Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLa nuit porte conseil à ce qu'on dit - BENJONA - Page 2
Le deal à ne pas rater :
Fnac : 2 jeux de société achetés = le 3ème offert (le moins cher)
Voir le deal


La nuit porte conseil à ce qu'on dit - BENJONA

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

BENJONA

► LA NUIT PORTE CONSEIL À CE QU'ON DIT
et si les étoiles pouvaient parler,
elles en auraient beaucoup à dire

_______________________________________


_______________________________________

Calme. Trop calme. Il n'est pas comme d'habitude. Et je n'aime pas ça. Accroché à sa cigarette, je le regarde recracher un nuage de fumée, qui en temps normal ne me dérange pas vraiment. Mais aujourd'hui, en ce moment, ça me semble tellement différent. Comme une nappe de brouillard qui s'installe entre nous deux. Comme une distance qui se crée.

Entre deux bouffée, il me questionne. Trop calme. Est-ce que je veux qu'il vérifie où je peux trouver mon ...ex? Non, c'est pas ce que je lui ai demandé. Pourtant, il m'expose qu'il a déjà trouver. Elle a un appart à Milan. Pied à terre où elle retourne toujours. Ça facilitera probablement le tout, mais dans la seconde, je relègue l'information au second plan. Y'a autre chose dont je dois m'occuper avant. Et je m'en rends compte maintenant. Mes muscles sont tendus, mes sens aux aguets et trop réveillés par rapport à l'atmosphère qu'il y avait y'a moins d'une demie-heure. Avant que je lui pose cette fichue question. Sauf que j'irai pas là-bas tout seul. Je ne peux pas prendre cette décision tout seul. Plus maintenant.

Tranquillement, je m'approche, calculant mes gestes comme si, en faisant un trop brusque, il allait détaler comme un lapin. Ou se fracturer en petits morceaux. J'ai causé tout ça, n'est-ce pas?

- Babe..., commençais-je doucement.

Parce que sa réaction me file un frisson désagréable le long de l'échine.

- Je te dis pas ça parce que j'ai besoin de tes talents de détective, expliquais-je en le regardant dans les yeux. Je te dis ça parce que je ne le ferai pas sans toi. Parce que ça ne regarde pas seulement que moi.

_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Qu'est ce qui m'arrive?
Je ne sais pas. Je n'ai aucune idée de comment je devrais me sentir aprés qu'il ait prononcé ces quelques mots.
Une partie de moi est reconnaissante. Ravie de la raison qu'il me donne... Qu'il ne m'utilise pas seulement pour fouiner. Une autrepartie veut encore fuir. N'a pas envie d'être ici sous ce ciel aux étoiles tellement belles... La dernière partie, continue à stresser... devant ce que son aveu implique de responsabilité. Rendant la première partie tellement négligeable, qu'elle me calmant pas du tout. Même pas à l'approche de celui qui n'a jamais faillit à cette fonction.
Au moins, en façade je le suis. Calme.
Aussi rigide que si j'étais glacé. Peut être que je le suis d'une certaine manière. Cela dit, je ne suis pas pour m'en plaindre, ça m'empêche de trop bouger, de marcher de long en large autour de la piscine, de faire des mouvements saccadé, de jeter la chaise longue dans l'eau.
Qu'est ce qui m'arrive?
Ne pas le comprendre me tien immobile, dans l'attente qu'il vienne me prendre dans ses bras, et me rassure. Me dise que tout va bien se passer, que même si j'ai l'impression d'avoir 19 ans, d'être encore un gamin, que je ne suis pas prêt pour ... ça...
Qu'est ce que c'est que "ça" ?

Je continue à fixer ses yeux, plonge dans le bleu de ses pupilles, et respire à nouveau. Ne m'étant pas rendu compte que j'ai arrêté, un moment, d'inspirer de l'air.
Je ne peux pas parler. Pas encore. Pas même pour lui répondre ou le rassurer, parce que je ne saurais pas quoi dire.
Je ne sais pas...
Souriant faiblement, je ne suis pas plus avancé dans mes pensés. Me tends vers lui, effleure ses levres, et repose ma tête sur son torse mouillé.

Enlace moi. Ne me laisse pas partir. Mais ne me demande rien de plus... S'il te plait .
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

BENJONA

► LA NUIT PORTE CONSEIL À CE QU'ON DIT
et si les étoiles pouvaient parler,
elles en auraient beaucoup à dire

_______________________________________


_______________________________________

Ce que je viens de lui dire semble se frayer un chemin et peut-être ...le calmer? Même s'il n'est pas énervé. Du moins, qu'il ne bouge pas. Il ne fait pas les cents pas, ne gesticule pas, ne me caline pas comme lorsqu'il est stressé et a besoin d'évacuer. J'ai l'impression de l'avoir brisée en fait, en lui disant que je veux savoir.

Un soupçon d'espoir passe cependant quand ses lèvres s'étirent faiblement en un sourire et qu'il m'offre un baiser plus aérien qu'un vol de papillon. Sa tête se pose sur mon torse et, automatiquement, je l'encercle, le prend dans mes bras. En une caresse, ma main gauche court sur sa colonne vertébrale et gagne sa nuque pour la masser mollement. Me penchant, mon visage va à la rencontre de son crâne, ses cheveux encore humide venant chatouiller mon nez. Les minutes passent sans que je ne bouge autrement que pour la caresse à son cou. Pour le rassurer.

Il sent le traitement de l'eau de la piscine, ses différents produits qu'il utilise, l'odeur de sa peau qui m'enivre si facilement… S'il ne réagit pas tout à fait comme je suis habitué, il reste mon boyfriend. Suffit que je le retrouve. Et pour ça, faut que je fasse un effort pour trouver les mots. Les bons mots.

- Jonathan? l'interpellais-je en me redressant, continuant de le regarder.

Ça fait des mois que je ne l'ai pas appelé par son prénom complet. La dernière fois, je crois que c'est quand j'ai vu les alliances que je trimballais depuis trop longtemps. La dernière fois, j'ai du hurler son prénom au travers de l'appart. Aujourd'hui, c'est à peine un doux murmure.

- Ma fouine, s'il-te-plait, regarde-moi, lui demandais-je, déplaçant mes doigts à son cou, posant mon pouce sur son menton et forçant doucement pour lui faire tourner la tête jusqu'à capter ses pupilles noisette. Je ne sais pas si j'y trouverai une part de famille. Je n'y crois pas entièrement, j'ai juste besoin de vérifier. Mais je ne sacrifierai pas ce que j'ai devant moi, en ce moment, lui indiquais-je. Tu fais partie de ma vie, Jona, affirmais-je détachant inconsciemment chaque mot pour qu'ils s'estampent dans son cerveau et qu'il n'en doute pas. Et je veux pas que tu en sorte. Je t'ai dit déjà : il n'y a personne avec qui je suis mieux qu'en ta compagnie, ajoutais-je souriant tendrement tandis que ma main remonte sur sa joue. Avec toi, je suis plus un monstre, je suis un homme. Ton homme. J'ai pas envie que ce soit autrement, avouais-je.

Crois-moi Babe. J'ai pas besoin que tu te forces si ça te brise.

_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
L'oreille posé sur son torse encore humide, j'écoute les battements de son coeur, comme le tempo de ma vie. Ce n'est pas la première fois que j'ai la tête posé ainsi, pas la premiére fois ou je ressens sa chaleur sous ma joue. C'est peut être la première fois que j'ai aussi froid en compagnie, et la première fois ou j'ai besoin de plus que ça pour me calmer. Redevenir moi même.
Ses bras qui parcourent mon torse à ma nuque, caressent ma peau, et massent mes muscles, me font expirer lentement, fermer les yeux.
Mais mon nom dans sa bouche, les fait se rouvrir. Je regarde le mur du jardin, et fixe un point. J'écoutes l'écho du "Ma fouine" qu'il vient de prononcer. Je préfère. "Regarde moi" J'entends encore contre sa peau. S'il ne m'avait pas obligé ... dirigé à remonter le visage vers lui, je serais resté dans cette position.
Je préfère cependant le bleu de ses yeux, à la pénombre que je fixais. Bien plus rassurant que les ombres que j'imaginais dans le noir. Et beaucoup plus délectable que la peinture du muret qui s'élime légèrement.
Je ne sais pas si j'y trouverai une part de famille ... Peut être que oui. ...Je n'y crois pas entièrement, j'ai juste besoin de vérifier... Je préfère mieux ne pas savoir... C'est plus rassurant. Pour le moment... relégué quelque part dans mon esprit. Tel un fantôme sans visage. ...Mais je ne sacrifierai pas ce que j'ai devant moi, en ce moment... Je me tait. Ou plutôt les voix dans ma tête se taisent ...Tu fais partie de ma vie, Jona... Je sais ... ...Et je veux pas que tu en sorte. Je t'ai dit déjà : il n'y a personne avec qui je suis mieux qu'en ta compagnie... Je sais ... ...Avec toi, je suis plus un monstre ... tu n'as jamais été un monstre.  je suis un homme. Ton homme.Mon homme......J'ai pas envie que ce soit autrement ... ...
Je t'aime.
Je l'embrasse, tout simplement. Passe mes mains autour de lui."Je t'aime"

Enlace moi jusqu'a me briser
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

BENJONA

► LA NUIT PORTE CONSEIL À CE QU'ON DIT
et si les étoiles pouvaient parler,
elles en auraient beaucoup à dire

_______________________________________


_______________________________________

Il bouge. Doucement. Je crois avoir capté une lueur dans son regard. C'est pas encore son énergie qui est revenue, mais je le sens plus présent quand il m'embrasse. Aussi, je lui redonne, mes doigts courant à ses flancs pour se poser sous ses côtes comme je le fais si souvent depuis le début.

- Je t'aime aussi, lui assurais-je avant de l'embrasser à nouveau.

Mes lèvres se séparent des siennes et pourtant je ne me recule pas tout de suite. Embrassant la commissure, puis sa joue, je remonte jusqu'à la ligne de sa mâchoire, laissant mes mains parcourir encore une fois son dos pour l'enlacer. J'aurais préféré caresser directement sa peau, mais il risque d'attraper froid si je le lui retire. Ma bouche repasse sur sa joue, légère, et je finis par la séparer juste assez pour me permettre de poser mon front contre le sien pour le regarder. Je suis désolé Baby.

Souriant légèrement, je frotte le bout de mon nez au sien avant de me détacher pour l'entraîner tranquillement vers les transats.

- Viens là, fis-je, tout bas, en prenant place sur l'un deux, l'attirant doucement pour qu'il vienne s'installer.

Contre moi, sur moi… ça ne m'importe pas vraiment, je refermerai mes bras autour de lui dès qu'il y sera. Le sujet de conversation que j'ai lancée est refoulé dans un coin de ma tête et je me dis que je ne le ramenerai pas de sitôt. Pas si ça le met dans cet état. À un point où je ne le reconnais pas vraiment. Je n'aime pas être responsable d'un tel état. Je suis censé être celui qu'il vient voir quand il est comme ça. Pas celui qui en est la raison.

_______________________________________

FICHE BY LAVENDER J. TREVENA



(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)