Voilà les vacances d'été étaient enfin là et Capucine n'en était plus qu'heureuse. À peine arrivée à l'aéroport de Londres, elle avait presque agressée son père pour pouvoir conduire la voiture jusqu'à la maison malgré la fatigue. L'excitation était palpable chez l'anglaise. Elle adorait revenir dans sa ville natale et avait envie d'aller vadrouiller déjà. Mais il ne lui faudrait pas longtemps une fois à la maison pour qu'elle tombe de sommeil. La brune avait quitté la voiture comme une flèche pour aller attraper sa valise alors que sa mère était sur le pas de la porte, le sourire aux lèvres. Courant dans l'allée, Capucine sauta presque dans les bras de sa mère pour lui embrasser la joue tandis que Rags les bouscula les deux pour entrer dans la maison et aller renifler cet endroit qu'il connaissait si bien. « Et bien, il ne dit plus bonjour ce chien ?? » S'exclama Margaret en fronçant le nez avant de sourire en voyant Isaiha arriver. Elle lui embrassa la joue, glissant une main dans son dos. « Alors, vous avez fait bon voyage tous les deux ? » Demanda t-elle en se tournant vers sa fille qui n'était déjà plus là. Capucine en avait profité pour s'engouffrer dans la maison pour aller poser sa valise dans sa chambre. Arthur arriva derrière Isaiha et Margaret, grommelant. « Bon, on va pas passer la journée sur le pas de la porte quand même ?! Dégagez le passage que je rentre cette foutue caisse. » Non pas qu'il était énervé mais il avait toujours été bourru et grossier. Il n'y avait plus à se demander d'où venait le caractère de Capucine. La brune montra son joli minois, bloquant alors le passage à son père qui râla. Ce qui fit râler Capucine et une bataille s'enclencha entre la fille et le père. Margaret soupira doucement avant de regarder Isaiha. « Et on me demande pourquoi je n'ai eu qu'un enfant... Aller entre mon grand avant qu'on ne nous laisse moisir dehors ! » Clama t-elle en l'invitant à entrer dans la maison une fois le passage dégagé.

Capucine rejoignit Isaiha dans la chambre, du gâteau au chocolat plein la bouche. Elle lui en fourra un gros morceau entre les lèvres sans rien lui demander et sourit. « Tu as soif chéri ? » Demanda t-elle en lui prenant doucement la main, l'emmenant au salon. « Tu veux que je fasse du thé ou tu préfères un truc plus frais ? » Arthur était déjà installé dans son fauteuil, la pipe entre les lèvres. Il observait le couple sans rien dire, analysant probablement Isaiha en se demandant à quelle sauce il le mangerait. Capucine embrassa son amoureux. « Je reviens vite ! » Et fila en cuisine pour rejoindre sa mère. Arthur gratta légèrement sa barbe d'un air songeur, fixant Isaiha. « Alors, l'avion ce n'est pas trop pénible ? Et le décalage horaire ? D'ailleurs, Capucine nous a dit que tu comptais changer de voie pour la rentrée ? Elle a dit... » Il plissa les yeux comme pour essayer de se rappeler de quoi avait parler sa fille. « Architecture je crois, c'est ça ? » Son ton était neutre, posé. Il était relativement calme, comme s'il s'intéressait réellement à Isaiha. « Et que tu as emménage chez elle... » Même s'il était calme, on sentait bien qu'il était prêt à tuer sans réfléchir si jamais sa fille montrait le moindre signe de souffrance, causée par un tiers. Et ce tiers, actuellement, c'était Isaiha.

@Isaiha J. Buchanan

Margaret était contente que Isaiha lui réponde parce que Capucine avait déjà pris la poudre d'escampette. Arthur déclina l'offre de Isaiha en secouant son visage. Il valait mieux ne pas insister avec lui. Madame Vickers agita la main pour signaler à Isaiha de laisser tomber puis se pencha pour regarder dans la caisse. « Oh, tu as amené Texas !! » Oui, Capucine parlait beaucoup avec sa mère. La brune n'avait pas cesser de faire des éloges concernant Isaiha auprès de sa mère. Et bien sur, elle n'avait pas manqué de parler de Texas à ses parents. Son père n'était ps très chat, il préférait largement les chiens. Alors que père et fille s'enguirlandaient mutuellement en restant plantés devant l'entrée, Margaret soupira doucement avant de sourire à Isaiha. Elle hocha la tête. « Tu as bien raison !! Mais l'amour te rend aveugle ! Elle est insupportable par moment !! » Souffla t-elle en désignant la bagarre de la main avant de rire. Une fois le passage libre, Margaret invita Isaiha à entrer dans la maison.

Capucine s'empressa de s'inquiéter de son amoureux. Après tout, même s'il connaissait la maison et la famille, il n'était pas dans un lieu où il avait encore ses habitudes. Et puis, avec le décalage horaire, il pouvait être perdu. Elle l'embrassa tendrement avant de l'abandonner dans le salon avec son père, aidant sa mère à faire du thé. Capucine était en train de manger -pour changer- tout en écoutant la conversation entre son père et Isaiha, prête à intervenir si jamais Arthur allait trop loin. Arthur massa doucement sa barbe, songeur. « Architecture... Mmmh... Tu veux ouvrir ton cabinet plus tard ? » Il tira doucement sur sa pipe avant de recracher la fumée, grimaçant légèrement en voyant le chat pénétrer dans le salon. « Interdiction de faire les griffes sur le canapé toi !! » Puis il leva les yeux vers Isaiha. « Ce qu'il se passe entre Capucine et toi, ne regarde que vous. Si elle a décidé de vivre avec toi, c'est pour une bonne raison ! Vous vous arrangez entre vous, je ne veux rien savoir. Mais méfie toi. C'est mon seul enfant. Ma seule fille... » Il se tordit légèrement le cou pour vérifier que personne n'écoutait. Il n'avait pas réellement envie que la suite parvienne aux oreilles de sa fille. Il se pencha vers Isaiha. « Honnêtement, je n'aimais pas beaucoup Jorah. Quand ils venaient ici, ils se disputaient souvent et j'ai souvent eu envie de l'étrangler... Mais de ce que je sais, c'est que Capucine est heureuse avec toi. Même si je reste méfiant, je fais confiance à ma fille. Si tu as besoin de quoi que ce soit, dis le moi... » Souffla t-il avant de sourire, se redressant d'un coup quand Capucine et Margaret entrèrent dans le salon. Capucine posa du thé glacé sur la table et s'installa contre Isaiha alors que sa mère posa des biscuits au chocolat. Capucine continuait de manger avec appétit. « Alors, vous parliez de quoi ? » Arthur fit mine d'être totalement normal. « Hum, de rien de spécial. De ses études ! Les tiennes se passent bien ? » Margaret observa son mari. « Laisse les tranquille avec ça, ils viennent d'arriver !! » Elle posa son regard sur Isaiha. « Alors, comme ça, Capucine a décidé de te faire découvrir la France ? » Elle avait un regard doux, aimant, presque maternel. Elle lui glissa un verre de thé glacé dans la main et un biscuit dans l'autre. « En tout cas, il paraît que tu cuisines très bien !! Il n'y a qu'à voir Capucine !! Elle a bien meilleure mine qu'avant de te rencontrer !! » Ce qui n'était pas faux du tout. Capucine sourit doucement, caressant la main de Isaiha. « Le meilleur cuisinier. Après toi maman ! »

Arthur écoutait attentivement Isaiha, se frottant doucement la barbe. Isaiha avait de beaux projets quand même et il espérait que ça continuerait longtemps. Il remarquait bien que sa fille était heureuse. Il n'y avait qu'à voir le sourire heureux de Capucine des qu'elle se trouvait en présence de Isaiha. Doucement, l'homme pinça les lèvres, observant le Lowell. « Je vois... C'est un beau projet que tu as là. D'ailleurs, si jamais vous vous installez à Londres après vos études, je pourrais te mettre en relation avec un ami à moi, qui a étudié à Harvard aussi. Il a un cabinet d'architecte extrêmement réputé et il pourra sûrement te prendre pour débuter ! » Après tout, s'il pouvait faire jouer ses relations pour aider son beau-fils, pourquoi ne le ferait il pas ? D'après ce que Capucine lui avait dit, Isaiha était du genre à s'impliquer à fond dans ce qu'il faisait. « Il pourra te conseiller si tu ouvres ton propre cabinet et tu pourras te faire ton propre nom grâce à lui ! » Tout comme pour sa fille, il espérait pouvoir réserver une ace de choix à Isaiha pour entrer dans la vie active. L'hôpital où il travaillait depuis des années avec sa femme attendait patiemment que Capucine termine ses études pour qu'elle rejoigne son futur post. La morgue de l'hôpital était très active malheureusement et Capucine savait déjà qu'elle y serait bien. La renommé de ses parents jouait un peu mais Capucine travaillait dur quand même pour avoir son diplôme. Elle voulait avoir les meilleurs résultats. Arthur parla brièvement de Jorah. « Je ne doute pas de toi. Je me fie à ma fille pour ça... Et de ce que j'en vois... Tu es bénéfique pour elle. » Puis Arthur se tut, pinçant les lèvres alors que Capucine et Margaret entraient dans la pièce.

Collée contre Isaiha, Capucine souriait tendrement en l'admirant avec amour. Il était bavard avec ses parents et ça lui faisait plaisir. Ses parents semblaient curieux et Isaiha répondait aisément à ce qu'on lui demandait. Gratouillant Texas d'une main alors que sa main libre se liée à celle de Isaiha, la brune écoutait tranquillement ce qu'il disait. Elle fit une moue boudeuse et grimaçante quand il évoqua la croisière, roulant des yeux. Ça ne l'enchantait pas du tout mais elle le laissait faire. Arthur haussa les sourcils, un peu suspicieux tandis que Margaret pinça les lèvres. « Oh, je comprends... Deux jours, ce n'est rien après tout ! » Rien. Ça dépendait pour qui. Déjà, il allait traîner avec des gens peu fréquentables. Puis en plus, il partait pendant leurs vacances à eux. C'était leurs vacances pas un vulgaire truc organisé par l'université. Parfois, Capucine avait envie que Isaiha dise non de temps en temps. Si jamais on l'appelait durant leur road trip en France, courait-il loin d'elle en avortant leur projet ? Capucine soupira doucement mais ne dit rien. Margaret se racla légèrement la gorge avant de regarder Isaiha. « Oh, alors quand ton décalage horaire sera passé, j'espère que tu nous feras goûter ça !! » Arthur hocha la tête avant de regarder l'heure. « Bon... » Souffla t-il en se levant. « Je dois aller à l'hôpital pour une opération. Elle n'est pas longue mais elle est compliquée !! Je serais là pour le dîner !! » Il sourit avant d'aller embrasser sa femme puis sa fille, filant alors travailler. Capucine regarda sa mère. « Vous n'avez pas pris de vacances ? » Margaret secoua doucement son visage. « Non pas encore mais ne t'en fais pas. On les prendra plus tard ! » Capucine pinça les lèvres. Lorsque Isaiha ne serait pas là, elle serait seule. Avec Rags et Texas. Elle soupira doucement puis sourit. « Bon bah... C'est pas grave !! » Presque pas grave. Margaret sourit. « On va commander indien pour ce soir d'accord ? Tu aimes l'indien Isaiha ? »

Arthur pouvait être bourru, grossier, mal léché même. Il savait ronchonner, râler, se plaindre et critiquer. Pourtant, il avait le cœur sur la main, aidant ceux qui en avait le plus besoin. Ce n'était pas pour rien qu'il était un chirurgien reconstructeur renommé dans le monde entier. Il avait réparé des corps mais surtout des esprits. Capucine était fière de son père et elle ne tarissait pas d'éloges pour lui. Alors, si elle le voyait tendre facilement la main à Isaiha, son cœur n'en serait que plus heureux. Isaiha en aurait sûrement besoin pour débuter. Et puis, Capucine avait confiance en son père. Il savait que le cabinet qu'il lui conseillerait serait un excellent cabinet. Ça aidera Isaiha à savoir comment gérer son propre cabinet si un jour il souhaitait en faire un. D'ailleurs, Arthur ne se gêna pas pour complimenter Isaiha, faisant entièrement confiance à sa fille. La brune finit par entrer dans la pièce, suivit de sa mère. Capucine était contente de voir que son père n'avait pas éventré Isaiha et que les deux hommes semblaient déjà leur faire des cachotteries. La brune se colla contre son amoureux, le laissant discuter avec sa mère. Le moment du sujet qui fâche arriva, donnant à son père une mine renfrognée. Il devait bien sentir la contrariété de sa fille. Capucine n'avait pas envie de rester seule durant deux jours pendant que Môsieur Isaiha allait se pavaner dans une rôle des plus débiles avec la maison qu'elle n'appréciait que peu. La brune sentait que cette expérience ne serait pas sans séquelle sur le jeune homme. Mais bon, elle n'avait rien à dire. Capucine se contentait de manger et de boire du thé pour éviter de faire la moindre réflexion désagréable. Ils venaient d'arriver, ils n'allaient pas se disputer tout de même. Surtout pas devant ses parents.

Un sourire se dessina sur le visage de Capucine alors que Isaiha la regardait avant qu'il ne s'efface rapidement quand il regarda ailleurs. Un autre homme ? « Je vais passer deux jours toute seule, je vois pas comment je pourrais faire la moindre rencontre Isaiha... » Capucine roula des yeux, un peu agacée d'entendre ça de sa bouche alors que c'est lui qui partait en croisière avec d'autres durant leurs vacances. Arthur finit par quitter le domicile pour aller travailler tandis que Margaret proposa de commander indien pour le repas du soir. Bonne idée. Capucine adorait ça. « Indien c'est très bien ! » Puis elle posa son regard sur Isaiha. « Non mais il va falloir arrêter avec cette histoire de mexicain Isaiha. T'es pas tout blanc non plus hein !! » Fit-elle dans une moue boudeuse. Non parce que elle l'avait pas trompé non plus. Lui aussi il avait pris du bon temps avec une autre avant qu'ils se mettent ensembles. Capucine soupira et sourit, avant de se lever. « Oui, allons nous allonger un peu. Le voyage m'a fatigué !! » « On mange à 19 heures !! » Hurla Margaret depuis la cuisine. « Oui oui je sais !! » Capucine secoua son visage avant de se rendre dans sa chambre, retirant ses vêtements avant de se glisser sous sa couette. Elle regarda Isaiha, le laissant la rejoindre. Capucine n'avait pas trop envie de parler. En fait, elle avait un peu peur que Isaiha aborde le sujet de la croisière. Si jamais elle en entendait parler, elle allait lui interdire d'y aller. « Alors... Tu t'entends bien avec mon père à ce que j'ai vu... » Lança t-elle, un peu froide. En fait, de savoir qu'elle allait rester deux jours toute seule la rendait assez triste. Elle avait été seule durant quatre ans. Maintenant, elle avait du mal à l'être. Peut être qu'elle en profiterait pour passer du temps avec des amis du lycée. Des amis clairement pas fréquentables pour un amish comme Isaiha.

Capucine se sentait à la fois coupable et contrariée. Contrariée qu'il parte. Coupable qu'il trouve tout ça totalement normal. La jeune femme pinça les lèvres, restant silencieuse pour le coup, fixant sa mère en cherchant un quelconque soutien. Étant sa fille, c'était normal non ? Mais son père s'en alla et sa mère ne prit pas parti. Normal en vérité, elle n'avait jamais été du genre à prendre parti de quoi que ce soit ou qui que ce soit. Capucine se retint de soupirer. Elle avait bien compris la blague sauf qu'elle n'était pas d'humeur et elle trouvait ça un peu lourd que cette histoire de mexicain retombe comme un cheveux sur la soupe. Alors que Capucine allait dans sa chambre, Margaret fit signe à Isaiha que ce n'était rien du tout. Elle en avait vu d'autre. Capucine était déjà sous la couette alors que Isaiha se mit au dessus lui. La brune se détendit légèrement, s'adoucissant un peu. « Viens sous la couette s'il te plaît... » Parce qu'elle n'aimait pas qu'il y ait quelque chose entre eux, qui les sépare. Capucine avait déjà assez installé une mauvaise ambiance entre eux. La brune esquissa un léger sourire. « Je suis contente qu'il soit gentil avec toi. Je pense que le fait de t'avoir déjà connu avant aide un peu. Mais au moins, il t'accepte facilement. » Et elle devrait trouver ça bizarre mais Isaiha était le genre de personne qu'on ne pouvait détester. Elle leva la main pour lui caresser la joue. « Londres me manque chaque jour quand je n'y suis pas mais avec toi à mes côtés elle me manque moins... » Parce que Londres était sa ville, son antre. La brune ne se voyait pas finir ses jours ailleurs que ici. Doucement, l'anglaise fit une moue contrite, pinçant les lèvres. Il avait raison et Capucine le savait bien. Elle ne devrait pas agir comme ça. Elle était impulsive et souvent, ça sortait comme ça, sans qu'elle s'en rende réellement compte ou qu'elle ait conscience de ce que ça pouvait impliquer. « Excuse moi Isaiha. Je ne devrais pas réagir comme ça. Je suis qu'une égoïste... » De son pouce, elle caressa doucement son menton, l'observant avec tendresse. « Tu me pardonnes ? Je veux juste t'avoir rien que pour moi durant cet été. L'an prochain, on va avoir énormément de travail tous les deux. Promet moi juste de ne rien faire de stupide durant la croisière s'il te plaît... » Parce qu'elle n'avait aucune envie que leur couple soit brisé à cause de deux stupides jours.

Capucine attendait Isaiha devant la porte d'embarquement où il devait arriver. Il lui avait terriblement manqué et elle avait hâte de le revoir. Elle avait cuisiné toute la journée pour lui faire plaisir. Ils allaient avoir la maison pour eux tout seuls toute la soirée et nuit et Capucine ne comptait pas le laisser dormir. Elle avait tout prévu pour ce soir. Un dîner romantique, un film, et une surprise avant le couché. La brune trépignait d'impatience. Elle avait joué des coudes pour se mettre tout devant, voulant montrer à Isaiha qu'elle était là. Enfin, il arriva, encore plus beau que d'habitude. La jeune femme était en train de retomber amoureuse de lui. Là, à cette instant, son cœur battait si fort dans sa poitrine qu'elle avait la sensation que c'était la première fois qu'elle tombait amoureuse, de découvrir cette sensation pour la première fois. La jeune femme pinça les lèvres, le feu aux joues. Elle poussa les gens à côté d'elle et courut pour sauter dans les bras de son amoureux, posant ses lèvres contre les siennes. « Mon amour !!! » Souffla t-elle contre ses lèvres alors qu'elle les dévorait de baisers. « Tu m'as tellement manqué !!! » Capucine glissa sur le sol, admirant son homme. « Mon dieu, j'adore. Tu es beau comme un dieu. Encore plus qu'avant !! Ça te va tellement bien !! Même si je préfère quand tu portes un jean tu es ultra sexy dans ce costume !! Aller, viens, j'ai garé la voiture par là bas ! » Elle glissa sa main dans la sienne et l’entraîna vers les ascenseurs, toute heureuse d'avoir récupéré son amoureux. « Alors mon cœur, c'était bien ? Raconte moi ! » Capucine l'observait avec des yeux brillants d'amour, comme la première fois où elle l'avait rencontré. Elle avait des cœurs dans les yeux.