Ca me fait sourire de voir le sourire sur le visage de Maddy quand je lui avoue que c'est une jolie jeune femme. C'est vrai. Elle a du charme il faut bien l'avouer tout de même. Elle est content d'être venu me voir, pour éviter que je couche avec cette blonde. Parce que c'est sûr que j'allais finir par coucher avec elle. Je voyais bien que je lui plaisais, mais tant pis ce n'est pas très grave. Je suis avec Maddy et c'est tout aussi bien pour le coup. Quand je lui dis que je n'aurais pas de calin du coup, elle vient à lever la main pour me dire qu'elle était un super doudou, et ni une ni deux, elle vient à se faufiller contre moi, et entre mes bras. Je rigole, mais je referme mes bras autour d'elle pour la serrer contre moi. " Je parlais pas de ce genre de calin, mais ça me va aussi... Tu peux venir dormir avec moi. " Répondis-je en souriant amusé. " Et puis il paraît que je fais un bon coussin. "

J'avais que ça me surprend de la part de Maddy, qui vient à se faufiler dans mes bras. Mais après ça ne me dérange en aucun cas. J'apprécie même, vu que je viens à refermer mes bras autour d'elle. Même si je ne parlais pas de ce genre de calîn, le sien ne me dérange pas du tout. J'aime bien aussi les calins de ce genre, je ne vais pas m'en plaindre. " Non c'est bon, je suis bien avec toi aussi. " Lui répondis-je en venant déposer un baiser sur sa joue. Et puis de toute manière, un autre mec doit certainement déjà être avec la blonde, donc ce n'est pas une très grande perte, je dirais. " Non pas rembourré mais apparemment je serais confortable. " C'est mes exs qui me l'ont dit, donc je ne fais que redire ce que mes exs me disent moi.

Je parlais pas d'un simple calin, mais ce que m'offre Maddy, je suis pas contre non plus. C'est tout de même très agréable, je ne vais pas m'en plaindre. Je viens même à encercler son corps de mes bras, pour appuyer ce que je venais de dire. Elle pourrait rester des heures comme ça, que ça ne me dérangerait pas du tout. " Moi aussi. " Je n'ai pas envie de la lâcher pour le coup. Je souris à son baiser, alors que ça a l'air d'aller mieux. On a bien fait de sortir dehors, pour qu'elle puisse reprendre un peu de ses esprits. " Tu vas voir, ça sera la meilleure nuit de ta vie. " Je souris amusé, alors qu'il pourrait y avoir un second sens à ma phrase. Et justement c'est ce que je voulais. Mais bon je la taquine surtout. " Alors tu vas mieux ? Tu veux qu'on y retournes ou on peut rentrer. " Et puis chez moi, j'ai de quoi boire aussi, gratuitement pour le coup.

J'aime beaucoup que Maddy soit tactile avec moi de cette façon. Ca fait toujours plaisir. Après on se connaît depuis qu'on est gosse, et j'ai mis ma vie en danger pour lui venir en aide lors de la prise d'otage. Mais au final, on s'en est sortis tous les deux, sain et sauf, même si pendant quelques semaines, j'avais des difficultés pour marcher, parce que j'aurais presque pu perdre l'usage de mes jambes. Mais finalement tout va bien, je vais bien. Je sous entende la plus belle nuit de sa vie, et je rigole lorsqu'elle rentre dedans. " Je suis le meilleur partenaire au lit. " Et je continue de jouer le jeu et ça me fait rire pour le coup. Finalement je lui demande ce qu'elle veut faire. Rentrer ou bien retourner à l'intérieur. " Et bien dans ce cas, on peut aller chez moi, et se poser devant un film ? " Proposais-je en la regardant. Oui ça peut être une bonne fin de soirée aussi.

On est bien mieux dehors, qu’à l’intérieur de la boîte de nuit, surtout pour discuter, et surtout pour Maddy aussi. Sans moi, un homme aurait très bien vouloir profiter d’elle et de son état d’ivresse. Mais là elle va mieux. Je vois bien, qu’elle se sent mieux. Tant mieux. On est partit sur un sujet un peu ambigue tout de même. Je lui disais que j’étais le meilleur au lit, sans arrière pensée évidemment (a). « Je te le prouverais ce soir. » Je rigole en la regardant. Evidemment, je lui montrerais surtout comment je fais bien le coussin, et comment je peux être confortable pendant la nuit. « Encore mieux, parfait allons-y alors. » Je lui souris, pour ensuite passer mon bras autour de sa taille et commencer à avancer. Je n’habite pas loin, donc tant mieux, parce que je serais incapable de prendre le volant. J’ai tout de même bu quelques verres, donc je serais positif si je devais souffler dans le ballon. En dix minutes, on y est, parfait, parce qu’il commençait à faire froid. « Allons nous réchauffer à l’intérieur. » Lui dis-je en la regardant, la faisant entrer à l’intérieur.