naissance
Huan a vu le jour le 22 janvier 1989 à 21h09, ce qui signifie qu’elle est verseau, ascendant vierge. Elle n’est pas sûre de croire à cent pour cent à l’astrologie, ni d’y comprendre grand-chose d’ailleurs, mais ça l’amuse de se plonger dans le sujet quand elle s’ennuie.

nom & prénoms
Xu, un nom bien chinois qui trahit tout de suite ses origines quand on le voit écrit quelque part. Huan, un prénom tout aussi chinois, mais qui fait référence, à son plus grand bonheur de nerd, au chien qui se lie d’amitié avec Beren et Lúthien dans l’univers de Tolkien. Bon, elle n’éprouve pas un grand amour pour les chiens en général, mais elle ne va pas se plaindre de pouvoir placer cette référence chaque fois qu’elle se présente.

nationalité
Elle possède la nationalité taiwanaise et elle en est fière, puisqu’elle a passé toute sa jeunesse sur cette île jusqu’à ce qu’elle se décide à traverser l’océan pour faire ses études en linguistique et parfaire sa maîtrise de la langue anglaise, deux objectifs qu’elle a atteints haut la main.

origine
Ses grands-parents, partisans du mouvement nationaliste, ont fui la Chine suite à la Seconde Guerre Mondiale, le pays étant alors dominé par le mouvement communiste, pour s’établir sur l’île de Taiwan, aussi appelée Formosa. Ils y sont restés pour fonder leur famille. C’est la raison pour laquelle Huan est née à Taipei, la capitale de l’île, et qu’elle possède des origines chinoises, bien qu’elle se considère avant tout comme Taiwanaise et que les États-Unis représentent pour elle sa seconde maison, puisqu’elle y vit depuis de nombreuses années déjà.

orientation sexuelle
Asexuelle et aromantique, Huan ne se sent attirée par personne en particulier; l’amour et le sexe ne représentent pour elle que de vastes concepts, presque d’une autre planète. Elle ne ressent au mieux que de l’ennui, au pire du dégoût, à l’idée d’embrasser ou de coucher avec quelqu’un, que ce soit une célébrité ou une personne croisée dans la rue. À vrai dire, elle pense davantage à la mécanique de la chose qu’aux émotions que les médias lui dictent de ressentir. Huan espère trouver quelqu’un qui puisse la comprendre sur ce point, sans pour autant l’infantiliser, car l’expérience lui a appris que quand bien même trouverait-elle une personne lui plaisant esthétiquement parlant, peu importe son genre, elle n’aurait nullement envie que leur relation dépasse le stade de l’amitié.

statut amoureux
En grandissant, elle a longtemps cru il lui fallait trouver l’amour à tout prix et qu’il était triste, honteux, voire anormal, de rester célibataire jusqu’à la fin de ses jours. Trop souvent s’est-elle forcée à entretenir des relations amoureuses et sexuelles sans ressentir le moindre désir envers ses partenaires, augmentant ainsi son sentiment de culpabilité. Tôt ou tard, la relation s’achevait sur une note pleine d’amertume, des deux côtés. Aujourd’hui, et après beaucoup de travail sur elle-même, Huan peut enfin dire qu’elle se sent bien dans sa peau en étant qui elle est, à savoir une jeune femme célibataire et heureuse de l’être, non pas parce qu’elle est traumatisée par une quelconque expérience amoureuse passée, mais parce qu’elle ne ressent pas le besoin ou l’envie d’être avec quelqu’un, tout simplement. Elle sait à présent qu’il existe plusieurs amours — l’amour de sa famille, de ses amis, de son animal de compagnie — tout aussi vraies et importantes que l’amour romantique, que la société ne cesse pourtant d’idéaliser comme le summum du bonheur.

statut social
Gamine, elle a eu la chance et le privilège de ne jamais manquer de rien, son père étant à la tête d’une entreprise de matériel électronique, encore florissante aujourd’hui, et sa mère, professeure de littérature. On peut donc dire qu’elle a toujours appartenu à la classe bourgeoise ou aisée.

emploi
Elle enseigne le mandarin à l’Université Harvard et anime Goodnight Ghosties, un podcast hebdomadaire sur le paranormal.

Elle n’a jamais été bouffie d’ambition, Huan. Sa définition du bonheur tient en peu de mots : un bon livre, une sieste, une promenade dans un parc, une soirée tranquille entre amis… Maintenant qu’elle enseigne à temps plein à Harvard, la jeune femme estime jouir d’un train de vie que d’aucuns lui envient sans aucun doute derrière les portes closes. Si elle ne changerait sa petite routine pour rien au monde, elle ne peut s’empêcher d’avoir l’impression de tourner un peu en rond dans son bocal, ces derniers temps. Elle aimerait se lancer dans un projet quelconque, peut-être la rédaction d’un roman ou d’un recueil de poèmes? Elle a beau avoir franchi le cap de la trentaine, elle se cherche encore. À se demander si elle a véritablement sa place ici-bas.

Huan, c’est la douceur incarnée dans ce monde qui est le nôtre, à mi-chemin entre le paradis et l’enfer. Les vulgarités souillent rarement ses lèvres et l’altruisme, de même qu’une grande sensibilité, guident ses pas. Ce n’est pas un ange terrestre pour autant; l’orgueil et la paresse la caractérisent, deux péchés capitaux que ne peut gommer aucune absolution divine. C’est quelqu’un d’assez mystérieux, qui ne se révèle point volontiers et qui préfère la quiétude de son appartement à la cacophonie du centre-ville. Elle accorde un grand respect à l’oeuvre de Dame Nature — ses arbres, ses fleurs, ses rivières, ses montagnes — qui lui apporte une grande tranquillité d’esprit. Sans doute par excès de pacifisme, elle évite de confronter son prochain lorsque souci il y a et préfère glisser çà et là de subtiles remarques teintées de sarcasme qui s’apparentent en vérité à un comportement passif-agressif. Tête en l’air, il lui arrive d’oublier des détails de tel ou tel événement, ce qui entre en contradiction avec son perfectionnisme à toute épreuve. Somme toute, Huan demeure une personne qui fait de son mieux pour survivre aux intempéries de l’existence avec un soupçon d’optimisme et de patience.

[ un ] Huan a vu le jour sur l’île de Taiwan, au sud-est de la Chine et au nord des Philippines. Conquise et peuplée entre autres tour à tour par la Chine, le Japon, puis à nouveau la Chine, la culture de ce minuscule bout de pays tire ses origines de ces deux pays colonisateurs. Aujourd’hui, une grande majorité de Taiwanais réclament l’indépendance de leur pays face à la Chine communiste, qui continue pourtant de le compter parmi leurs provinces, d’où son surnom de République de Chine sur la scène internationale. C’est dans ce contexte que grandit Huan, très tôt animée d’un fort sentiment nationaliste. Sa mère enseignant la littérature à l’Université nationale de Taiwan, la demoiselle se prend naturellement de passion pour les mots, dociles sous son crayon jusqu’à se transformer en phrases, en paragraphes, puis en textes. [ deux ] Il n’est donc pas étonnant que la jeune femme se tourne dans le domaine de la linguistique — comment naissent les langues? comment évoluent-elles dans le temps et l’espace? — lorsque vient l’heure d’entamer ses études universitaires. Ses parents, désirant lui offrir le meilleur avenir possible, l’incitent fortement à envoyer sa candidature aux plus prestigieuses universités des États-Unis, parmi lesquelles Harvard. Huan hésite quelque peu, tiraillée entre son envie de rester sur son île natale et celle de faire plaisir à ses parents. Finalement, c’est cette seconde option qui prend le dessus. Elle arrive sur le sol américain à l’été 2008 et s’y établit officiellement une fois sa maîtrise en poche, à l’âge de vingt-six ans. [ trois ] Parmi les petits jobs de moindre importance qui lui permettent de vivre et rester à Boston, elle offre son aide à l’un de ses anciens professeurs pour corriger les (très) nombreuses copies d’examen en fin de trimestre. C’est grâce à ce modeste emploi qu’on pense aussitôt à elle lorsqu’un poste de professeur se libère l’année suivante. Huan accepte cette opportunité inespérée avec plaisir et enseigne encore aujourd’hui sa langue maternelle aux étudiants de Harvard. C’est une professeure sympathique, quoiqu’assez tête en l’air quant aux prénoms de ses étudiants. [ quatre ] Aficionado de true crime et de paranormal, elle consomme beaucoup de documentaires et podcasts sur ces sujets qui la fascinent au plus haut point. Elle est capable de se perdre dans les méandres d’internet, entre reddit et 4chan, pour glaner le plus d’informations possibles sur une affaire ayant capté son attention. Elle s’intéresse également, sans trop savoir si elle y croit vraiment, aux aliens et aux théories du complot. Pas étonnant qu’elle ait eu, il y a quelques mois, l’envie de créer un podcast sur ces différents sujets, bien que le plus important demeure les manifestations de l’au-delà. [ cinq ] Elle ne croit en aucune religion, bien qu’elle estime que quelque chose doit exister de plus puissant que nous, pauvres petits êtres humains. Que ce soit un dieu, plusieurs dieux ou une quelconque entité sans nom, elle ne saurait l’affirmer avec conviction. [ six ] Elle se passionne depuis l’enfance pour l’univers de Tolkien, de la Terre du Milieu à Aman en passant par l’île engloutie de Númenor. Chaque année, elle lit The Lord of the Rings et regarde la trilogie cinématographique; c’est un peu devenu au fil du temps une espèce de rituel pour elle, surtout pendant l’automne, sa saison favorite. Si ses proches doutaient encore de sa dévotion envers ce monde fictif, tout doute s’est envolé lorsqu’elle a adopté un chat errant il y a quelques années et qu’elle l’a appelé Strider, en l’honneur de l’un de ses personnages préférés. Elle l’adore comme s’il s’agissait de son propre enfant, le gâtant de friandises et lui offrant plein de jouets. Un vrai bébé gâté. [ sept ] Comme on peut s’en douter en apprenant le domaine d’étude qu’elle a choisi, elle se plaît à apprendre des langues étrangères, non seulement parce que ça peut lui être utile un jour, mais aussi parce que ça la stimule intellectuellement. À ce jour, elle maîtrise le mandarin, le japonais, l’anglais et possède une base en allemand et en français. [ huit ] C’est peut-être étrange pour une femme de son âge, mais elle dort encore avec Rilakkuma, son ourson en peluche qu’elle a apporté de Taiwan. En vérité, elle possède une sacrée collection de peluches de ce personnage japonais, qu’on peut comparer à Hello Kitty. C’est plus fort qu’elle, elle le trouve trop mignon. [ neuf ] Elle n’en est pas fière, mais elle procrastine pour toutes les tâches qu’elle doit accomplir, une mauvaise habitude qui la fait culpabiliser et dont elle aimerait bien se débarrasser. Elle a essayé à peu près toutes les soi-disant solutions miracles, rien ne fonctionne. Par une chance inouïe, ça ne lui a jamais vraiment nui, puisqu’elle parvient toujours à tout faire à temps. [ dix ] À trente-deux ans, non, elle n’a toujours pas le permis et non, elle n’a pas l’intention de le passer. Quand on s’aventure à lui en demander la raison, elle rétorque que les voitures polluent beaucoup trop et qu’elle aime mieux ne pas prendre le risque de mourir bêtement dans un accident de la route, mais au fond, elle est morte de peur à l’idée de conduire un véhicule. Alors pour se déplacer, elle utilise les transports en commun ou mieux encore, sa trottinette ou ses pieds. [ onze ] Comme lorsqu’elle était môme, elle aime bien faire des puzzles ou des sudokus et résoudre des énigmes. Et pour compléter le tableau, elle raffole des jeux de mots, ce qui a le don de lui attirer sourires indulgents et regards de travers.

Naissance à Taipei, Taiwan.
Déménagement à Boston pour se familiariser à l’avance avec les lieux et la culture américaine.
Études en linguistique à Harvard (undergraduate student).
Études en linguistique, spécialisation en sociolinguistique (graduate student).
Fin des études universitaires.  
Retour à Taipei. Voyage d’un mois avec des amis en Nouvelle-Zélande en guise de récompense (bien méritée).
Retour à Boston. Petits jobs sans importance. Assistante d’un de ses anciens professeurs pour l’aider à corriger les copies d’examen pour la présente année scolaire.
Professeure de mandarin à Harvard.
Nombreux échecs amoureux. Découverte des termes asexualité et aromantique qui lui correspondent à merveille.
Création du podcast  Goodnight Ghosties.
Aujourd’hui.

introvertie, casanière, solitaire, douce, paresseuse, curieuse, loyale, patiente, perfectionniste, pacifique, crédule, optimiste, étourdie, taquine, sarcastique, méticuleuse, orgueilleuse, zélée, polie, altruisme, sensible, passive-agressive ;;

tolkien nerd. lgbtqi+ community. ace spectrum. squishes over crushes. rilakkuma collector. learning and studying languages. falling asleep while listening to podcasts. true crime stories. conspiracy theories. ghosts are real. aliens too probably. am i real? oops, got lost in an internet rabbit hole. i’m not procrastinating i’m doing side quests. i need coffee. i also need a nap. actually, i just wanna be a freaking hobbit.

pseudo silmarillion (ange).
âge vingt-huit ans.
nationalité j’vis au québec.
forum connu par... mais qui ne connaît pas ilh dans le monde du rpg?
ILH, j'en pense quoi ? je tourne autour depuis quelques jours et en voyant la nouvelle version, inspirée de tolkien, je n’ai juste pas pu résister krkrkr (also mes yeux vous remercient pour l’option clair/sombre en haut à droite )
autres comptes ? nope.
avatar utilisé zhang xinyuan.
crédits images past breathing (avatar).
nombre de mots par rp ça varie selon l’inspiration, mais je dirais entre 400 et 1000 mots.
type personnage personnage inventé, parce que je n’ai pas trouvé chaussure à mon pied that being said, je n’ai pas checké tous les préliens/scénarios, alors si jamais quelqu’un passe par ici et pense que huan peut coller à un lien qu’iel recherche, je suis tout ouïe

code métier
harvard university + professeure de mandarin  :

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@"Huan Xu" » <i>(professeure de mandarin)</i>

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<span class="pris">ZHANG XINYUAN</span> <span class="inv"></span> @"Huan Xu"