C'est le seize octobre 1993 à Swansea, South Wales, que les membres de la famille Cadwallader m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Arabella Mirren Cadwallader, mais j'aime bien m'inventer de nouvelles identités parfois. Je suis célibataire, le fait de pas avoir de coeur ça aide vous voyez et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis pansexuelle, je suis fascinée par les âmes, pas les corps. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis un an. Et pour terminer, je voudrais intégrer les mather ou les student.
Singles for life. Ça me va parfaitement. J'avais prévu d'ignorer toute cette histoire de maisons, au début. Faire mon truc en solo. Mais on commence tous quelque part, non? J'avais besoin de relations, de gens qui pouvaient me montrer comment c'était la vie ici. Pas la vie académique et toute cette merde. Non. La vie derrière les salles de classes et les toges universitaires, là où l'alcool coule à flot et où même les premiers de la classe ont de la nicotine et de la drogue dans le sang, là où on peut s'abandonner sur la piste de danse et envoyer chier le conformisme de tout le monde. T'es une vraie Mather, toi, alors. C'est ce qu'on m'a dit. Et apparemment mon aversion pour les héritiers pourris gâtés des fortunés est partagée par le reste des mathers. J'ai rendue des soirées londoniennes mémorables, Harvard n'a qu'a bien se tenir.
STUDENT.
C'est Mather ou rien. C'est la seule maison avec laquelle je peux m'identifier, celle qui pourra me rapporter le plus. Et si je ne finis pas là-bas autant rester seule.
Honnêtement j'ai aucune idée de l'endroit où j'étais quand ça s'est passé. Probablement ivre ou avec la gueule de bois sur le canapé de quelqu'un à Londres, Berlin ou Paris. C'est peut être pour ça que je n'en ai pas entendu parlé jusqu'à récemment. Après tout, il y a plein de trucs dégueulasses qui arrivent tous les jours c'est pour ça que je ne regarde plus les actualités, j'en vois déjà assez devant moi avec mes propres yeux. Je ne savais pas qu'il était à Harvard à l'époque. Si ça avait été le cas, je n'aurais sûrement pas été aussi indifférente.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Non seulement j'étais consciente qu'il était là-bas, qu'il était en danger mais mon frère était là-bas aussi. Mon frère était présent dans la prise d'otage à la cafétéria et quand je pense aux gros doigts dégoûtants de celui qui l'a frappé avec son arme à feu je me sens tellement malade que tout ce que je ressens c'est cette envie malsaine de le tuer pour avoir osé toucher mon frangin. Mais lui, lui c'était différent. J'avais fais en sorte de garder un oeil sur lui, au cas où quelque chose lui arrivait, mais je ne pouvais pas lui parler. Ce n'était pas encore le moment.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle aliel et j'ai 18 ans. Je suis terrienne et j'ai connu le forum grâce à la reine elizabeth (leroy-thomspers) (j'étais déjà sur ilh sous k. pia mcgeary). Il est tout simplement magnifique et très actif alors j'ai décidé de me ré-inscrire. J'utilise ali michael comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par venus in furs. Je fais environ 400? (je peux faire moins comme plus, tout dépend) mots par RP et mon personnage est un scénario crée par trung t. darling.
Mot de la fin ? promis, je suis moins folle et sociopathe que arabella
Je souhaite
▲ séjourner en [X] caravane [] tente [] chalet au summer camp
▲ [] je ne souhaite pas participer au summer camp
adhérer un flood d'intégration (?)
Je finis toujours pas faire ça. Mettre mes pensées sur le papier et puis les voir s'enflammer, l'allumette me brulant encore les doigts. Mais j'ai besoin d'écrire parce qu'il y a beaucoup trop de choses dans mon esprit en ce moment, je ne peux plus penser clairement, je ne peux plus respirer et je n'ai personne à qui parler.
Je m'en vais demain. Demain soir je ne verrais plus les lumières flotter autour de Londres du haut du toit de l'immeuble, le bruit de la ville encore réveillée résonnant dans mes oreilles, le vent faisant danser mes cheveux. Demain soir je ne serais plus là, là où j'ai été pendant si longtemps, là où j'ai fuis. Mon refuge, mon échappatoire. Je ne sais pas comment ça sera à Cambridge, mais j'ai si hâte d'y être. Tellement hâte, que mon coeur bat à cent à l'heure, ma tête tourne et tout ce que je sens c'est l'adrénaline. C'est comme un nouveau départ, de nouvelles personnes, de nouveaux endroits. Un défi, qui m'appelle. Celui de faire de Cambridge ma ville.
Hier j'ai passé la journée sur le toit, allongée par terre, les yeux fixés sur le ciel, à me demander comment ça sera là-bas. Depuis que je suis arrivée à Londres je n'ai jamais vraiment eu de maison. La ville, c'était mon chez moi. Le toit, changeait toutes les semaines. J'ai dormi sur tellement de canapés que l'idée d'avoir mon propre lit me parait étrange. Le dernier lit que j'ai eu était, est et sera toujours sale. Je ne veux pas penser à Swansea, à mon passé, à ma putain de famille dysfonctionnelle. Mais à chaque fois que je ferme les yeux, je ne peux pas m'en empêcher. Je le vois, son corps sur le mien me disant que tout ira bien, qu'il faut juste que je reste silencieuse comme toute bonne petite fille. Parfois je me dis que c'est tant mieux que maman ne soit pas là pour voir ça. La façon dont sa famille a volé en éclat, à quel point sa petite Arabella a changé. Mais je lui dirais, ça va, maman. Je vais bien. J'ai fais une bonne chose au moins. J'ai pris soin de papa et de mon frère. Il n'y a que moi qui ait souffert. Je les ai épargnés. Tout va bien. On m'a volé mon enfance, mon innocence, ma santé mentale. Mais je m'en sortirais. Un jour, peut être.
Je n'ai dis au revoir à personne. Parce que je n'ai personne à revoir. J'ai passé des heures au téléphone avec mon père ce matin parce que je sais à quel point il a souffert lorsque je suis partie et je ne veux pas qu'il pense que je m'éloigne de lui à nouveau. Si je pouvais je ne resterais qu'à ses côtés, à l'observer rire maladroitement et à prétendre ne pas vouloir pleurer lorsqu'il tombe sur une photo de maman. Mais je ne peux pas le regarder dans les yeux et continuer de lui mentir. Je ne veux pas lui dire la vérité et le briser, lui révéler que le frère de sa nouvelle femme s'est faufilé dans ma chambre pendant si longtemps alors que je n'étais qu'une enfant. Et que celle qui partage son lit n'a rien fait pour l'en en empêcher. Je ne veux pas lui parler des interminables nuits que je passais à pleurer, de la violence physique et émotionnelle et des menaces.
Mais ça ne fait pas de moi une bonne personne, n'est-ce pas? Parce que dans ce monde il n'y a que mon père et mon frangin qui comptent pour moi. Et puis lui, lui que j'ai brisé, lui qui reste encore encré dans mon cerveau. Trung. Le reste peut aller se faire foutre. Je n'en ai rien à foutre si on trouve que je n'ai pas de coeur ou de sentiments ou que je n'utilise les gens que pour mon propre intérêt. Je n'ai plus de comptes à rendre à personne. Je ne suis plus une victime. Et je n'ai pas peur de tout détruire sur mon passage.
If everything was perfect
you would never learn and you would never grow
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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible
KATTIS
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⬖ ⬖ ⬖
✧. ❛ love on top. i know nothing'sperfect but it's worth it after fighting through mytears and finally you put me first. it'syou .
Bienvenuuue
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