JAGA, you and i and nobody else ❀ et je te trouve culotté après tout ce temps de revenir comme ça. de croire que tu pourrais aisément me récupérer comme si j’allais faire abstraction de tout le passé. c’est facile pour toi de passer au dessus vu que les tords sont sur toi. moi, par contre, j’oublie pas. j’oublie pas que tu m’as brisé le coeur, que tu t’es tiré comme un lâche et je crois sincèrement que tu n’as pas le droit de revenir après tout ce temps comme si c’était rien. « je comprends que tu sois désolé. le souci c’est que ça change quand même rien. » et même si en soit je pouvais pardonner, ça ne voulait clairement pas dire que j’allais oublier alors en soit, on était toujours bloqué dans une situation où j’étais juste incapable de faire abstraction du passé. « il s’appelle elliot. et c’est quelqu’un de très bien. » quelqu’un avec qui j’aimais beaucoup passer du temps. alors ouais, en soit, ça pouvait être elliot. et encore une fois, il brisait l’espace que je tentais de mettre entre lui et moi arrivant cette fois avec des affirmations. « non. » j’avais la voix qui tremblait un peu, pourtant, je continuais à lui faire face. « tu étais l’amour de ma vie. tu fais maintenant partie de mon passé. alors non ! tu ne prends pas quand tu veux et moi, je ne veux plus de toi. » un point c’est tout. « j’ai plus besoin de toi. j’ai plus envie de toi. » et c’était juste comme ça. fin de l’histoire.

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{ you and i and nobody else }
crédit/ tumblr ✰ w/jaga

Ce que je souhaitais le plus au monde, c’était de l’avoir de nouveau pour moi. Et en fait, si elle venait à fréquenter d’autres mecs sous mes yeux, ça allait me rendre totalement fou. Surtout qu’elle était sur le même palier que moi, alors j’allais pouvoir voir les aller-retours de ce fameux gars de la soirée qui me donnait juste envie de vomir. « À quoi cette conversation a servi si ça sert à rien alors ? » C’était la question que je me posais finalement et pas sûr qu’elle me réponde ce que je veuille entendre. Alors ouais, ça me frustrait pas mal au final d’avoir fait tout ça avec elle parce qu’on avançait pas. Pire, on reculait. « Oui bien sûr » Quelqu’un de très bien, je n’étais pas sûr que ça puisse exister dans le fond, on avait tous une part de noirceur en nous, surtout les mecs et j’avais pas envie qu’il lui arrive quoique ce soit à cause de ce mec. Seulement, j’avais beau affirmer des trucs, elle me remballait. Je n’étais donc plus l’amour de sa vie ? Ça dénotait pas mal de ma vision des choses où elle, elle était toujours le mien. « D’accord » finissais-je alors par dire, le visage se refermant, m’éloignant alors d’elle. « T’as raison, t’as plus rien à faire ici » Et je n’avais plus rien à faire dans sa vie. Qu’elle tourne la page oui. J’allais en faire de même. Mine de rien, ça me bousillait pas mal la vie. Qu’elle se fasse troncher par son “Elliot” ou par Mael tiens, j’en ai plus rien à foutre.

JAGA, you and i and nobody else ❀ peut être que je me mentais à moi même. peut être que je n’avais juste pas envie de voir à quel point j’étais toujours dingue de toi. sûrement que j’avais trop peur de souffrir encore si jamais je le faisais et c’était pour cette raison que je mettais tout en oeuvre pour te repousser. parce que tu m’avais brisé le coeur jaxon et je crois que j’étais tout simplement pas prête à te le donner une nouvelle fois. t’avais pas changé, tu m’avais pas montré une seule fois que tu l’avais fait. ton comportement à l’anniversaire de cette fille, toi et elle dans cette piscine.. c’était la preuve que t’évoluais pas. alors je refusais de te donner une chance. je refusais de faire cet effort là si c’était pour que tu te comportes exactement comme avant. et je crois sincèrement dans tout ça que t’étais plus bloqué dans une histoire de possessivité que d’amour. tu voulais que je t’appartiennes mais tu voulais toujours ta liberté à côté et ça, j’allais pas te le donner. alors à quoi bon ? y avait aucun sens. « à mettre un terme à tout ça. sois un adulte jaxon. » mais j’avais du toucher en plein mille puisque pour la première fois, c’était toi qui mettait de la distance entre nous et moi, j’haussais juste les épaules, l’air de rien. « ouais. » alors je tournais juste les talons ouvrant la porte d’entrée pour sortir de ton appartement. et j’crois bien que cette fois, c’était réellement la fin.