J'en revenais pas, elle voulait rien faire alors qu'il y a même pas deux secondes madame s'amusait à se frotter sensuellement contre moi. Elle me poussait, je soupirais en me redressant j'avais les nerfs déjà la dernière fois elle m'avait plantée parce qu'il y avait plus de capote puis après elle avait limite fait une crise car j'avais troué involontairement une capote et que j'avais du la changer et ça m'avait perturbé puis là notre nuit de noce, elle me prenait la tête. "C'est toi l'irresponsable alors d’où tu ne prends pas la pilule en plus, tu… quoi ! je comprend pas tu t'es dis quoi? Qu'on allait faire abstinence? Tu me mens c'est ça y a autre chose, tu ne veux pas qu'on le fasse parce que si vraiment tu avais peur, tu l'aurais pas oublié ! je veux bien que tu sois perturbée mais quand même !" J'en revenais pas, elle me prenait la tête pour une capote alors qu'elle, elle ne prenait pas son petit cachet tous les soirs, j'étais choqué. "Y a pas de solution Anya, je peux pas ouvrir une boutique à plus de minuit et même si je sors ce n'est pas possible réfléchis à tous les journalistes qui nous attende dehors aux moindres gestes ils vont être là à photographier !" Je soupirais, je me levais en attrapant un t-shirt sur le coté pour l'enfiler. "Quand tu auras décidé de prendre toi aussi tes responsabilités appelle moi !" Je prenais mon oreiller et je me tirais dans l'autre chambre, celle d'Alessia, c'est ça qui était bien dans cette famille, ils anticipaient toujours tout du coup la petite avait un lit simple à coté de son berceau pour y dormir.

Maintenant j'étais l'irresponsable de l'histoire. Je levais les yeux au ciel à ce qu'il me disait, me relevant du lit pour aller déposer ma tiare et ma traine sur la coiffeuse en faisant attention à cette dernière. J'attrapais un peignoir en soie que je m'attachais autour du corps. Il m'avait complètement refroidis à me parler comme ça. Je m'installais sur le grand fauteuil , si confortable devant ma coiffeuse, allongeant mes longes jambes dessus pour me balancer un peu en arrière, en prenant appuie avec mes pieds pour le regarder. blablabla c'est bon t'as terminé ? lui demandais-je en roulant des yeux. Il m'énervait. Il ne voulait pas comprendre. J'ai terminé ma plaquette de pilule n venant ici, j'ai pas eu le temps de retourner chez le gynécologue, c'est une marque américaine qui ne se vend pas ici, le temps que je commande, on sera déjà partie, alors oui ça fait quelques jours que j'ai pas de pilule mais ça me rend pas pour autant irresponsable puisque je ne veux pas le faire sans capote, alors réfléchis, c'est qui le plus irresponsable d'entre nous deux demandais-je en me levant cette fois ci. Toi qui ne comprend pas que je ne veuille pas le faire sans protection et qui va même jusqu'à s'énerver ? Ou moi qui ne veut pas prendre de risque ? Jamais je ne l'avais vu comme ça, jamais je ne l'avais vu s'énerver pour ce genre de chose. J'avais juste l'impression que monsieur s'énervait parce qu'il ne pouvait pas tirer son coup. Glamour. Il prenait son tee-shirt, l'enfilant rapidement en me lançant une dernière phrase sanglante avant de claquer la porte. Je restais bouche bée devant ce qu'il venait de faire. Ahurie, c'était le mot. J'allais me poser en tailleurs sur le lit, toujours avec ce peignoir qui couvrait mon corps, puis soudainement, Kenny revenait dans la chambre pour prendre ses médicament. T'es sérieux là ? Tu te casses de la chambre, parce que je ne veux pas qu'on fasse l'amour ce soir sans protection ? Je te signal que c'est ton idée les capotes, tu sais, le moment ou t'étais compréhensif avec moi, le moment ou tu me disais que t'étais là pour moi et que tu me soutiendrais et le moment ou TU AS proposé la double protection !

"L'irresponsable c'est toujours toi !" dis-je après son explication sur sa pillule. "Comment tu t'es pas rendu compte que tu étais à la dernière plaquette, tu les prends dans le noir c'est ça ? Tu connais pas la lumière? Non parce qu'on paye l’électricité pour rien alors !" J'étais en colère comment pouvait elle oubliait, elle devait pas avoir si peur que ça sinon elle aurait fait des stocks. Elle se moquait juste de moi, elle avait fait la fille qui me voulait puis après elle avait trouvé l'opportunité de me le faire à l'envers et puis voilà on se retrouvait là à se prendre la tête. Je remettais mon haut rapidement, prenait mon oreiller et mon téléphone puis je partais avant de revenir même pas 5 minutes plus tard pour prendre mes médicaments, moi par exemple j'avais fais des stocks de mon insuline et je ne l'oubliais pas non plus, qui était l'idiot dans l'histoire? Qui? On se le demande. "Bien sur que c'est mon idée les capotes, je le reconnais je les jamais démenti mais je t'ai bien dis que c'était pour QUELQUE TEMPS !" dis-je en accentuant les derniers mots. "ça fait deux semaines que je met ce plastique sur moi, j'ai cessé de compter les fois ou tu as pas voulu que je le fasse parce que je l'avais pas, au début ça m'allait mais sérieux là moi je veux bien penser aux capotes et j'y ai pensé cette fois-ci aussi sauf que je peux pas non plus surveiller que tu prennes ta putain de pilule !" J'étais toujours en colère. "Alors tu fais la fille qui s'inquiète mais quand tu as fourrée la dernière plaquette dans ton sac hein tu t'es pas dis que tu pouvais aller voir le médecin pour plus de précaution, si tu avais vraiment autant peur de tomber enceinte, tu l'aurais fait ! On pouvait se permettre de repousser le vol d'au moins une heure et le médecin n'est jamais contre de te voir alors me sort pas des excuses de merde. Oui je suis fautif aussi hein mais tu en tiens une bonne couche toi aussi." J'ouvrais ma valise pour attraper mon bas de pyjama ainsi que mon sac de toilette ou mes plaquettes et piqure d'insuline se trouvait à l'intérieur. "Sur ce bonne nuit." Et je repartais. J'avais pas envie de me battre, plus maintenant, c'était décevant et c'est là que je me rappelais qu'elle avait que 23 ans, elle était jeune et je lui demandais de se comporter comme une adulte de plus de… et puis merde elle m'avait bien dit qu'elle attendait que je la traite comme une adulte, je le faisais point.

J'étais juste abasourdie par la manière dont il me parlait. il me tenait pour responsable de tout ça, allant même à dire que je faisais exprès. Exprès pour ne pas qu'on fasse l'amour. Ses mots étaient blessant et pour la première fois je décidais de ne rien dire, le laissant déverser sa colère. J'avais envie de lui envoyer une lampe dans la tronche, lui dire de se la fermer et de dégager. Il venait de gâcher toute cette journée et jamais je n'oublierai ce qu'il était entrain de me dire. Il avait enfin terminé da tirade pour finalement me dire bonne nuit après avoir pris ses affaires. Je me mordais la lèvre en ramenant mes jambes contre ma poitrine pour ne pas crier, pour ne pas hurler même. Va te faire foutre Kenny fut ma réponse à son bonne nuit. Je l'avais vraiment mauvaise et si je ne m'étais pas retenu, la baffe serait sorti à nouveau. Finalement, j'allais me mettre en pyjama moi aussi retirant ses sous vêtement ridicules. C'est de ma faute moi si le mec c'était trompé de taille ? C'est de ma faute si ces derniers jours avaient été tellement stressant et chargés que je n'avais pas pensé à regarder le reste de mes pilules qui étaient dans une petite boites. Après avoir mit un débardeur et un petit short, je m'engouffrais dans ce lit trop grand pour une personne et bien trop froid sans Kenny, mais rien à faire, je préférais qu'il dorme loin de moi ce soir, parce que je serais capable de l'étrangler dans son sommeil. Ses mots résonnaient en moi jusqu'à ce que je m'endorme.

Le lendemain matin, je me levais de mauvaise humeur, je regardais une photo de Kenny et moi qui était sur ma table basse et dans un élan de colère je la fracassais au sol en allant dans la salle de bain pour me prendre une douche et m'habiller pour aller prendre le repas. Il était déjà plus de 12h et j'avais dormi toute la matinée. J'enfilé une petite robe rouge, je ne me maquillais pas vraiment, juste un peu de mascara et je passais une main dans mes cheveux tout en descendant. Je remarquais que Kenny sortait lui aussi d'une des chambres et je me dépêchais, sans l'attendre, je n'avais toujours pas envie de le voir. J'étais énervé, le fait de ne pas avoir répondu me rendais encore plus ronchon. Bonjour dis-je sèchement à tous le monde. Aujourd'hui, ne me parlez pas !

La nuit n'avait pas été si dure, l'alcool m'avait permis de bien dormir et l'énervement c'était dissipé vers les deux heures du matin lentement mais surement seulement le lendemain se fut dur. Alessia me tirait de mes rêveries, elle était encore descendue de son berceau en mode cascadeuse et le pire c'est elle qui tirait sur mon bras, je souriais un peu, sur le coup j'avais cru que c'était Anastasiya, j'avais oublié notre dispute jusqu'à ce que je me souvienne de tout et là je vis encore rouge. Je pestais, Alessia m'appelait, je lui fis un sourire en la faisant monter dans mon lit pour dormir une petite heure en plus avec elle. "On va aller manger." Dis-je en lui caressant le ventre. Elle était contente, allongé sur mon torse, elle se blottissait finalement dans mon cou. Je respirais son odeur, sa douce odeur qui caractérisait les bébés, un mélange de lait et de crème, c'était si doux et réconfortant que je décidais de descendre en pyjama. Pantalon en coton noir, t-shirt blanc, Alessia en petite grenouillère, je vis Anastasiya qui m'ignorait. Tant mieux, je ne supportais pas de la voir, je crois d'ailleurs que c'était la première fois. "Bonjour." Dis-je ailleurs en bas. Ma mère me regardait puis Anya, elle avait l'air curieuse mais quand je déposais un bisou sur la chevelure de ma mère, elle oubliait, Irina quant à elle me prenait Alessia, elle voulait la faire manger ou je ne sais pas quoi. "ça te dérange de te décaler maman, je veux être à coté d'Alessia." Et non d'Anastasiya, ni même être en face de sa personne, je voulais être entouré de ma fille et de ma mère même Igor me convenait. On mangeait tous ensemble, silencieusement pour ma part même si je répondais de temps en temps, l'ambiance était glaciale, tout le monde le remarquait pour un lendemain de mariage je peux vous dire que c'était festif. "Vous allez faire quoi aujourd'hui?" demanda ma mère pour briser le silence. "J'ai du boulot à rattraper et une visite de local." Dis-je simplement. Tout le monde me regardait, j'haussais les épaules, Igor ne me jugeait pas, je crois qu'il comprenait.

J'étais à table avant Kenny qui arrivait avec Alessia. Je la voyais me sourire, me tendre les bras mais il la donnait à ma mère. Je me renfrognais un peu plus. Posant ma serviette sur mes jambes, je n'avais pas faim finalement, je me contentais de bouger les aliments de mon assiette. Tous le monde était silencieux, je ne parlais pas, je n'en avais pas envie. Il demandait à sa mère de se décaler pour être à côté d'Alessia, une place était vide à mes côtés .. Il donnait le ton de la journée. Très bien. Kenny disait avoir du travail aujourd'hui, je levais la tête un peu surprise de l'apprendre. Il avait tout gâché, vraiment tout. Je fois y aller, je dois aller voir quelqu'un dis-je avec un grand sourire, je ne disais pas le nom de la personne, à vrai dire, je n'avais personne à voir, je voulais juste lui foutre les boules, quoique je n'étais pas certaine que cela marche Excusez moi dis-je en me redressant et en sortant de table, comme ci de rien était, ignorant les regards posait sur moi. J'avais envie de jouer le jeu un peu plus et c'est ce que je faisais. Je montais me changer pour mettre quelque chose de plus ... saillant. Une robe rouge qui s'ajustait parfaitement à mes courbes, des talons haut me grandissant assurément élançant d'autant plus ma silhouette. J'attrapais un manteau, je mettais du rouge à lèvre rouge, je sais à quel point IL aime ça et je descend les marche comme ci de rien était, espérant ne croiser personne, ou peut être bien que si, j'espérais le croiser lui.

Anastasiya fuyait, ça me dérangeait pas, la voir ainsi me rendait à la fois triste et je me disais que bon si elle se sentait coupable rien ne l'empêchait de me faire un sourire, je serais venu vers elle, pas besoin de mots parfois. Elle s'excusait, elle voulait ou plutôt devait voir quelqu'un, je peux vous dire que mon sang ne faisait qu'un tour, j'étais jaloux totalement, je me levais ensuite une bonne dizaine de minutes plus tard en m'excusant et je la croisais en bas, robe rouge, rouge à lèvre de la même couleur, je ne frissonnais même pas, je commençais à sentir la jalousie devenir plus forte, j'étais capable de la prendre pour l'enfermer dans la chambre. "Je peux savoir ou tu vas." Dis-je en la regardant durement. "On va te voir comme ça dehors sans moi, voir une autre personne, tu vois l'image que tu donnes du palais, tu étais fière d'être la future tzarine hier et là tu sors habiller comme… je ne sais pas quoi." Je trouvais une piètre excuse pour essayer de cacher ma jalousie mais dans mon regard on pouvait voir que je bouillonnais, elle le faisait pas exprès, je me doutais de rien j'étais aveuglé par la colère alors qu'Irina et Olga accompagné d'Alessia sortait, elles nous regardaient, je fis la même chose planté devant mon épouse les bras croisés puis elles s'en allaient toutes les trois. "Je peux savoir qui tu vas voir en plus?" Dis-je avec un ton glacial.

Peut être que comme ça, j'attirerais son attention. Hier soir, il me parlait comme si j'étais une incapable et là, il faisait comme ci je n'existait pas, en prévoyant de travailler toute la journée, d'aller en ville pour affaire ... je n'allais pas rester ici à l'attendre. Alors je décidais de sortir en prétextant que j'allais voir quelqu'un, bien sûr c'était faux, mais je voulais le faire réagir. Je descendais les escaliers et il était là, à m'attendre. Son regard était rouge de colère, je le voyais, je le connaissais. Je sors voir quelqu'un, il me semblait l'avoir dit tout à l'heure j'haussais une épaule, le jaugeant du regard tandis qu'il se mettait à parler d'une manière un peu plus excessive. Plus énervé. Je souriais à ce qu'il disait avant de rire un peu [ Me parles pas de l'image que je donne à ce palais, t'en as rien à foutre toi ! Puis c'est mon problème à moi, pas le tiens /i] dis-je en le fixant à mon tour jusqu'à ce qu'il n'en vienne à la façon dont j'étais habillé. Je n'étais pas vulgaire, je m'étais mise en valeur, mais je ne ressemblais pas non plus à n'importe qu'elle dépravée, je restais élégante [i] Je sors habillé comment ?! j'attendais qu'il me réponde, j'attendais qu'il dise le mot, parce que je sais bien qu'il allait le dire étant donné l'énervement qui montait en lui, ses joues étaient rouges. Ma mère, Olga, et Alessia était derrière nous, je pouvais même voir la tête de bigmama se pencher pour regarder ce qu'il se passait. Je lançais un regard à ma mère pour qu'elle nous laisse seuls et c'est ce qu'elle fit en entrainant ma grand mère et notre fille. Non se fut ma seule réponde et je me retournais pour sortir, attendant de voir ce qu'il allait faire. Merde, j'allais aller où moi ?

"Je suis pas sourd, je te demande ou tu vas." Je devenais rouge de colère, je l'avais épousé hier et elle sortait dans cette tenue le lendemain, je m'en foutais de ce que les journalistes pouvaient penser ou ma famille mais elle ne pensait pas aux gestes qu'elle faisait, c'était mauvais totalement. Je la regardais de haut en bas, dans une autre situation, je l'aurais coincé dans la chambre pour la faire mienne sauf que là, j'avais juste envie de la coincer pour ne pas qu'elle sorte. "Tu sors habiller comme si tu allais ... draguer." Dis-je en pestant totalement. Je demandais ou elle allait après que tout le monde soit passé mais non elle me répondit comme si de rien était, j'y crois pas, elle se prenait pas pour de la merde en plus. "Tu m'appartiens Anya, tu es à moi souviens toi de ça." J'étais affreusement possessif en plus d'être jaloux, elle partait, je n'allais pas la toucher pour la retenir, pas que ça me dégoute juste que je voulais pas lui faire peur ou appuyer sur sa peau avec force. Je la regardais avalant ma salive, elle s'en allait, j'allais pester dans ma chambre, m'habillant en costume pour mon rendez-vous, j'étais rouge de rage mes yeux lançaient des éclairs et finalement j'explosais la lampe de chevet pour voir qu'Anya avait pu faire la même chose avec un cadre ou il y avait une photo de nous deux. Cette relation était belle, passionnée, mais elle était aussi bien trop douloureuse à vivre par moment

D'accord fut ma seule réponse et ce n'est pas pour autant que je lui répondais d'ailleurs. Je n'avais pas envie de lui répondre, je voulais qu'il se fasse des films. Peut être bien que c'était méchant, mais je n'aimais pas qu'il se comporte comme ça avec moi. Sa réponse ... j'avais l'impression que c'était pas celle qu'il allait me donner au départ, j'haussais les épaules en me regardant de haut en bas avant de relever les yeux vers Kenny. c'est vrai que cette robe est pas mal bien entendu, je n'allais pas draguer, je n'étais pas infidèle et s'il n'était pas énervé de la sorte, il ne me ferait pas cette remarque, parce qu'il sait que je ne suis pas ce genre de fille. Ses mots, me firent réagir, froncer les sourcils. En temps normal, j'aimais qu'il me dise ce genre de chose, mais là, non. Je ne suis pas un objet Kenny et je suis tellement irresponsable... dis-je avec une petite moue sur les lèvres, bien sûr je me moquais de lui en disant cela. Je lui faisais un clin d'oeil et je tournais les talons pour partir. J'aurais pourtant aimé qu'il me retienne mais je crois , je crois que hier soir... quelque chose c'était prisé et juste à cause d'une histoire de capote C'était d'un ridicule. Une fois dans une voiture, je demandais à un chauffeur de faire le tour de la ville, une fois ... deux fois. Je ne voulais pas rentrer trop tôt mais je n'avais pas envie non plus de sortir. Devant un café, le chauffeur allait m'en chercher un et je restais là, à attendre jusqu'à rentré au palais. vers 17 heures. Je montais directement dans notre suite pour voir qu'une lampe était brisé, à côté du cadre. Je levais les yeux au ciel, il voulait détruire mon mobilier ? Pour poussé le bouchon un peu plus loin, espérant qu'il rentre d'ailleurs, j'essayais une toute nouvelle lingerie ... et merde, je tentais vraiment de lui faire croire ce genre de chose ? J'avais l'impression d'avoir 15 ans en faisant ça, ce n'était pas du tout responsable, c'était immature. Finalement, je le laissais sur le lit pour aller me faire couler un bain.