J'l'écoute et c'qu'elle dit m'saoule. Elle est tellement d'mauvaise foi qu'elle trouve n'importe quoi piur justifier cette putain d'décision. Elle m'prend vraiment pour un con en vrai ? J'me rapproche d'elle laissant que quelques millimètres entre nous. T'as tellement la trouille t'es prête à lâcher tout ça juste pour fuir ? Deux putains disputes c'est constement pour toi ? J'lâche un grognement frustré par son attitude de merde. Tu veux qu'j'te dise où est l'vrai problème ? Quand j'ai déconné sur l'fait qu'il serait possible qu'doive embrasser des meufs pour boire ça t'as foutu les nerfs et t'as détesté ressentir ça j'me trompe ? Sentir son souffle balayer mon visage m'aide en rien à m'concentrer mais, j'sais qu'j'peux contrôler alors qu'elle ce sera autre chose. J'sais qu'j'la perturbe et pas qu'un peu et j'compte là dessus pour avoir mes réponses.

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Et moi c'est t'es mensonges et ton attitude qui m'saoule ! finis-je par lâcher d'but en blanc. J'me fous d'la froisser parce que c'est comme ça qu'on fonctionne. Toujours être honnête l'un envers l'autre même si ça plaît pas mais, j'crois qu'elle l'a oublié. J'ai qu'ça à foutre. J'en ai ras l'cul d'tout ça bordel, elle va m'rendre dingue putain d'merde ! J'la regarde un moment sans rien dire vaut mieux qu'j'me calme avant d'dire un truc que j'pourrais regretter. Si c'est vraiment c'que tu veux, qu'on arrête de s'voir, ok. J'glisse ma main sur sa joue, réduis la distance entre nous avant d'déposer un baiser à la commissure d'ses lèvres. J'm'attarde un peu laissant la chaleur de mon corps impreigner l'sien. Son odeur me tuer, c'est une putain d'torture d'résister mais, si j'veux la déstabiliser pour qu'elle parle j'ai pas l'choix même si j'déguste par la même occasion.

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J'suis pas l'roi pour la conversation mais, j'suis pas prêt d'lâcher prise. J'utilise ma dernière arme qu'j'pense infaillible. J'me torture en même temps mais, c'est pas grave j'fais avec. J'essaie d'faire abstraction d'ma respiration qui s'accélère, j'me concentre sur c'que j'ai à faire parce que ouais, depuis l'temps j'la connais, j'connais son corps et ses réactions et juste l'intonation d'sa voix m'prouve qu'j' suis sur la bonne voie. Doucement, j'glisse mon nez dans l'creux d'son cou respirant son odeur pendant qu'mes lèvres frôlent subtilement sa peau alors qu'mes mains s'posent sur ses hanches déviant d'temps en temps dans l'creux d'ses reins. Repousses-moi. soufflais-je sans cesser d'balader mes lèvres sur sa peau. C'est une véritable torture putain ! Plus, j'm'attarde sur sa peau, plus j'respire son odeur et plus ma respiration s'accélère. J'essaie d'garder un semblant d'maîtrise de moi mais, putain c'est foutrement compliqué.

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Elle est aussi troublée qu'moi si pas plus. J'aime ça et j'espère qu'ça va la faire craquer. Si c'est difficile pour moi d'resister j'ose même pas m'mettre à sa place. Le son d'sa voix m'confirme qu'j'y suis presque. Pourtant quand elle recule et qu'j'croise son regard j'y vois comme d'la douleur. J'sais c'qui s'passe dans sa tête, j'suis pas débile. Dur ? J'me rapproche d'elle à nouveau d'elle mais, cette fois j'hésite pas à coller mon corps contre le sien mes mains fermement posées sur ses hanches. J'suis prêt à subir un nouveau vent d'sa part j'suis plus à ça près. T'es pas la seule à n'pas maîtriser c'qui s'passe. J'plonge mon regard dans sien jugeant la moindre réaction d'sa part. Sans lui laisser l'temps d'répondre j'glisse ma main dans l'creux d'son cou alors qu'mes lèvres s'posent sur les siennes. Nos lèvres se frôlent sans plus, j'veux lui donner un avant goût de c'qu'elle risque de perdre si elle reste fixée sur son idée débile d'arrêter d'nous voir. Si tu veux vraiment qu'on arrête, dis-moi d'partir maintenant et j'le ferais. murmurais-je faiblement contre ses lèvres. J'ai jamais ressenti une frustration pareil pour une meuf et ça m'saoule d'en être là. Elle a réussi à m'perturber, à faire que j'm'attache à elle et putain ça m'gave mais, c'est plus fort que moi, même si elle m'rend dingue j'préfère subir ça qu'de plus l'avoir dans ma putain d'vie.

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J'ai jamais vraiment été du genre à "courir" après une meuf mais, elle c'esr different j'sais pas pourquoi enfin si puisque mes meilleurs amis s'sont mis en tête d'me pousser à prendre conscience du jeu malsain auquel on joue avec Peyton. On est tordu, on l' à toujours été depuis qu'on s'connait c'est notre mode de fonctionnement mais, est-ce que dans c'genre de situation vaudrait mieux pas qu'l'un d'nous pose les armes pour enfin crevé l'abcès ? J'veux pas être celui qu'il l'fera mais, j'sais qu'elle le fera pas. Putain, pouruqoi j'tombe toujours sur des meufs plus handicapée qu'moi niveau communication ? Voir comment elle est perturbée, comment j'arrive à retourner la situation m'satisfait. Il faut qu'j'aille plus loin. Doucement, j'passe ma langue être ses lèvres, mes doigts remontent le long d'son dos avant d'retrouver l'creux d'ses reins. Mes mains passent sous son haut réprimant un frisson de délectation une fois qu'ma peau rentre en contact avec la sienne. J'veux pas lui laisser l'opportunité d'retourner la situation. Je sais qu'on a besoin d'ce genre de contact, j'sais qu'tout ça t'fais peur autant qu'à moi et qu't'as juste envie d'te barrer en courant parce qu'tu t'étais promis d'plus ressentir ça. J'lui laisse le temps d'assimiler c'que j'viens d'dire mais, j'me laisse le temps d'accepter c'qui s'impose à moi. T'es pas seule Peyton. J'laisse échapper un soupir avant d'reculer d'plusieurs pas pour nous laisser respiré et avoir les idées claires. De toute façon, j'crois j'peux rien faire de plus de toute façon. Les cartes sont maintenant entre ses mains.

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