elle ne savait pas comment elle allait réussir, mais anna était persuadée que son plan allait fonctionner. peu importe le temps que ça prendra. elle était déterminée. paz devait comprendre que ça ne servirait à rien. la jeune femme essayait de le ramener à la réalité. évidemment, son fiancé ne semblait rien comprendre à ce qu’elle disait. — oui, il doit payer, mais pas comme ça. le baiser sur son crâne n’avait rien de rassurant. — paz… s’il te plaît. elle soupira et essaya d’ouvrir la porte. il l’a verrouillé. — PAZ! CE N’EST PAS LA SOLUTION! NE DEVIENT PAS UN MONSTRE COMME LUI.

Il était capable de l'entendre mais n'allant pas dans son sens, les voix ne se faisaient que plus bruyantes. Il était hors de question qu'on le détourne de son but. Paz savait qu'il n'aurait jamais payé pour son crime ou jamais assez. Surtout dans un pays qui mettait tant en avant la religion. Un homme qui avait trouvé Dieu pour lui pardonner ses péchés aurait des circonstances atténuantes. Non. Il n'allait pas s'en sortir. Quitte à devoir faire justice soit même.

Le clic de la porte et le grincement des marches. Un monstre ? Il en était déjà un... C'est juste qu'elle l'ignorait... Bouche toi les oreilles...

Une voix faiblarde pouvait être entendu. Elle est semblait prier. Demander de pardonner à son fils... Mais ses prières fut couverte par un bruit qui ressemblait à celui d'une tronçonneuse. Ou est ton Dieu maintenant ? Le bruit la tronçonneuse qui commence à forcer. Des hurlements, ceux de son fiancé et d'autres.