@Antonio Munoz Est-ce que si ton propre couple avait tenu la route, t'aurais eu autant au cœur de voir perdurer ceux des autres, comme celui d'Agathe et d'Antonio ? Surement pas. C'est un peu égoïste, ce que t'assumes complétement être, mais c'est surtout que t'as besoin de voir de ressentir du bonheur, et si c'est pas le tien, au moins celui des autres. Le pauvre est devenu le passe temps de tes pensées agitées, ton objectif, une espèce de preuve humaine que les choses peuvent s'arranger, alors que pourtant tu ne connaissais pas la moitié de l'histoire. On laisse toujours apparaitre ce qu'on veut bien aux autres, mais les faits sont là, lorsque la porte se referme, de nouvelles scènes prennent vie à l'abri et au mépris du savoir de tous. Il te déballe tout Antonio, il a besoin de vider son sac et de mettre un terme à la naïveté qui t'anime. Tu restes longtemps interdite avant de finalement tenter de lui demander de se calmer. Tu le sens bien, tu le vois bien, que sa colère n'est pas dirigé vers toi, mais vers un certain ras-le-bol, un verre déjà plein dont les derniers évènements ont pris le rôle de la goutte de trop. T'as pas envie qu'il entache l'image de ton amie, cette image que t'as d'elle dans ta tête, mais pour éviter de mettre de l'huile sur le feu à cette instant, tu la boucles cinq minutes. Tu te lèves, ta main se dépose gentiment sur son avant-bras, un geste qui se passe de mots mais qui se veut à le calmer un peu. T'es pourtant loin d'être une personne tactile, sauf avec tes amis très proches avec le temps, alors tu la retires et déposes toi aussi tes avant-bras sur la rembarque, t'es à côté de lui à regarder dans la même direction, vers l'horizon vert. oui bon, j'dis pas que tous les tords viennent de toi, je ne l'ai jamais pensé. tu souffles doucement avant de plisser les paupières, perdre tes billes sombres dans le paysage avant d'incliner la tête dans sa direction je pense que j'ai du me foutre des œillères, voir ce que j'ai toujours vu de vous deux, maintenant je comprends que c'est bien plus compliqué que ça. Malheureusement et au fond tu réalises que ça l'es toujours, au fond. La réalité fait mal, elle fait mal pour tout le monde, même ceux que t'idéalisais. j'veux juste être là si vous avez besoin, tu vois ? Tu le laisses hocher la tête avant de conclure le sujet. oui bon, je- t'as raison, parlons d'autre chose. Tu portes de nouveau ta bière à tes lèvres, en bois quelques gorgées. T'es même pas encore à la moitié tandis que lui a terminé la sienne des instants auparavant. tu veux boire autre chose ? tu demandes poliment car tu te souviens du chemin pour rejoindre la cuisine. D'ailleurs, faut que tu surveilles l'heure, le traiteur va bientôt arriver et il va falloir que tu ailles lui ouvrir la porte et lui faire visiter les lieux, la cuisine et la salle à manger. tu ne devais pas me montrer les dernières photos de ta salle, l'avancée depuis la dernière fois ?

La réalité d’un couple c’est celle là, l’image que l’on transmet aux autres n’est pas toujours la bonne. Pour beaucoup dont Katalia on était considéré comme le couple parfait, le genre de relation que l’on veut à tout prix atteindre sauf que la réalité est toute autre. Il faut supporter certaines choses, les sauts d’humeur, les reproches et j’en passe. Ma relation avec Agathe n’était pas parfaite et justement au moment ou notre relation était à son apogée, c’est à ce moment qu’elle a décidé de tout envoyer valser d’un revers de main comme si tout cela n’avait jamais compté. Tout ce que je lui explique c’est la réalité et que l’on était loin d’être parfait et totalement heureux pendant tout le long de notre relation. Ce qui me fait le plus mal c’est vraiment de m’être investi pour rien, d’avoir tout fait pour elle, pour les filles, pour créer une famille soudée et tout a été bafoué par la belge en l’espace d’une simple soirée. Et honnêtement je ne suis pas sûr de pouvoir et vouloir me remettre avec elle à l’heure d’aujourd’hui, il me faudra un certain temps pour digérer cela et je n’en parle pas avec l’italienne mais quand je vois comment Lenka et Daliah sont avec moi, je me dis qu’il n’y a pas photo, ça me pousse plus à aller vers elle que vers mon ex. « Non tu le dis pas directement mais ce qui revient c’est toujours que je devrais mettre ma fierté de côté et faire ci ou ça pour elle alors que de son côté elle ne fait rien pour arranger les choses. Je suis gentil mais très fier et j’en ai plus qu’assez de faire des actions pour en retour rien avoir. J’arrive à saturation désolé. Mais tu peux demander à ton amie, je doute qu’elle soit malheureuse de la situation, au contraire » Absolument pas même c’est une certitude, je suis loin de pervertir ses pensées car elle m’aurait déjà envoyé un message pour s’excuser de sa réaction abusive, se cachant derrière ses hormones. « Non tu as vu ce qu’elle a toujours voulu te montrer nuance. Je ne dis pas que tout était nulle attention, mais pas aussi parfait que d’apparence. Mais comme dans toute relation tu fais bonne figure devant les autres pour créer de la jalousie, de l’envie » A l’heure actuelle je suis trop focalisé sur ce qu’elle m’a fait que je n’arrive pas à penser au positif « Dis toi que j’en viens à douter de ses sentiments à mon égard » Et ça c’est le pire quand on remet tout en question et que l’on commence à se poser ce type de réflexion. « C’est gentil de ta part, mais je doute qu’elle ait besoin de toi, la preuve elle est pas venue pleurer dans tes bras la fin de notre relation » Alors que c’est probablement l’une des premières choses qu’une femme fait lorsque sa relation se finit. On finit par parler d’autres choses car le sujet De Belgique va me rendre zinzin à ce rythme et je ne l’ai pas accompagné ici pour ressasser cela. « Ouais ce que t’as, je suis preneur » Oui j’ai envie de picoler, pas forcément de me mettre minable mais juste boire histoire d’être bien et de profiter de mon week end avant que les choses sérieuses ne commencent. « Ah si c’est vrai en effet, d’ailleurs oublie pas que c’est pas longtemps après ce week end » La salle ouvre le 1er décembre donc clairement dans les faits c’est comme si c’était demain. Je lui montre absolument toutes les photos en ma possession ou du moins presque, préférant garder la surprise ultime pour le jour de l’ouverture afin de créer réellement le choc chez tout le monde. « Du coup voilà ce que ça donne mais je t’assure que c’est encore mieux en vrai qu’en photo. J’ai hâte d’ouvrir, j’suis excité comme une puce et non pas une pute » Je rigole en regardant la jeune femme, tentant de mettre de côté le spectre de mon ex qui ne devrait pas venir d’ailleurs à cette soirée, enfin normalement.

@Antonio Munoz Ca n'est jamais facile, lorsque tout s'écroule, tout se brise en mille morceaux. La relation mais aussi tous les idéaux et les espoirs qu'on pouvait y mettre. T'es bonne à comprendre et encore que ta situation n'a absolument rien à voir avec la sienne… Certes, c'est la fin d'un couple d'un côté comme de l'autre, mais du sien le mal est bien trop vif et deux petites merveilles sont prises à leur insu dans tout ce bordel. Y'a seulement eux deux en mesure de vraiment connaitre, comprendre et éventuellement avancer suite aux derniers évènements qui les ont déchiré. au moins j'aurais les deux versions des faits plutôt que de rester focus que sur l'une d'elle… Tu lui proposes une porte de sortie, un échappatoire, une main tendue vers une discussion nouvelle qu'il prend aussitôt. Tu lui indiques que tu reviens et disparait vers la cuisine pour aller ouvrir le frigo et trouver une nouvelle bière pour lui, la tienne n'est pas encore terminée. Il y a aussi du champagne et des alcools forts mais il est encore bien trop tôt dans la soirée pour tout ça. Les autres pforzheimer et leurs invités commencent à rentrer dans la maison, ayant visiblement terminés la balade, mais toi tu les ignore et retournes le retrouver sur le balcon. tiens. tu lui tends la bouteille et le décapsuleur. ah ouais ? c'est pour le combien l'ouverture ? et la soirée d'inauguration ? Franchement tu trouves ça admirable d'arriver au bout d'un projet comme ça. Ce sentiment d'excitation lorsque le travail arrive à son terme, t'adores et tu pourrais presque vivre uniquement que pour ça. Il sort son téléphone pour te montrer les photos, tu déposes de nouveau tes avant-bras sur la rembarde et inclines la tête pour les voir sur son écran c'est magnifique ! ça donne presque envie de se mettre au sport. tu ris doucement à tes propres mots, sachant pertinemment que, de toute façon, ça n'arrivera jamais. En vrai, la salle est vraiment belle, elle a l'air grande, lumineuse, le rêve éveillé de tout sportif qui se respecte. Tu termines à ton tour ta première bière, ne peux t'empêcher de rire à ses mots avant de retorquer t'as le droit d'être excité comme tu veux, je ne vais pas te juger promis. et tu lui adresses un sourire en coin amusé avant de faire un pas en arrière, comme craignant quelconque représailles.

« Tu auras les deux oui mais je veux que tu ne tiennes en compte que la sienne. Je voudrais pas que ce que je te dis te mette en porte à faux avec elle » De toute évidence ce qui sera dit à mon égard ne sera pas un instant positif et je ne voudrais pas qu’elle mette les pieds dans le plat en parlant devant Agathe des sujets qui fâchent pour faire tomber le masque de la belge, et je ne tiens pas non plus à ce qu’elle me retire la garde de mes filles. Malheureusement pour moi elle est en position de force à présent en ce qui les concerne, ce qui me bouffe. Aymalyne m’a donné le numéro de téléphone de son mari à ce propos justement comme il est avocat afin de pouvoir réagir le jour ou elle use de ce pouvoir. Alors qu’elle quitte la terrasse pour aller nous chercher de quoi boire, je réfléchis à ce sujet de garde et la jeune italienne me sort de mes pensées à son retour en me tendant ma seconde bière dont je me saisis sans hésiter, buvant immédiatement dans cette dernière. « Alors l’ouverture officielle c’est le 1er décembre et de même pour la soirée mais comme on sera plus occupé à manger et picoler, la première ouverture au public pour faire du sport ce sera le 2 décembre » Je n’ai qu’une hâte en revanche c’est de l’ouvrir, de pouvoir enfin réaliser ce rêve que je touche du bout des doigts, il ne manque plus rien avant qu’il ne se réalise. Plutôt fier de moi, de mon acquisition et de ce que j’en ai fait, je montre à la demande de la jeune femme des photos de la salle et sa réaction est plutôt cash ce qui me fait plaisir. « Ahaha et t’as encore rien vu ça n’est que des photos, c’est plus beau en vrai. Sans compter que j’ai une petite surprise et je suis pas sûr que ça te laisse insensible » Ouais cette surprise risque de jouer en ma faveur et de faire craquer même les moins sportives mais pour le moment je ne dis rien, il faudra attendre le 1er pour en savoir plus à ce propos et il n’y aura pas de passe droit pour Katalia Borgia, après tout elle n’avait pas voulu me donner le moindre indice à propos de la maison dans laquelle on se trouve aujourd’hui alors j’en fais autant avec elle et je vais prendre un malin plaisir à ne rien lui dire. Je rigole à sa remarque en secouant la tête de gauche à droite « Non je laisse ce genre d’excitations à tes petites étudiantes » Sourire malicieux que je lui lance alors que j’hausse les épaules l’air innocent, mon regard qui dévie vers les jeunes femmes dans le salon face à nous avant que je n’apporte ma canette à ma bouche pour boire ce liquide pétillant. « D’ailleurs nos chambres sont proches ou pas ? » Je fais mine de rien avant d’ajouter délicatement « Je ne voudrais pas t’empêcher de dormir ce soir » Je m’amuse avec elle, avec ses nerfs, je sais qu’elle veut que j’attende et en réalité je ne sais même pas si je serais capable de coucher avec quelqu’un ce soir mais pour l’emmerder un peu et jouer, je me permets ce petit plaisir.

@Antonio Munoz Ces mots maintenant tu les comprends mieux. Son besoin de s’échapper, de prendre l’air, de s’éloigner d’une situation qui fait mal et dont il a perdu le contrôle. En cause ce n’est plus seulement sa relation de couple mais ce mot qui toi te fait peur : famille. Là ça dépasse surement des champs de compétences car t’es absolument incapable de te mettre à sa place, quand bien même tu comprends nombreuses choses qu’il est en train de te dire et que tu le rejoins même sur certains points. Chacun a ses tords et jamais la place est facile à tenir lorsqu’on se retrouve entre deux amis. T'écoutes avec attention ses mots au sujet de la salle, enregistres dans ta tête la date de la soirée et te notes même de passer la commande de boissons demain dans la journée. Tu ne décroches vraiment jamais de tes manies d'organisation, t'as toujours fonctionné comme ça, c'est dans ton adn. "ok c'est noté." tu lances avec un minimum d'entrain. Les photos défilent devant tes yeux, pourtant ça te t'empêche de froncer les sourcils en reculant le buste lorsqu'il t'annonce qu'une surprise sera prévue au programme "une surprise ? vas-y dis le moi, je ferai semblant de ne pas être au courant." tu lui adresses un large sourire, qui ne tente rien n'a rien. T'arrives quelque peu à détendre l'atmosphère en retorquant sur ses propres mots et honnêtement, ça fait du bien. Ce week-end est là pour ça, pour l'un comme pour l'autre et tu veux aller sur cette pente là à partir de maintenant, ne plus parler ni ne plus penser à Boston. Tu retorques à sa réplique en tentant de le pousser d'une main au niveau de l'épaule "hé oh, je ne suis pas leur baby sitter." Qui plus est, les membres de la pforzheimer ont plus de caractères que tous les membres des autres maisons réunies, t'as vraiment pas le temps de gérer tout ça. T'ouvres la bouche pour répondre à sa question avant de rouler des yeux au ciel en soupirer de façon théâtrale "me provoque pas Munoz." Tu marques une pause lourde, avant de redresser le menton et de continuer en haussant un sourcil "sinon c'est à toi qu'on devra prêter des bouchons d'oreilles." Tu ris doucement, sans pour autant y croire un seul mot, t'as absolument pas l'envie d'aller voir ailleurs alors que tu en as toujours qu'un seul dans la tête. Tu t'amuses juste à lui renvoyer la balle, histoire de rigoler un peu.

Une fois que tout est sorti je me sens un peu léger sur le moment, ça fait du bien d’extérioriser mais le problème n’est pas réglé pour autant, non et je ne veux pas m’épiloguer là-dessus, ce n’est clairement pas le but de ce week end. A la place je préfère parler de quelque chose de plus doux et égayant comme ma salle de sport que je lui montre en photo et un large sourire s’affiche sur mon visage alors qu’elle veut en savoir plus sur ma surprise. « Alors là t’es bien la dernière à qui je vais le dire » Je rigole tout en hochant la tête, mes prunelles se posant sur les siennes « Et ça c’est pour ne pas m’avoir donné plus d’infos sur cette maison quand je te l’ai demandé » Je lui tire la langue avant de lui faire un clin d’œil tout en explosant de rire, c’est comme ça, elle l’a bien cherché l’italienne à vrai dire. Avec les autres peut être qu’elle obtient ce qu’elle veut du premier coup, mais j’ai bonne mémoire et je suis rancunier alors je n’allais tout de même pas lui dire tout. « T’es un peu la patronne de la troupe quand même » C’est son rôle de présidente après tout de s’intéresser à tout le monde dans sa confrérie dans la mesure du possible bien entendu. En tout cas ça me fait rire, et c’est mieux quand on oublie les problèmes de Boston pour une fois, je peux me laisser aller et être moi-même, ce qui n’a pas été le temps depuis ma rupture ou j’étais en perpétuel questionnement, non pas par peine mais par haine en fait. « Je suis le meilleur quand il s’agit de provoquer Borgia, tu devrais le savoir » Oh oui elle n’a pas idée à quel point à ce genre de jeu je suis une vraie teigne et je ne lâche pas avant d’avoir gagné, et puis c’est drôle de la voir se battre pour essayer de m’empêcher de faire n’importe quoi. « Oh mais j’ai même mieux tu sais, on peut se renvoyer la balle et faire un dialogue de gémissement. Bon il faudra se décaler en termes de coup de rein mais ça devrait aller. J’ai déjà hâte, on va faire un sublime canon. J’espère en tout cas que t’as une belle voix quand tu chantes » Mon rire que je ne peux retenir alors que j’essaye de boire dans mon verre tout en la regardant. Quand il s’agit de sortir des conneries et d’avoir du répondant, je suis toujours là, il faut qu’elle s’y fasse l’italienne.

@Antonio Munoz Evidemment que tu savais qu'il n'allait pas lâcher une seule information, mais évidemment, à être ce que tu es, t'allais forcement tenté de gratter un peu sous la surface. Car t'es comme ça, que ça t'amuse et que même lorsque c'est voué à l'échec, tu tentes quand même car tu ne peux pas t'en empêcher. "t'es nul." tu roules des yeux au ciel en faisant semblant de soupirer longuement. Tu ris doucement, hoches la tête à ces mots lorsqu'il te retorque que t'as un peu la responsabilité de tout ce beau monde. C'est parfois si dur à porter mais la plupart du temps tellement gratifiant. T'es si heureuse d'avoir atteint cet objectif, celui de devenir présidente, et aussi tôt dans ton cursus universitaire. Ca te pousse à toujours plus toujours vouloir tout faire pour atteindre tes objectifs, comme tu l'as fait depuis ton plus jeune âge, en fait. Faut le dire, au début cette histoire de provocation te fait rire, puis ton visage se décompose au fur et à mesure de ses mots, jusqu'au retorquer "mais ça va pas la tête !" Hors de question que tout le couloir soit en capacité de comprendre ce que tu fais dans ta chambre, bien qu'assurément il ne se passera absolument rien ce soir vu que t'es encore complètement fermée à toutes rencontres depuis la rupture avec Ottis… "ton chaperon t'offre un jour de congés pour ce soir, mais ne la fais pas trop crier, pense à mon sommeil s'il te plait." tu ris doucement avant de jeter un nouveau coup d'œil à l'heure. Mince, le traiteur va arriver d'une minute à l'autre et tu dois encore aller te changer et te préparer pour ce soir. "c'est pas que ta compagnie m'est désagréable mais je dois encore aller enfiler ma robe de lumière." Tu le remercie à ta manière de ce moment avec un sourire, lui dis à toute à l'heure avant de filer vers l'entrée de la maison pour ouvrir au traiteur puis aller te préparer pour le diner ou ta mission sera de plus que jamais faire bonne figure.

FIN DU RP