On avait volé jusqu'à Las Vegas. On a pris l'avion, hier soir, et on se trouvait à présent sur les terres du Nevada. C'était complètement fou, complètement irréfléchi mais voilà, on y était, on allait se marier tous les deux et on sera heureux comme ça. On aurait la bague au doigt et on aura notre vie ensemble. C'est ce que je veux bordel, c'est exactement ce que je veux pour nous et ouais, je n'avais pas peur, qu'importe les conséquences avec ta famille, tes amis. Je sais qu'ils ne me portent pas dans leur coeur, tu l'as bien vu à la soirée hier. Mais c'est pas comme si on pouvait y faire quoique ce soit. « Viens alors » J'avais ma main dans la tienne et on errait dans les rues de la ville, à la recherche du premier prêteur sur gage qui sera là. Mais d'un coup d'un seul, tu me stoppais dans mon élan, afin de m'embrasser. Ouais bon, je n'en tenais pas rigueur. J'aimais tes lèvres, j'aimais ta douceur et ton sourire. J'aimais te sentir proche de moi comme ça. Alors oui, je profitais de ton baiser ainsi que de ton câlin. « Oui, je t'aime aussi » Je calais ma tête contre la tienne, fermant les yeux doucement. Bordel, la soirée avait quand même pris un tournant décisif et j'avais encore du mal à réaliser. « On va être heureux, promis juré » Et je venais chercher tes lèvres pour sceller ces paroles fortes. Finalement, je récupérais une nouvelle fois ta main et je t'embarquais jusqu'à la boutique où on trouvera certainement notre bonheur.

Moi j'ai envie de croire qu'on va vraiment l'être. Que faire ça, ça va te prouver une bonne fois pour toute que c'est avec toi que j'ai envie d'être et personne d'autre. Parce que je veux vraiment que tu te le rentre en tête. Je veux que t'arrête de penser que si tu me dis la vérité j'vais m'en aller. J'ai pas envie de te laisser tomber Nicho. J'ai pas envie de le faire parce que je suis tombée amoureuse de toi sans m'y attendre et que je suis incapable de me défaire de ça. J'essaie même pas en fait. Peu importe combien tu peux me faire mal parfois, je t'aime et j'ai pas envie que tout ça cesse. J'ai besoin de toi, j'veux t'épouser et la seule chose que je te demande en retour et de me promettre qu'on sera heureux toi et moi. Ni plus ni moins. Et je souriais quand tu faisais enfin la promesse parce que oui mon amour, c'est tout ce que j'avais besoin d'entendre. Alors après un énième baiser, on repartait main dans la main finissant par pousser la porte d'un prêteur sur gage. C'était étrange de se trouver là mais j'savais que ce n'était rien d'autre qu'une solution de secours. J'serrais un peu plus tes doigts dans les miens regardant à droite puis à gauche avant de me tourner vers toi reprenant dans un murmure. J'te laisse choisir n'importe quoi, on s'en fiche de toute façon. J'veux juste être mariée à toi, le bijou c'est pas ce qui m'importe et même un rouleau de réglisse m'aurait amplement suffit. J'suis pas compliqué Nich, de toute façon j'me contente simplement de toi.

On avait pris le premier vol pour Vegas, on y était et on s'occupait à présent de se procurer des bagues fin de faire l'engagement le plus important qui soit de nos vies. On allait se marier, ce n'était pas rien. C'était un coup de tête mais totalement réfléchi. Pour moi, t'étais la bonne. T'étais la bonne depuis que je me suis rendu compte de mes sentiments pour toi. Impossible d'y échapper. Mon coeur bat pour toi et je ne me vois pas te refuser une telle demande. Oui, je t'épouse volontiers. Oui, je veux être ton mari, ta moitié, ton tout. Je veux être ta vie s'il le faut. Et puis merde, la vie est trop courte. Ta vie risque de l'être alors autant en profiter non ? Je t'aime et je veux exhausser tous tes vœux. « Ouais » D'ailleurs, après quelques minutes de négociation, on sortait de la boutique avec deux bagues belles mais visiblement usées et on reprenait la route. La chapelle, il nous fallait la bonne chapelle. « Tu veux te faire marier par un Elvis ? Je te laisse choisir la chapelle pour la peine » C'était avant tout ton choix. J'avais pris les bagues, tu prenais la chapelle, chacun son tour. Ma main dans la tienne, je t'arrêtais une nouvelle fois sur le trottoir pour t'embrasser. Je pouvais pas m'en empêcher mon coeur, c'était le jour de notre mariage. Il était tôt, on avait peu dormi, mais on allait le faire. Toi et moi, dans une chapelle, à s'échanger nos vœux. C'était irréel et pourtant, tellement réel. « Je t'aime, je t'aime, je t'aime » que je chuchotais entre tes lèvres. Parce que ouais, mon amour pour toi était bel et bien présent, et plus fort à chaque seconde.

J'ai pas besoin que tu m'offres le plus beau des mariages digne d'un conte de fée. Tant que je t'ai toi ça me suffit. Et je suis consciente que cette situation est pire qu'improbable, apres tout le Sadie Hawkins était loin d'être une réussite pour tout les deux pour ne pas dire clairement un désastre. Et peut être bien Ûon aurait dû y réfléchir au moins un peu. Attendre quelques temps avant de réellement se jeter à l'eau mais.. Je sais pas. Je trouvais quand même que ce que l'on était en train de faire était particulièrement beau. Voir qu'on était assez amoureux pour prendre le premier vol pour Vegas sans se soucier une seule secondes des conséquences qu'il pourrait y avoir. Et puis tu sais quoi ? Ça. OUI ressemble en fait. Agir en toute impulsivité, ne pas réfléchir au reste et se contenter du simplement fait d'être amoureux l'un de l'autre. Peut être que c'est comme ça que notre relation perdurera en réalité. Malgré toutes les épreuves et tout le mal qu'on est capable de se faire, l'amour que l'on ressent l'un pour l'autre finit par sortir triomphant. Alors je me fiche de la bague ou bien meme qu'elle soit d'occasion parce qu'au fond le plus important c'est juste qu'après ça on sera vraiment liés toi et moi. On pourra plus se contenter de se quitter sur des prétextes bidon et peut être que ça nous fera du bien. Je veux y croire moi. Donc ouais, je te laissais choisir les bagues qui allaient faire de nous des époux avant de prendre le chemin de la sortie. Et putain j'avais le coeur qui battait à dix mille quand je me rendais compte que nos destins seraient bientot scellés. Peu importe non ? La premiere de libre on y va, j'veux juste que ce soit fait Je vais pas etre embêtante et te demander la total. Le truc le plus simple au monde sera parfait pour moi. Et tu me stoppais une nouvelle reprenant tes baisers auxquels je répondais avec plaisir. Je crois que le goût de tes lèvres étaient l'une des choses dont je ne pourrais jamais me passer. Je t'aime aussi. Je pourrais te le répéter à chaque seconde s'il le fallait. Te répéter inlassablement que je t'aime et que oui, tu es bel et bien assez bien pour moi. Ici ça à l'air bien non ? J'en savais pas grand chose en fait mais je m'en fichais. On allait juste se marier et c'était ça le plus important.

C'était peut-être un coup de tête, mais tout était clair dans ma tête. Je t'aimais et j'étais prêt à porter une bague autour de mon doigt si ça pouvait te faire plaisir, si ça pouvait te rassurer dans les sentiments que j'éprouvais pour toi. Plus rien de tout ça n'est un mensonge, tu le sais ça Kaya ? Tu le sais j'espère ? Parce que non, je ne joue plus. Tu es celle que j'aime, celle que je veux. Celle qui me rend heureux. Je n'avais pas ce besoin de voir ailleurs. Quand tu n'es pas là, je vais pas forcément bien. Tu me manques à chaque instant et je me languis des moments passés avec toi. Je veux t'avoir avec moi tous les jours de toutes les semaines qui composent les années. Je veux découvrir ton être tout entier et te faire mienne aux yeux de tous. Je veux les rendre jaloux pour la sincérité de notre relation. Ouais, tout n'a pas été tout beau tout rose entre nous mais c'est ce qui nous rend plus fort au final. Parce qu'on vient tout de même de traverser le pays pour nous marier. Nous marier Kaya. Te rends-tu compte de l'engagement que c'est ? Moi-même je ne le sais pas. Je le veux, mais je ne connais rien de tout ça. J'ai eu des relations mais, comme tu t'en doutes, l'engagement n'est pas mon fort. J'ai pas eu de réel exemple d'amour alors j'apprends avec toi. Je veux faire en sorte que tu sois heureuse, malgré mes faux pas. Je veux voir ce sourire sur tes lèvres dès que tu me vois. Je veux être source de bonheur pour toi. Qu'importe la chapelle, je te dirai oui. Alors je me stoppais dans mon élan, t'avouant une nouvelle fois les sentiments que j'éprouve. Et tu trouvais le bâtiment derrière nous adéquate pour l'événement à venir. Mariage. C'était un mariage. « Ça me semble parfait. » Alors je t'entrainais dedans, afin d'en finir au plus vite. Je voulais pas que tu changes d'avis au dernier moment. J'avais pas envie que quoique ce soit vienne interrompre notre bulle. Alors ouais, au plus vite. Je voulais me marier et vivre ce début de vie commune dès maintenant. Arrivant à l'accueil, les choses étaient relativement simples. Un bout de papier, nos deux noms, des signatures. Il fallait nos pièces d'identité et bien sûr, on les présentait. Rien de bien compliqué au final. Si bien qu'on entrait dans la vraie chapelle une fois notre tour arrivé.

Pourquoi se préoccuper des détails quand le vrai fond de cette histoire était qu'on allait être liés à vie ? Et même si ça marchait pas, même si on finissait par se détester et couper les ponts, ça ne changerait pas que pour toujours, on serait quelqu'un l'un pour l'autre. Alors ouais, c'était ça le plus important. Se dire qu'on allait franchir un cap et qu'on allait passer du stade de simple petit amis à mariés. Oh, j'aurais jamais pensé en me levant la veille que j'arpenterais aujourd'hui les rues de Las Vegas dans l'espoir de trouver une chapelle ouverte. J'aurais jamais pensé qu'une énième prise de tête entre lui et moi finirait par nous conduire ici. Et peut être bien que j'avais là une réaction téméraire qui aurait mérité d'être mûrement réfléchi mais.. On était passés par tellement de chose toi et moi que je finissais par penser que c'était simplement la suite logique des choses. De toute manière, on avait prouvé tout au long de notre relation qu'on était pas comme les autres. Beaucoup plus passionnés, beaucoup moins réfléchis. Et ça pourrait bien sûr nous porter du tord comme nous permettre d'avancer. Et au fond, fallait qu'on soit raide dingue amoureux pour se permettre d'agir de la sorte. Allons y alors. J'rentrais à ta suite dans le bâtiment, le coeur battant peut être un peu trop vide et cette boule au ventre preuve que le stress était un peu trop en train de monter. C'était pas n'importe quoi ce qu'on faisait, c'était tellement pas n'importe quoi. Et j'sortais mes papiers d'identité signant les formulaires demandés sans même hésiter une seule seconde. Preuve que je n'avais absolument pas envie de reculer. Et tant pis pour la belle robe que je n'avais pas ni même pour ma tête de déterer qui prouvait que le voyage avait été fatiguant. Ouais, tant pis pour tout ça. On allait le faire et c'était la seule chose qui comptait vraiment. J'crois que c'est à nous. Je murmurais serrant un peu plus sa main dans la mienne. Oh, j'avais aucune idée de comment j'allais expliquer ça par la suite mais.. J'allais désormais lui appartenir, pour le meilleur comme pour le pire.

Normalement, toi et moi on est suffisamment fort pour surmonter n'importe quoi. Bon, peut-être pas à l'heure actuelle mais avec le temps, la confiance sera telle que n'importe quelle petite information normalement destructrice fera l'effet d'un souffle sur nos visages. Je suis pas sûr qu'on soit assez forts pour l'instant, mais ce n'est pas grave en soi. On s'aime et on reviendra toujours l'un vers l'autre. N'est-ce pas ? Foulant le sol de Las Vegas, on avait trouvé des bagues qui feraient l'affaire pour la cérémonie qui nous liera à jamais. Je t'aime plus que tout au monde et ouais, je veux que tu sois mienne à présent. Alors allons nous marier et se dire oui aux yeux d'Elvis s'il le faut. Les bagues étaient rapidement choisies, payées et embarquées. Il nous fallait à présent une chapelle pour effectuer l'engagement et c'était pas forcément la meilleure heure. Mais non, ne nous reposons pas. Trouvons la bonne et ensuite, on pourra faire notre lune de miel. Parce que oui, qui dit mariage dit lune de miel. Je veux que tu sois mienne par l'acte du mariage et puis par l'acte d'amour. Une fois entrés dans la première chapelle ouverte, on se rendait à l'accueil pour remplir tous les papiers nécessaires. Après tout, c'était forcément de la paperasse à remplir pour ce genre d'événements. On allait changer nos vies après ça, c'était pas rien. Attendant patiemment après ça, on s'installait sur les sièges à l'entrée jusqu'à ce que finalement on vienne nous faire signe pour dire que c'était à nous. Sérieusement ? C'est aussi rapide ? Faut dire, l'heure n'arrangeait rien non plus. Sourire aux lèvres, je serrais à mon tour un peu plus ta main. Me redressant, je t'attirais avec moi dans la chapelle, découvrant alors un pasteur déguisé mais pas en Elvis, fort heureusement. Je sais pas si j'aurais assumé cet acte là, par lui. Je pense je me serais pris d'un grand fou rire, ce qui aurait tout gâché au final. « Je t'aime » te glissais-je doucement avant de t'embrasser rapidement.

Ouais c'était le cas de le dire. J'avais pas assisté à beaucoup de mariage dans ma vie pour ne pas dire aucun alors en somme, j'connaissais pas vraiment les règles de l'art. J'crois qu'on allait échanger nos voeux (quoi qu'on les avaient pas vraiment écrit) et puis voilà. Ouais, j'étais certaine de rien et là, je stressais trop pour vraiment réfléchir à tout ça de toute façon. J'avais juste l'impression que j'allais finir par broyer les doigts de Nicholas à trop les serrer et peut être qu'il faudrait que je me détende au moins un peu. Ouais, ça pourrait être une bonne idée ça. Je t'aime aussi que je répondais dans un murmure profitant du chaste baiser que tu m'offrais en toute rapidité. Et bah voilà, on y était. C'était plus vraiment le moment de reculer en fait. On allait se marier et d'ici quelques minutes, on serait officiellement mari et femme. Main dans la tienne, j'avançais vers le pasteur qui nous faisait signe d'avancer et à peine étions nous en face de lui qu'il commençait son speech. Ouais bah.. ça faisait très mariage à la chaîne, très loin du romantisme et tout ça mais j'aurais du m'en douter. Tant pis, de toute manière c'était Las Vegas sur une décision de dernière minute, j'pouvais pas non plus m'attendre au conte de fée tout droit sortie de mes bouquins de gamine. Et après son blabla incessant, je plongeais mes yeux dans ceux de Nich, plus amoureuse que jamais. Oh oui, c'était clairement le bon choix que j'étais en train de faire. Pas de regret. J'voulais l'épouser et j'avais jamais été aussi sûre de moi pour la peine.

Dire que je ne flippais pas était assez paradoxal pour le coup, mais je le vivais bien bizarrement, parce que je savais que c'était une suite logique. Cette fille, je l'avais dans la peau. Je m'en suis rendu compte pendant la supercherie et.. ouais, je m'en suis amèrement mordu les doigts. Tu m'avais manqué et j'avais tout fait pour te reconquérir. À présent tu étais mienne Kaya. Et tu allais devenir ma femme dans les minutes qui allaient suivre. Au final, je me dis que nos chemins avaient été faits pour se croiser. Qu'importe le début de notre relation, ça devait arriver. Maintenant, je n'arrivais pas à me sentir moi-même si je ne t'ai pas à mes côtés. T'es devenue ma moitié et il allait falloir rendre ça officiel. Anneaux en poche, on se rendait alors dans la première chapelle. L'attente se fit ressentir mais quand ce fut à notre tour, j'avais le coeur qui battait à cent à l'heure. On allait se marier, toi et moi. On allait lier nos deux existences. C'était un grand pas, mais je ne reculerai pas. Jamais je n'avais envisagé tout ça dans ma vie et pourtant.. on y était. Fallait croire que j'étais chanceux pour que tu m'aimes à ce point. Un dernier je t'aime, un dernier baiser. C'était nos derniers instants en tant que simple couple. Nous sortirons d'ici en couple marié. Et c'était clairement un énorme pas dans nos vies et dans notre relation. Celui qui présentait la cérémonie n'était pas réellement un pasteur je crois, mais je m'en fichais pas mal, tant qu'il pouvait nous marier toi et moi. Alors ses mots résonnaient dans la pièce et je te regardais amoureusement. Ouais, t'étais belle dans ta robe de bal et ta tête encore un peu endormie. Les heures de vol n'ont pas aidé, c'est vrai, mais je m'en fichais. À mes yeux, t'étais belle tout le temps. “Devant tous ceux qui sont ici, échangez vos consentements” Je te regardais, ne sachant pas tellement quoi dire pour le coup. Peut-être que toi, tu serais plus inspirée.

J'pense qu'à ce moment précis, on pourrait sans aucun problème me poser comme trait de caractère : irréfléchi. Parce qu'il fallait totalement l'être pour s'enfuir comme ça après une enguelade et en venir à ce point. J'veux dire, c'était pas commun. C'était pas le genre de réaction normal. J'aurais du.. Etre en colère. Lui hurler à quel point il était idiot et probablement l'insulter de tout les noms. J'aurais du retourner chez Asia, refuser de lui parler pendant quelques jours histoire qu'il s'en morde bien les doigts et attendre des excuses digne de ce nom. Mais à la place, j'étais à Vegas, prête à l'épouser comme si toutes les blessures causées n'étaient pas importantes. J'pensais pas que l'amour était comme ça au fond. Moi, j'avais toujours vu mes parents, heureux et amoureux, prêt à traverser chaque frontière pour rester ensemble. C'était un peu ce que je pourrais faire pour Nich en y réfléchissant bien mais chez nous, y avait toute la peine qui n'existait pas dans le couple que j'adulais depuis ma naissance. J'sais pas mais.. Personne m'avait avertit que ça pouvait être autant douloureux et en faire les frais était sûrement la chose la plus désagréable au monde mais.. J'savais aussi que quand on arrivait à être heureux, y avait pas de meilleur sentiment que ça. C'était peut être pour cette raison que je fonçais tête baissée sans réfléchir. Parce que personne n'arrivait à me faire sentir comme lui me faisait sentir. Et c'était le moment d'échanger nos consentements. Nich, il avait l'air un peu perdu pour le coup et le regard se voulant rassurant, j'attrapais sa main prenant la parole en premier si ça pouvait l'aider. De toute manière, dans ce genre de cas, ce n'était pas un discours qu'il fallait faire. Non, fallait juste respecter la formule. Moi, Kaya Weasley, je te reçois Nicholas Brewster comme époux et je te promets de rester fidèle dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour t'aimer tous les jours de ma vie.