feat. Katie Cassidy
- 6 juin 1993
- Séville, en Espagne
- 25 ans
- Franco-espagnole
- Hétérosexuelle
- Célibataire
- Classe sociale très aisée
- Droit
- Relations internationales
- Serveuse au Mike's Pastries
- NON BOURSIER
La Cabot House… Maison de prédilection d'Amélia. Malgré les brimades de ses parents, qui voulaient impérativement qu'elle intègre l'Eliot House, elle n'en fit qu'à sa tête et choisit la célèbre sororité. D'un tempérament élitiste, Amélia n'en reste pas moins une jeune femme loyale et très protectrice envers ses proches. Deux traits de caractères correspondant parfaitement à la Cabot House. Malgré qu'elle soit superficielle (c'est d'ailleurs un des premiers traits de caractère qu'on retient d'elle), elle n'en reste pas moins studieuse et très rationnelle. Elle sait à la fois s'amuser, être une personne totalement délurée et extravertie, mettant tous les hommes à ses pieds, qu'être calme, posée et réfléchie. Ses sœurs auront sûrement un peu de peine à la cerner mais elles sauront qu'elles peuvent toujours compter sur Amélia.
Maison presque imposée par ses parents car en ayant fait partie, l'Eliot House aurait dû être son premier choix. Ayant été éduquée dans une famille très élitiste, Amélia a toujours cru vouloir intégrer cette confrérie. Arrogante jusqu'au bout des ongles, obtenant toujours ce qu'elle veut et portant un nom reconnu dans les hautes sphères, elle aurait parfaitement sa place à la Eliot House. Toutefois, elle espère intégrer la Cabot House, aussi bien pour narguer ses parents que pour leur prouver que son caractère, elle l'a hérité d'eux et que, par extension, ce serait de leur faute si elle obtenait ce qu'elle voulait.
FrancheManipulatriceSéductriceLoyaleArroganteStudieuse
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8439]☆[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t91276-f-when-the-past-comes-calling]☆[/url] <span class="pris">KATIE CASSIDY</span> • “ Amélia González ”[/size]
please tell us more
J’imagine que vous devez en lire, des lettres de motivation d’étudiants du monde entier. Vous êtes sûrement blasée, épuisée, voire dubitative devant ces lectures. Combien de dissertations avez-vous lues au cours de votre carrière ? Des milliers, j’en suis certaine. En quoi la mienne, future étudiante franco-espagnole et majore de sa promotion, serez-elle différente ? Car oui, je vous prédis déjà l’avenir, je serai majore de ma promotion en droit et relations internationales. Je vais répondre à votre question au cours de ce récit.
Mes parents m’ont toujours poussée à me surpasser, à donner le meilleur de moi-même, à avoir les meilleures notes et surtout, à me constituer un cercle de personnalités digne de confiance. Mes parents ont eux-mêmes étudié dans votre prestigieuse université mais je tairai leur nom car vous aurez très certainement deviné qui ils sont en voyant mon nom sur le formulaire. Dans la logique des choses, ils m’ont préparée toute mon enfance à ce jour tant attendu. Selon eux, rien ne devait me dévier de ma voie. Mon enfance se passa sans encombre et j’obéissais sagement à mes géniteurs. Mais, vous vous en doutez très certainement, mon adolescence ne se déroula pas sans encombre. Ce que je vais vous raconter pourrait vous paraître sans intérêt, digne d’un roman à l’eau de rose complètement raté. Peut-être que vous vous moquerez et vous direz que c’est la meilleure lettre de motivation ratée de votre carrière, qu’importe. De toute façon, j’ai à présent éveillé votre curiosité et vous allez poursuivre votre lecture.
Comme beaucoup d’enfants, j’ai eu des amitiés plus ou moins sérieuses et durables. L’une d’entre elles m’a particulièrement touchée et surtout brisée. Encore aujourd’hui, je souhaite ne jamais avoir rencontré ce petit garçon avec qui j’ai passé les meilleurs moments de ma vie. Il s’appelle (ou s’appelait car j’ignore s’il est mort à l’heure actuelle) Antonio. Nous avons pratiquement grandi ensemble, toujours collés l’un à l’autre (au sens figuré, je vous rassure). Nos parents désespéraient souvent lorsque nous faisions nos bêtises ensemble. Et puis nous avons grandi et perdu notre innocence. Je ne vais pas vous faire un dessin mais il fut mon premier amour. Non, qu’est-ce que je raconte ? Il fut mon seul et unique amour. Tous les jours, j’hésitais à lui dévoiler mes sentiments, craignant de perdre mon meilleur ami, ma moitié, mon coup de foudre amical. Je n’aurais pas supporté qu’il me tourne le dos et que notre amitié soit brisée par ma faute. Alors j’ai attendu, des mois durant, jusqu’au jour où il disparut de la circulation. Adieu, Antonio. Pas une lettre, ni un message. J’attends toujours un signe de sa part.
En quittant Séville sans me prévenir, il m’a complètement brisée. J’utiliserais bien de mots pas très charitables à son égard, mais je m’adresse à la Doyenne d’Harvard alors je resterais polie. Etant également une femme, vous devez certainement comprendre ce que j’ai ressenti. Ou pas, qu’est-ce que je raconte encore, moi ? Quoi qu’il en soit, j’aurais préféré briser notre amitié en avouant mes sentiments que d’être abandonnée ainsi. Trahie, voilà ce qu’il m’a fait. Mon cœur et mon orgueil ont en pris un sacré coup ! Déjà que les seuls gestes de tendresse de mes parents étaient de remplir mon compte en banque ou de m’offrir tout ce que je voulais. Et je les avais testés à de nombreuses reprises : je pouvais leur demander tout ce que je voulais, je l’obtenais toujours. Vous ne le direz à personne, mais je n’avais que faire de tous ces biens matériels et immatériels. Tout ce que je voulais, moi, c’était leur attention et leur affection. Alors quand Antonio est parti, je me suis retrouvée seule. J’avais perdu la seule personne qui s’intéressait réellement à moi, pour ce que j’étais. Avec lui, j’étais vraie, sans filtre. Depuis, je ne suis qu’une coquille vide qui a besoin d’être remplie. Et vous, chère Doyenne, avez le pouvoir de m’aider en m’acceptant à Harvard.
Même si mes parents m’ont toujours préparée à cette rentrée universitaire, j’ai néanmoins obtenu les meilleures notes depuis aussi loin que je m’en souvienne. Mon dossier scolaire est irréprochable et j’ai terminé le lycée majore de ma promotion. De plus, j’ai fait partie de plusieurs associations et club d’étudiants de mes écoles. Je me considère donc être une candidate répondant à tous vos critères de sélection. Il ne vous reste qu’une chose à faire : me convoquer à un entretien car j’ai encore plein de choses à vous dire concernant mon avenir.
IMOGEN BLUM
can buy myself flowers
talk to myself for hours
Caractère d'une enfant que l'on a façonné dans le fer. Imogen ne laisse rien au hasard, tout comme elle ne laisse rien transparaître de sa vie ou de ses émotions. Jamais en danger, jamais en dehors des sentiers battus. La jeune femme, n'ayant connue que cela, préfère se contraindre à ce qu'elle est plutôt qu'à s'imaginer en rebelle. De toute façon, elle n'aurait aucune idée de comment faire pour entamer une révolution.
Ses journées sont indéniablement occupées par ses études et l'entreprise familiale. C'est le cœur de ses conversations quand elle côtoie sa famille. Chacune de ses journées commence tôt, pas une séance de yoga, de méditation ou même de footing. Quand elle sort, ce sont souvent dans des lieux chics. Elle aime particulièrement faire les magasins - toujours dans des boutiques luxueuses. Elle est souvent chez elle quand elle n'est pas sur le campus. Bien qu'elle pose pour des cours de dessin de nu, elle ne pratique pas. Néanmoins, elle apprécie une visite au musée de temps en temps.
i'm not that innocent ••
kaiden winston ran away from home at 16 former homeless · single rich · philanthropist · kind boxing to handle his anger |
- winspoon:
— 03 RPs › 05/05 → 12/05
@Savannah Dawson-Reed Je sens que notre lien va être génial .
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