you don't really want me now
w/ @Maxine Edwards
~~~~

c’est l’habitude, elle devrait le savoir maintenant. tu pousses, débarques avec ta grande et belle gueule pour tout dévaster sur ton passage. mais on te dit jamais rien, ça fait marrer les uns, glousser les autres. y’a juste la vieille tête de max qui te juge à chaque fois, les expressions que tu décrirais comme étant haineuses, alors que vous êtes si proches. love me, hate me. étourdi par la danse imposée où tu t’es pris pour le soleil, planète max qui virevolte autour de toi. l’impact, c’est comme ça que les dinosaures se sont éteints. la même puissance dans la main et le bruit sec quand la paume s’abat sur la joue, fourmillement qui se déclare dès l’instant où la derme est à l’air libre. lâches tout, même en étant enfant il y avait jamais eu quelque chose de similaire. pulpe des doigts qui vient réconforter la zone rougie maintenant, douleur qui à l’effet d’un électrochoc quand tu restes interdit. colère qui monte en même temps que l’incompréhension. t’as fait quoi ? enfin, quoi de plus que d’habitude ? comprends pas, les méninges en fusion.  ça bouillonne comme un volcan prêt à exploser, les poings serrés à la poursuivre juste que dans l’entrée. bloques la porte avec ton corps une fois que tu l’as dépassé. what the fuck ? c’est quoi ton problème ? PAS LE VISAGE MAX ! putain pas compliqué à comprendre ! elle à le droit partout, tu t’en bats les couilles royalement, mais on touche pas à l’image minki là. feelings hurt. tu t’en fiches royalement aussi qu’elle soit là à moitié dénudée, tenue du dimanche qu’elle veut enfiler. bras qui se tend pour fermer à clé, empêcher la fuite qu’elle désire tant. si elle veut vraiment sortir, ça sera par la fenêtre. ça va j’dirais aux parents que je rigolais pour nous, mais t’es pas obligée de me frapper quoi. elle a failli te décrocher deux molaires comme ça, t’as sa main imprimée du menton à la pommette.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Ryung Minki
~~~~

parce que c'était constamment sur elle que ça finissait par retomber. à croire que t'étais l'ange quand elle ne faisait que des choses répréhensible en tout temps. fatiguée qu'on ne lui accorde pas de considération ou qu'on ne cherche même pas à connaître sa version des faits avant de la positionner en tant que coupable. ne pas réagir à tes mots, le regard dans le vide quand tu te positionnes devant la porte, à empêcher une sortie dont elle avait besoin juste parce que comme à ton habitude, t'avais besoin de l'enfermer non loin de toi. inspire profondément quand impuissante elle regarde la porte être verrouillée, le presque désespoir à être encore avec toi quand c'était sans le moindre doute la dernière chose qu'elle désirait. est-ce que tu peux t'en aller s'il te plait ? toi qui disparait, elle, peu importe tant qu'elle n'était pas en ta présence pour les prochaines heures. à juste vouloir la paix quand le chaos que tu venais déclencher en elle était soudainement trop intense pour être supporté. s'il te plait ryung, je veux juste que tu t'en ailles pour une pause, un peu de paix, peu importait tant qu'elle avait cette pseudo tranquillité. j'te supportes plus tu comprends ? je peux plus te voir, j'peux plus t'encadrer et tant pis pour la violence des propos quand tu méritais amplement sa colère. et peut être que si t'arrêtais d'être autant centré sur toi même, tu te rendrais compte que c'était pas vivable la plupart du temps. que n'importe qui aurait lâché prise depuis bien longtemps.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Maxine Edwards
~~~~

ça serait trop fade si il n'y avait pas les hauts et les bas, mais c'est ça qui pimente la vie. c'est la sauce piquante sur la pizza de max, à la fois qui réveille les papilles et fait baver, mais aussi à trop forte dose tu provoques des brûlures d'estomac. mais elle reprend à chaque fois, alors que toi t'imposes rien. c'est la vie qui a décidé de vous joindre l'un à l'autre comme ça, vos parents qui ont souhaité vivre ensemble et faire de vous des destins liés. be gone. elle le dit à chaque fois, quand ses yeux roulent au point de manquer de sectionner le nerf optique, mais elle te rappelle après quand elle a besoin de quelque chose, alors faudrait savoir. même plus elle daigne lever les yeux vers toi, comme un être massif que l'on ignore, et ça fait mal à l'égo. okay, bah la même en fait, j'en ai ras le cul de tes gamineries à toujours faire la gueule pour rien. tu réunis tes affaires, sac de cours, veste et baskets que t'enfiles sans prendre le sien de faire les lacets. t'as changé max. quand toi t'es resté le même depuis votre enfance. tu parles du bout des lèvres, comme si elle n'était qu'une vulgaire chose sans intérêt. élément perturbateur qui dévaste tout, un peu la peste mais version un mètre quatre-vingt-sept et une coiffure toujours impeccable. porte que tu claques derrière toi, plus à cause de l'élan à vouloir vite sortir que de la véritable colère. (...) aucun message, y a vraiment rien qui vient quand t'attends depuis des heures, la nuit qui tombe maintenant dehors, mais elle revient pas. t'as troqué les vêtements de jour pour du décontracté, jogging gris et teeshirt blanc assorti. bras chargés à dévaler les escaliers extérieurs sous la pluie qui commence à tomber, t'en as pour vingt secondes à tout casser. et les phalanges qui s'abattent sur la porte, empruntes mouillées que tu laisses quand elle s'ouvre devant toi. tu veux regarder un truc avec moi ? j'ai pris ça. tu tends le paquet de bonbons à peine entamé, ses préférés, mais que toi tu détestes. en vérité t'en as toujours un dans tes placards pour quand elle vient chez toi. et t'es un enfant boudeur, moue apparente quand tu regardes ailleurs, l'autre bout du couloir.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Ryung Minki
~~~~

pour rien. pour rien. elle en aurait presque la mâchoire qui se décroche devant l'hypocrisie des mots. à minimiser les choses quand y a personne qui serait capable de supporter ce que tu lui faisais endurer depuis l'enfance. et y avait les instants où même elle n'était plus capable de continuer comme ça. à ressentir le besoin d'une pause quand c'était toujours trop. et c'est le silence qu'elle garde, laisse la porte claquer derrière toi quant à la place du souffle qu'elle aurait du avoir, c'est la sensation de vide qui arrive. ( v i d e ). reste là une minute, dix, le silence toujours pesant quand tu reviens pas pour l'agacer davantage. poupée qui se détourne enfin, les pas traînants jusqu'à la chambre, déverrouille le téléphone d'un air las avant de le reposer presque instantanément. l'eau chaude de la douche qui devient salvatrice, la laisse couler sur sa peau une éternité quitte à s'y noyer pour chasser les peines, te chasser toi. tu comprends pas, tu comprends jamais. gamine léthargique qui se traîne dans l'appartement, nettoie les vestiges de ton passage avant d'être accueillit par son canapé. énième appel, décroche finalement pour les jérémiades de sa mère, remontrances habituelles quand les plaintes de ryung était de trop. et elle dit rien maxine, garde le silence quand elle n'a pas la force de s'expliquer, quand on ne lui demande même pas sa version des faits. tape contre la porte. au fond d'elle, elle sait. elle sait et viens pourtant ouvrir, toi qui lui fait face une nouvelle fois. c'est quand t'es pas là qu'elle ressent le manque. agite devant les yeux les sucreries pour lesquelles elle irait se damner, trêve offerte pour sûrement trop peu de temps. mh et elle s'écarte, referme derrière toi, le canapé qui reste son objectif. elle a l'air paumée max, un peu à l'ouest, peut être à la dérive. cherche sur netflix ton show préféré, sa manière à elle de demander pardon. j'ai bloqué tes potes, je leur parlerais plus si ça pouvait éviter que tu viennes l'emmerder, soit.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Maxine Edwards
~~~~

fantôme de la main qui fait encore palpiter la joue, t'as passé un paquet de pois congelés dessus pour endormir la douleur. même en lacross t'avais le casque et la visière pour te protéger justement des coups, parce qu'il a une valeur inestimable ce visage. elle le sait, t'y tiens presque plus qu'à ta propre famille. mais encore une fois, tu mets ça sur le dos de la jalousie. maxine on dit qu'elle est mignonne, sauf qu'elle sourit jamais et elle aura bientôt des rides. à l'inverse toi, toi et la beauté indéfinissable qu'apportaient les fossettes, c'était une autre histoire. (e n v i o u s) tu lui en reparleras plus tard, aussi bien dans cinq minutes que dans une semaine. t'attends juste qu'elle accepte les excuses muettes, t'es venu faire patte blanche ici quand l'attente de nouvelles devenait languissante. tu le tolères pas, le don de t'agacer plus que n'importe quoi quand elle est comme ça avec toi et son foutu silence treatment. comme si elle pouvait vraiment avoir le loisir de t'éjecter de sa vie. chemin connu par coeur quand elle s'écarte, le canapé déjà chauffé sur lequel tu viens t'allonger, soulevant seulement tes jambes pour lui laisser un accès libre avant de les reposer sur elle, paquet que tu déposes entre vous deux quand les images commencent à défiler. moi aussi je les aies bloqué, on couche pas avec la meilleure pote de son meilleur pote. qui fait ça ? et tu devrais tourner sept fois ta langue dans ta bouche quand tu prononces ça avec dégoût, car t'as commencé cette guerre puérile à l'époque du lycée quand t'avais tapé fort en profitant de la faiblesse de ses amies avec toi. mais tu détournes la tête de l'écran, visage calé contre ta paume. tu veux que je bloque tes copines aussi ? bon, ça sera l'histoire d'une ou deux journées le temps qu'elle se calme et après tu reprendras ton business, mais si ça peut permettre d'apaiser le dragon max.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Ryung Minki
~~~~

la paix qu'elle recherche actuellement quand vous étiez pourtant tous les deux conscients que la guerre reprendrait de plus belle dans trop peu de temps. toi pour commencer. lâche quand la pilule était toujours assez difficile à digérer. l'époque du lycée qui reste gravé en mémoire quand t'avais osé chercher sa meilleure amie quitte à briser son coeur au passage. secret pourtant bien gardé quand elle avait utilisé diverses excuses pour justifier sa colère. fais comme tu veux c'était bien un truc qu'elle avait apprit avec toi. les bloquer ou non, ça te dispenserait pas de tenter (réussir), à les mettre dans ton lit les unes après les autres. peu importait ses protestations, les crises de nerf qu'elle pouvait avoir, t'y prêtais jamais attention. les doigts qui piochent dans le sachet de bonbon, en glisse un dans sa bouche quand elle semble toujours aussi épuisée par le conflit s'étant déroulé plus tôt, repasse en mémoire les évènements. j'ai eu ma mère au téléphone thanks to you. à avoir subit pendant trop longtemps les remarques et les multiples déceptions qu'elle avait visiblement créé chez les edwards. pourquoi tu racontes des trucs pareil d'ailleurs ? c'est idiot. davantage quand ça faisait des années que les minwards ne cessaient de faire des allusions sur l'idylle qui finirait par naître entre eux. j'ai rencontré quelqu'un et à cause de toi, je peux même pas en parler à espérer que viennes réellement avouer les choses plutôt que continuer avec tes inventions idiotes. j'aurais bien voulu le faire venir un peu cet été et t'avais juste tout niqué, comme bien souvent.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Maxine Edwards
~~~~

tu l'attendais, le retour du bâton quand tu te risquais sur des pentes glissantes comme celle-ci. à croire qu'elle ne peut pas passer au dessus d'une chose révolue, et qu'elle était parvenue à te rendre par la suite. jeu d'enfants. celui qui fera le plus de mal à l'autre, les scores qui sont comptés au nombre de larme écoulées. mais comme un garçon ça pleure pas, elle était forcément annoncée comme perdante d'avance. toi t'es trop détaché pour être sujet aux émotions aussi ridicules, le coeur qui l'emporte sur la raison quand ça n'a pas de place dans vos vies. la distraction, le divertissement, l'amusement. tant de raisons qui font que c'est l'une des meilleures activités pour me donner le sourire. tu confesses sans honte, car toi t'as le bon rôle, reçois les flatteries de la part des deux foyers. forcément, fils unique pour deux maisons, ça attire la sympathie et l'amour. oreille qui vient à se tendre quand l'attention s'était reportée sur les images à la télévision. pauvre mec, il a aucune chance. réponse nonchalante quand ta main vient cacher ta bouche lorsque tu bailles, c'est que c'est éreintant de subir les sauts d'humeur de maxine. haut du corps qui se relève pour inverser les positions, la tête qui vient prendre place sur les cuisses quand tu attrapes à l'aveugle sa main pour la poser sur tes cheveux. juste cinq minutes, s'teuplait. rituel sur lequel tu saurais pas poser de date, à chaque fois tu promettais de lui rendre la pareille ou de lui brosser les cheveux, mais tu finissais toujours par t'en sortir sans demander ton reste. visage écrasé quand le bras pend dans le vide, frôle par intermittence la jambe. ils le connaissent pas que c'est déjà foutu pour lui, il est hors course et tu le sais très bien. pourquoi tu lui imposes ce se taper la honte de sa vie ? tu marmonnes à moitié plongé dans l'action qui accapare tes yeux, les doigts qui s'accrochent parfois au tissu comme un enfant avec son doudou devant un dessin animé.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Ryung Minki
~~~~

toujours lui mettre des bâtons dans les roues, ne jamais lui offrir quelque chose qui pourrait se rapprocher du bonheur. pourquoi ? les questions qu'elle ne pose pas quand t'aurais sûrement des réponses la faisant passer pour une idiote. et pour me créer des milliers de problèmes pourtant tu savais ryung. t'avais beau être le roi du manoir, elle avait pas le droit au même traitement. chaque échec était sévèrement puni et tu n'avais de cesse de faire en sorte qu'elle reçoive les dites punitions. lève les yeux au ciel, princesse aurait presque pu mimer ta réponse du bout des lèvres. et elle souffle, la main accompagnée à tes cheveux, geste machinale quand elle passe ses doigts dedans à répétition. t'as raison, ils l'aimeront pas. ils l'accepteront jamais parce qu'il n'est pas toi. triste réalité qu'elle avait comprit des années auparavant, à savoir pertinemment que si ce n'était pas ryung, personne ne serait jamais décrété digne d'elle. si tu leurs disais simplement que je ne t'intéresse pas au lieu d'inventer des histoires, j'aurais déjà plus de chance parce qu'ils n'auraient pas d'autre choix que se faire à l'idée que cette histoire ne verrait jamais le jour. et peut être qu'alors elle pourrait fréquenter qui bon lui semble sans risquer des représailles. souffle doucement, le manège qui continue, douceur que vous vous octroyer parfois. les doigts qui glissent sur la ligne de ta mâchoire presque trop machinalement. j'comprends pas pourquoi tu veux que je sois malheureuse ryung. tu veux pas être avec moi alors pourquoi tu me fermes toutes les autres portes ? tes potes, les inconnus, tout le monde. à toujours tout mettre en oeuvre pour qu'elle soit seul.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Maxine Edwards
~~~~

c'est digne d'une tragédie que tu écris à chacune de tes actions. t'es l'emblème de la réussite et de la gloire qu'ils aspirent à avoir. des héritiers dignes de ce nom, ceux qui seront les leaders du monde de demain. ça a été répété jusqu'à ce que l'information ne soit que vérité dans vos cerveaux. ça coule de source que personne ne pourra jamais t'évincer à leurs yeux. j a m a i s. et vous le savez, toi, comme elle. la finalité c'est que le jour viendra où elle leur fera honte à cause de son choix, quand elle se rabattra sur quelqu'un de moins bien. mais c'est les parents ils forcent aussi max. hypnotisé par les scènes que tu connais par coeur et la lenteur des gestes dans tes mèches sombres, tu pourrais t'avouer vaincu ici et maintenant, bouche compressée par l'autre moins qui sert à te surélever. paupières faibles quand les ongles dessinent la mâchoire où apparaissent les marques d'un éternel sourire. c'pas vrai, dis pas ça, j'ai jamais dit que je voulais que tu sois malheureuse. et étrangement son bonheur contribue au tien, mais à condition qu'il exclue les autres. t'inspires, battements du coeur qui ralentissent quand elle te berce comme ça, calme après la tempête et que les esprits sont apaisés en apparence. mais tu vois c'est comme mon premier maillot de lacross, il est trop petit pour moi, il est abimé aussi-- en même temps t'avais commencé t'étais aussi grand qu'un tabouret, là tu frôles presque les plafonds du métro. mais j'peux pas m'en séparer, ça fait parti de moi alors je veux le garder pour toujours. quand ça touche à l'intime t'y peux rien, c'est comme le moyen de te consoler. emotional support. imitations de ses gestes sur sa cheville, pulpe des doigts venant les effleurer et tu te surprends à parfois te délecter de la douceur de la peau, quand avant vos genoux n'étaient qu'éraflures à cause de vos chamailleries pour savoir qui allaient pousser l'autre sur la balançoire.

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.

you don't really want me now
w/ @Ryung Minki
~~~~

et elle l'était. semi victoire que t'avais entre les mains à réussir à éliminer tout le monde. probablement parce qu'elle n'avait que ton nom à la bouche même s'il était souvent ponctué d'agacement. sûrement parce que le peu de fois où elle avait eu quelqu'un, il avait finit par disparaître, fatiguée par tes aller retours constant. alors dans le fond, tu gagnais à chaque fois, à faire fuir tous les autres inlassablement. mais il en était quoi d'elle et de ce qu'elle voulait ? est-ce que ça avait une importance ? mais tu les aide pas à passer à autre chose pire, t'alimente les espoirs en créant une relation fictive quand c'était les insultes qui prenaient plus le dessus qu'autre chose. tu l'as pas dit mais c'est ce que tu fais le geste qui s'arrête pour une fraction de seconde, reprend doucement quand dans tous les cas tu ne lui donnera jamais raison. et elle soupire encore, les frissons qu'elle voudrait réfréner quand tes doigts jouent le même jeu contre son épiderme. c'est pas parce que je fréquente quelqu'un que tu feras plus parti de ma vie tu sais ? si c'était la seule chose qui te retenait. tu seras toujours la ryung, peu importe avec qui je suis sûrement parce que c'était écrit quelque part, parce que vos familles étaient liés à jamais. les doigts qui s'enroulent dans tes mèches brunes, mordille la lèvre inférieure avant de reprendre. mais tu trouveras quelqu'un un jour aussi et tu peux pas m'interdire de faire pareil revient dessiner du bout des doigts la même ligne, glisse sur le visage avec lenteur, mémorise les traits. j'te laisse même leur dire que c'est toi qui ne veut pas, que tu mérites mieux ou peu importe ce que tu veux raconter mais dis leur la vérité

credits img/gif: pinterest
code by lumos s.