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I LOVE HARVARD
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    Lisbiam ► Prise de contact
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    Lien du postDim 23 Avr - 15:02
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    Froid, méthodique, insensible ? J'étais un peu tout cela à la fois. Et pour cause. Dans mon esprit il s'agissait de réaliser un contrat que j'avais mis en place dans mon esprit une dizaine de minutes plus tôt à peine. Alors qu'elle et moi étions dans ce petit local à nous terrer tel des rats. En exécutant le second homme, plus lentement que je ne l'avais fait pour le premier, j'aurais surement du prendre la précaution de lui demandé de détourner le regard. Je n'en fis rien pour autant. Ce n'était pas une enfant ! Je ne tenais pourtant pas à la punir. Ce genre d'image se gravait de manière indélébile dans notre mémoire, tout comme il était bien souvent le cas pour moi. Cependant, cela faisait neuf ans que ce genre de chose parcourait sans demande d'autorisation, mon esprit. Alors mon sommeil n'était guère plus troubler. Plus autant qu'au début en tout cas. Et je m'arrangeais bien souvent de tomber de fatigue pour récupérer plus efficacement. Alors que j'appuyais ma main contre le cou de l'homme, le bout de la ceinture dans l'autre main, je n'avais pas lâché des yeux la hackeuse, qui elle n'avait pas quitté des yeux le suédois.
    Si l'incompréhension avait pu se lire dans son regard lorsque je m'étais séparé de ma ceinture, ce n'était plus le cas maintenant. Alors elle ne demandait rien. Elle savait... Nous savions tous deux ; le pourquoi.
    Dans un premier temps, j'eus l'impression qu'elle n'avait pas entendu ce que je venais de lui dire. Mais elle retrouva bien vite le contrôle de ses gestes, usant de sa technicité pour leur rendre ce service. Une fois sa question posée, je lui expliquais brièvement : Pour l'instant on va les cacher. Je peux difficilement faire passer ça pour un vol à la tir qui aurait mal tourné... Je viendrai les chercher plus tard lorsque j'aurais trouvé une idée. Alors que Wasp se rapprochait un peu, je reculais au même moment. Au moins elle ne lui avait pas conseillée d'aller à l'hôpital. Hmm... fis-je ensuite simplement, notant et appréciant tout de même le conseil qu'elle venait de me donner. Je reviens. avais-je ensuite dit tout bas avant de disparaitre emprunter le chemin par lequel elle était venue.
    Les secondes s'écoulèrent, puis les secondes devinrent des minutes et après un moment elle put entendre raisonner le bruit d'une grosse boite en pvc qui se rapprochait. Arrivant enfin près d'elle je déclarais : Ca manque en discrétion, mais je n'aurais de toute façon pas pu les porter jusque là bas. Pour ma défense. Puis ouvrais la très mal-odorante poubelle en dépit de son maigre contenu, je soulevais le deuxième homme, attrapant son poids mort par dessous ses épaules ensanglantées, laissant Wasp m'aider en soulevant les jambes, puis nous fimes la même chose avec le second. En conduisant le corps du russe rejoindre le suédois, je n'avais pu retenir un gémissement de douleur, qui avait filtrer entre mes dents. J'allais devoir m'occuper de ça finalement... Et si possible avant d'envisager de régler le problème des deux macchabées. Si j'avais su qu'il y aurait une after je serai venu en 4*4. plaisantais-je sans vraiment sourire. Puis je restai un long moment silencieux, considérant la jeune femme en respirant lentement avant de dire d'un voix que j'espérais sincère. Je suis désolé que tu ais du assister à ça.



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    Lien du postDim 23 Avr - 18:28
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    William & LisbethPrise de contact
    Wasp était comme obnubilée par la scène s’offrant à son regard : le Suédois en train de se faire étrangler alors qu’il était évanoui. Elle aurait pu plaider en sa faveur, dire que ce n’était pas une solution de l’achever. Mais elle était incapable du moindre mouvement, de la moindre réaction. Elle fixait cet homme en train de se faire assassiner sous ses yeux. Puis son regard se posa sur l’assassin qui, lui aussi, la fixait de son regard bleu. Oui, elle avait parfaitement compris le message. Mais, tout de même, elle avait l’impression d’être complice de ce meurtre. Ou plutôt oui, elle l’était bel et bien. Elle participait à cet assassinat malgré elle. Elle préféra ne pas y penser. Elle arriva à extirper ses pensées de cette scène macabre pour se concentrer à nouveau sur son téléphone. Se plonger dans ce qu’elle savait faire, c’était le mieux qu’elle avait à faire. La situation fut rapidement sous contrôle et elle en avisa son interlocuteur. Après, quant à savoir ce qu’ils allaient faire des corps… C’était lui le spécialiste. La jeune hackeuse hocha la tête, se demandant où il allait. Elle resta un instant immobile avant de réagir et de s’accroupir à côté du Suédois. Elle lui fit les poches et y trouva un portable. Mais pas de portefeuille ou de papiers d’identité. Il aurait été bien stupide d’en avoir sur lui ! Elle fit de même avec le Russe et ne mit la main que sur un téléphone, également. Elle les glissa dans ses poches : ils pourraient lui être très utiles et elle allait s’amuser à les pirater.

    Bientôt, le son de quelque chose qui roulait lui parvint aux oreilles. La jeune femme tourna la tête et vit l’homme revenir avec… Une benne à ordures. Pas con. Par contre, elle ne put s’empêcher de grimacer de dégoût lorsqu’il l’ouvrit et qu’une odeur pestilentielle s’en échappa.

    « Ça va, ce n’est pas la pire idée que j’ai vue… »


    Et elle aida son acolyte à porter les corps pour les balancer dans la benne. Oui, balancer était le terme exact. Déjà, les corps étaient trop lourds pour qu’ils les déposent avec délicatesse dans cette boîte et puis d’un autre côté, méritaient-ils leur respect ? De toute façon, quand on décide de mettre un cadavre dans une benne à ordures, on n’éprouve pas la moindre once de respect pour la personne qu’il fut jadis. Le gémissement de douleur de l’homme ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd. Wasp s’approcha une nouvelle fois de lui, avisant son flanc qui saignait.

    « Tu n’aurais pas été discret en 4x4… Et arrête de reculer, je ne vais pas te mettre au tapis. »

    Mais elle s’arrêta dans son élan. Il s’excusait qu’elle ait dû assister à cette scène. Elle poussa un léger soupir : s’il croyait que c’était le premier cadavre qu’elle voyait, il se trompait amèrement.

    « Tu n’as pas à t’excuser. J’ai déjà eu mon cota de macchabées et je pense que ça ne sera pas le dernier. »

    Sans parler du fait qu’elle aussi avait déjà tué dans sa vie. Une fois. A douze ans. Son paternel. Poignardé à l’épaule, à l’œil et finalement en plein cœur. Ça lui avait appris à battre sa mère ! Elle avait tué pour protéger une vie, celle qui l’avait mise au monde et qui l’avait toujours protégée. Mais ça ne l’avait pas empêché de mourir des suites des coups de ce salop.

    « Ça saigne beaucoup : tu as de quoi enrayer l’hémorragie et désinfecter ta plaie ? »

    Wasp pouvait se montrer froide, insensible, violente mais également sensible et inquiète. Elle ne savait pas exactement pourquoi mais elle ne voulait pas que cet homme se retrouve comme elle, à l’hôpital, entouré d’un personnel soignant curieux et qui ne manquerait pas d’appeler la police puisqu’il y avait blessure à l’arme blanche.
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    Lien du postDim 23 Avr - 23:24
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    Choses à laquelle je ne pensais guère lorsqu'il était question de se débarrasser d'un cadavre ; lui faire les poches. Sauf si c'était ce qu'on lui demandait de faire. Ah si, tiens une fois avant de brûler un corps, il avait subtilisé une montre de soixante quinze mille dollars. Il l'avait toujours d'ailleurs... J'avais aujourd'hui les moyens de m'en payer deux ou trois si l'envie me prenait, mais pour le gamin de 21 ans que j'étais, cette petite merveille était bien plus belle encore que le salaire que l'on me payait à l'époque !
    Alors que je revenais vers elle, j'approuvais à sa suite Personne ne risque de mettre son nez dedans avec cette odeur. L'instant d'après, notre tâche achevé, je supposais que la plainte que je n'avais pas pu retenir l'incita de nouveau à se préoccuper de ma blessure. J'ai de nouveau un geste de recul qu'elle s'empresse de réprimander. Et, tel un enfant, je m'exécutais, soupirais très légèrement, quoiqu'un brin reconnaissant qu'elle se préoccupe de mon état. Je ne comprenais d'ailleurs pas pourquoi cela l'inquiétait ! Etait-ce de la pitié ou avait-elle gagné en sympathie pour ma personne qui une quinzaine de jours plus tôt, lui avait tiré dessus. Elle soupirait aussi -mon attitude surement - alors cette fois je ne bougeais plus. J'essayerai du moins - de faire taire ce réflexe - si elle s'aventurait dans ma zone de confort. J'apprenais d'ailleurs qu'elle avait probablement déjà eu l'occasion de voir des morts, insinuant -je supposais - qu'elle en avait déjà vu mourir. Comment ça beaucoup ? me demandais-je après son constat. J'ouvrais alors le pans de ma longue veste et en effet, la plaie semblait saigner un peu -beaucoup- mais je ne m'en étonnais pas vraiment. Si le tueur russe ne s'était pas attendu à ce que je lui torde le coup, il avait tout de même eu le temps de sortir son couteau et de le planter dans mon abdomen. Plus ou moins.. répondais-je vaguement en retirant difficilement ma veste, tentant le plus possible de ne pas bouger mon bras gauche. Je retirai aussi mon col roulé, serrant la mâchoire en passant mon bras. Le débardeur sans manche que je portais dessous était imbibé de mon sang. Au moins l'hémorragie n'était pas interne. C'était rassurant non ? Je le retirais aussi, l'attrapant par l'arrière de la nuque pour le faire glisser vers l'avant. Je le roulais rapidement en boule et le pressais sur ma plaie. L'entaille n'était pas large, aussi devait-elle être profonde pour expliquer tout ce sang. Je jurais en allemand, serrant encore un peu plus les dents sous la douleur, alors que je resserrais la ceinture que j'avais utilisé pour tuer l'un des deux homme comme garrot. J'essuyais ensuite mes mains sur mon col roulé, que je repassais difficilement pour cacher le semblant de pansement que j'avais fait. Ca attendra... Oui et non... Allais-je vraiment prendre le risque de repartir à moto ? Pas vraiment non. Hum... Saurais tu... j'hésitais à lui demander quoique ce soit. Ne pouvais-je pas me débrouiller par mes propres moyens ?! Ravale un peu ta fierté Will !Conduire ? Après tout je pouvais aussi la laisser là et revenir plus tard, tout comme je devrais revenir pour nos deux amis dans la malodorante benne à ordure. Malheur à celui qui la toucherait.

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    Lien du postLun 24 Avr - 10:56
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    Pour mettre son nez dans les ordures, personne ne serait assez fou pour le faire vu l’odeur qui s’en dégageait ! Sur ce point, son acolyte avait raison. Alors ils portèrent tant bien que mal les cadavres jusqu’à la boîte en PVC avant de les balancer dedans puis de la refermer. Pouah, mais quelle infection ! Quand les narines de la jeune femme furent moins agressées, ce petit air de dégoût qui était apparu sur son visage se volatilisa rapidement. Une bonne chose de faite ! Une fois cette basse besogne accomplie, elle ne put s’empêcher de se préoccuper de la blessure de l’homme. Et il ne cessait de reculer, comme si elle allait le bouffer ! Agacée, Wasp lui ordonna de rester immobile : elle n’allait pas le violer non plus, à ce qu’elle sache ! Satisfaite qu’il se tienne immobile, elle poursuivit son approche. Elle allait lui demander d’enlever ses couches de vêtements pour qu’elle puisse voir la blessure mais elle n’eut pas le temps de le faire qu’il ôtait déjà son manteau et son col roulé. Son regard se posa sur la tache rouge qui grandissait lentement : l’entaille avait l’air petite mais, effectivement, profonde vu comment ça saignait. Puis l’homme enleva la dernière couche, à savoir son débardeur sans manche. Wasp grimaça légèrement et se souvint de sa propre blessure. Heureusement pour elle, la balle avait traversé son épaule et n’avait touché aucun nerf ni artère. Par contre, la blessure avait été profonde. Naïvement, elle avait cru pouvoir se soigner seule avec un reste d’antibiotiques, du désinfectant à n’en plus finir, des compresses et des bandes. Mal lui en prit car sa plaie s’était sérieusement infectée et cette infection avait envahi son sang. Elle aurait pu mourir par manque de soins plutôt qu’à cause de la balle. Ça aurait été sacrément ironique !

    « Ça attendra… Mais pas trop longtemps. Je parle en connaissance de cause. » Fit-elle en désignant son épaule gauche.

    De toute façon, ils n’avaient rien pour nettoyer la plaie et encore moins pour la désinfecter. La hackeuse avait bien son sac en bandoulière sur elle mais il ne contenait rien qui aurait pu les aider. Alors elle aida l’homme à se faire un pansement de fortune. Elle maintint le débardeur roulé en boule contre sa blessure en attendant qu’il fasse un garrot avec sa ceinture. Puis, elle relâcha la pression dessus et se recula pour qu’il puisse remettre son col roulé. Ça devait faire un mal de chien, à entendre son juron dans une langue qu’elle ne connaissait pas. Peut-être de l’allemand, vu les tonalités… Une fois la blessure plus ou moins pansée, une demande plutôt inattendue sortit de la bouche du tueur. Wasp tourna la tête en direction de la moto garée non loin de là. C’était son jour de chance : ça ne serait pas la première qu’elle conduirait. Par contre, elle espérait que le trajet ne serait pas trop long car elle ignorait combien de temps elle arriverait à conduire avec son épaule. Elle ne s’était pas réessayée à la conduite depuis son hospitalisation.

    « Oui, ça, je maîtrise. »

    Elle tendit sa main un peu couverte de sang pour qu’il lui file les clés. Cette fois, elle avait l’air sûre d’elle. Pas comme quand il lui avait demandé si elle savait manier un flingue. Une fois les clés en main, elle se dirigea vers le véhicule.

    « Et on va où comme ça ? »
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    Lien du postLun 24 Avr - 18:33
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    Retirer mes fringues pour voir l'étendue des dégâts mais aussi pour mieux pouvoir limiter le liquide vermeille et vital à quitter trop précipitamment mon corps m'avait demandé plus d'effort que je ne l'aurais cru. Mon front perlait de sueur, je réprimais quelques frissons probablement causé par la douleur. Je n'avais pas pour habitude de me plaindre. Dave m'avait également entraîner à cela. Pas véritablement à cela en particulier, mais à la possibilité l'éventualité que même sous la torture je ne parle pas. Il m'avait mis en condition. Et puis, ce n'était pas ma première blessure par arme blanche. Le sens de l'observation de Wasp avait d'ailleurs dû attirer son regard sur les deux autres cicatrices de même longueurs qu'une lame de même ordre aurait pu me faire. L'une d'elle m'avais même forcée à me faire hospitalisée quelques semaines. L'autre cicatrice était plus longue et plus fines, superficiel. Un entraînement avec Dave, un coup que j'aurais pu éviter, un leçon qu'il m'avait donné. Ne croit pas qu'un adversaire à terre, ne se relèvera jamais plus. Alors achève le, avant qu'il ne le fasse pour toi. C'est ce que j'avais fait ce soir. Ma plus grande crainte était bien que l'homme attrape l'arme que Wasp avait caché derrière son dos et ne la tue en moins de temps qu'il ne me faudrait pour l'abattre lui.
    Je pensais un peu à tout ça alors qu'elle examinait ma plaie, m'aidant à serrer la ceinture sur ma plaie. Chose que je n'aurais pas réussi à faire seul. Pas sans grande difficulté, pas sans souffrir plus que je ne douillais déjà. J'avais un ami - un contact -qui travaillais au Massachussetts general hospital et qui me devait un service. Un service qu'il avait déjà rendu, mais je m'amusais bien souvent à lui demander son aide lorsque j'en jugeais nécessaire. Comme j'avais été capable en plein milieu d'une de ses gardes de l'appeler et de lui demander les clés de sa voiture. La mienne s'étant fait emboutir par un crétin. Je ne suis pas une agence de location de véhicule ! avait-il dit contrarié. Alors venir jusque chez moi pour panser, désinfecter et faire quelques points de suture ne devrait pas plus le déranger. Pas vrai ? C'était son boulot après tout. C'était son taff ça, en revanche. Juste le temps de réveiller un vieil ami. Oui, le réveiller ! Je n'avais quand même pas manquer les cours que je devais donner pour deux trois gouttes de sang en moins.
    Je lui tendais finalement les clés de ma bécane, rassuré par son assurance. Un accident était tout ce qu'il ne nous fallait pas. Chez moi... Je te guiderai. Et la confidentialité ? Il n'y en avait plus vraiment depuis que j'avais dû la retrouver dans cette ruelle plus tôt.

    Je lui avais dis qu'elle serait libre de repartir avec et de la garer dans le parking d'Harvard, où elle ne gênerait personne et où il me serait plus aisé de la récupérer. Lui conseillant de laisser les clés dans le coffre sous le siège. J'avais un double, mais de toute façon, pour l'instant, je ne la conduirais pas. Juste le temps de m'assurer des informations qui avait pu être transmises à l'employée suédoise des deux hommes, dont je devrais aussi me charger de me débarrasser.
    Après que mon contact toubib eu refais mon pansement, j'avais - avant le levé du jour -emprunter sa voiture, une fois encore, m'étais rendu jusqu'à l'hôpital et avait laissé les deux cadavres à morgue après avoir créer l'identité de deux patients qui auraient donné leur corps à la science. Ni vu ni connu !

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