ANTON AZAROV ► G-Eazy

naissance
23 Mai 1995. L'ainé d'un binôme incroyable.

nom & prénoms
Azarov. Héritage d'une mère de renom, promesse de succès, il parait ...
Anton Dmitri Ivane
nationalité(s)
Il est né à Saint Petersbourg et est donc russe. Mais sans l'option vodka dans le biberon. Il s'est bien rattrapé depuis.

origine(s)
mexicaine de lointains aïeuls, néerlandaise, anglaise, française, allemande, irlandaise, écossaise, galloise, ainsi qu'autrichienne, belge flamande et cornique. Doux mélange pour le plaisir des yeux.

orientation sexuelle
Il n'a connu que les femmes. Et pourtant quelques regards trainent sur le charme masculin. Il attendra l'homme qui lui fera découvrir les affres des ébats masculins. Il est conscient de ne pas être hétéro, il n'a juste jamais osé aller vers les hommes.

statut amoureux
Il a récemment perdu sa fiancée dans un tragique suicide, depuis il préfère les nuits éphémères à ne plus se souvenir des prénoms. Un célibataire remplissant ses nuits d'ivresse.

statut social
Cuillère d'or massif dans le gosier. Vie aisée, à n'en point douter. La pauvreté, il ne l'a pas connu avant de se décider de délaisser sa Vie de gosse de riches.

emploi
Quand il a vu l'annonce, il a tout de suite sauté sur l'occasion. Rêve de gosse passant son temps dans les bouquins, dans des univers epiques, tout en dodelinant de la tête, sur un fond musical, il est à présent propriétaire du Newbury comics. Et compte bien s'y donner à fond. Un parfait univers dans lequel chacun.e pourra s'y refugier. Autant que lui

Défi à réussir. Je ne lâche jamais rien quand je suis décidé. La défaite n'est jamais une option. Je veux toujours plus. Me surpasser. Exiger autant des autres mais plus encore de moi-même. Je ne fais pas parti des gens qui écrasent tout le monde pour réussir mais ... Je peux être assez fourbe quand on m'empêche d'avancer. Ote-toi de mon passage, c'est toujours préférable. Sois mon allié pour conquérir le monde.

Diplomate, il n'a jamais un mot plus haut que l'autre, et préfère les consensus qu'au conflit ● Torturé, depuis la perte de sa fiancée, ses nuits sont courtes et ponctuées d'interrogations sur son existence. Les cauchemars supplantent ses songes ● Généreux, c'est ce qu'il en ressort de lui en premier, il n'hésite pas à donner, en temps, en amour, en argent, en présence ● Possessif, ca lui écorche la bouche au Russe de devoir partager ses proches. Il est capable de faire la gueule quand il entend parler d'inconnu.e.s avec qui ses ami.e.s se lient. Et avec ses cousin.e.s et son jumeau, n'en parlons pas. Il a peur de n'être pas assez bien et d'être abandonné et remplacé ● Charmeur, il n'a pas forcément de gros muscles, juste ce qu'il faut, faisant un peu de sport mais il aime être séduit autant que séduire ● Donneur de bisous, de câlins, d'attentions. C'est plus fort que lui, il peut donner sans limites. C'est comme un pokémon tout doux, attaque câlin étrangleur ● Colérique, c'est très rare mais c'est violent, jusqu'à l'irréparable ● Consciencieux, quand il s'engage dans une tâche, il ne laisse rien au hasard, se faisant pas mal de nœuds au cerveau ● Incertain, il doute de tout et pour tout, imaginant souvent le pire ● Gourmand, il aime manger mais pas cuisiner, ça le gave. Par contre, il ne vient jamais les mains vides ● Réservé, il est plutôt du genre à observer avant de s'avancer vers les gens, pas spécialement distant mais il se méfie ● Ambitieux, il n'en a jamais manqué, c'est dans les gênes. Dès qu'il a un projet, il fait tout pour le mener à bien  ● Affectueux, il n'a pas honte de le dire ni de le montrer ● Boudeur, surtout quand on lui dit non.  

C'est l'histoire de la Vie ...  

“Tu te dois d’être parfait, tu n’es pas n’importe qui” Garçon se tenant droit sur ce fichu piano. Il se retient de soupirer. Mais reprend encore la même mélodie. Père intraitable, évoluant dans les hautes sphères russes grommelant depuis quelques minutes sous le regard bienveillant d’une mère pas moins exigeante, si ce n’est plus. Jeune homme Héritier d’un empire immobilier qu’il ne cesse de refuser, préférant faire quelque chose de ses deux mains. Gosse d’un éminent agent immobilier et d’une flutiste de renom offrant ses talents à la Philharmonie de St Pétersbourg. Il est quelqu’un mais il s’en fiche le petit, il veut juste s’amuser.  

“Rappelez-vous, nous sommes un.” Phrase tatouée sur son avant-bras. Phrase en guise de promesse. Il s’y accroche. Le petit Russe aime plus que tout, ses cousin.e.s composé de Pirog (Kira) et Baba (Lukas) et bien d'autres. Toujours à quémander un câlin, un bisou. De l’affection sans limite pour elleux. Sa confiance, il la puise en elleux, sinon, il se sentirait bien incapable de faire quoi que ce soit. Le premier à se cacher derrière elleux quand l’inconnu l’angoisse. Le premier, à vouloir les suivre, à vouloir partir à l’aventure. Sans elleux, il n’est rien. Ses remparts quand ses parents s’illustrent dans l’absence. Le départ des un.es et des autres l’a plongé dans un mutisme durant quelque temps. Parce qu’il est comme ça, Anton il s’est vu grandir avec elleux, dans la maison du bonheur.
 
“Je suis toi, et ça le restera” Mais il n’est pas seul Anton. Il a une autre partie de lui qui vit, son jumeau. Binôme exaspérant leurs parents, parce que s’habiller pareil les rendait heureux. Parce que demander à leur nanny de faire un grand t-shirt pour couler leurs deux têtes les rassuraient. Deux faces d’une même pièce. L’un ne va pas sans l’autre. Les séparer, c’est provoquer crises de larmes et apnée. Oui parce que l’un comme l’autre ont cette arme redoutable : retenir leur respiration. Et ça marche sauf avec Pirog et leur père. Mais avec le temps, le jumeau veut être lui-même. Anton il ne comprend pas et fait face à un mur. Et même maintenant, la complicité demeure mais vacille par moment. Les ambitions diffèrent. L’un accepte de suivre les traces de leur père mais pas Anton. Non, il veut voler de ses propres ailes.  

“Fais quelque chose de tes dix doigts” Sauf qu’Anton ne sait pas ce qu’il veut faire. Examen de fin d’étude en poche, encouragé par son frère et ses cousin.e.s, et négociant avec ses parents – Pirog veille à distance, il décide de faire le tour du monde. A 18 ans, il apprend à marcher tout seul, comme il se prête à le dire. Il enchaine les petits boulots. Lui qui était toujours dans sa Tour d’or, étouffant, découvre une véritable liberté. Il fait face aux disparités, aux inégalités. Il se découvre une âme de défenseur. Les animaux et les enfants notamment. Ce fut une révélation. Marteler le pavé pour faire entendre la voix des opprimé.e.s, il le fait sans sourciller. Ce qui lui a valu parfois de se confronter à son père et son lobby.  

“Tu vas travailler pour moi maintenant ?” Le vagabond est rentré à 23 ans chez ses parents. L’enfant veut devenir assistant vétérinaire. Le paternel a grincé des dents. Mais il a laissé faire. Un sur deux, c’était satisfaisant à ses yeux. Pratique et théorie se mêlent et il s’épanouit dans un cabinet recueillant principalement les animaux sauvages, abandonné à leur sort. Deux années et il obtient son diplôme pour continuer à travailler dans ce même cabinet. En parallèle, il multiplie les voyages auprès de deux filleul.e.s orphelin.e.s qu’il a rencontré durant ses voyages afin de s'assurer qu'elleux reçoivent une éducation descente.

“Je ne veux pas d’un gueux comme toi” C’est ce que sa petite amie lui a sorti la première fois. Ça l’a déstabilisé. Milieu modeste se confrontant au sien. Elle l’a rejeté dans un premier temps. Il a souffert en silence. Baisse de moral pour la demoiselle, il est resté à ses côtés. Et un jour, elle lui a dit qu’elle ne voulait pas être son amie. Amour rougeoyant, il a baigné dans l’ivresse de ce couple qu’il espérait tant. Il n’avait d’yeux que pour elle, l’accaparent sans qu’il ne s’en rende compte. 

“Pourquoi, tu nous fais subir ça ?” Le fossé se creuse avec ses parents, ne comprenant pas ses choix de Vie. Anton n’a aucun attrait pour le luxe. Il est conscient d’avoir des parents friqués. De pouvoir claquer des doigts et d’obtenir tout ce qu’il veut. D’être bien né. Mais il a toujours à cœur de se présenter comme modeste. Il ne renie rien de son milieu. L’argent de Papa pour des associations, il ne s’en prive de le verser. Quand le géniteur ronchonne, il accepte d’accorder quelques heures pour être témoin de sa grandiloquence. Il se peut qu’il puisse vous vendre un bien aisément, à force. 

“Pirog, j’ai merdé, viens me chercher” D'ordinaire garçon calme, ayant une tornade en guise de fiancée. D'ordinaire, il ne dit rien, ils sont opposés, il aime son énergie. Mais d'ordinaire, la confiance règne entre eux. Hors, grain de sable dans l'engrenage. Il a fait un écart peu chaste. Et la demoiselle a usé de ses cordes vocales. La descente fut rude. Et les excuses n'ont pas suffi. Il a encaissé, il a voulu prouver que ce n'était qu'une erreur qui ne se reproduira jamais. D'ordinaire, c'est un garçon calme qui encaisse facilement mais ce soir-là, il n'a pas su se contenir. Il n'a pas su s'éloigner des cris. Il n'a pas su .. Le silence a régné dans leur chambre. Définitivement. Maquillé en suicide. Il demeure pourtant un meurtrier.

“Je t’embarque dans mes valises. Il a besoin de nous. Et tu as besoin de te retrouver. C’est non négociable, mon Pirojki.” Une claque, des mots rassurants, des mots criants pour taire les maux incessants. Une main l’accompagnant jalonnant sa repentance. Elle est celle qui l’a sorti de sa torpeur. Pirog ou Kiki. Ainée de deux ans et toujours fourré dans ses jupons. Celle qui a convaincu sa famille d’obtenir un nouveau départ. Celle qui a maquillé le meurtre, l’argent ayant coulé à flot cette nuit-là. Phare dans les ténèbres. C’est à son bras qu’Anton espère repartir sur de nouvelles bases, Boston en guise de témoin. Boston, pays d’un cousin qui manque cruellement, se perdant tout autant.

“Reussi et je te laisse en paix. Echoue et je t’éduque enfin” Boston ville d’un défi. Racheter un établissement. Et faire en sorte qu’il atteigne un chiffre d’affaires imposé par son père. S'il arrive, Anton reste et il garde son business. S’il échoue, il prend sa place dans l’empire de son père. Un an pour faire fleurir et multiplier les initiatives. Rester concentré sur cet objectif. Argent prêté par le paternel pour racheter le Newbury Comics. Les idées fourmillant dans sa caboche et le succès dans ses veines.

En vrac Il est coulrophobe. Donc les fêtes foraines avec ces êtres maléfiques, c’est impensable. Il tombe dans les pommes. Pirog a bien tenté de lui faire vaincre sa peur en le foutant en plein milieu de tas de clown, il s’est évanouit et a tellement hurlé qu’il a perdu sa voix durant des jours. ● Il pratique le piano depuis ses cinq ans et du balafond depuis quelques années ● Il pratique le tir à l'arc depuis ses 15 ans ● Il est parsemé de tatouages, ca le fascine, des phrases, des moments douloureux, ou des phases d'euphorie ● il fume quand il est sous pression et mache toujours un chewing-gum ● Il a une grosse collection de funko pop,  dans les 1 000 à peu près. Il la mise sous scellée et cachée ● Il aimerait adopter un lapin ● Il vit avec son chat bengal nommé Tigrou ● Il adore le dessin animé Vaiana et pleure systématiquement à la mort de Mufasa et de la mère de Bambi ● Il ne le dit pas mais il tricote, ça le détend ● Il est allergique aux oeufs à manger directement, dans les gâteaux, ça passe, même très bien ● Il n'a pas encore avoué à ses cousin.e.s - à part Pirog - son crime ● C'est avec une amie de sa mère qu'il a trompé sa petite amie ● Il adore danser, chez lui, en salle, en boite, c'est comme respirer.

Naissance de lui et son jumelle. C'est l'ainée.
Obtention du diplôme de fin d'etudes - Fait le tour du monde.
Reprise des études pour devenir assistant vétérinaire.
Se met en couple avec sa belle.
Se fiance avec sa douce.
Assassinat de sa fiancée.
Rachat de la boutique.
Exil à Boston.

pseudo Patate Douce
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