a turning point, together. (edias)

a turning point, together. with @Elias Wertheimer
tw -- mention de test de grossesse. // date -- le 08.03.2024
Un soupire s’échappe d’être tes lippes alors que tu enlèves la serviette qui retenait ta chevelure. Cette dernière encore humide laisse vivre des boucles indomptées que tu ne cherches guère à discipliner aujourd’hui. En ce moment, tu travailles beaucoup tant professionnellement que mentalement. Tu avances, ça va dans le bons sens et en songeant à cela tu esquisses un petit sourire - pluton fier ce sourire d’ailleurs. Vêtue d’un jean vintage et d’un sweat à l’effigie de la faculté, ton téléphone bourdonne sur le rebord du lavabo. Un message de ta mère qui t’indique qu’elle et Louise sont bien arrivés à l’hôtel. Ta mère est de passage à Boston et elle en profité pour passer un peu de temps avec sa petite fille. Autant dire que Louise a été la première à faire son sac pour le week end. Du coup, tu en as profité pour proposer à Elias une petite soirée en tête à tête. Ces temps ci vous n’avez pas eu le temps de vous réservez un peu de temps à deux et c’était l’occasion … l’occasion, oui. Ton regard se porte sur l’intérieur du tiroir de la salle de bain. Il y a quelques jours, tu te sentais mal en sortant du boulot. Tu as cru que c’était un truc que tu avais du mal à digérer mais les signes t’ont interpellés. Tu es passé à la pharmacie acheté un test de grossesse et il s’est révèle que tu avais raison : il était positif. Tu devais discuté avec Elias et tu es un peu anxieuse à l’idée … pour autant, l’heure est aux journaux pour préparer le repas. Une, deux heure passe … tu ne vois tout simplement pas le temps passer. Tant et si bien que tu n’entends même pas Elias claqué la porte de la villa. Pourtant, tu as mis la musique peu fort mais tu dois être trop absorbés par te que tu es en train de faire et tes pensées.

Cela fait quelques jours que ça se prépare. T'as évidemment demander l'avis et un coup de main à ta belle-mère. A l'écoute, il aurait fallu plus mais, il s'agit d'Edie et même si tu avais envie de faire les choses en grand toi aussi, il fallait se mettre à sa place. Tu sais qu'elle se contente de peu, qu'elle est très discrète et romantique d'une certaine façon bien que pudique. Tu ne te voyais finalement pas lui demander sa main au beau milieu d'un restaurant guindé. Quand t'as expliqué ça à sa mère, elle a fini par abdiquer et confirmer qu'un cadre intime était beaucoup mieux. T'aurais préféré être celui qui rentre en premier, qui prépare l'ambiance et le diner mais bon, les choses se sont déroulées autrement et le freestyle a pris le dessus. Toujours en train de jouer avec la petite boîte présente dans la poche de ta veste depuis des semaines, tu passes chez le fleuriste. T'avais appelé la veille pour être sûr qu'ils aient tout ce dont ils avaient besoin pour créer le bouquet qui ferait vraiment plaisir à ta copine. La boule au ventre, tu pouvais enfin rentrer, non sans répéter sur le chemin alors que tu serais sans doute tétanisé une fois sur place. Soit, qu'il en soit ainsi, place à l'improvisation. Tu rentres donc à la villa, bouquet à la main. Tu retires tes chaussures et les laisses traîner dans l'entrée car tu as les mains occupées et tu vas rejoindre ta petite-amie dans la cuisine, là où une odeur délicieuse se fait sentir. Elle ne te voit pas arriver alors, tu en profites pour lui faire la surprise, l'attrapant par la taille en embrassant sa tempe, son cou, ses lèvres. Toi, t'as le smille, t'es de bonne humeur et là voir te rend encore plus heureux. Salut toi ! Ça sent super bon. Tu lui tends alors le bouquet que tu n'as même pas essayé de cacher à vrai dire. Pour la plus belle et la plus intelligente des femmes de la terre. Est-ce que tu en fais des caisses ? Toujours. Généralement, ça fait rire Louise et sourire sa maman. Elle ne sera pas là ce soir pour être témoin de tout cela et peut-être que, mine de rien, ça te mine. Mais c'est un moment spécial, rien qu'à vous et il faut l'accepter. @Edie Reuben

HJ : merci de l'avoir commencé et désolé pour le retard partout

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tw -- aucun pour le moment.  // date -- le 08.03.2024
La musique même en sourdine, tu murmures les paroles de la chanson de Bagdad Café. Un film qui date mais dont tu apprécies toujours autant la musique. Alors que tu termines de remuer la sauce du plat que tu concoctes, tu sens une main se poser sur ta taille. Tu sursautes quelque peu avant de sentir les effluves du parfum de ton copain qui dépose un baiser sur ta tempe, ton cou puis tes lèvres. Tu esquisses un sourire doux, apaisé et sincère à la fois. Tu te retournes pour le découvrir rayonnant et tout fier alors qu’il te tend un énorme et magnifique bouquet de fleurs. Et pas n’importe lesquelles, celles que tu préfères. « Coucou à toi aussi ! ». Commences tu en souriant amusé alors qu’il s’exprime de la même manière qu’il le fait lorsqu’il te séduit devant votre fille. Il en fait des tonnes lors de ces moments là mais ça te fait toujours autant sourire. Tu fronces le bout de ton nez, geste que tu fais à chaque fois lorsque tu es gênée de recevoir un quelconque présent. « J’en connais une qui aurait adoré t’entendre dire ça ! ». Ton sourire s’agrandit un peu plus alors que tu prends le bouquer dans une main, passant l’autre main autour du cou de ton petit ami. Tu caresses sa nuque avant de lui dire tendrement. « Et bien j’ai de la chance d’être avec l’homme le plus adorable du monde. ». Tu l’embrasses avec amour, passion et une profondeur vibrante car tu sais par tout ce que vous avez traversés ensemble que votre lien est solide. Assez solide pour que tu parviennes à lui dire ce que tu as découvert il y a peu de temps finalement. Tu recules de quelques pas, plongeant ton nez dans le parfum floral que dégage le bouquet. « Elles sont magnifiques, merci mon coeur ! ». Tu t’éloignes pour attraper un vase dans le placard un peu plus loin avant de poursuivre. « Ma mère et Lou sont bien arrivés à l’hôtel au fait, elles sont contentes d’être ensemble … en tout cas elles avaient l’air d’être friande pour s’amuser … ». C’est comme si tu loupais quelque chose ou presque … « Et, toi ça a été ta journée ? En tout cas, tu as la forme, mh ? ». Autant prendre la température avant de te lancer dans la grande discussion.

Hj : aucun souci ne t’en fais pas

Quand tu la vois dans la cuisine, en train de fredonner un air familier, tu te dis que tu as vraiment de la chance. T'as de la chance de l'avoir dans ta vie après toutes les crasses que tu as pu lui faire à l'époque, après tout ce que vous avez enduré. Elle est forte Edie, elle prend beaucoup sur elle. T'aimes ce trait de personnalité, le fait qu'elle ne se laisse pas abattre facilement. T'aimes aussi pouvoir la protéger, pouvoir être aux petits soins avec elle. Tu tentes de ne pas trop la négliger, même au dépend de Louise parce que tu sais qu'elle peut prendre beaucoup de place. Tu sais hausser le ton, faire comprendre à ta fille ce qu'il faut et ne faut pas faire. En temps normal, elle t'écoute parce qu'elle a quand même tendance à avoir la trouille quand tu te fâches. Mais à côté de ça, t'es un vrai papa poule qui lu cède tout et parfois, tu donnes du fil à retordre à sa mère. Mais comme aujourd'hui, tu te rattrapes alors qu'elle s'active en cuisine. Tu arrives discrètement, sans t'excuser de la déranger et de prendre un peu trop de place. Au contraire, tu lui tends ton bouquet, sourire charmant collé sur les lèvres et prêt à lui donner toute l'attention dont elle mérite ce soir. Evidemment, Louise aurait rigolé et Edie ne manque pas de te le faire remarquer mais ce soir, c'est juste vous deux. J'essaie d'être à la hauteur de vos attentes mademoiselle Reuben. Mais tu espères pouvoir rapidement dire Madame. En attendant, tu te contiens, tentes de calmer le stress qui te gagne et lui rends son baiser avant de la regarder s'éloigner pour s'occuper du bouquet. T'es déçue de ne pas passer la soirée avec elles ? T'espères pas trop quand même. Louise adore sa grand-mère, tu sais qu'elle risque de la faire tourner en bourrique toute la nuit. En espérant qu'elle ne lui fasse pas trop la misère malgré tout, tu n'as pas envie de devoir la récupérer au beau milieu de la nuit. T'as d'autres plans en tête pour dire vrai. Je suis en pleine forme et heureux de pouvoir passer la soirée avec toi ma belle. Je vais mettre la table si ça te va et je peux gérer la fin du repas si t'as envie d'aller te reposer un peu. T'es toujours partant pour donner un coup de main. Et puis, t'as surtout envie de créer une petite atmosphère pour la suite. @Edie Reuben

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tw -- mention de test de grossesse. // date -- le 08.03.2024
« Ne cherche pas à l’être, tu l’es tu sais. ». lui réponds-tu en un sourire tendre et sincère. C’est vrai, il fut un temps où tu lui aurais dit le contraire et cette époque te parait bien lointaine avec tout ce que vous avez pu traverser depuis. Une fois les fleurs dans le vase, tu l’informes du fait que Louise est bien avec ta mère à l’hôtel et que leur soirée promet d’être rythmée. Son interrogation t’interpelle un peu même si son expression faciale ne le trahit, il semble un peu anxieux. Et l’angoisse, ça te connait bien ces derniers temps, trop même - quand bien même de a fait de gros efforts depuis. Ne voulant pas relever pour le moment, tu secoues la tête de droite à gauche, sourire accroché aux lèvres. « À dire vrai, je suis contente de pouvoir passer du temps avec toi. ». Histoire de l’avoir un peu pour toi, de profiter de sa présence. Tu te rapproches de lui, lui volant un baiser au passage alors qu’il te confie la même chose. Tu souris un peu plus et Elias prend l’initiative de terminer le repas pendant que tu te reposes un peu. « ça marche, je vais me changer aussi … parce que bon jean et sweat à capuche pour un repas entre amoureux c’est pas glam … ». Commences-tu en rigolant …tu serres sa main, avant de disparaitre dans le couloir qui mènent à votre chambre. Là bas, ton regard se pose une nouvelle fois en direction de la salle de bain où se trouve le test de grossesse qui s’est révélé positif. Tu passes une main dans tes cheveux désormais sec histoire de te redonner un peu de contenance. Quelques minutes plus tard, tu es vêtue d’une petit robe noire toute simple, à ton image mais qui est bien plus approprié pour cette soirée à deux. Une fois habillée, tu rejoins Elias qui a déjà tout préparer. Ton sourire s’agrandit un peu plus sur ton visage. « Tu as fait les choses en grand dis moi … ».  Ton sourire est toujours présent, toujours lorsque tu regardes l’homme qui a bouleversé ton coeur il y a des années.

Tu esquives un sourire, attendri par les paroles d'Edie qui fait de toi la meilleure personne qui soit. Ce n'était pourtant par gagné. Comme quoi avec beaucoup de patience et d'amour, on est capable de grandes choses. Tu es un peu nerveux. Tu as attendu ce moment pendant longtemps. Tu te poses toujours un tas de questions comme : Est-ce le bon moment ? Est-ce qu'elle va accepter ? Est-ce que tu t'y prends de la bonne façon ? Tu sais que Edie est une jeune femme discrète qui n'aurait surement pas apprécié une grande demande au restaurant, sous les yeux de parfaits inconnus. Bref, si tu en doutes au début, elle semble vraiment heureuse de passer la soirée en ta compagnie. Elle te vole un baiser, tu fais la même chose en retour et lui proposes de terminer le repas à sa place parce qu'elle en a assez fait. Quoique tu portes, t'es sublime ! En réalité, tu veux avoir le temps d'installer la table comme il se doit donc tu espères qu'elle prenne son temps. Chandelles, belle vaisselle, tu donnes le meilleur de toi, tu sors le grand jeu. Petite musique pour l'ambiance avant de repasser en cuisine pour terminer et ajouter les épices, la touche finale à ce qu'elle a commencé. Elle te rejoint peu de temps après. Tu la conduis à table après l'avoir fait tourner sur elle-même. Tu es ravissante ! La plus belle qui soit. Elle mérite tout ça, vraiment. Tu t'éclaircis la voix et finalement, tu te lances parce que tu es trop nerveux pour atteindre. Ecoute Edie, je sais que je vais bouleverser les codes parce que normalement, on attend le dessert mais... Tu te mords la lèvre inférieure avant de poser le genou à terre. Je sais que je n'ai pas toujours été le meilleur petit-ami qui soit, ni même le père de l'année mais... mais s'il y a bien une chose dont je suis sûr, c'est que je souhaite passer le restant de mes jours à tes côtés. Edie Reuben, acceptes-tu de devenir ma femme...? @Edie Reuben

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tw -- mention de test de grossesse. // date -- le 08.03.2024
Le bout de ton nez se fronce en une moue enfantine à l’entente de ses compliments. Elias est plein de sensibilités, de douceur et de tendresse lorsque cela concerne votre fille et même toi. Tu sais toute la chance que tu as de l’avoir dans ta vie, à croire que le sentiments que tu as nourris pendant des années à son égard peuvent pleinement s’exprimer. Tu ne tiens jamais pour acquis, alors tu travailles dur pour consolider les liens qui forgent ton entourage. C’est sur un sourire tout en douceur que tu te diriges vers la chambre pour te changer. Il faut dire que la tenue que tu portes c’est bien pour la détente mais le minimum reste important pour un rendez vous en amoureux. Elias fait parti de ce genre d’hommes qui restent canons quoi qu’ils portent. Un trait héréditaire chez les Wertheimer. Tu rassembles tes cheveux en une tresse bohème rapidement, le regard s’attardant sur le tiroir abritant le test de grossesse. Les pensées commencent à s’éparpiller doucement mais certainement. Tu te dois de lui dire, c’est important d’autant plus après ce que vous avez vécus l’an passé. Tu avales un chat dans ta gorge et c’est tout sourire que tu rejoins ton petit ami. Ce dernier a assuré sur la décoration et le dressage de la table - le tout en peu de temps en plus. Elias te fait tourner sur toi-même près de la table. Tu rougis encore, à chaque fois que l’on te fait un compliment. Tu secoues la tête un brin gêné et pourtant tu bosses dessus. Ta main toujours celle de Elias, il en profite pour éclaircir sa voix et son timbre sérieux t’interpelle un peu. Tu arques légèrement un sourcil lorsqu’il dit qu’il va sans doute bouleverser les codes. Ça t’interroge quelque peu et tu es toute à son écoute. En même temps, on peut dire que tous les deux vous avez toujours bouleverser les codes depuis que vous vous êtes rencontrés. Sa gestuelle est emplit de nervosité implicite et dés qu’il met un genou à terre et que sa réplique commence tu es complètement bouleversé, démuni dans un maelström de sentiments. Dans chacun de ses mots, il met à nu son émotion comme il la ressent. Tu portes tes deux main à tes lèvres, des larmes commençant à couler le long de tes joues sans que tu puisses les contrôler. Tu saisis sa main, le myocarde battant à tout rompre à l’intérieur de ta poitrine. Tu hoches la tête, ton front se posant contre le sien. Tu essuies une larme avant de l’embrasser avec passion. Un échange où tu espères lui transmettre tout ce que tu ressens pour lui car les mots te manquent quelque peu. Tu recules légèrement, souriante en dépit des larmes. « Je le veux … ». Lui murmures-tu.

T'as essayé de mettre le paquet mais en toute simplicité parce que tu sais qu'Edie n'aime pas tout ce qui est extravagante. C'est pour cette raison que tu as préféré lui faire ta demande ici, dans votre cocon plutôt qu'au beau milieu d'un restaurant chic par exemple. Tu as fait les choses bien puisque tu as demandé sa main à son père et également à son frère. Sa soeur n'attend qu'une chose, c'est que tu te lances. Les récents événement ont fait que tu as repoussé un moment pour qu'il soit vraiment parfait. Tu espères ne pas te tromper ce soir. Toi qui avais préparé un grand discours, tu laisses finalement les mots sortir comme ils viennent. Ton intention semble claire puisque la demoiselle se met à verser sa petite larme. T'as pas le temps de sortir la bague de ta poche qu'elle t'a déjà donné sa réponse et tu esquives un sourire amusé avant de te redresser pour répondre à son baiser. Tu le veux ? T'es sûre ? Parce qu'une fois la bague passée au doigt, y a plus de retour en arrière ! Evidemment tu rigoles, c'est pour détendre l'atmosphère. Tu sors la bague avec plus d'aisance une fois debout, ouvrant la petite boîte sur la bague qu'elle avait finalement elle-même choisie ou du moins, un modèle qui s'en rapproche beaucoup sur les conseils de vos soeurs respectives. Tu lui tends la main pour pouvoir enfiler l'anneau. Future madame Weitheimer... tu ne sais pas dans quoi tu t'embarques. Tu souris avant de prendre à nouveau son visage être les mains pour capturer ses lèvres et graver dans ton mémoire ce moment. @Edie Reuben

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tw -- aucun pour le moment. // date -- le 08.03.2024
Tu ne t’attendais aucunement à ce cette soirée prenne cette tournure. Tu étais loin de t’en douter tout simplement. L’émotion s’exprime au delà du flot que tu ne peux contenir car les premières larmes coulent sur tes joues alors que ton front poser contre le sien tu lui réponds en un murmure. Ce dernier est éloquent de sincérité, de volonté aussi. Vous remontez de lui tout les deux, une vie commune rassemblait autour de votre petite fille certes mais tant d’autres évènements aussi. Tu inities un baiser passionné de tout les sentiments que tu nourris à son égard et Elias te le rend tout autant. Debout tous les deux, ton petit ami te demande si tu es bien certaine et son hésitation - si rare soit elle - un brin teinté de rigolade aussi. « Je n’ai jamais été aussi certaine. ». Ta réponse est une conviction pleine et entière alors qu’il te passe un anneau à ton annulaire. Tu remarques que la bague a des ressemblances avec l’anneau que tu avais essayé quelques semaines plus tôt lors de votre virée en ville. Tu souris amusée par ses paroles tout en essayant les larmes qui restent collé à tes joues. Ses deux mains encadrent tendrement ton visage avant de t’embrasser avec la même douceur. Tu le prolonges encore un peu avant de recoller ton front quelques secondes contre le sien. Tu recules d’un pas pour capter son regard azuréen. « Je … il faut que je te dises quelque chose … »

Tu esquives un sourire, conquis et ravi finalement d'avoir fait cette démarche ici, ce soir. C'était pas ce que tu t'étais imaginé au contraire, c'était mieux encore puisque spontané. Tu sais qu'elle n'aime pas faire dans la dentelle, tu as choisi la bague qu'elle souhaitait et tu ne t'es pas trompé sur la taille. Autant dire que tout était parfait jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien t'annoncer après avoir accepté ta demande en fiançailles. Tu la questionnes du regard avant de reprendre : Pour infos, ton père est ok et ton frère également. J'ai fait les choses bien en leur demandant la permission. Mais tu sens que ce n'est pas ça. Il y a autre chose. Tu fronces donc les sourcils, légèrement inquiet. C'est autre chose ?! Qu'est-ce qui peut-être aussi important ? Est-ce qui ne peut pas attendre demain ? Tu as à la fois hâte de le savoir et tu es anxieux évidemment. Elle a toute ton attention. Tu restes debout à côté de la table, à ses côtés ne sachant pas si c'est la meilleure chose à faire du coup. @Edie Reuben