C'pas en lui faisant mal et en brisant encore plus ses côtes (oui, oui, mes pensées vont dans le sens que mon poids plume peut faire craquer des côtes dans Wade, c'est normal comme raisonnement, nous sommes d'accord) que j'allais le remercier d'avoir été là ce soir plus que n'importe qui aha. Donc, j'voulais essayer de.. le proteger. Sauf que nan. Ca se voyait que Wade avait une autre idée n tête. T'inquiète ça m'fais plus mal ! J'suppose que c'est un grand garçon et que ses stups font vraiment beaucoup effet sur son corps aha. J'me laissais faire, me faisant attirer à lui tout simplement et gad, j'adorais tellement ce contact, j'vous jure, j'pourrais rester dans cet endroit des heures durant. J'vais pas m'faire plus désirer alors. dis-je en souriant. J'vous jure que là rien ne pouvait vraiment péter notre bulle et j'savais pas trop comment amener une suite de discussion.. parce que j'voulais rien faire. Rester dans ses bras, être proche de lui, qu'il soit à moi le temps de quelques secondes. Merci.

Bordel, mais que'est-ce que je foutais là ? Entre le faux sang, les faux zombies et la bouffe qui ... Attends c'était de la bouffe ça ? Nan franchement j'étais dégoutté. J'ai fait l'effort, moi, de venir ici en me déguisant tel une diva en décomposition pour finalement me retrouver au milieu d'un bordel sans nom. "Zombie House" mon cul ouais. Je pars. disais-je en m'adressant à tout le monde. Certains considéreront certainement mon départ comme une tragédie, et ce serait la plus logique des réactions. Rare sont les soirées mémorables dans lesquelles je ne suis pas resté. Mais où aller maintenant ? La réponse était tout faite : chez les Cabots. Elles étaient mes alter ego féminin, et j'étais sûr que j'allais passer une bonne soirée. Encore un dernier coup d'oeil à ce carnage, coup d'oeil qui me permettra de réaliser que j'avais fait le bon choix. Ciao les zombies.