T'as vite besoin d'sortir d'ici, y'a trop de tensions et cette histoire va mal finir, t'en es certaine. Les esprits s'échauffent rapidement, à commencer par toi, t'es sur les nerfs parce que tu t'fais du mouron pour Louison. Elle est enceinte bordel, s'il lui arrive quelque chose, tu n'te le pardonneras jamais. Mais t'es rassurée quand Gypsy accepte de sortir d'ici, c'que vous faites rapidement avant que la tempête ne vous tombe dessus, enfin que les embrouilles ne commencent quoi.
Une fois dehors t'as difficilement du mal à garder les yeux ouverts "Ouais...bonne idée, on s'capte plus tard." Tu lui fais vite fait la bise, le cœur serré, avant d'te diriger vers le bâtiment de ta confrérie.
@Gypsy Burberry

OUT

A croire que cette situation me stressait plus que je ne le pensais, puisque j'avais soudainement très chaud. Genre, vraiment très chaud. Malaise vagal-très chaud. "Je... J'reviens." lâchais-je à mon entourage avant de déguerpir dans un couloir un peu plus loin. Putain, ressaisis-toi, Elliot. T'as pas bu tant que ça, qu'est-ce que tu nous fais là? Je laissais mon dos glisser le long du mur jusqu'à terminer assis sur le sol froid. Ouais, ça, ça fait du bien... Je cale ma tête contre le mur derrière moi, prends de profondes inspirations, et ferme les yeux. Grosse erreur.

Je m'apprêtais à prendre un autre verre, mais j'avais la tête qui tournait tellement; que je préférais ne pas en reprendre un, je ne comprenais vraiment pas ce qu'il m'arrivait, quelque chose clochait. Quelques minutes après avoir vu deux trois personnes, je me sentis tomber par terre, c'était le noir complet. Je me réveillai quelques heures plus tard, huit heures exactement, avec très peu de souvenirs de la veille. Les personnes autour de moi criaient, cherchaient des personnes...J'avais mal à la tête, j'étais perdue, mais qu'est ce que je faisais là... encore un peu dans les vapes, je sortis alors de la salle.

OUT

Comme bon nombre des gens présent, je m’étais écrouler comme une quiche sur le sol, le sommeil m’avais gagné, le lendemain matin, je fini par me réveiller, je lève les yeux, m’assoie et grommelle de douleur. Mais putain qui est l’abruti qui a mis un marteau piqueur dans ma tête. Je me masse les tempes, essayant de virer ce mal de crâne qui venais de me foudroyer dès le réveil. Je jette un regard autour de moi, mais putain je fou quoi dans le gymnase ? Je n’ai pas été en état de rentrée et je suis resté là ? Impossible mon cousin m’aurait ramené vus qu’il ne tourner pas à l’alcool. Je lance mon regard à travers la pièce, mais je ne trouve pas Ezio. Là je comprends pas, il n’y a pas Louison non plus. Putain ils sont rentrés et m’on laisser ici ? Je soupire, je vois que Lenny est encore dans le pays des rêves, mais merde en réalité on est nombreux à s’être écroulé ici ou quoi ? Et où sont les autres ? Affolé je me traine jusqu’à mon ami. « Len, putain aller Len débout réveil toi ! » Je le secoue un peu, avec ma petite fore de moucheron. Je fronce les souris et envois un petit coup de poing amical dans son épaule. « LENNY, aller réveil toi ! » Je soupire, cherchant une nouvelle fois mon cousin et sa copine, mais non toujours pas, je ne les vois pas.

La jeune femme (Gypsy) me confiais que les femmes étaient surement pire que la gente masculine et ce moment, je dois bien avouer que je suis de son avis... Elle s'en était allée pour aller à la rencontre d'une autre demoiselle quand je retournais en ce qui me concerne au bar où j'aperçus à ma place une demoiselle que je croisais souvent dernièrement, l'intrigante Rain. " Tu sais que tu viens de me piquer m...". C'est moi ou le gymnase est en train de tourner ? Je lâchais mon verre qui vint se déverser sur le parquet et tentais de me raccrochais au bar alors que mes jambes ne pouvait plus me porter. Je luttais, en vain, tandis que progressivement, je plongeais dans l'obscurité.