Oh ma chérie, tu est adorable, tu sais aussi que je penses la même chose pour toi, tu me fait rire, tu me rends chaque seconde plus amoureux de toi, j'ai tellement besoin de toi dans ma vie. j'ai besoin que tu m'aime pour avancer parce que moi je sais bien que sans toi je n'avancerais pas. Tu me connais par cœur et même si on a l'habitude de ce dire je t'aime a chaque fois qu'on est ensemble ou qu'on s'envoie des messages. Moi et je sais que toi aussi c'est sincère et à chaque fois que tu me le dis, je n'ai qu'une envie c'est d'être dans t'es bras mon amour. »

Je rougis un peu en lui montrant aussi directement mes sentiments, je souris pourtant parce que je suis content de l'avoir fais et d'avoir pu lui faire savoir tout mon amour pour elle bien qu'elle s'en doute déjà bien sûr.

« Ma chérie, j'aimerais tellement passer tout mon temps avec toi, me réveillé dans t'es bras le matin, te faire le petit déjeuné ce genre de choses, je sais bien qu'on est jeune mais j'aimerais bien qu'on réfléchissent tout les deux pour... vivre ensemble ? Après tout tu me connais par cœur et je te connais tout aussi bien alors ce ne serais pas un problème si ? Qu'en penses-tu ? »

La bombe était lancé, je voulais vivre avec elle, et sa me trottait en tête depuis un moment. loin de moi l'idée d'accéléré les choses, c'est simplement mon envie et je pense qu'elle en a autant envie que moi à en juger par son regard mais maintenant j'attends son jugement, que pensera-t-elle de cette idée ?

L’amour, l’envie, le désire, la passion, et bien d’autre sentiments si nombreux, nous avions tous dans un subtil mélange parfaitement harmonieux avec Amaël, et bien entendue rien ne pouvais rompre notre amour. Je ne me voyais pas sans lui à mes côté, je voulais être sa Reine, simplement c’elle qui sera toujours là dans tous le moment de sa vie. Et alors que nous parlions, que nos cœurs s’ouvraient encore un peu plus l’un à l’autre, il me fit rougir avec ces paroles, paroles dont je ne perdais pas une miette, je voulais tout de lui, je voulais être la seule dans sa vie. Parfois jalouse et surtout très possessive je me souvenais encore quand nous étions enfant, nous étions dans un parc, et une autre fillette c’était approché de lui, je m’étais mise à pleurer toute les larmes de mon corps, et quand il m’avait demandé ce qu’il n’allait pas, je lui avais simplement dit un je t’aime, nous avions peut-être quoi dix ou onze ans, et c’était la première fois que je lui disais je t’aime. Mais revenons au présent. Mon regard tendre été posé sur lui. Et alors que j’étais encore toute intimidé par sa déclaration, le voilà qui en rajoute une couche en me disant qu’il voulait qu’on habite ensemble. Mes joue se pigmentaire d’un rosé aussi sec, et mon regard se posa sur lui, étonnée. Je savais qu’il m’aimait, mais de là à vouloir emménager ensemble ? Je resté sous le choc, bouche bée, silencieuse, mais avec un sourire aux lèvres.

« Amaël je … Oui bien sûre que oui je veux qu’on habite ensemble ! Et je voudrais tellement aussi pouvoir me réveiller chaque matin dans tes bras, pouvoir être à tes côté le plus souvent possible, être ta compagne, ta femme, ta partenaire de vie, mais par contre je te préviens je fais les petit déjeuners, je voudrais qu’on puisse vivre ensemble pour la rentrée, tu … tu veux bien qu’on fasse des visite dès demain ? »

Voilà comment on répond à une bombe, par une autre bombe. Alors tant pis si les autres trouverais sa rapide, moi je le voulais oui. Nous nous connaissions par cœur alors à quoi bon refusé ? Pourquoi me priverais-je d’un si grand bonheur ? Je l’aimais plus que tout. Je voulais passer ma vie avec lui, et bien entendue cette nouvelle avait fait battre la chamade à mon cœur. Je me levé de ma chaise pour aller observer la ville illuminée dans cette nuit, faisant signe à Amaël d’un simple regard, de me rejoindre. La vue était magnifique, alors que je sentais mon petit ami prêt de moi, je posais mon regard sur l’horizon. Les yeux pétillant de bonheur, Amaël avait sus par cette demande me comblé de bonheur, de joie. Alors oui nous étions jeunes, et certainement que beaucoup de personne aller nous faire la guerre, nous dire que c’est trop tôt, qu’on est stupide, mais on s’en fichera, car finalement, ce qui compte c’est lui et moi ! Je tournais légèrement la tête pour pouvoir accrocher son regard.

« Je t’aime Amaël, bien plus que tu ne peux le croire. Je n’ai qu’une envie être à tes côtés chaque matins, voir le monde s’ouvrir peu à peu à nous auprès de toi, grandir avec toi, vieillir avec toi. On est peut-être jeune, mais nous sommes très matures pour nos âges. La vie à tes côtés m’apparait comme une évidence. C’est un cadeau du destin que nous nous soyons trouvais. Ma vie t’appartient chéri. »

Je me tourner fasse à lui, collant mes lèvres au sienne et fermant les yeux pour savourer ce moment magique. Le serveur venait de nous servir deux coupes de champagnes avant de s’éclipser tout en discrétion pour ne pas déranger notre moment de tendresse.

Un baiser, un doux baiser. voilà ce que ma petite amie venais de m'offrir. Elle étais douce, généreuse, gentille et magnifique. je posais mes mains sur ses hanche la collant un peu plus contre moi alors qu'elle m'embrassais, et je répondais des plus amoureusement possible à son baiser. Je m'accroche à elle comme une bouée parce que je sais bien que sans elle, je coule. Je souris doucement et rompant lentement le baiser je plonge mon regard dans le sien, je capte ses pensée et je sais qu'elles me concerne toutes. Je l'observe un instant perdu dans la prunelle de ses yeux avant de sourire comme un gamin et de la regarder tendrement.

« Je suis absolument d'accord, pour qu'on fasse des recherchent dès demain mon cœur, si ça te fait plaisir. On pourra repeindre ensemble et choisir de beaux meubles pour notre chez nous. Je demanderais l'aide de mes parents, financièrement je suis sûr qu'ils seront d'accord et qu'il nous aiderons autant qu'il le peuvent mon cœur. »

Je le pensais très sincèrement et je savais déjà que si je disais à ma mère que j'allais habiter avec ma chérie à la rentrée elle serais de mon côté et s'acharnerais pour qu'elles se rencontrent. Je souris encore plus quand elle me fais une nouvelle déclaration d'amour des plus douces. je l'écoutait et je m'empreigne de chacun de ces mots. Je pensais la même choses pour elle, et dire qu'on était totalement différents quand on était pas l'un avec l'autre, ou alors quand une tierce personne agresse l'un de nous et que c'est l'autre qui prends sa défense.

« Bébé, allons boire un verre pour fêter cette nouvelle, On va savourer cette soirée en amoureux, et peut être qu'après, on pourrais.. tu sais.. s'amuser tout les deux ? »

Je souris et glisse mes mains pour les poser sur les fesses de ma petite amie lui faisant un doux baiser au creux du coup avant de remonter et la regarder tendrement dans les yeux.

Nous étions tellement tendre l’un avec l’autre et pourtant, nous étions bien différents lorsque nous n’étions pas l’un à côté de l’autre, nous vivions dans un monde de faux semblant, à commencer par moi, une vraie garce, une peste et manipulatrice, le tout bien à l’abri sous une image d’ange, personnes ne savais que j’étais un démon sous un visage d’ange, personne sauf Jolene et Amaël bien entendue. Mon cœur était soudainement léger à la nouvelle que nous allions habiter ensemble. Soudainement je sentais les mains de mon chéri venir se glisser à hauteur de mes fesses et il me dépose un baiser dans le cou. J’en frissonnais d’avances. Mon regard espiègle, plein de désir venait s’accrocher au sien. « Oui allons boire une coupe pour fêter cette grande nouvelle mon amour, ce soir, je te propose de venir chez moi, mon père est en déplacement. » Lui répondais-je avec une malice dans le ton de ma voix. La façon dont il m’avait annoncé cette envie que nous nous amusions ensemble était tout simplement très significative de ses envies. Et j’adorais cette façon qu’il avait d’apporter le sujet avec autant de délicatesse. Un petit sourire complice sur les lèvres, je me rapproche de la table, et je prends la coupe, le levant très légèrement. « A nous, et surtout à toi, le meilleur petit ami dont je pouvais rêver. » Je lui faisais un clin d’œil. J’avais tellement envie de lui, de ses bras, et ce soir nous allions nous retrouver dans le même lit. Étions-nous deux jeunes amoureux qui désirent vivre notre romance tels des adultes ? Certainement ! Avions nous tords ? Absolument pas ! Je m’approchais de lui et glisser subtilement dans le creux de son oreille « J’ai hâte que nous nous amusions tous les deux. » je lui lançais un sourire enjôleur, témoins de mon envie de me retrouver sous les draps avec lui, de partager ma nuit avec lui. Et puis quoi de mieux que de dormir dans le même lit en sachant que le lendemain nous allions visiter des maisons. « Je suis certaine que mon père nous aidera aussi, mais je suis son unique fille, alors il risque de vouloir te rencontrer pour te parler. » Je restais prêt de lui, cherchant à n’être qu’avec lui. Cette nouvelle année, cette rentrée allée être la plus belle que j’allais vivre au côté de mon merveilleux petit ami.

j'vais la plus douce des petits amies, mais aussi la plus sexy des petites copines ! Suite à mes avances de nombreuses demoiselles auraient pu se rétracter mais, pas ma chérie. Au contraire elle adorais autant que moi ces instants. Nous étions des jeune amoureux, fou de leurs chéris et nous adorions passer le temps dans les bras de l'autre. Nous étions fougueux, tendre et pourtant quand on étais dans ces moment là, nous étions aussi rapide, avide et sensuel. Enfin surtout elle, mon dieu elle pouvais me rendre fou rien qu'avec un regard comme celui qu'elle viens de me lancer en me disant qu'elle à hâte qu'on soit sous les draps.

« J'ai aussi très hâte d'être juste toi et moi sous les draps, mon cœur. Je vais bien m'occuper de toi ce soir, comme la dernière fois dans cette piscine tu te rappelle ? »

Un sourire malicieux et un souvenir d'une piscine de l'hôtel ou nous étions à Paris. Après tout nous étions deux jeune en vacances, encore heureux qu'on s'est amuser a baptiser chacun des endroit et des chambres d'hôtel qu'on a eu. Et puis, je suis aussi fou de son corps que de son cœur voyons. Je ris de bon cœur quand elle viens à mettre son père sur le tapis et je la regarder amuser.

« comment ? Tu parle de ton père alors que j'imaginais déjà les choses, pas catholique que j'allais te faire ce soir chérie ? Je verrais plus jamais ton père de la même manière maintenant ! »

Un clown, je suis un clown. Elle me parle sérieusement et moi pris dans mon envie d'être au lit avec elle, je dis des bêtise à propos de son père.

« Oui, chérie, ce serais avec plaisir que je le rencontrerais. Après tout c'est normal, sa seule fille il ne va pas la laisser partir avec n'importe qui. Je serais ravis de le rencontré mais j'aimerais beaucoup que tu soit là avec moi parce qu'autant te dire que je serais stressé ! »

Je souris doucement et une nouvelle fois en buvant une gorgé de la boisson je m'approche d'elle et je pose un nouveau bisous sur son visage cette fois-ci sur le front en souriant tendre.

« Je t'aime Athénaëlle. »