Je sais. Mais tu savais aussi qu'en me le disant j'allais pas te laisser tranquille.

Mais avec amour !

Je sais

Spoiler:

Je rentre bientôt, tu me manques...

Alyyyyy...

Markus il a un chieeeen...

On peut avoir un chieeeeeen ?    

PJ:

Parce que t'es ma fiancée que j'aime et que je veux que t'aies envie qu'on ait un chien  Et parce qu'on vit ensemble et que quand même faut peut-être que tu sois d'accord

Des fois j'arrive pas à savoir si t'es insultante ou si tu déconnes...


C'est normal que je te demande ton avis sur un choix qui impacte nos vies non ?
Désolé d'avoir essayé de le faire sur un ton qui m'a semblé drôle.


Bref, on en reparlera de vive voix...

ok ok Aly

à ce soir

non ça va,
je serai là

Je vaux mieux que tout le monde même

Ah j'ai compris que tu étais pas la, pas là, mais vas je passe te voir chez moi. Mais je veux pas déranger tu sais ^^

Par message donc... la pire des lâchetés.

Que tu ne m’aimes pas, ne m’ai jamais aimé, c’est une chose. Je peux l’entendre. Elle m’arrache le coeur... mais je peux l’entendre. Mais que tu n’aies même pas le culot de me dire ces choses en face... le culot, non, le respect. Le plus infime petit respect...

De me faire miroiter un avenir de mariage, d’enfants, de maison... tout ce sur quoi j’avais fait une croix depuis 25 ans... tu prends le temps de faire renaître tout ça en moi pour finalement tout m’arracher comme le monstre d’égoïsme que tu es. Tu n’es même pas le diable, parce que le diable a un code, toi... tu respectes rien.

Dire que j’ai failli crever pour tes beaux yeux, parce que je voulais te dire que je t’aimais, je suis allée me foutre sous un 4x4 pour ça...

Tout ça avait beau être faux pour toi, pour moi c’était vrai. Je t’ai crue. Tes mots, tes caresses, tes promesses, j’y ai cru. En ignorant mes instincts. Ça n’arrivera plus jamais.

Et ne me parle pas de ma bonté ou de mission sacrée, ces mots se transforment en cendres dans ta bouche. Toute façon tout ce qui sort de toi est déjà mort... C’est drôle, Katja lisait dans la paume de ma main que notre bébé allait être un magnifique petit garçon brun aux yeux bleus... après les dix coups de couteaux que je viens d’y tailler dans ma paume, je pense qu’elle y lira la même vérité que ce que tu vas réaliser : un tas de lambeaux ensanglantés. Merci de m’arracher ça aussi.

Je repasserai pas chez toi t’en fais pas. Ou alors quand j’aurai récupéré toutes mes capacités physiques et là je peux te dire, tu le reconnaîtras pas ton appart. Garde mes affaires, crame les, j’en sais rien, je veux plus rien voir.

J’espère que tu réussiras à te convaincre que tu fais ça pour mon bien à moi ou pour celui du bébé comme tu dis, pour nous protéger de ta destruction... parce que tes plus gros mensonges, c’est à toi-même que tu les sers.