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w/ @Maxine Edwards
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c'était comme ça et pas autrement. dans le fond ils veulent que le meilleur pour vous comme tous les bons parents au monde. et le hasard a voulu que les edwards ils aient que maxine comme descendante, une fille quoi, ça perd son nom et son prestige. mais, wow, incroyable, l'autre famille elle a finalement eu un garçon quelques mois avant, les minki en plus. faut pas avoir inventer l'eau chaude pour comprendre que ça s'était joué dès l'instant où la famille s'était pas agrandie et que toi t'avais été élu joyau de la couronne. c'est jamais assez bien pour toi ce que je fais. tu soupires en étendant ton bras, adouci par les caresses qui sont la récompense pour tes caprices incessants. t'as plus la force de lever les yeux au ciel ni de protester, qu'elle leur déballe sa vie amoureuse en prouvant que t'es le pire choix en fait pour elle, qu'elle pourrait être si heureuse avec quelqu'un de plus simple, moins colérique ou orgueilleux. but she has no choice. elle porte la marque invisible du sceau de ta famille, tes initiales gravées dans le derme. tremblement et la chair qui se glace quand l'ivresse commence à monter. max, max, max ... répètes inlassablement sur un ton paternel, le même qu'utilisait ton père lorsqu'il vous surprenait encore à vous battre dans le petit bois derrière le manoir pour savoir qui avait gagné à la course. c'était toujours toi. t'oublies le plus important à chaque fois qu'on en parle, je sais plus comment te le dire à force, j'ai l'impression que tu comprends pas quand je te le dis. les pieds qui dépassent du canapé viennent se replier sous toi, tu te dégages à contre-coeur pour te relever et t'étirer l'espace de quelques secondes. alors pour la dernière fois-- geste rapide, calculé au millimètre près quand tu inverses les rôles, vient la faire basculer sous toi, rappel des bagarres enfantines où t'avais le dessus au départ, avant qu'elle comprenne que tu sois sensible au niveau des côtes. t'es-- les mains qui se saisissent des poignets pour éviter qu'un coup malencontreux partent. à-- lenteur dans l'articulation, l'effet dramatique de la pression qui monte. moi. souffle qui vient s'écraser contre son visage à cause de la gravité qui te pousse à te pencher sur elle, creux dans les joues apparents. quand est-ce qu'elle comprendra que tu partages pas ?

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w/ @Ryung Minki
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une vérité qui serait difficile à entendre mais bien moins si elle sortait de ta bouche. parce qu'ils te passaient toujours tout, inlassablement. à te donner le bon dieu sans confession comme si t'étais la septième merveille du monde. et elle savait max, elle savait que sa liberté, y avait que toi qui pouvait la lui offrir. y avait que toi capable de lui en donner ne serait-ce qu'un échantillon pour peu que t'arrêtes de jouer à tes jeux perfides. j'ai pas dit ça mais tu prenais bien souvent les mauvaises décisions, celle où elle finissait blesser. pas que t'y apportais de l'importance en réalité, le besoin monstrueux de ressortir gagnant de toutes les batailles en dépit de ce que tu pourrais lui infliger. que je ne comprends pas quoi ? parce que c'est flou, les opales qui suivent tes gestes, ta chaleur qui la quitte quand elle redoute un nouveau conflit. fardeau éternel, à sans cesse trouver les failles pour faire mal à l'autre. et elle voudrait pour une fois avoir des vraies réponses, comprendre ce qui poussait te pousser à agir sans cesse de la sorte, imperméable à ses plaintes. et si elle comptait tant pour toi, pourquoi ? surprise soudaine, action pas anticipée à se retrouver sous toi, les poignets prisonniers de tes mains quand elle n'oppose pourtant aucune résistance. t'es à moi. c'est ridicule, insensé. à être plus ton trophée qu'une personne à tes yeux. vouloir exhiber ta plus grande victoire quand tes mots à son encontre était toujours plus violents. et elle respire fort max, à soutenir ton regard du sien. savoir pertinemment que sa seule issue aurait été à l'aide de ses mains coincée par les tiennes. je ne suis pas à toi souffle dans un murmure. refuse de t'appartenir comme tu sembles l'avoir décidé. et elle s'agite, tente de se libérer sans succès. t'as gagné ou perdu, dépendant du point de vue. le sourire mesquin quand elle utilise sa dernière carte, sûrement la meilleure pour te faire reculer. les lippes qui s'entrechoquent avec les tiennes, baiser au goût de victoire.

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ils oseront jamais rien dire, parce que tu représentes les espoirs d'une génération passée. leur tempe est révolu, c'est à quoi qu'ils feront bientôt la passation de pouvoir. et pour ça tu devrais pas être seul, c'est mal vu quand même. ça cacherait quoi, une tare ? un vice ? ou alors un penchant ? alors non, ils se taisent et se contentent de semer des indices, mais il faudra bien le jour où tu décideras d'arrêter de batifoler un peu partout. tu dis pas ça clairement aux repas de famille, mais plutôt que tu profites de ta jeunesse. et on abandonne l'idée d'en savoir plus, juste les regards un peu inquiets qui glissent sur le visage de maxine. toi t'ignores tout, comme là, les signaux qui pourraient s'afficher devant tes yeux que tu luttes seulement pour ne pas l'écraser de tout ton poids, bras qui tremblent parfois sous le coup de l'effort à ne pas lâcher prise, tu sais que tu le regretterais. et tu connaissais d'avance sa réponse, presque à la prononcer avec elle à l'unisson quand ta voix ne filtre par au delà de ta bouche pour n'être qu'à l'intérieur de ta tête. et t'allais l'en libérer, de ton emprise, sitôt qu'elle reconnaissait que c'était toi le grand vainqueur comme d'habitude. éternel premier qui jalouse le haut du podium, même à elle tu ne lui concèdes pas. mais ça s'agite en toi, tu le connais. that damn smile. pourtant il disparait vite contre tes lèvres, lorsqu'elle vient les écraser de son baiser saveur cadeau empoisonné. action ou réaction, pas la première fois que ça arrive. l'adolescence et les déviances lors des jeux en soirée, et plus innocemment durant l'enfance quand les premiers émois candides naissent. t'y réponds avec toute l'arrogance que t'as en réserve, force le passage pour approfondir la découverte. tu détestes le goût des bonbons, les colorants et les parfums synthétiques que tu partages maintenant à presque te soulever le coeur. d i s g u s t i n g. tu te surprends à relâcher ton étreinte, torse qui vient un peu plus se plaquer contre elle quand le souffle te manque. main qui se libère pour saisir son visage et l'incliner sur le côté quand les lippes quittent les siennes et s'accrochent à la peau fine de la gorge mise à nue.

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w/ @Ryung Minki
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parce que t'allais l'insulter de tous les noms, pas vrai ? cracher ton dégoût à l'infini, lui dire les pires horreurs encore et encore pour lui faire regretter l'affront qu'elle venait de te faire. l'acte qui n'était pas arrivé depuis une éternité, à avoir enterré les instants de dérives quand l'adolescence vous avez poussés à agir stupidement. alors t'allais sûrement t'écarter soudainement, lui jeter un regard médisant dont t'avais le secret et lui rendre la vie infernale encore plus que d'habitude mais elle aurait gagné. alors pourquoi tu t'écartes pas ryung ? pourquoi ça s'arrête pas ? à forcer la barrière de ses lèvres, baiser défaite. échec cuisant. les corps qui s'entrechoquent, l'écrase de ton poids quand l'esprit ne raisonne plus correctement. l'air qui revient s'engouffrer dans ses poumons, contrôlée par tes gestes, les pulpeuses qui dérivent sur la peau, ferme les yeux pour quelques secondes. stop. et à la place, c'est les doigts qui glissent sur ton dos, apprivoise la peau plutôt que la lacérer. c'est tout qui revient à la surface, les confidences dans les journaux d'une gosse de quinze ans, les raisons qui font que ta date de naissance est son mot de passe. le pourquoi du comment elle tolère tes insultes, ce qui la pousse à toujours revenir vers toi plutôt que t'annihiler complètement. à moins que ça ne soit qu'un jeu ? doute perceptible, à celui qui lâchera prise en premier ? peut être le but quand elle refuse de céder. tu gagneras pas à ce jeu là ryung, jamais. soupir qui filtre des lippes, s'accroche à toi plus fort. les doigts qui tirent sur le tee shirt blanc, pousse plus loin le vice quand tout ce que t'as à faire est de reculer. what can i say, baby what can i do ? the monster in me, love the monster in you.

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w/ @Maxine Edwards
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y a pas de raisonnement dans tout ce qu'il se passe. la porte est fermée, les rideaux sont tirés et personne pour vous voir. à qui rendre des comptes, autre que vous ? et tu te rayes de la liste des noms qui devront expliquer, justifier ce qu'il se passe. pourquoi, pourquoi pas. ce n'est que comme d'habitude, mais les lèvres ont une autre avidité que celle de blesser. pourtant tu lui laisseras des marques dès le lendemain, quand elle observera son reflet avec dégoût, vestiges d'une nuit de regrets. parce que t'en auras maxine, c'est la suite logiques. à avoir lancer un pari dans lequel il se jette sans penser aux conséquences, tu sais pourquoi ? parce qu'il n'y en aura pas, pas pour lui, pas plus différent que ça soit avec toi ou avec une autre. c'est ce que tu te forces à penser au même instant que les lèvres absorbent l'arsenic edwards. she's like the other ones. celles que tu fréquentes sous ses yeux, dans son dos, que t'abandonnes quand elle t'appelle, à qui tu mens pour la retrouver à la moindre occasion. déjà arrivé de partir la tête embrumé par d'autres caresses quand tu savais qu'elle fait la même chose, cerveau qui te hurlait de l'en empêcher. elle peut pas te faire ça à toi, t'as besoin de l'avoir auprès de toi, qu'elle t'appartienne et qu'elle ne voit que par toi. é g o ï s t e. c'est l'avidité qui te contrôle, ne plus laisser de répit à l'épiderme où trône fièrement le médaillon assorti au tien, cadeau de naissance pour encore plus enfoncer votre légitimité. doute flou à interpréter les doigts qui glissent et s'accrochent comme des encouragements ou des alertes, surveiller là où tu t'enfonces, possibilité de faire demi tour sans causer trop de dégâts. sauf que c'est ce que tu fais, parce que t'es une avarie ryung. le geste du début de la fin, quand tu lui laisses le loisir de retrouver sa liberté, tires sur le bas du tissu pour t'en débarrasser. infime seconde où tu reprends le contrôle de ta respiration, l'apnée qui fait tambouriner le sang dans tes tempes à en perdre la tête. découvres la peau sous le haut avec la pulpe des doigts qui s'enfoncent à la taille, pour t'en saisir et ne plus lâcher lorsque qu'un baiser ponctué des dents qui agrippent la lèvre et que les paupières lâchent prise.

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c'est malsain, tordu, complètement à votre image. trouver les nouveaux vices pour s'enfoncer toujours plus loin, atteindre les points de retour et se demander pourquoi est-ce que le tout était si fucked up. c'était pas écrit, pas envisagé, sûrement pas envisageable et pourtant, l'harmonie était là. goûte, découvre, plaisir non retenu quand c'était sûrement le pire dans toutes les atrocités que vous pouviez vous faire. personne pour lâcher prise, reculer soudainement et sauver le peu d'honneur, à préférer se marquer quitte à se détester des heures après. les opales qui scintillent, brillent de mille feux, découvre sous un nouveau jour la peau dévoilée. la pulpe des doigts qui y glissent, les pulpeuses qui l'accaparent, marque chaque centimètre pour ne pas te faire oublier. et peut être que tu te souviendras alors qu'elle est là aussi, que les autres seront jamais à la hauteur. (foutaises.) t'es d'un ridicule max. c'est sûrement ce que tu viendrais lui susurrer au réveil pour accentuer les regrets, agiter sous les yeux les idioties qu'elle ne pouvait pas reprendre. et elle ne veut pas y penser sur l'instant, contourne la réalité pour se bercer des illusions. c'est tout ce que tu représentes dans le fond ryung, une illusion. mais dans le fond, tu feras jamais rien d'autre que gâcher sa vie à répétition. et elle perd son souffle contre toi, s'abandonne dans tes bras quand c'est les réactions de vos deux corps ensemble qui la font vibrer. (insensé.) toi, elle, les instants volés. jouer avec le feu, se brûler bien trop fort, être consumé petit à petit. regarde, tu gagnes. à devenir pour quelques minutes le centre de son monde, son meilleur poison.

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w/ @Maxine Edwards
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les véritables gagnants ne le sauront pas, parents minwards qui attendant avec impatience que la limite soit franchie. pourtant la balance penche aux deux extrêmes, l’un où le coeur est malmené, l’autre où il n’y réagit pas. parce que c’est l’histoire de votre vie, elle a trop éprouvé quand toi tu en manquais. toujours les mêmes rôles qui sont attribués, éternel gagnant et lassante perdante. mais est-ce qu’il en est encore question d’élire le vainqueur ? la scène est limpide, t’as engagé le combat max, mais t’étais pas prête aux armes qu’il avait sur lui. c’est son talent à ryung, ne jamais être désarçonné, avoir un coup d’avance et parvenir à retourner toutes le situations à son avantage. comment t’as pu en douter, quand c’est toi qui le connait sur le bout des doigts ? le bout des lèvres maintenant. et ça devrait te surprendre, ce qu’elle a mis en route pour te faire perdre le contrôle, que le masque tombe quand il fait parti intégrante de toi. l’annihiler comme tu le ferais avec n’importe laquelle, avoir la même voracité pour la chair rougie des pulpeuses, celle où tu peux deviner encore les vestiges d’un baume à lèvres que tu es venu ruiner. et l’application à en faire de même pour tout ce que tu as à porté. parvenir à te frayer une place entre les jambes, instinct d’y maintenir les hanches sous ton contrôle. comme avec les autres avant, comme avec les autres après. tu fais abstraction de tout, même de son parfum que tu lui offres chaque année comme marque de fabrique. c’est qu’une routine dont elle ne fait pas partie habituellement. et ça vous apporte quoi ça ? l’enjeu de se blesser les chairs ? sous l’apparence des baisers qui imbibent la peau, les doigts qui explorent ce qui t’es offert. il n’y aura donc pas de trêves ? à seulement prêter attention à toi, ryung, réponses qu’elle semble fournir parfois. mais c’est toi qui mène la danse des corps. inities quand tu recules, enserres sa fine silhouette pour la soulever, enlacer les jambes autour de ta taille que tu sécurises avec tes mains. girl, can you feel me now ? contraste flagrant des morphologies à la porter comme ça, lippes qui ne parviennent plus à s’en détacher même pour reprendre ton souffle. et tu viens chercher le support de n’importe quel meuble, soutient aux pulsions guidées par le venin que vous vous inoculer mutuellement.

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w/ @Ryung Minki
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t'es toxique, tu l'as toujours été. davantage avec les années, à croire que tu pourrais toujours empirer. t'es cruel, fourbe et elle est violente, mesquine. deux astres trop différents pour cohabiter et qui forçait pourtant les choses depuis des années. étouffe ses envies au creux de ton cou, revient rougir les lèvres à l'infini quand ce serait la première et la dernière. parce que plus jamais on l'a reprendra à faire ça, pas vrai ? plus ja-mais. c'est presque risible comme ça sonne faux, même dans l'esprit embrumée. à se convaincre qu'un dérapage ne deviendrait pas torture quand pourtant, toutes les actions à ton encontre laisse supposer toujours plus. t'es peut être aveugle ryung ou alors tu fais exprès. et peut être que c'est cette raison qui pousse les minwards à toujours plus pousser dans cette direction, espérer. parce que les opales de la gosse trahisse la vérité, parce que les refus qu'elle jette ont la saveur des mensonges et que le seul dupe est toi. pulpe des doigts qui s'engouffre dans les mèches sombres, poupée devient marionnette, à laisser tes désirs la guider. proximité qui retourne le coeur quand l'avidité pousse à revenir à tes lèvres encore et encore. transportée dans la pièce où dans les songes, table à manger qui vient l'accueillir quand elle serre plus fort ses jambes autour de toi. elle perd le contrôle max, respire trop fort, désire trop, les doigts qui glissent à la ceinture, arrête de réfléchir quand ça semble presque trop évident. où serait-ce toi l'évidence ? t'en rigolerais si t'avais accès à son esprit, tu te moquerais ouvertement des sentiments qui tourbillonnent quand elle niera pour l'éternité leurs existences. parce qu'elle t'aime pas max, elle t'aimera jamais, c'est qu'un jeu stupide, à celui qui sera le plus fort. (même si derrière les défenses, elle crève pour toi.)

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w/ @Maxine Edwards
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l'attente de celui qui reculera, parce qu'il y en aura forcément un. le stade des baisers chastes d'avant est dépassé depuis longtemps, ceux enfermés dans le placard après que le stupide jeu de la bouteille vous ait choisi. tu lui disais de ne pas y prendre goût, qu'il fallait suivre les règles du jeu et faire comme les autres. alors vous vous en teniez à ça, effleurer les lèvres à la saveur de bières pas chères avant de ressortir avec l'estomac serré. le regret sur le visage. of wanting more. mais dans le cas présent, sous la lumière tamisée qui marbre les peaux, il n'y a pas la pression sociale, pas plus que les veines où se mêlent l'alcool. la conscience plus que claire, à chaque assaut contre elle, tu le fais en connaissance de cause. aventurer le contact chaud où tu n'avais encore jamais eu accès, la mâchoire que tu recouvres inlassablement. le pire dans tout ça ryung, c'est qu'il suffirait d'une pression sur ton torse, un seul mot qui s'échapperait dans un souffle, et tu arrêterais tout aussi rapidement que ça avait commencé. tu la tiendrais au creux de tes mains cette victoire, maxine qui capitule quand tu fais voler en éclat vos barrières. alors elle attend quoi ? que ça vienne de toi ? it won't. pas maintenant, ni même plus tard. tu ne nieras pas non plus au réveil gêné, quand elle te chassera à coup d'insultes qui feront soulever son corps sous les draps. elle le vivra mal, l'oreiller qui empestera ton odeur et les souvenirs encore vibrant sur le corps. mènes la danse comme le chef d'orchestre que t'as toujours été dans vos vies. t'imposes et elle dispose. et c'est ce que tu veux croire, qu'elle s'y prête parce qu'elle ne peut plus faire machine arrière, c'est elle qui a lancé le défi. même si elle se veut moins pertinente que toi, à subir ton offensive, tu ressens l'indescriptible. esprit nébuleux qui laissent les gestes parler, la tiédeur des mains qui se détache de la taille pour saisir le haut et l'en délester. regard troublé sans l'intervention des narcotiques. et c'est seulement quand la pulpe s'ose à venir se heurter au bas que tu lèves pour la première fois les yeux vers elle. m o r e ? demande silencieuse, à savoir jusqu'où vous allez vous damner, ultime chance de s'avouer grande perdante. tu lui laisses l'opportunité.  

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w/ @Ryung Minki
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pourquoi tu fais ça ? pourquoi t'abandonnes pas ? t'aurais du la repousser dès les premiers instants. t'offusquer de son action et t'en moquer à l'infini. t'aurais du.. alors pourquoi est-ce que les choses étaient déjà allés si loin ? à faire tomber sur le sol les tissus un par un, emplir l'épiderme des baisers chauds quand il était évident que ça ne représentait rien. (évidence imaginative.) tu devrais arrêter ryung, te mettre à rire et la singer comme t'avais tant l'habitude de le faire. et peut être que si elle était plus douce, peut être que si elle montrait un réel intérêt, peut être alors prendrais-tu peur, à tout stopper tant qu'il en était encore tant. les opales qui se croisent pour la première fois, flamme dangereuse qui vacille dans les prunelles. more. paume qu'elle place sur ta peau, te pousse en arrière pour quitter la table. et n'espère pas, crois pas en la victoire, c'est pas ce qu'elle t'offre présentement. la main qui glisse contre ta joue, l'autre qui s'amuse de l'élastique du jogging jusqu'à le faire glisser. yeux dans les yeux, à la limite de l'effondrement de tout ce que vous aviez bâtît jusqu'à maintenant. et si elle va trop loin, prendras-tu la fuite ? glisse sur tes lippes doucement, savoure le goût de tes lèvres une énième fois quand un murmure s'en échappe, dernière carte à abattre pour te faire reculer. je t'aime mensonge effrontée (ou teinté de vérité). les sentiments qui explosent dans le pénombre de la pièce, tentative d'électrochoc. je t'aime et je te veux souffle une nouvelle fois contre ta bouche, dans l'espoir que tu jettes les armes. t'avais déjà gagné trop de fois pour qu'elle te laisse la victoire sur ce coup-là.

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