naissance

Née le 14 Mars 1999, c'est sur la banquette de la voiture de ma mère que j'ai vu le jour.

Quant à New York, la 'Grande Pomme' m'a vu naître et grandir. C'est ma ville de cœur.

nom(s) & prénom(s)

Lydon est le nom de famille de cet homme que je n'ai jamais connu, de celui qui a délaissé sa famille - mon père. Le seul vestige que l'on partage, en somme. Nombreuses sont les fois où j'ai voulu en changer pour prendre celui de la femme qui m'a tout donné. Bien que je lui voue une haine féroce, je n'ai jamais pu m'y résoudre. Ce serait comme effacer une partie de moi-même, de mon passé.

Cassandra - son origine vient de la mythologie grecque et notamment de la fille du roi Priam. Joli sobriquet, ça ne l'empêche pas d'être si peu utilisé par mon entourage. Tout le monde préfère m'appeler 'Cassie'. C'est plus court. Plus personnel.

nationalité

Ma nation, c'est le pays des fast-foods et des prétendues libertés. Américaine, voilà ce que je suis - enfin, états-unienne s'il faut être politiquement correct.

origine(s)

Issue des terres de ce cher 'Oncle Sam', quelques origines allemandes sont venues se glisser dans un filament de mon ADN. Je ne ressens aucun lien avec le peuple germanique.

orientation sexuelle

Pour moi, le sexe ou le genre de la personne n'est qu'un détail. Je ne prête attention qu'au feeling qui peut être ressenti. S'il y a une petite étincelle, alors l'attirance est là et ça me suffit. En bref, je me définis comme étant pansexuelle.

statut amoureux

Être dans une relation amoureuse qui dure est la tâche la plus compliquée et c'est la raison pour laquelle je suis désespérément célibataire. Je donne tout ce que je peux et j'essaie de m'investir autant que possible, mais on me reproche d'être émotionnellement inaccessible. En résumé, exprimer ses sentiments à l'égard de l'être aimé, ça m'est difficile - ce qui est compréhensible quand on a peur de l'abandon.

études

Mon cursus est méconnu, mais de plus en plus d'universités commencent à le rajouter à leur liste d'enseignements. Je suis étudiante en études du genre, de la femme et de la sexualité. C'est en accord avec l'actualité du monde et avec ce côté activiste que j'aime revendiquer.

bourse

Ancienne bénéficière de la Griffin Financial Aid, je n'ai pas déboursé un seul centime pour mes études. Pour ma cinquième année, je m'apprêtaiz à prendre un prêt pour terminer les années qu'il me restait à accomplir lorsque j'ai appris que ma scolarité avait été payée par un donateur ayant préféré rester anonyme. Quelques mois sont passés et le mystère reste entier. Je compte le résoudre - même si ça doit me prendre du temps.

statut social

La classe ouvrière, voilà ce que je revendique. C'est le statut que porte les êtres humains qui se tuent au travail pour une misère et de ceux qui comptent sur les bourses étudiantes pour assurer l'avenir de leurs enfants. C'est toujours plus gratifiant que d'être un gosse de riches comptant sur ses parents pour faire oublier ses frasques et qui n'a pas la valeur de l'argent.

job étudiant

Mon passe-temps, c'est de travailler à D-Lice. J'y suis serveuse et ça me plaît comme job. Les pâtisseries sont excellentes et l'endroit est fréquentable, vraiment coquet. Je n'aurais pas pu rêver mieux pour me faire de l'argent le temps de finir mes études.

maison
Students. Je ne veux pas entendre parler des maisons. Ce sont des endroits bourrés d'étudiants qui aiment exhiber leur argent et dénigrer ceux qui ont moins qu'eux. Le temple des crâneurs et des hypocrites, en réalité.

MON DOSSIER ET MES RÉSULTATS AUX SATS

Élève de la Townsend Harris High School et membre de l'Alliance des Genres et des Sexualités (GSA), mon dossier était prometteur - de même que mes résultats aux SATS. Mon score fut de 1550. Ce sont certains problèmes mathématiques qui m'ont empêché d'avoir le résultat parfait.

MON ESSAI ET MON ENTRETIEN

Mon essai portait sur mon engagement féministe et notamment, envers les personnes victimes de violences sexuelles. J'y ai expliqué mon activisme et la raison pour laquelle c'était un sujet qui me tenait à cœur. À mes yeux, ça avait été le meilleur sujet à aborder. Si je devais être admise, je voulais que ce soit grâce à une cause qui me tenait à cœur.

Contrairement aux autres étapes de la procédure d'admission, mon entretien s'est mal passé pour trois raisons. La première, une panne d'essence m'a fait arriver en retard. La deuxième, un étudiant a renversé son café sur mon chemisier - ce qui faisait passer ma tenue de soignée à négligée. La troisième et dernière, mon entretien a du être écourté à cause d'un problème interne à l'université. Je croyais que les astres s'étaient liguées contre moi et j'avais peur que ma candidature ne soit refusée à cause d'événements imprévus.

MA RÉACTION

Après mon entretien, j'étais passée de confiante à dépitée. J'étais persuadée de recevoir un refus - ce qui signerait la mort de mon rêve ; Harvard ayant toujours été mon objectif. Bien sûr, j'avais des plans de secours et certains établissements m'avaient déjà répondu favorablement. Seulement, c'était cette école de la Ivy League qui obsédait mes pensées. Pourtant, lorsque la lettre est parvenue dans mon courrier, le résultat était sans appel. J'avais été acceptée. J'allais pouvoir intégrer l'université dont j'avais toujours rêvé.

(ma naissance) Je suis née dans un lieu improbable. Ma mère n'a pas eu le temps de se rendre à l'hôpital, alors elle a accouché à l'intérieur de sa voiture. Mon père n'était pas là. Avec du recul, je pense qu'il tenait compagnie à sa deuxième famille. Elle lui en a beaucoup voulu. Dès le début, c'était nous contre le reste du monde. (mon abandon) Quand j'avais cinq ans, mon père a claqué la porte de notre logement en emportant tout ce qu'il pouvait et en ne nous laissant rien. Il nous avait balancé qu'il avait une deuxième famille et qu'il préférait passer sa vie à leur côté. Par la même occasion, il nous a fait comprendre que nous n'avions jamais compté pour lui et que nous n'étions qu'une distraction. Ses paroles furent cruelles. Ma mère en fut anéantie et quant à moi, ce fut ce jour-là que mon cœur se brisa pour la première fois. Autant dire que je n'ai jamais revu mon géniteur et je crois que je ne m'en suis jamais remise. C'est d'ailleurs ce qui est à l'origine de ma peur de l'abandon. (mon enfance) Ma mère a tout donné pour moi. Elle cumulait les emplois. Notre appartement se trouvait dans un quartier miteux et mal famé. Nous mangions - à peine - à notre faim. Nous ne faisions que des activités culturelles. Nous avions peu de moyens financiers. Toutefois, tant que l'on était là, l'une pour l'autre, ça nous suffisait amplement. (mon adolescence) Au début de mon adolescence, ma mère a été diagnostiquée comme étant atteinte d'un cancer du sein. Avec le traitement adéquat, elle avait de bonnes chances de survivre à la maladie et de la vaincre. Malheureusement, nous n'avions que de quoi survivre et rien pour payer les factures d'un tel traitement. Avec le temps, j'ai dû remplacer ma mère à la tête de notre petite famille. J'ai dû travailler - tout en suivant les cours, en m'occupant de la personne la pus chère à mes yeux et de profiter de ma vie personnelle. Le jour, j'alliais les cours à mes jobs. J'ai été caissière. J'ai gardé des enfants. J'ai promené des chiens. J'ai fait le ménage chez les personnes âgées et les invalides. J'ai été serveuse. Je faisais tout ce que je pouvais et même plus que cela. La nuit, je sortais avec des amis. Je découvrais ma sexualité, les plus premiers émois de l'amour et le plaisir de la chair. Je découvrais ce qu'était la vie. L reste du temps, je m'occupais de la personne qui comptait le plus à mes yeux et j'essayais d'atténuer la souffrance qui habitait ma mère. Je faisais tout pour nous et pour notre survie. Évidemment, sans le moindre traitement, le cancer a empiré. Il a fini par se propager et un beau jour, en me réveillant, j'ai trouvé son corps sans vie. C'est ainsi que je devins orpheline à l'âge de quinze ans. (ma survie) J'étais mineure et seule au monde. Personne ne pouvait me tenir compagnie et je ne pouvais compter que sur moi-même. J'avais quinze ans et déjà tant de responsabilités. Pour survivre, je me suis tournée vers le plus vieux métier du monde - la prostitution. Les autres travailleuses du sexe m'ont pris sous leurs ailes et m'ont appris à vendre mon corps. Je vivais dans ma voiture. Je me douchais dans les douches du gymnase du coin. L'argent que je gagnais me permettait de payer mes repas, mes fournitures scolaires, mon forfait téléphonique et mes vêtements. Je profitais de la bibliothèque du lycée pour faire mes devoirs et lire des ouvrages. J'étais une adolescente indépendante et ma vie ne devint que plus difficile. (mon agression sexuelle) Un jour, j'ai suivi un client chez lui. J'avais toujours préféré faire ça dans un coin tranquille. On m'avait toujours dit que c'était plus sûre, mais cet homme là, il m'avait promis une belle liasse de billets. J'avais besoin de cet argent, alors je n'avais pas hésité. J'aurais dû comprendre que ça allait mal ce passé, mais qu'aurais-je pu faire face à un adulte ? Cette nuit-là, j'ai vécu le pire événement de ma vie et ça m'a brisé - intérieurement, seulement. Je me devais de rester forte et je ne pouvais pas m'effondrer. Je n'ai pas eu le temps de m'apitoyer sur mon corps. Je me suis forcée - corps et âme - à survivre. C'est à la suite de ça que j'ai changé de travail. Je préférais en cumuler deux, voire trois, plutôt que de me forcer à revivre cet événement traumatique et à - potentiellement - en être victime. Ca aurait été la fois de plus. La fois de trop, en somme. J'ai enfui ces deux secrets au pus profond de mon être et j'ai juré que personne ne le découvrirait jamais. J'avais un avenir à m'assurer. (mon activisme) À la suite de mon traumatisme, je me suis tournée vers l'activisme et notamment, vers le mouvement féministe. Je voulais changer le monde. Je ne voulais pas que d'autres personnes soient les victimes des conséquences de notre société patriarcale. J'ai commencé à participer à des manifestations et à rejoindre des associations en tant que bénévole. J'ai rejoint l'Alliance des Sexualités et des Genres pour participer à la lutte de la communauté LGBTQIA+ - une communauté dont je fais partie. Je voulais faire cesser les stéréotypes et les stigmates. Ce n'est qu'en entrant dans l'enseignement supérieur que j'ai ouvert un blog féministe nommé 'All Women's Talk'. Je voulais aider les femmes qui avaient été dans mon cas en leur fournissant une plateforme et ainsi, informer les gens sur la culture du viol. Il fallait que l'on se batte pour nos droits et pour nos vies. (mes études à Harvard) Harvard était mon rêve et mes études ont été les plus belles années de ma vie. J'ai étudié les sujets qui me passionnaient le plus à savoir le genre, la sexualité et la cause féminine. C'était le combo parfait pour l'activiste que je suis. Qu'est-ce que ça va me manquer ! Il ne me reste qu'une année avant leur fin et je regrette déjà le moment où j'aurais à quitter ses murs. Je ne foulerais plus le plancher des salles d'amphithéâtre et je ne serais - officiellement - plus une étudiante au sein de l'université la plus prestigieuse du monde. Je ne pense pas à quitter la ville de Boston, puisque c'est devenu chez moi. (ma vie à Boston) Ici, ma vie est différente de celle que j'ai vécu à New York. J'ai un logement que je partage avec un(e) colocataire qui a fini par devenir mon / ma meilleur(e) ami(e). J'ai un travail convenable et qui me comble. Je suis passionnée par mes études et mon blog commence à avoir du succès. Le seul point noir, c'est que je suis incapable de réellement m'ouvrir à un(e) partenaire amoureux(se) à cause de ce qui m'est arrivé par le passé. Mon père a détruit ma vie et j'en paie le prix en essayant de la reconstruire comme je le peux. (et après ?) Arriverais-je à maintenir une relation stable et sérieuse avec quelqu'un ? Qu'est-ce que je vais faire après mes études ? Arriverais-je à retrouver le mystérieux donateur ? Qu'est-ce que l'avenir me réserve ?

ma naissance.
mon abandon par mon père.
le décès de ma mère.
mon viol.
mon entrée à Harvard et mon déménagement à Boston.
l'obtention de son baccalauréat.

Livin' La Vida Loca, d'Antonio Banderas et Eddie Murphy.



You Were Loved, de Gryffin et OneRepublic.



A Little Bit Yours (Piano Version), de JP Saxe.



My Tears Ricochet, de Taylor Swift.



Fairytale, de Livingston.



The Beaten Path, de Our Last Night.



The Kill, de Thirty Seconds To Mars.



Mistletoe, de Justin Bieber.



The Last Great American Dynasty, de Taylor Swift.



Heartbeats, de José Gonzalez.



Piece By Piece (Idol Version), de Kelly Clarkson.



Fast Car, de Tracy Chapman.



Never Growing Up, d'Avril Lavigne.



The Last Time (Red Taylor's Version), de Taylor Swift et Gary Lightbody.



Lost Boy, de Ruth B.



Heat, de Kelly Clarkson.



Woman, de Kesha et The Dap-Kings Horns.



Young Love & Old Money, d'Elizabeth Gerardi.



Save Your Tears, de The Weeknd et Ariana Grande.



Hell Of A Girl, de SAYGRACE.

pseudo

@Marty.

âge

J'ai vingt-deux ans. J'ai dépassé la majorité internationale.

nationalité

Française. J'aurais préféré venir du pays du thé et des corgis.

forum connu par...

les top sites.

ILH, j'en pense quoi ?

Le contexte est intéressant. J'ai toujours voulu aller à Harvard. Néanmoins, ça fait peur de se retrouver sur un forum aussi gigantesque, surtout que je n'ai pas joué de personnages dans la vingtaine depuis quelques années. J'espère que je vais arriver à m'intégrer, ainsi que ma chère Cassie.

autres comptes ?

Aucun. Dans le futur, peut-être.

avatar utilisé

Emma Kenney.

crédit image

@Morticia.

nombre de mots par rp

Plus de 500 mots. Je m'adapte, mais je ne fais pratiquement jamais moins que le nombre de mots indiqué. Il m'est déjà arrivée d'aller jusqu'à 2000 mots.

type personnage

Inventé. Je préfère jouer les personnages qui sont issus de mon imaginaire, qui sont passés par mon processus de création.

code études
études du genre, de la femme et de la sexualité ;; department of art, literature and history ;; cinquième année ;; 2017-2022 :

Code:

@"Cassandra Lydon" » <i>(études du genre, de la femme et de la sexualité)</i>

job étudiant :

code métier
D-Lice + serveuse :

Code:

@"Cassandra Lydon" » <i>(serveuse)</i>

code bottin

Code:

<span class="pris">EMMA KENNEY</span> <span class="inv"></span> @"Cassandra Lydon"