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HELINA DE LUNA ► jessica origliassoPage 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
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Helina De Luna
feat Jessica Origliasso
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✧ maison ou pas pour l'instant
Je suis le genre de fille plutôt idéaliste, qui se bat pour ce qu'elle pense être une sorte d'égalité. Je suis déterminée, peut-être un peu rêveuse, je suis presque sûre que je ferai une parfaite membre de la Adams House pour ces raisons. Je n'ai jamais lâché une seule de mes convictions. A côté de ça, j'aime les autres, leurs différences et complexités. J'aime ne former qu'un seul bloc avec mes semblables. Et pour ça, j'espère être également une bonne candidate pour la Currier House. Ils ont une philosophie de vie qui est relativement complémentaire à la mienne. Et si je devais choisir l'une des deux, ça serait sûrement la Currier House, pour cette convivialité qui fait qu'on doit vraiment se sentir chez soi.
✧ les petites anecdotes
Cette partie est facultative. Disons que désormais, puisque l'histoire n'est plus obligatoire si tu choisis de ne pas la rédiger, il te faudra nous faire pas mal d'acnedotes sur ton personnage pour qu'on puisse le cerner. Si tu préfères rédiger l'histoire, dans ce cas, tu peux enlever cette partie et faire comme si elle n'avait jamais existé. C'est beau la vie ? minimum de quinze anecdotes à rédiger
✧ l'admission à harvard
J'ai grandi à Rio de Janeiro. Je regardais les favelas du haut de la villa de la famille, et je me demandais ce qu'aurait pu être ma vie à leur place. J'ai été à l'école avec beaucoup d'entre eux, du moins ceux qui ne travaillaient pas pour aider leur famille. Et j'ai trimé, parce que j'étais pas plus intelligente que les autres, mais pas plus bête pour autant. Mon père m'a envoyée aux USA quand j'ai eu dix ans, ainsi que ma soeur pour que je devienne une vraie "lady" comme il aimait me dire. Il a fait en sorte que j'en apprenne toutes les coutumes, toute l'histoire, que j'ai la meilleure éducation possible, et les meilleurs profs. C'est ainsi qu'à la fin du lycée, j'ai reçu trois lettres d'admission : pour Harvard, Yale et Stanford. Bien sûr, mon choix s'est très vite porté pour Harvard et son prestige.
✧ le caractère de con
Je suis une battante. Non seulement je n'ai pas peur de me salir pour une cause qui me tient à coeur, mais aussi, je mets toujours toute mon énergie et mon âme dans ce que j'entreprends.
J'ai l'âme d'une rêveuse rebelle. La plupart des filles veulent une nouvelle paire de Louboutin, moi, je veux changer le monde, à ma manière. Je rêve d'une égalité entre les humains, que la misogynie disparaisse et ce genre de choses. Je suis pour la rébellion des peuples.
J'ai du mal à exprimer mes sentiments. Dire que je suis amoureuse, ce genre de choses, j'ai du mal. J'ai été blessée en amour, c'est vrai. Mais je n'ai jamais su prononcer ces mots qu'on rêve tous d'entendre. Une sorte d'inhibition incontrôlable. Tout se lit dans mon regard, mais les mots ne sortent pas toujours.
Je suis sportive, ça me canalise. Je peux passer des heures dans une salle de danse, jusqu'au moment où mes jambes ne me tiennent plus. En même temps, un corps pareil, avouez que ça se travaille. Je cours, également.
Je suis une femme passionnée, râleuse, complexe, jalouse, grande gueule, j'ai un égo parfois démesuré, toujours en recherche de compliments et d'attentions. Je me vexe parfois trop vite, je m'énerve facilement, j'aime m'amuser, je ris pour un rien, bref, je suis une fille de vingt-et-un ans.
J'ai l'âme d'une rêveuse rebelle. La plupart des filles veulent une nouvelle paire de Louboutin, moi, je veux changer le monde, à ma manière. Je rêve d'une égalité entre les humains, que la misogynie disparaisse et ce genre de choses. Je suis pour la rébellion des peuples.
J'ai du mal à exprimer mes sentiments. Dire que je suis amoureuse, ce genre de choses, j'ai du mal. J'ai été blessée en amour, c'est vrai. Mais je n'ai jamais su prononcer ces mots qu'on rêve tous d'entendre. Une sorte d'inhibition incontrôlable. Tout se lit dans mon regard, mais les mots ne sortent pas toujours.
Je suis sportive, ça me canalise. Je peux passer des heures dans une salle de danse, jusqu'au moment où mes jambes ne me tiennent plus. En même temps, un corps pareil, avouez que ça se travaille. Je cours, également.
Je suis une femme passionnée, râleuse, complexe, jalouse, grande gueule, j'ai un égo parfois démesuré, toujours en recherche de compliments et d'attentions. Je me vexe parfois trop vite, je m'énerve facilement, j'aime m'amuser, je ris pour un rien, bref, je suis une fille de vingt-et-un ans.
✧ derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Steph et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à ma casse-couilles de meuf. On s'y attache alors Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Anna Chesterfield (+ dark rises). J'utilise Jessica Origliasso comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Darklies-Clearminds et Google. Je fais environ 200/1400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
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☾ <span class="pris">JESSICA ORIGLIASSO</span> ⊹ @"Helina De Luna"
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un jour, une histoire
« Et allez vient on se voit si ça se trouve demain on meurt.
» Chilla, Pour la vie
» Chilla, Pour la vie
J'ai grandi à Rio, et je l'ai quittée à dix ans. Quitter le pays, sans parents, sans repères en dehors de ma soeur jumelle. J'ai vécu chez une tante que mon père arrosait de billets pour qu'on soit deux bonnes petites américainse. Il ne voulait pas qu'on continue de traîner avec les milieux défavorisés des favelas, qu'on devienne deux grandes dames bien comme il faut, qu'on soit deux élèves brillantes. Alors à onze ans, j'étais parfaitement bilingue; à quinze, je parlais également français et italien. Si bien que j'étais devenu un véritable dictionnaire pour mes camarades. J'avais des facultés de dingues pour les langues étrangères, et ça a dû jouer pour la suite de mes études.
Je voyais mes parents deux fois par an. Pour les fêtes de fin d'année, ils venaient nous voir à New-York. On faisait les magasins de luxe sur la cinquième avenue, des photos devant le sapin du Rockfeller avant de retourner dans l'immeuble qui m'a vue devenir une jeune femme, avec mes sacs Cartier, Chanel et Hermès. Puis l'été, c'est Selena et moi qui quittaient les grandes avenues New-Yorkaises pour la chaleur moite des plages de Copacabana, entourées de jeunes qui jouent au beach soccer comme s'ils étaient Neymar Junior, ou Ronaldo.
Revenir aux USA, c'était comme perdre à chaque fois un petit bout de ce que j'étais au fond. Je revenais dans cette ambiance froide et pressée, où tous les visages qu'on croise ne sont que des inconnus trop pressés pour s'attarder, et trop stressés pour profiter. Chaque jour, je passais devant le même clodo avec son gobelet en métal, qu'il secouait pour avoir quelques pièces. Il était pas si vieux, et son chien était pas si moche. Chaque jour, j'ai vu des dizaines de gens l'ignorer, comme je l'avais fait aussi. Mais je m'y suis attardée, un jour. Ce gars, il avait dix-huit ans, ses parents étaient en taule et son chien, c'était tout ce qui lui restait. Alors chaque jour, je lui donnais un sourire, de la bouffe et de la compagnie. Jusqu'au jour où il n'était plus là. Le froid a eu raison de son pauvre corps frêle et le destin de son cabot entre les mains de la fourrière. C'est comme ça que j'ai voulu militer pour une cause d'égalité. Et j'avais adopté son chien, par la suite.
Je suis tombée amoureuse, deux fois jusqu'à maintenant. La première fois, c'était court mais intense. J'avais seize ans, et cette première marque sur mon coeur portait un nom mélodieux à mes oreilles, à l'époque. Amanda. J'avais eu des histoires, avant elle. Mais c'était différent, basé sur l'attirance. Alors qu'elle, c'était explosif. Elle savait souffler le chaud et le froid, me rendre dingue par un regard, me tuer dans un silence et me redonner vie en effleurant ma peau du bout de ses doigts. Quand je la voyais, mon coeur brûlait, dans mon ventre, des tas de vibrations et dans mes yeux, c'était certainement un éclat de flamme. Mon sourire s'étirait toujours, ses longs cheveux châtains se mouvaient parfaitement dans l'espace. J'étais captivée à chaque fois. Sept mois d'un amour puissant, pur, sensuel. Et du jour au lendemain, ses sentiments s'étaient volatilisés, me laissant seule dans mes draps, avec mes souvenirs pour combler les blancs. Première estampille sentimentale.
En arrivant à Boston, j'ai rencontré un gars, plutôt du genre ténébreux, le regard profond, les bras sécurisants. Il a partagé mon quotidien un an, mais finalement, je me suis lassée. Trop prévisible, trop indécis, trop sérieux. Ses yeux profond se sont transformés en un surplus de bienveillance exacerbée. J'ai jeté son coeur à l'amer passé. J'avais besoin de plus de folie, comme celle que j'avais ressentie avec Amanda. Seconde estampille, bien plus légère que la précédente.
J'aime m'amuser, jouer de mes charmes, faire la fille trop accessible avant de m'éclipser à l'instant même où on croit me saisir. J'aime me sentir insaisissable, désirable, irremplaçable. Marquer un esprit, séduire et être séduite. A la fin de l'année 2019, j'ai revu cette photographe, Naëlle. On a parlé plus longuement, on s'est rapprochées, lentement, jusqu'à cette nuit où je me suis abandonnée dans ses bras. Je ne l'avais pas revue pendant deux semaines avant qu'elle ne daigne refaire signe. On s'est brouillées, puis elle est revenue vers moi, quelques jours après le jour de l'an pour me déclarer sa flamme. Depuis, on vit une belle histoire, passionnée. C'est la première fois que je ne me lasse pas d'une relation, je dois l'admettre. On prend notre temps avant de s'engager plus sérieusement, d'emménager ensemble avec son chien.
Je voyais mes parents deux fois par an. Pour les fêtes de fin d'année, ils venaient nous voir à New-York. On faisait les magasins de luxe sur la cinquième avenue, des photos devant le sapin du Rockfeller avant de retourner dans l'immeuble qui m'a vue devenir une jeune femme, avec mes sacs Cartier, Chanel et Hermès. Puis l'été, c'est Selena et moi qui quittaient les grandes avenues New-Yorkaises pour la chaleur moite des plages de Copacabana, entourées de jeunes qui jouent au beach soccer comme s'ils étaient Neymar Junior, ou Ronaldo.
Revenir aux USA, c'était comme perdre à chaque fois un petit bout de ce que j'étais au fond. Je revenais dans cette ambiance froide et pressée, où tous les visages qu'on croise ne sont que des inconnus trop pressés pour s'attarder, et trop stressés pour profiter. Chaque jour, je passais devant le même clodo avec son gobelet en métal, qu'il secouait pour avoir quelques pièces. Il était pas si vieux, et son chien était pas si moche. Chaque jour, j'ai vu des dizaines de gens l'ignorer, comme je l'avais fait aussi. Mais je m'y suis attardée, un jour. Ce gars, il avait dix-huit ans, ses parents étaient en taule et son chien, c'était tout ce qui lui restait. Alors chaque jour, je lui donnais un sourire, de la bouffe et de la compagnie. Jusqu'au jour où il n'était plus là. Le froid a eu raison de son pauvre corps frêle et le destin de son cabot entre les mains de la fourrière. C'est comme ça que j'ai voulu militer pour une cause d'égalité. Et j'avais adopté son chien, par la suite.
Je suis tombée amoureuse, deux fois jusqu'à maintenant. La première fois, c'était court mais intense. J'avais seize ans, et cette première marque sur mon coeur portait un nom mélodieux à mes oreilles, à l'époque. Amanda. J'avais eu des histoires, avant elle. Mais c'était différent, basé sur l'attirance. Alors qu'elle, c'était explosif. Elle savait souffler le chaud et le froid, me rendre dingue par un regard, me tuer dans un silence et me redonner vie en effleurant ma peau du bout de ses doigts. Quand je la voyais, mon coeur brûlait, dans mon ventre, des tas de vibrations et dans mes yeux, c'était certainement un éclat de flamme. Mon sourire s'étirait toujours, ses longs cheveux châtains se mouvaient parfaitement dans l'espace. J'étais captivée à chaque fois. Sept mois d'un amour puissant, pur, sensuel. Et du jour au lendemain, ses sentiments s'étaient volatilisés, me laissant seule dans mes draps, avec mes souvenirs pour combler les blancs. Première estampille sentimentale.
En arrivant à Boston, j'ai rencontré un gars, plutôt du genre ténébreux, le regard profond, les bras sécurisants. Il a partagé mon quotidien un an, mais finalement, je me suis lassée. Trop prévisible, trop indécis, trop sérieux. Ses yeux profond se sont transformés en un surplus de bienveillance exacerbée. J'ai jeté son coeur à l'amer passé. J'avais besoin de plus de folie, comme celle que j'avais ressentie avec Amanda. Seconde estampille, bien plus légère que la précédente.
J'aime m'amuser, jouer de mes charmes, faire la fille trop accessible avant de m'éclipser à l'instant même où on croit me saisir. J'aime me sentir insaisissable, désirable, irremplaçable. Marquer un esprit, séduire et être séduite. A la fin de l'année 2019, j'ai revu cette photographe, Naëlle. On a parlé plus longuement, on s'est rapprochées, lentement, jusqu'à cette nuit où je me suis abandonnée dans ses bras. Je ne l'avais pas revue pendant deux semaines avant qu'elle ne daigne refaire signe. On s'est brouillées, puis elle est revenue vers moi, quelques jours après le jour de l'an pour me déclarer sa flamme. Depuis, on vit une belle histoire, passionnée. C'est la première fois que je ne me lasse pas d'une relation, je dois l'admettre. On prend notre temps avant de s'engager plus sérieusement, d'emménager ensemble avec son chien.
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Lien du postVen 15 Nov - 22:56:22
J'adore le choix d'avatar tellement original mon frère a passé une soirée avec elle y a longtemps (ouais info pas super importante mais voilà ça m'y a fait penser MDR)
Rebienvenue à toi
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Rhys AckermanMODÉRATION & DESIGN Élève de l'université Harvard
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Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier.s d'habitation & Colocation : dans un dortoir à harvard
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Études & Métiers : étudiant en troisième année d'undergraduate, option droit + bosse à l'administration d'harvard et revend les réponses des exams
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Lien du postVen 15 Nov - 23:12:29
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“take a deep breath and remember who the fuck you are ”
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Lien du postSam 16 Nov - 0:20:15
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Lien du postSam 16 Nov - 0:20:25
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Lien du postSam 16 Nov - 4:38:04
Rebienvenue, j'adore ton choix d'avatar, c'est la première fois que je la vois jouer, c'est excellent
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Lien du postSam 16 Nov - 7:50:47
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Lien du postSam 16 Nov - 11:51:10
Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche
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Lien du postSam 16 Nov - 11:54:12
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