Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle DOUNYZzZ et j'ai 20 ans. Je suis Frenchie et j'ai connu le forum grâce à Je ne m'en rappelle plus Oo.  Je trouve que ce forum est tout simplement le meilleur ! alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Natalia Vodianova comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart & Tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Marshall Elliot Reilly.

Mot de la fin ? ▲ Yiiihaa !  
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

En apparence j'étais la fille de bonne famille. La petite descendante des Reilly. Pour mon père j'avais le devoir d'être la fierté. Il fallait dire qu'avec les deux autres, il avait pu signer ses premiers échecs.

Notre famille est bien connue à Cambridge, les Reilly sont de véritable vétérans de la ville. Le Cabinet d'avocats, ouvert depuis des lustres dans la cinquième avenue, c'est une histoire familiale. Tenu jadis par mon arrière, arrière grand-père et aujourd'hui en possession de mon paternel, c'est la consécration des générations. John-Smith Reilly, mon père est l'américain type. Riche, autoritaire, sur de lui, compétent. C'est pourquoi il est celui qui a fait exploser l'affaire. Le jeune prodige. A ses 22 ans il était à la tête du cabinet et déjà pleins aux as, du moins c'est ce que la légende dit. Puis il a rencontré ma mère après avoir batifolé à droite à gauche et est alors venu au monde Marshall, mon frère. Marshall, ne leur à jamais fait de cadeau, je le soupçonne, au-delà des querelles familial commune à toutes les familles, de réellement haïr notre père. Il y a toujours eu une certaine tension entre eux, quelque chose de spécial, une compétition de testostérones ou que sais-je. BREF. Marshall n'a jamais réellement été l'image type du descendant que JSR - c'est comme ça que la presse aimait l'appeler - c'était fixé.
En accord avec ma mère ils ont donc décidé de retenter le coup. Dommage pour eux, nous étions deux. Des jumeaux. La suite est plutôt banale. J'étais la dernière option pour notre bon vieux paternel et la plus simple, je reprendrais l'entreprise, point final.

C'est donc comme ça, que depuis que j'ai atteint l'âge de huit ans, mon père m'entraîne à être la meilleure. Au début je dois avouer que je n'étais pas dérangée par l'idée. Reprendre l'entreprise familiale, pourquoi pas. Et puis avec le temps, les réels envies prennent places et l'ennuie parvient. Adolescente, je n'ai plus eu du tout envie de suivre ses envies. J'ai alors déraillé. J'ai fugué, l'ai insulté, me suis rebellé. Ce que font la plupart des adolescente d'ailleurs, mais en vain. Mes frères tentèrent de lui faire entendre raison, ma mère s'y mit également, rien. Comme s'il avait cette espèce de droit. Je n'en revenais pas. Comment osait-il décidé ainsi de la vie que j'allais mener.

Les années passèrent alors et je me résignais. De toute manière, il me tenait. La décision tomba à l'aube de mes 18 ans. J'étais acceptée à Harvard en droit. N'importe qui aurait sauté au plafond, moi j'étais juste dépitée.
A mon arrivée à Harvard, je décidais de rejoindre une sororitée, il était hors de question que je sois la seule à rentrer chez ce bourreau le soir. Les filles de ma maison me convinrent de choisir ma mineure selon ce dont j'avais réellement envie et étrangement c'était le premier choix que je faisais réellement pour moi dans la vie.
Cette première année fut une révélation. Je n'étais plus la petite Léna qu'on présentait au dîner mondain comme un putain de trophée. J'étais moi. Je mis totalement les études en second plan. Je découvrais l'université. Les soirées, les mecs, les filles, le spring-break. Tout.
Et Aujourd'hui après avoir passé mon été entier au Cabinet Reilly je n'ai qu'une hâte, que la rentrée soit enfin là pour pouvoir retrouver tout ce qui m'a manqué l'été durant. Harvard.