Ce petit numéro, je l’apprécie, parce que finalement, il fonctionne et je sais que je vais pouvoir arriver à mes fins. Mais çà ne semble pas vraiment compliqué finalement. Il faut dire qu’il y a toujours cette espèce de tension sexuelle entre nous, depuis que l’on se connait toi et moi. Elle n’était qu’infime au tout début pour finalement grossir de rencontres en rencontres. Je ne passe jamais par quatre chemins, mais là, ce petit stratagème m’a vraiment excitée, beaucoup plus que je ne l’aurais pensé d’ailleurs. Alors je t’embrasse, passionnément, laissant ma langue rencontrer la tienne, laissant cette tension sexuelle omniprésente prendre possession de la pièce, de nous, mais finalement, je t’abandonne pour aller m’installer sur le canapé. Te laissant là, alors que ce n’est pas l’envie qui manque, sois en certain Riley. Je te regarde, te souris, et reste tranquillement sur le canapé. Ce soir, ce n’est pas un mec que j’ai envie que tu frappes, ce soir, j’ai envie que tu en profites, que tu passes un bon moment avec moi, et qu’on en profite tous les deux. En revoir les tensions, en revoir le quotidien et toutes ces choses de omniprésentes dans notre quotidien. Tu me demandes ce que je veux, et je te réponds du tac au tac mais tu ne sembles même pas surpris. Je te souris, ce petit sourire en coin, coquin, rempli d’envie alors que tu commences à te redresser et que tu ramènes ma main pour retirer ton tee-shirt. Je me mords la lèvre une fois que t’es torse nu face à moi. Oui, t’es vraiment canon, t’es beau, et tu me donne plus qu’envie de m’amuser ce soir. Je sens tes mains sous ma robe et je me cambre pour que tu puisses me retirer la robe. Mais nous ne sommes plus du tout à égalité, je suis en sous-vêtements et toi tu portes encore ton pantalon. Je me lève finalement pour être à ta hauteur. c’est pas vraiment juste pour l’instant je te fais un clin d’oeil et passe ma main sur la boucle de ta ceinture pour la retirer. Mes yeux ne quittent pas les tiens et j’enlève finalement la ceinture pour la jeter par terre et déboutonner à présent les boutons. je commence à y voir plus clair d’un coup

bon et bien let's go! d'une petite bagarre je pars finalement sur une belle partie de jambes en l'air car autant le dire hein, j'pense que ça risque d'être torride. parce que la apple elle a ce truc un peu à part, elle a ce côté félin et cette façon de me chercher sans vraiment le faire m'voyez? moi j'me comprends en tout cas. elle m'abandonne contre la porte pour mieux que je la suive jusqu'au canapé, clairement le genre de petit jeu sexy qui me laisse pas indifférent on va pas se mentir. et moi je saute dedans à pieds joints. je prends même les devant en la déshabillant alors qu'elle vient réclamer égalité des tenues et je souris en coin à la regarder faire "bien vas-y... remet la balle au centre." que je la provoque. et elle détache ma ceinture pour la jeter au sol pour ensuite s'attaquer au bouton de mon jean "et la vue te plait..?" que je demande de cette voix qui veut tout dire "moi j'adore la vue en tout cas..." glissant à nouveau mes mains sur sa peau douce "j'aime aussi beaucoup la sensation sous mes doigts..." et je viens embrasser son épaule, son cou pour remonter à ses lèvres. j'aime aussi le gout on va pas se mentir. glissant mes doigts jusque son bas ventre pour allumer le feu de quelques caresses.

Je ne cherche plus à comprendre. Je t’ai fais mon petit scénario, je t’ai fais venir jusqu’ici et maintenant, je vais pouvoir te montrer que je chauffe un peu trop en ce moment. En même temps, tu ne diras pas le contraire, tu l’as bien senti cette connexion entre nous, ce désir qui augmentait à chaque fois qu’on se rencontrait. Alors je ne perds plus de temps, je n’ai plus envie de passer par quatre chemins et d’ordinaire, je ne passe jamais par quatre chemin mais t’es flic, et c’était plutôt sympathique de pouvoir inventer ce petit scénario. T’es venu, c’est tout ce qui importe et tu ne sembles pas être en colère, au contraire. T’es même plutôt content au final, et crois moi que je vais pas te faire regretter d’être venu me retrouver. On va pas se mentir, depuis qu’on s’est rencontré, tu ne me laisses pas indifférente, t’es canon, et je veux vraiment voir ce que tu as en dessous le tee-shirt parce que je crois bien que je ne serai absolument pas déçue d’avoir voulu te retirer ce tee-shirt. Tu me déshabille, je vois que t’es vraiment dans le truc, mais je veux pas rester comme ça. Toi aussi faut que je t’enlève toutes les couches que t’as en trop. Je détache ta ceinture, qui fini rapidement au sol, les boutons sautent un par un et voilà que tu te retrouve en caleçon pour mon plus grand plaisir c’est pas encore assez pour que je sois vraiment contente tu vois mes prunelles bloquées dans les tiennes tu fini par laisser tes mains se balader sur ma peau. Je réponds à ton baiser, ma langue retrouvant la tienne alors que je te sens vagabonder pour finir ta route plus bas. je croyais que c’était moi qui prenait les rennes ? que je te demande avec un petit sourire avant de venir reposer mes lèvres sur les tiennes. Non pas que çà me déplaise.

bon et bah de la seconde on passe à la sixième là en fait. d'un petit scénario voilà qu'on se roule des pelles comme des bêtes sauvages. direction le canapé et voilà qu'on se déshabille rapido. je prends les devants, je la fou presque à poil avant qu'elle n'en fasse autant avec moi. je commence à balader mes mains jusqu'à son bas ventre, sous le bout de tissu qu'il lui reste mais ça semble qu'à moitié la satisfaire "ah oui..? alors enchaine." que je lui dis pour la mettre au défi de se satisfaire à fond. et là elle se plain même de ne pas maitriser la situation et je souris en coin "tu veux les prendre? alors fais le vraiment sinon je les garderais." que je lui dis sûr de moi. tirant sur sa culotte pour la lui retirer au passage détachant son soutien gorge dans la foulée car ouais, il a plus rien à faire là lui finalement. la voilà complètement nue et donc complètement canon putain.