• Le mensonge, cette façon de raconter une histoire, de dire les choses. Certaines personnes aiment pratiqué cet art, que ça soit pour arriver à se sortir d'une situation assez fâcheuse ou tout simplement pour arriver à leur faim, pour avoir cette sensation de puissance. Certain personne sont ce qu'on appelle des « mythomane », mais si, vous savez, le garçon qui va vous racontez sa vie mais que vous allez la trouvez tellement absurde que vous allez finir par vous posez des questions sur les faits qu'il raconte. Il va par exemple vous dire qu'hier soir il est sorti et à ramener chez lui trois filles différentes dans la soirée, ou alors qu'il est parti en vacances dans les îles alors que lui, au final, c'est juste un prétencieux qui n'a tellement pas de vie qu'il se voit obligé de s'en inventer une pour se sentir important. J'en ai rencontré des gars comme lui, j'en ai fréquenté pas mal à vrai dire, et, Neva m'avait fait sortir de ce monde là. Elle m'avait prit par la main et m'avait fait quitter cet endroit, ces bars, ces soirées où les filles dansent à poil sur tes genoux, ces soirées où tu vomis mais tu continues de boire. J'étais un Winthrop, mais je faisais des soirées en compagnie de Mather. J'savais pas vraiment où j'allais, j'avais pas de chemin bien dessiné, et, puis, elle arriva, pas sur son grand cheval blanc, mais dans ces beaux talons, et là, tout changea. Elle prit sa gomme magique et effaca toutes mes envies d'aller voir ailleurs, elle était la seule qui me comblait, la seule pour qui je voulais avoir l'air d'être un bon gars, pas un enculé. Elle connaissait mon passé, mais elle m'avait fait confiance, elle m'avait donner une chance de lui prouver que je pouvais être à la hauteur. "Ouais ça va tu te défend niveau physique mais le fait que tu sois blond gache un peu tout, hélas. " Je ne répondis pas à cette provocation, car elle savait très bien que c'est mes cheveux qui faisait tout mon charme ! "Mais bon c'est vrai que personne ne peut être aussi parfait que moi. " J'hausse un sourcil. Elle me provoque encore. Ouais elle est parfaite, mais ça, on y peu rien, j'le suis aussi évidemment. Alors, je m'approche doucement d'elle, en même temps, dans l'eau, courrir est quelque chose d'assez dificille. Une fois face à elle, j'la prend dans mes bras, déposant un doux baisé sur ces lèvres avant de venir lui chuchotter à l'oreille. "Tu sais que pour t'être moqué de ma couleur de cheveux, j'pourrais te tuer sans que tu t'en rendes compte... Peut-être même bien que là, maintenant, t'es déjà morte et que le paradis, c'est ça, toi et moi devant une cascade en pleine jungle !" J'm'étais retenue de pas rigoler, et putain, en sortant des conneries comme ça, c'est vachement dur. •

• Tout, j'ai absolument tout fait avec Nevada. Ont c'étaient construit une petite vie à deux, un sauna, un baisé, une partie de jambe en l'air, et tout avait débuté, un vrai coup de foudre, j'étais tombé totalement amoureux d'elle, elle habitait mes pensés. Un appartement, un enfant crée il y a un an à quelques jours près au Spring Break, un mariage cet été, un enfant magnifique qui pointe le bout de son nez en décembre, une villa en février, tout était parfait, ma vie prenait le sens que j'avais toujours voulu et ça grace à elle. Elle réalisait ce rêve que j'avais en secret, celui de fonder une famille, celui de trouver une femme parfaite à mes yeux. J'avais pas de mot pour décrire ce que je pouvais ressenter pour elle, je l'aimais, je l'aimais à en crever, j'voulais pas la perdre, j'voulais pas que quelqu'un me l'enlève, j'voulais juste rester avec elle pour le restant de ma vie, qu'on crève ensemble, à la Roméo et Juliette pour qu'aucun d'entre nous ne souffre. J'voulais mourrir vieux, j'voulais que dans cinquante ans, je la désire toujours autant et qu'elle me fasse toujours cet effet. Elle était ma femme, et à mes yeux, c'était pour la vie, une femme, une vrai, on en a qu'une, et c'était elle. Ont avaient fait pas mal de trucs ensembles, ont avaient visité pas mal d'endroit, et, aujourd'hui, c'était une toute autre visite, celle de la jungle et de ces coins paradisiaques où l'ont venaient de mettre les pieds. Un petit point d'eau turquoise, une cascade, bordel, un endroit de rêve. " Oh ça va c'était plutôt agréable comme mort, je dois dire, même pas une once de douleur. Par contre je pensais que le paradis c'était toi à mes pieds. Je suis déçue pour le coup. " Je ne bouge pas, m'aprêtant à répondre, lorsqu'elle essaye de me faire croire qu'un pirhana est derrière moi. "Ah au fait juste pour te prévenir y'a un piranha derrière toi, fais attention qu'il ne te castre pas. " Je secoue la tête. Cette fois ci, je ne tomberais pas dans son piège, ça marchera pas. "Si y'aurait vraiment un piranha, tu serais déjà en train de courir hein ! Et si j'suis pas à tes pieds, c'est parceque ça serait pas le paradis !" J'hésite tout de même à me retourner, j'veux dire, imaginer y'en a vraiment un, même si c'est pas vrai, genre, juste pour vérifier quoi, mais non, j'le fais pas, j'm'allonge dans l'eau qui m'arrive jusqu'au ventre, et j'me met à plat ventre pour nager et aller derrière elle, j'plonge la tête sous l'eau et je viens lui attraper les fesses pour baisser son bas de maillot et venir les croquer. J'relève la tête de l'eau, fier de ma connerie, et je lui sors. "Ca c'était un piranha par contre !" J'ui avais dit qu'un jour j'allais finir par croquer dans ces fesses, j'ui avais dit... •

• Est-ce que vous vous êtes vraiment demandé combien de temps vous alliez vraiment vivre ? Trente, quarante, soixante, quatre vingt ? On finira tous par mourrir, on finira tous par rejoindre le paradis ou l'enfer. Chacun de nos actes sont repertorié, tout est déjà écrit, mais seul nous pouvons changer notre destin, faire en sorte de ne pas aller en Enfer mais au Paradis. Faire en sorte de ne pas passer l'éternité dans une cage à se faire brûler et fouetter, le feu de l'enfer n'est pas comparable au notre, il est beaucoup plus douloureux, beaucoup plus... Marquant. J'ai fait pas mal de conneries dans ma vie, j'ai pas mal merdé avec les filles, avec la vie aussi. J'sais pas ce que Dieu m'a prévu, mais j'espère vivre au Paradis, manger par gourmandise, être dans l'endroit le plus magnifique au monde, être en paix tout simplement. Bon, premièrement, j'voulais pas mourir tout de suite, j'avais tellement de chose à faire, comme avoir d'autres enfants avec Neva, finir mes études, être un bon mari, trouver un bon travail et j'en passe, j'voulais réussir. J'avais beau avoir un paquet d'argent sur mon compte, c'est pas ça qui me rendait heureux, c'est pas ça qui me faisait être amoureux, qui me poussait à être meilleur, non, c'était juste une personne, une jolie jeune femme à qui j'avais passé une bague au doigt, la plus belle qui m'est été donné de rencontrer, celle qui fait battre mon coeur. Nevada. J'la ferais passer avant mon plaisir, avant mes envies, et ça, pour toujours, j'suis pas le genre de gars à me marier plusieurs fois, faut pas compter là dessus. Bref, tout ça pour vous dire qu'il faut profiter de votre vie, faire de bonnes actions, ne pas vous mettre dans la merde, dire à vos proches que vous les aimez, car si vous deviez partir maintenant, est-ce que vous aimeriez que les derniers paroles que vous leurs ayez fournis soit des insultes ? Non, je ne crois pas. "J'hésite entre le fait de te noyer ou de te priver de sexe pendant un mois " Suite à son sursaut, elle venait de me balancer cette phrase, chose qui m'avait vraiment fait rire en fait. J'ui avait dit qu'un jour, j'allais finir par vouloir manger ces fesses, et, ce jour était arriver. J'la regarde s'éloigner vers la cascade, et je répond. "Tue moi, comme ça, au paradis, j'serais pas privé de sexe !" Avec un large sourire sur les lèvres, je la suivis pour m'aventurer à mon tour sur la cascade où je la regarder admirer ce phénomène naturel vachement bandant. J'laisse tomber mon boxer à mes pieds, le jettant sur une pierre derrière nous avant de tourner mon regard vers elle. "Fait pas comme si toi non plus t'avais pas envie d'te mettre à poil hein, j'le vois dans tes yeux !" J'pense pas qu'il doit y'avoir quelqu'un ici, j'veux dire, tout le monde est occupé à décuvé de la veille ou bien à continuer de boire, et puis, qui viendrait s'aventurer dans la jungle, sérieusement ? •

• On écrit pour raconter une histoire, expliquer un évènement qui aurait pu marquer notre vie ou non. On n’écrit pas pour faire jolie, non, juste pour parler de quelque chose, le faire savoir. Et, peut-être que cette histoire pourrait aider à comprendre pourquoi tel ou tel personne est devenu comme ça, pourquoi elle sourit tout le temps, ou bien alors ou contraire, pourquoi elle n’a plus gout à la vie, pourquoi elle préfère marcher tête baissé et mains dans les poches. Toutes personnes sur terre à une histoire à raconter, un moment de sa vie qu’il aime citer. Que cette histoire soit exceptionnelle ou non, intéressante ou non, drôle ou non, on s’en moque, on a tous une histoire qu’on traine, peut-être comme un boulet accroché à une chaine, mais on s’en tape, c’est ton histoire, c’est ce qui a fait de toi ce que tu es aujourd’hui, alors accroche toi à ça, souviens-toi en de temps en temps, pour que tu saches d’où tu viens, ce que tu as vécu qui aurait pu t’empêcher d’en arriver là, mais, que tu auras surmonté. T’as beau avoir une vie basique, deux parents, logique aussi me direz-vous, mais je voulais dire, deux parents encore présent pour vous, peut-être des frères et sœurs, un chat, un lapin ou un chien, à vous de voir, une scolarité normale, sans trop de problème, une petite copine ou un petit copain, tout dépend de vos attirances sexuelles, les deux si vous avez eu envie… Et, même si tout ça est à peu près la vie de tous les adolescents de cet âge, je suis presque sûr et certain que vous allez avoir un évènement qui aura marqué votre vie, que ça soit le changement de style soudain que vous avez eu suite à un problème, à un film vu ou à une musique écouté. Cette histoire que vous trainerez avec vous et que vous serez fière, ou non, de raconter ou de cacher, que personne ne découvre ça. Mon histoire était basique, mais des évènements et des personnes étaient venuent la changer, j'pourrais citer Neva, Jude, Milena, Anastasyia et j'en passe, beaucoup de personnes avaient changé ma vie, et, Neva était celle qui l'avait encore plus changé. "Non non je suis pudique moi. " Elle est là, devant moi les bras croiser essayant de me faire croire qu'elle est pudique, j'peux pas m'empêcher de rigoler. "Tu vas me faire croire à moi que t'es pudique alors qu'on a conçu Quincy dans une piscine ?" Et ouais, j'te crois pas, t'es grillée ! "Mais si t'es aussi doué que tu le dis, tu vois quoi dans mes yeux là ? " Ahah, tu veux tester mes test ? Tu veux voir de quoi mes super pouvoirs sont capables ? Sans aucun problème. Alors, je m'approche d'elle, posant mes mains sur ces joues avant de rapprocher mon visage du sien et de plonger mon regard dans le sien. Quelques secondes de silences, et la révélation arriva. "Hmm... Je vois que tu te dis que ton mari est vraiment con, mais qu'il a raison, t'as envie d'te mettre à poil et te faire un bain de minuit à midi !" Mon cul ouais, si c'est vraiment à ce qu'elle pense, c'est que j'suis un putain de télépathe. •

• Le destin était quelques chose d'assez aléatoire. Il pouvait changer d'une minute à l'autre tout en restant écrit quelques part selon certaines personnes. On a souvent dit au jeune homme qu'il était maître de son destin, que c'était le seul à le choisir, à pouvoir le faire changer, mais au contraire, d'autre personnes lui avait fait comprendre que maintenant qu'il était sur terre, il ne pouvait plus rien faire que d'avancer dans sa vie, sans vraiment chercher à comprendre pourquoi il était là, pourquoi il faisait ces gestes, car tout étaient écrit quelques part, tout avait été déjà choisi pour vous, que ça soit votre femme, votre maison, votre travail, vos galère. Tout ça relevait plus de la religion et des croyances plutôt qu'autre choses. La science n'avait rien à voir là dedans, quoi que certains scientifique cherche toujours à démontrer qu'un n'y a jamais eu de Dieu comme le disent certain croyants. J'connais pas grand chose au monde à vrai dire, tout ce que je sais, c'est que j'dois tout faire pour tenir et rendre les gens qui m'entourent heureux. J'suis le genre de gars qui empathie trop, par exemple, j'vais voir Neva malheureuse, je vais l'être aussi, et, tant qu'elle n'ira pas bien, je n'irais pas bien. Mon destin, je ne savais pas si j'en étais maître, mais, pour le moment, il avait fait de ces deux dernières années un vrai paradis sur terre. J'étais heureux, putain ouais, je l'étais aux côtés de Neva, chaque jours qui passait était un nouveau soleil qui s'enflammait en moi, elle était mon médicament, ma drogue, et, ce baiser qu'elle me vola était quelque chose que j'aimais vraiment chez elle, sa façon d'être, sa façon de faire. Elle me plaisait, putain j'peux pas vous expliquer à quel point je l'aimais, et, j'trouvais ça normal en fait, même si j'me demandais parfois pourquoi j'avais autant de chance, j'me disais qu'elle, c'était la bonne, que jamais personne ne pourra la remplacer. " C'était presque ça. T'as juste oublié le fait que j'aime mon mari aussi con soit-il " Je répond pas à sa phrase, juste, je me contente d'afficher un sourire sur mes lèvres, profitant de ces quelques secondes où elles ont pu effleurer les siennes. " Bon finalement t'auras le droit à ton strip tease avant ce soir ! T'es content d'avoir gagné. " J'admire, j'me contente de l'admirer enlever son haut. Ouais, j'suis content d'avoir gagné, et je secoue la tête de bas en haut pour lui faire comprendre, regardant ce corps qui était toujours aussi parfait. "Sérieux ? Carrément un strip ?! Vas'y, j'demande à voir, danse pour moi !" Bon, okay, j'en faisais peut-être un peu trop, mais, si elle me fait un vrai strip, autant qu'il le soit jusqu'à la fin. Alors, pour le coup, je m'assoie sur une roche qui se trouve sous la cascade, et, j'attends. •