Est-ce de l'art ou est-ce du n'importe quoi ?!

« Je prends note, comme ça, tout ira bien alors. » Je souris, je suis contente, je me dis que pour le moment, tout va bien. Je réfléchis une nouvelle fois à ma réponse, et je me dis que tout peux aller dans une bonne direction. Je lui répond alors gentiment : «Oui, pas de soucis, je te dirais. Pas de problème. » Je souris une nouvelle fois, mon ami me pose une petite question et cela me dit qu’il est temps que l’on se parle. On ne s’est pas vu depuis un bon moment. Je lui réponds alors en souriant : « Il s’agit de Koray C. Osman-Fincher, je le connais un peu de vue. Mais je ne l’ai pas encore abordée à vrai dire. »

Est-ce de l'art ou est-ce du n'importe quoi ?!

« En fait, on s’est déjà croisés plusieurs, nous sommes amis, mais, c’est le sujet qui me gêne un peu… Je n’ose pas lui demander de sortir avec moi… On se connait on est amis, je ne voudrais pas que cela gâche notre amitié. » Je lui explique que l’on s’est vu dans différentes soirées Winthrop-Cabot House, comme ça, il peut mieux se faire une idée. Je ris, je le vois me dire ça avec gentillesse. En tous les cas,, le feu rouge ne tarde pas trop à passer au feu vert. « Je ne sais pas trop, on ne sait pas vraiment comment réagisse les gens. Alors, je préfère y aller doucement, bien que j’aime qu’il passe de temps en temps me dire un petit bonjour. »

Est-ce de l'art ou est-ce du n'importe quoi ?!

« Ce que je trouve intéressant chez lui, c’est sa gentillesse. Il a toujours pris le temps pour répondre aux questions des gens. » Je souris, je sais que cela peut être une réponse bateau, mais j’aime bien faire les choses tranquillement. Il est clair, qu’il faudra que j’arrive à le secouer un peu, mais bon, je vais bien réussir à lui parler. Je souris, je tente de me dire que je vais bien finir par réussir à aborder cette fameuse question. Je sais que les gens n’ont toujours pas le temps de faire les choses. Enfin, je suis comme ça, je suis têtue ! J’aurais bien une réponse ! Je me dis que je dois aussi prendre mon mal en patience. En tous les cas, je réfléchis aussi à ce que je pourrais faire par la suite. Je tente de dire les choses en riant : « Oui, bah, on verra s’il passe me dire bonjour. Hihihi, quelle drôle de conversation qu’on a là. » Je vois la Cabot House devant moi, je lui dis en le remerciant gentiment : « C’est très gentil de m’avoir raccompagnée, merci, passe le bonjour surtout à ta petite femme. Hihhi. »