«- Oui c’est bien ça. Un père cinéaste et une mère qui était actrice. Ne t’en fais pas, je ne prend pas ombrage que l’on ne me reconnaisse pas et de toute façon il y a tellement d’autres princes, princesses et célébrités à Harvard que la princesse d’un petit pays d’Europe ma fois, ce n’est pas étonnant qu’on ne se la remémore pas immédiatement. Et quelque part, j’aime bien ça. Des fois ça me donne l’impression que je suis une fille normale. D’ailleurs, je n’aime pas vraiment être retenue en temps que princesse, je préfère l’être en temps que patineuse artistique. »

Comme nous la comprenions, quand les gens nous compare juste à notre titre ou à notre arbre généalogique. Cela nous avait rendus plusieurs fois folle dans notre enfance, ou être comparé à notre petit prodige de frère jumeau. Nous la regardâmes avec nos beau yeux bleu brillant d'avidité, l'apprentisage à toujours était notre fort. Nous étions curieuse, bien qu'au premier abord réservé. Notre frère avait été peut-être un génie au violon, nous étions nous même talentueuse, avec nos propres qualités et défauts. Nous la regardâmes en sourinat, nous voulions en apprendre un peu plus encore d'elle et pour nous qu'elle soit une fille sans argent ou une princesse d'un autre pays, elle était simplement une fille avec qui nous avions jouer avec un plaisir certain. Nous lui dîmes:

"- Je te comprend être comparé aux parents ou aux titres que l'on obtient de notre pays c'est vraiment dur. J'imagine pire pour toi. "

Nous nous rappelâmes alors cette théorie du non-étiquetage lue dans un livre qui nous avait vraiment plus. Nous décidâmes donc d'en parler avec la jeune Hongroise:

" - Dis moi tu connais la théorie du non-étiquetage?"

Ce sujet nous passionés et nous voulions tant que les gens l'utilise dans leur vie, cela aurait était plus simple pour tous.

Le jeune patineuse nous fis signe qu'elle ne connaisait pas cette théorie. Nous restâmes quelques instants silencieuse pour reprendre chacune des idées dans l'ordre. Puis nous nous mîmes à lui expliquer que cette théorie avait été créer par Herbert Blumer. Il n'avait pas mis sa théorie en pratique, mais une revu parler de cette philosophie. L'étiquetage consistait à mettre sur un événement, un objet ou une personne une étiquette souvent de nature sociale. Cependant on pouvait observer qu'il vari entre le temps et l'espace. A l'inverse le non-étiquetage cherche lui à rejette toute c'est étiquette et à acepter le monde et l'univers tel qu'il est. Pour cela il fallais dans un premier temps percevoir avec nos sens ce que nous identifions, mais pas seulement qu'avec les sens, l'intellect et nos émotions, pour ensuite adopter une attitude neutre envers les choses qui nous entoure:

"- D'après ma lecture de cette revu, il nous demande de voir le monde avec des yeux enfants. Lorsque nous étions petits nous ne jugeions pas les gens, les personnes avec des problémes étaient pour nous tous à fait normal. Enfin, voilà le but de cette théorie serait de retrouver notre âmes d'enfant et de ne plus mettre d'étiquette. "

Le sujet nous passionait plus que tous, des petites étoiles dansaient dans notre regards, pendant que nous lui expliquons cette théorie complexe, mais tellement intéressante.

Nous observâmes la jeune hongroise, elle semblait comprendre ce que nous idssions. Et réfléchir à nos paroles. Quelques instants défilérent sans qu'un bruit ne pertube le silence de la salle. Après quelque instants de plus nous nous tournâmes vers la jeune femme et lui demandâmes:

" Il me semble que tu dois bientôt partir pour une compétition de patinage? Si je ne me trompe pas, je suis de tous coeur avec toi bon courage. "

Le patinage nous avait toujours fait rêvé, bien que nous n'aimions pas pratiquer, les gestes fluides des patineurs nous faissait écarquiller les yeux par leur majestueux sauts. Il nous rendait bouche bée. La jeune patineuse était exelente d'après les rumeurs et dans peu de temps une compétition devrait bientôt avoir lieu.

"- Merci. effectivement je pars bientôt pour les jeux Olympiques à Sotchi. Et j'ai vraiment, vraiment hâte d'y être. je me demande si j'atteindrais mes objectifs et il est clair que cette compétition me fait un peu peur car tout les concurrents sont très bons, très dangereux... Mais je vais me battre pour revenir avec au moins une médaille, qu'importe sa couleur tu peut me croire !"

Les yeux de la jeune hongroise brillais de mille feu, son rêve, se qu'elle avait fait depuis maintenant tous était sur le point de ce réalisé, il ne lui fallait faire qu'un seul pas, un pas de géant certes, mais un pas. Elle nous rappela notre rêve, ou plutôt son rêve à lui. Celui que nous souhaitions réussir pour lui, pour notre moitié.

"Et nous te soutiendrons du font du cœur! "

"C'est gentil merci. Et toi alors quels sont tes projets pour ton avenir ?"

Cela nous met un peu mal à l'aise, non pas mal à l'aise, ce n'est pas vrai, en faite nous ne savions pas trop ce qu'était ce sentiments étranges. Nous regardions devant réfléchissant à sa question. Pour ne pas lui mentir nous lui dîmes:

"- Eh bien, je ne peux pas dire que j'ai un rêve ou un projet d'avenir, si je disais que je souhaite plus que tus jouer devant un grand nombre de personnes et donner l'envie au gens de jouer du violon ce serais pour lui. Mais ce n'est pas mon rêve, je n'ai pas encore vraiment décidé. '

Je lui souris, avec un petit sourire désolé, je ne savais pas trop quoi lui répondre. Quelle était mon rêve? En voilà une question qui allait me trotter dans la tête durant encore plusieurs jours. J'observe la jeune fille, elle semble si déterminé à la victoire et au bien fondée de son objectif, nous nous demandâmes si un jour nous aurions la joie d'avoir un rêve aussi grand et qui nous rendrait aussi déterminé.

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