Kaze FaulknerMODÉRATION & DESIGNI don’t wanna be you anymore
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Pseudo & pronom IRL
Informations
Âge : 33
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier.s d'habitation & Colocation : south boston
Situation sentimentale : célibataire, veuf. pas la foi de retrouver quelqu'un. se contente de quelques nuits par ci par là
Études & Métiers : officier de police dans l'unité spéciale pour les victimes
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & pronom IRL : dark dreams. (she/her)
Icon :
Avatar utilisé : max irons.
Crédits : bambieyestuff@tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description un :
kaze faulkner widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in special victim unit of the boston police department
pluson ☾ looking for answers and redemption w/ Louison ma chewie — Boston, Janvier 2019 J'étais pas le petit ami idéal, je le sais. C'était juste que des fois, le sérieux me faisait peur et je savais que je pouvais tout faire foirer. J'étais heureux avec elle, j'étais totalement fou d'elle et je souhaitais que son bonheur, pour de vrai. Mais je savais que j'avais une capacité impressionnante à tout foutre en l'air comme ça, en un claquement de doigts. Et c'était ce que je redoutais des fois. J'avais réussi à tout foutre en l'air avec mes exs... Je soupirais, effaçant toutes ces pensées un peu trop malsaine hors de mon esprit. Je ne voulais pas cogiter un peu trop, ça risquerait de l'inquiéter et c'était pas du tout ce que je souhaitais, au contraire. « Ouais, sinon elle aurait pas pu me mettre au monde, moi, le merveilleux Westerberg, quatrième du nom » Je forçais le sourire histoire de la faire rire, même si c'était plus pour cette histoire de France au dessus du reste qu'elle disait ça initialement. Et puis après s'être retrouvés devant plusieurs voitures, elle finissait par m'énoncer cette idée qui semblait cogiter dans son esprit depuis les attentats. Seulement, je n'étais pas certain que ce soit l'idée du siècle. « Les autres sont pas nous. Tu connais notre malchance légendaire. Autant toi que moi hein. » Mais je crois que l'idée avait un peu trop germé chez elle et c'était trop tard. Elle se voyait déjà tout me léguer et j'étais juste un peu trop surpris pour pouvoir assimiler tout ça correctement. Me pinçant les lèvres, j'entendais en même temps des plans qu'elle avait pour nous, sans que je ne sois au courant vu qu'elle les énonçait pour la première fois maintenant. « Paris... » Son appartement à elle, là-bas ? C'était dingue mais ça me plaisait. « T'es complètement folle, tu le sais ça ? » que je disais, capturant son visage entre mes mains avant de coller mon front au sien. « T'es complètement folle mais je t'aime comme ça » Et c'était une façon de dire que j'acceptais tout ça, sans pour autant admettre que j'allais moi-même faire un testament. Je suis certain que si j'en fais un, il m'arrive un truc en sortant de chez le notaire.
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J'étais pas le petit ami idéal, je le sais. C'était juste que des fois, le sérieux me faisait peur et je savais que je pouvais tout faire foirer. J'étais heureux avec elle, j'étais totalement fou d'elle et je souhaitais que son bonheur, pour de vrai. Mais je savais que j'avais une capacité impressionnante à tout foutre en l'air comme ça, en un claquement de doigts. Et c'était ce que je redoutais des fois. J'avais réussi à tout foutre en l'air avec mes exs... Je soupirais, effaçant toutes ces pensées un peu trop malsaine hors de mon esprit. Je ne voulais pas cogiter un peu trop, ça risquerait de l'inquiéter et c'était pas du tout ce que je souhaitais, au contraire. « Ouais, sinon elle aurait pas pu me mettre au monde, moi, le merveilleux Westerberg, quatrième du nom » Je forçais le sourire histoire de la faire rire, même si c'était plus pour cette histoire de France au dessus du reste qu'elle disait ça initialement. Et puis après s'être retrouvés devant plusieurs voitures, elle finissait par m'énoncer cette idée qui semblait cogiter dans son esprit depuis les attentats. Seulement, je n'étais pas certain que ce soit l'idée du siècle. « Les autres sont pas nous. Tu connais notre malchance légendaire. Autant toi que moi hein. » Mais je crois que l'idée avait un peu trop germé chez elle et c'était trop tard. Elle se voyait déjà tout me léguer et j'étais juste un peu trop surpris pour pouvoir assimiler tout ça correctement. Me pinçant les lèvres, j'entendais en même temps des plans qu'elle avait pour nous, sans que je ne sois au courant vu qu'elle les énonçait pour la première fois maintenant. « Paris... » Son appartement à elle, là-bas ? C'était dingue mais ça me plaisait. « T'es complètement folle, tu le sais ça ? » que je disais, capturant son visage entre mes mains avant de coller mon front au sien. « T'es complètement folle mais je t'aime comme ça » Et c'était une façon de dire que j'acceptais tout ça, sans pour autant admettre que j'allais moi-même faire un testament. Je suis certain que si j'en fais un, il m'arrive un truc en sortant de chez le notaire.
