001. Je suis né le 12 Juillet 1991 dans la métropole montréalaise. Je suis l'enfant du milieu, donc j'ai un grand frère (Damien Ranger) et une petite soeur (Danika Ranger). Faut croire que mes parents était rapide dans la machine à reproduction entre moi et mon frère, car nous avons qu'une année et quelques mois de différence. Par contre avec ma soeur, j'ai sept ans de différence. C'est aussi pour cette raison que nous sommes très protecteur envers elle. 002. J'ai eu la chance de vivre dans une grande famille et même qu'aujourd'hui, elle est deux fois plus grande avec le nombre des petits enfants qui s'accumule avec les arrières petits enfants. Mon frère a eux des jumeaux trois ans passé (Denver et Dallas Ranger). Ils sont incroyable comme petit bonhomme et aime déjà jouer au hockey qui est le sport le plus populaire dans notre famille depuis plusieurs générations. En tout, nous sommes dix petits enfants et nous comptons maintenant six arrières petits enfants. Lorsque l'on se rencontre pour le temps des fêtes, mes parents organises toujours une belle assembler dans une salle loué et ce, d'avance, car nous sommes une cinquantaine de personne qui se regroupe chaque année. La famille est une valeur très importante chez moi. 003. Mes parents sont ensemble depuis plus de quarante ans et marié depuis plus de trente ans. Ce sont des chiffres que l'on entend plus vraiment depuis les années 2000 et ce qui tiens mes parents ensemble est le fait qu'ils sont grand-parents, ils sont encore une vie sexuelle active et se font confiance mutuellement tout en restant honnête et communique tous les jours pour être sur la même longueur d'onde. J'admire beaucoup mes parents et surtout qu'ils sont tous les deux de grand humoriste. Ils ne sont pas comme Jean-Marc Parent, Patrick Huard, etc., mais ce n'est jamais ennuyant avec mes parents. Depuis l'âge de dix-neuf ans, mon père a joué pour le Canadien de Montréal pendant vingt saisons et à terminé sa carrière de hockeyeur avec les Bruins de Boston. Voilà pourquoi je connais bien la ville de Boston, car j'ai grandi dans cette ville une bonne partie de ma vie. Pour ce qui est de ma mère, elle était chef infirmière à l'hôpital Sainte-Justine à Montréal sur l'étage des soins intensifs. Nous avions le meilleur des deux mondes à la maison qui était cette passion pour les sports d'hiver et avoir des soins d'une maman aimante et spectaculaire. 004. Depuis l'âge de douze ans, je combat l diabète de type 1. Plus jeune, c'était un peu difficile à comprendre, car je devais avoir beaucoup d'injection et je devais aussi comprendre que c'était important de bien manger et de ne pas me lever la nuit pour me remplir le ventre en cachette. Disons que c'est de ma faute, car j'étais un vrai gourmand et manger m'apportait beaucoup de bonheur pour une raison bizarre. Aujourd'hui, je dois me donner des injections, mais beaucoup moins qu'avant, car je prend soin de moi de A à Z. Disons que ma mère ma fait beaucoup de peur lorsque j'étais jeune, car c'était pour mon bien de un et de deux, elle désirait voir ses enfants sur le droit chemin et en bonne santé. Maintenant, si je manque une séance d'entraînement, je ne passe pas une bonne journée. 005. Lors de mon adolescence, j'ai eu la chance de jouer dans la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec pour les Olympiques de Gatineau. J'ai complété mon cégep dans cette ville qui littéralement collé à la capitale canadienne qui est Ottawa. À l'âge de dix-neuf ans, j'ai été impliqué dans un accident tragique de la route avec deux de mes meilleurs copains en revenant d'un concert dans le coin de Kanata. Une voiture nous avais frappé solidement et ce dernier était en faculté affaiblit et avait un taut d'alcool qui était deux fois plus haut que la limite permise. Jonathan et son frère Simon était tous les deux à l'avant de la voiture et Simon est décédé sur le coup lorsque la voiture nous avais frappé. Son frère Jonathan a perdu l'usage de ses deux jambes et donc pris dans une chaise roulante pour le restant de ses jours. Pour ce qui était de moi, ma jambe droite avait été fracturé à plusieurs endroit et j'ai écopé d'une commotion cérébrale sévère. Ma rémission était très difficile et douloureuse, car avec mon diabète, j'ai du être surveillé de près aux soins intensif, car j'ai du avoir plusieurs transfusions de sang.