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Talk to me - ft. Hans

Khol Canova

Âge : 26
Lieu de naissance : Milan, Italie (origines et nationalité italiennes)
Quartier d'habitation / Colocation : Sur le campus
Situation sentimentale : 21 juin 2024 : Il a mis sa relation sur pause, sans le quitter suite à un grave accident par la faute de Jaël qui a coûté cher à Khol. (en couple depuis début janvier 2024) C'est en Italie qu'il a officialisé avec Jaël pour devenir son petit ami. Il a dit oui à la relation, oui au bonheur... Même s'il a terriblement peur encore et de merder.
Études / Métier : 9ème et dernière année en mode en septembre 2024
Date d'inscription : 01/10/2023
Pseudo & Pronom(s) IRL : poisonous
Icon : Talk to me  - ft. Hans  19aa2cc2925ba6bbe4ee92c66087c4f5822a022b
Faceclaim : Christian Daloi
Crédits : me & Tenor
Multicomptes : Ravi, Leone & Grayson
Description (1) : Vincent - Cousin maternel
Tullio - Cousin maternel
Jaël - Petit copain. Addiction.
Cornelius - Il bosse pour sa mère dans son restaurant. Il sait des choses... Les deux se considèrent comme des "cousins" et s'entraident.
Griffith - Très bon ami, ancien plan cul régulier.
Ange - Ancien flirt amical, illégal.. Aujourd'hui une amitié en reconstruction.
Neal - Passé d'ambiguïté italienne... Relation du passé dangereuse. Ami.
Ruben - Aventure. Amitié possible en développement...

Description (2) : Talk to me  - ft. Hans  My4GJ0Pz_o
RPS en cours :
Warnings : Le personnage est sujet à aborder le langage cru, vulgaire, la sexualité (même voir débridée), l'abandon, de la négligence parentale (pas de maltraitance), certaines difficultés psychologiques comme la dépression. La cigarette. L'usage passée des drogues. TCA (trouble alimentaire)
RPS : 122
Messages : 2268
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Khol Canova
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STUDENT › proud member of harvard university
Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t165950-khol-canova-repertoire-rps#7822362Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t165218-khol-canova-fiche-de-liens

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@Hans Weatfield
tw dans les rps à venir : propos cru/vulgaires, dépression, drogue, passé lourd, traumatismes, difficultés alimentaires, peurs.

Noir.
L'état dans lequel je me trouve est sombre. J'en ai délaissé ma résidence pour la suite. Le petit sac avec des vêtements basiques, mon kit de couture et quelques vêtements que je peux travailler. Des livres d'études. Mais je refusais de participer en classe. Je refusais de manger... Mais je le faisais uniquement quand mon corps venait à me faire dire que j'allais tomber. J'en ai repoussé le repas à moitié mangé aujourd'hui et j'en ai pris une douche, même si je ne suis pas le plus en forme à voir. Les écouteurs dans les oreilles, je suis habillé d'un jogging noir et d'un t-shirt très simple. Mes bijoux normaux et mes cheveux sont sur le point d'être secs. J'ai avalé un comprimé pour me calmer, mais je ne suis pas très affecté. Je veux seulement me détendre... Essayer de penser à autre chose quand la vie me ramène toujours à des gifles consécutives. J'en baisse les yeux sur la cicatrice rosée dans ma main où le verre s'était brisé. Je serre un peu les doigts. Elle va disparaitre d'ici les deux prochaines semaines. Comme si elle n'avait jamais existée et mes yeux se soulèvent lorsque mon portable émet du son.
Hans.

Évidemment. Hans.
Mon coeur se serre légèrement et je m'accoude contre le petit bureau. Hier, je l'ai repoussé. Hier, je n'avais pas envie de voir personne. Je n'ai pas parlé. J'en baisse le menton en soupirant légèrement. Je finis par lui dire que je suis dans la suite et qu'il peut venir. Les mots ne sont nullement à caractères sexuels. Je n'en ai pas encore l'esprit. Je cherche le côté plus sérieux. Celui où il disait être présent pour moi. Vouloir me connaître. Que je peux me confier. Dans mes yeux, le chagrin est revenu, quand je suis seulement lasse d'un passé revenu me hanter et je passe les mains sur mon visage en soupirant lourdement. Je finis par frapper à plat. Et je me redresse en renversant la chaise que j'observe quelques secondes avant de me pencher pour la soulever. Je range, le repas à moitié mangé que je pose sur le comptoir et je finis simplement par venir poser l'épaule contre la fenêtre dans la suite. J'sais pas combien de temps ça lui prend avant de venir. J'observe toujours la vie nocturne d'un regard semi absent avant d'entendre le contact de la clef qui me fait tourner la tête vers la porte. Je le vois la franchir. Et pour la première fois... Je suis inquiet.

Inquiet de le voir la franchir en sens inverse et qu'il ne revienne jamais. Qu'il devienne mon nouveau fantôme.  
(Khol Canova)
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c'est vrai, je ne sais pas trop comment me comporter avec toi. ton arrivée dans ma vie est assez récente et pourtant, j'ai l'impression de te connaitre depuis des lustres. comme si tu faisais parti de ma vie depuis des années. comme si tu me connaissait déjà par coeur. comme si je pouvais être moi avec toi. c'est ce que je fais, ce que j'essaie. c'est jamais évident pour un mec comme moi, avec mon éducation et mon passé, de lâcher prise. je tente de le faire mais je reconnais être parfois assez maladroit dans mes mots et dans mes actes. alors quand tu me demandes de rester un peu seul, de ne pas venir dans la suite, je m'exécute sans broncher. je me doute que quelque chose ne va pas dans ta vie mais je n'insiste pas. si tu dois te livrer, ça doit venir de toi. de ta propre initiative, pas de la mienne. ce soir tu sembles vouloir faire un pas vers moi en me demandant de venir. de passer la nuit avec toi. je ne peux pas refuser une telle proposition. j'attrape mon sac à dos et y mets des affaires de rechange pour demain. je fou tout en vrac, manquant un peu de soin. grimpe dans ma voiture et démarre à toute allure. j'aime la vitesse et ce que cette caisse peut me procurer comme adrénaline. mais pas ce soir. pas maintenant. je me gare sur le parking privé et me dirige vers le luxueux hôtel. mes pas traversent le hall puis grimpent les escaliers jusqu'à notre suite. j'entre dans le plus grand des calmes. dépose mes affaires sur le petit meuble et enlève mes chaussures. m'avance jusqu'à toi. mince sourire rassurant sur mes lèvres, ça me fait du bien de te voir. « je t'épargne le "ça va?", viens, on va se poser sur la terrasse » je prends ta main et t'emmène avec moi. je sais qu'à cette question, tu risques de me répondre un ça va que tu ne penseras pas ou au pire des cas, j'aurais un haussement d'épaules. je ne l'aime pas cette question, pas du tout. on se pose sur l'immense terrasse. je m'assois pas loin de toi, juste en face. nous sommes proches, ma jambe touche la tienne. je sors un joint parfaitement roulé de la poche de mon jean et te regarde dans le plus grand des calmes. « cette fois ci on va prendre le temps de le fumer ... » pas comme samedi dernier. on a des choses à se dire mais on prendra le temps qu'il faudra. je ne te force à rien khol. tu n'es pas obligé de le faire.
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Khol Canova

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Jaël - Petit copain. Addiction.
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@Hans Weatfield
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Ça brûle en moi comme un mauvais poison. Si j'en suis bien ouvert et disponible, trop disponible pour tous... Je m'oublie. Je m'enfonce et je me laisse attraper dans les filets des fêtes, rébellion qui fait que je m'enfonce et je me perds. J'ai toujours été le grand fêtard, celui qui en brise des règles, mais lorsqu'on me le demande... Il m'arrive de me tenir. Non sans conséquences, parfois. Si l'on me fait chier, si l'on fait en sorte que je ne peux pas faire confiance sur le coup... Comme cette soirée à la réception.. Tout va se mettre dans un bordel monstre. J'ai ce don, il verra, de foutre le bordel quand ça commence à mal aller parce que je ne sais pas bien réagir. Je ne sais jamais sur quel pied danser. Si mes sentiments, eux, ne seront jamais à douter, c'est mon impulsivité qui me rend imprévisible. Dangereux. Surtout envers moi-même. L'oubli même de prendre soin de ma personne. De manger. De boire, quand je m'enfile pourtant les verres d'alcool. Eux, je ne les oublie guère. Nous sommes deux handicapés de la vie, des sentiments. Si Hans a eu une éducation stricte, j'en ai eu le contraire. J'ai appris de moi-même... Sauf avec Emilia. C'est elle, qui m'a évité la mort. Qui m'a évité, sûrement, de rejoindre les pires criminels d'Italie pour en finir avec une vie misérable afin de simplement me laisser exercer par une main plus forte quand je n'avais aucune envie de penser. De décider. Elle m'a sauvée. D'un peu de tout. Lorsqu'il entre, je tourne les yeux vers lui. Lui qui arrive à ma grandeur et me lance qu'il ne me demandera pas la grande question. Je me contente de hocher de la tête, parce que je suis d'accord. Il n'aurait pas eu ce qu'il voulait d'elle, de toute façon. J'accepte de le suivre sur la terrasse. Heureusement, j'ai mon sweet, sinon j'en aurais les frissons. Le temps qui devient trop froid la nuit qui vient. J'en note le joint qui sort avant qu'un petit sourire déforme le coin d'mes lèvres quand il fait référence à ce joint qui n'a jamais été terminé. Je le laisse l'allumer avant de tourner mon regard vers la vie extérieure. Si j'en ai pris l'habitude de sourire pour cacher mes vices, cacher mes émotions intérieures... Cette fois, Hans fait face au véritable Khol. Celui que je ne cache pas lorsque les choses commencent à dégnérer, à mal se passer. "- Tu te souviens... Lorsque je t'ai parlé que j'ai un passé difficile relié à l'Italie.." Que je débute avant de tendre ma main vers le joint pour le récupérer quand il m'est tendu afin de l'enfiler entre mes lèvres pour en tirer une première taffe. Je la laisse quelques secondes me brûler les poumons jusqu'à souffler. "- Il faut aller du commencement..." Je tourne mes yeux vers lui alors que je frotte légèrement ma jambe à la sienne. Plus par réflexe de vérifier comme il est bien là, que sa présence peut m'apporter un peu de réconfort, de courage à me confier. Deuxième taffe. J'en souffle avant de le tendre vers lui. "- Je suis né dans une famille très pauvre à Milan. Mes parents n'ont jamais voulu avoir d'enfants, donc ils m'ont... Laissés pour compte. Je n'étais pas maltraité physiquement par mes parents, mais je l'ai été psychologiquement. Gamin laissé pour compte dans sa propre maison dès qu'il pouvait marcher. J'en ai cassé, des trucs sans le vouloir. Je l'ai ai vu arriver, les conséquences. Les soirées et les nuits complètes le ventre vide. Puni sans nourriture. Aller à l'école des jours ici et là sans nourriture et voler parfois les autres gamins en prétextant vouloir aller à la salle de bain pour glisser la main dans les boîtes pour ne serait-ce qu'une pomme." Je finis par hausser les épaules avant de brusquement laisser mon dos retomber contre la chaise extérieure. "- Mes parents s'occupaient d'eux et d'eux seuls. Ils payaient le minimum pour ne pas être suspectés. J'étais en "santé" selon le monde extérieur et je n'ai jamais parlé. Des drogués, aussi. Toxicomanes, tous les deux. C'était bien plus important d'avoir sa dose que leur gosse, évidemment." Je lève un peu mes yeux vers le ciel avant de les détourner, tournant le menton. "- J'en ai fais... Des conneries. J'en ai fais. Pour m'en sortir. Pour me découvrir. Et ce n'est pas grâce à eux que je m'en suis sorti. Mais grâce à moi. Et à Emilia... " Bien sûr. Emilia. Ma main se porte vers mon torse où même au-dessus de mon sweet, il y a le collier pendule. Le seul souvenir physique que je garde d'elle et je le serre entre mes doigts. "- Elle n'était pas grand-mère de sang... Mais elle a été ma mère. Ma grand-mère. Ma soeur. Ma cousine... Celle qui m'a juste sauvé de tout." Et ça.. D'elle, je lui en parlerais aussi. "- Tu as des parents strictes.. J'ai eu des parents qui n'en avaient rien à foutre de ma personne. J'serais mort il n'y aurait rien eu en eux comme émoi."


(Khol Canova)
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@Khol Canova
tw : consommation de weed

à quoi m'attendre ce soir ? on s'est beaucoup rapprochés tous les deux depuis deux semaines. une simple rencontre meetsme. un date pour le cul et rapidement - très rapidement - il y a eu plus qui s'est installé. des questions, des interrogations. de la curiosité. l'envie d'en savoir plus sur ton compte, sur toi. rapprochement de corps, de coeur. physique. moral. je vois que tu ne vas pas bien en ce moment mais je ne peux pas te forcer à parler. je sais que tu as quelques difficultés à t'ouvrir, c'est ce que j'en ai déduis. je ne peux pas te blâmer, je suis pareil que toi. je ne me livre jamais aux autres. il y a des choses que mes proches ignorent. des choses dont j'ai envie de parler mais je ne sais pas comment m'y prendre. ni même à qui. alors on s'est fait un deal toi et moi. un jour viendra où on parlera, se dire ce qu'on a sur le coeur et ce qu'on refuse d'avouer aux autres. sans doute par peur. par honte ou par orgueil. peu importe. je ressens de plus en plus ce besoin de parler. pas pour avoir des conseils mais uniquement pour évacuer. en discuter avec quelqu'un. échanger. avoir une autre vision de la situation. ces révélations arriveront un jour ou l'autre, j'ignore quand. en attendant, je file jusqu'à l'hôtel pour te rejoindre. à peine entré dans la suite, je me dirige vers toi. je n'ai pas l'intention de te demander comment tu vas. on va s'installer sur la terrasse chauffée. joint qui sort de ma poche pour tournoyer dans mes doigts. je le déclare et fume la première bouffée pendant que tu lances les hostilités. « évidemment que je m'en souviens » comment oublier. je ne sais pas ce qu'il s'est réellement passé dans ton passé. ce qui te rend comme ça aujourd'hui. je n'ai eu que des brides d'informations par ci par là. tu m'as révélé quelques infos, peut-être même sans t'en rendre compte. je me racle la gorge. le joint quitte ma main pour rejoindre la tienne. mes yeux te fixent. je sens bien que tu veux me parler et que ce n'est vraiment pas évident pour toi. tu me parles de commencement. « je t'écoute, prends ton temps » faible sourire. et là je m'attends à tout sauf à ce que tu me balances là. tu parles. les mots sortent de ta bouche les uns après les autres. ta jambe caresse lentement la mienne. je reste silencieux. mes yeux sont braqués sur toi. je t'écoute avec attention et plus tu te livres, plus mon coeur se serre. ma cage thoracique se compresse. se comprime. tout ce que j'entends me brise le coeur. je baisse les yeux. ça sera surement plus simple pour toi de parler. je fume une nouvelle fois. puis une troisième fois. tu me parles de tes parents puis enchaine sur cette emilia. faible sourire dans ta direction lorsque ton monologue se termine. « khol, je ... » ma langue humidifie mes lèvres. putain je ne sais pas quoi dire. je ne sais pas par où commencer. je passe une main dans mes cheveux pour tenter de me concentrer. « je suis désolé d'entendre tout ce qui t'es arrivé. aucun gamin ne devrait vivre tout ce que tu as vécu. je comprends un peu mieux les traumatismes que tu traines derrière toi. » je prends ta main dans la mienne. emmêle mes doigts aux tiens. « tu n'as vraiment pas eu de chance mais c'est du passé maintenant.. tout ça est derrière toi. j'ose même pas imaginer tout ce que t'as dû ressentir mais ça t'a rendu plus fort. ça fait de toi l'homme que tu es. t'as su rebondir et tu peux déjà être fier de qui tu es aujourd'hui.. un garçon avec des principes et de belles valeurs. t'es intéressant et intriguant. t'as beaucoup de talent dans tes créations, t'as une certaine sensibilité et ça, ton enfance ne pourra pas te l'enlever. ton passé ne définit pas ta valeur ... essaie de te concentrer sur ça ? » ça me rend fou de savoir ce que tu as vécut. j'essaie de ne pas le montrer. je rester de marbre mais tu me touches. je ne suis vraiment pas de bons conseils mais je suis là et tu pourras compter sur moi quoi qu'il arrive.
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@Hans Weatfield
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Je me suis débrouillé. J'ai vécu surtout par moi-même. Si ça n'avait pas été de la vieille femme, je n'aurai sûrement jamais repris mes études et je n'aurai jamais obtenu la bourse pour entrer à Harvard. Je vois bien qu'il baisse les yeux, mais j'essaie de ne pas m'en faire sur ce détail. L'angoisse me tord les tripes. L'anxiété me dévore la tête. Et si je suis bien des choses... La dépression, elle, m'afflige plus que je n'ose l'avouer. Par orgueil ? Peut-être. Mais ce n'est jamais facile de parler de ce genre de choses, tout simplement. Mon prénom est murmué entre ses lèvres et j'ose le regarder. J'ai peur... Pour la première fois depuis longtemps, je laisse ma barrière tomber. Face à quelqu'un que je connais depuis deux semaines, mais que mon âme semble connaître depuis bien plus longtemps. Je me livre, mais j'ai peur. Peur qu'il part, qu'il franchisse cette porte pour ne plus jamais revenir. Je pince les lèvres, mais j'accepte quand il vient me prendre la main pour me permettre de venir serrer mes doigts autour de sa paume. La suite... Je ne m'y attendais pas. Il me confie des compliments, sur comment il me voit. Que je ne devrais certes pas me laisser abattre par le passé, mais ce sont des mots bien aisés à dire, quand au fond on hurle au désespoir et à la douleur. Le sourire qui se fait surtout factice. Les rares moments les plus sincères se trouvent dans des âmes au compte infime, comme Hans. Avec lui, je me suis senti apaisé, les deux nuits où il est venu. Je suis touché par ses mots. Vraiment... Plus que je ne veux bien l'admettre. "- Merci..."- que je finis par souffler. Je lève mon autre main pour que mes doigts viennent envelopper sa main comme une bulle. "- Emilia.. C'est elle qui m'a sauvée, parce que j'allais tout abandonner. J'étais prêt à partir. Soit à me livrer à la fin de ma vie, au porte de la faucheuse parce que je n'en pouvais plus, soit j'aurai fini avec l'aiguille dans le bras et dans la morgue avec l'étiquette de John Doe. Ou j'aurai fini entre les mains des pires criminels d'Italie." Je serre un peu plus alors que mon regard devient, cette fois-ci, d'une grande tristesse. Ce regard même qu'il avait perçu quelques secondes à peine à la soirée. Où ma barrière s'était brièvement effritée. "- Je souffre de dépression depuis des années, Hans... Et j'essaie d'en sortir comme je le peux. Parfois, il y a des moments qui sont bien pires que d'autres. Certaines choses me rattrape.. D'autres non.. D'où tu vois, parfois, que je sombre. Que je fais des conneries...Qu'il y a des moments pires que d'autres. " Je finis par baisser les yeux et je ramène mes mains contre moi. "- Je ne laisse pas aisément les gens entrer dans ma vie.. Parce que..." Je détourne quelques secondes le menton, encore. "- Parce que... Les gens ont fini par me prouver qu'ils finissent par partir ou juste vouloir te faire du mal. Je me suis tant débrouillé par moi-même que... Je me suis dit, je me suis convaincu que je n'ai sûrement besoin de personne." Je hausse les épaules quand pour la première fois depuis des mois... Même des années, il y a une larme qui parvient à couler sur ma joue et je lève la main pour venir la cueillir du bout de mon pouce. "- J'suis con sur bien des domaines... J'sais pas gérer quand je deviens émotif, surtout pas la colère. J'tape pas les plus faibles ou ceux à qui je tiens.. C'est contre mes valeurs. J'le ferais jamais. Je ne crie pas. Je déteste qu'on crie ça me rend hyper stressé... Mais je fais des conneries. Mes impulsions se contrôlent très difficilement. C'est pour ça qu'il est arrivé.. Ce qui est arrivé samedi." Je passe brièvement mon pouce contre ma lèvre inférieure avant de tourner les yeux vers lui. "- Il y a des moments où je suis bien. Les soirées que j'ai passé avec toi étaient réelles. Je ne faisais jamais semblant de rien. Je n'avais pas besoin de forcer un sourire. Je pouvais me montrer tel que j'étais. Et c'est ce que je veux... Mais je ne suis pas prêt à le faire avec tout le monde. J'ai encore trop.. De ça, à régler." Quand j'ai avoué la dépression dans un mot et que je refuse de le refaire. Mon expression change un peu et je grimace. Ça me travaille de l'intérieur et je commence à bouger sur ma chaise. Voilà ce qui m'en coûte, de parler. "- J'ai juste peur que tu fuis comme les autres.. Je sais. Tu vas me dire que t'es pas les autres. J'le sais." Parce que tout le monde finit par le dire. Mais... Il ne peut pas m'en vouloir de penser à cette fatalité.



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@Khol Canova
tw : consommation de weed, mention de suicide

tu viens de te livrer à la mauvaise personne, khol. j'ai écouté tout ce que tu avais à me dire et fatalement, je ne sais pas quoi te répondre. ce n'est pas en moi que tu vas trouver un quelconque réconfort parce que je ne sais tout simplement pas faire. comme j'aimerais avoir les bons mots pour te rassurer là maintenant, tout de suite. mais c'est impossible. je bafouille. les mots ont du mal à sortir et je n'ai que ma main dans la tienne pour te remonter le moral. je tente de mettre en avant le sublime créateur que tu es devenu mais je vois bien que le regard que tu me lances est faux. triste. ça me peine tellement de te voir autant en détresse. ton merci est de trop, je vois bien que tu ne le penses pas. j'hausse les épaules parce que je suis à court de mots. et alors que je tire une nouvelle fois sur le joint, tu reprends la parole pour un autre monologue. j'avais deviné pour ton état dépressif, c'est en lien avec ton comportement impulsif. ma tête se secoue légèrement, de droite à gauche quand tu me parles de suicide. c'est extrêmement dur à entendre, j'ose pas imaginer ce que ça doit être de le dire. de te mettre autant à nu. ma mâchoire se serre violement. c'est pas juste. tu n'aurais pas du vivre tout ça. personne n'aurait dû d'ailleurs. c'est d'une injustice sans nom. et je me sens tellement honteux moi d'avoir vécut dans le luxe. certes je n'ai pas eu des parents parfaits mais j'ai espoir de croire que s'ils sont comme ça c'est parce qu'ils nous aiment, ma soeur et moi. je ressens beaucoup de honte et de frustration. tu as cette peur de l'abandon qui est tellement compréhensible. des gens se sont invités dans ta vie et en sont repartis aussi rapidement. tu as cette crainte avec moi et je peux totalement la comprendre. c'est normal que tu penses ça. « oublie ce qu'il s'est passé samedi.. c'est une soirée à nexter pour tous. si on avait pas aussi mal agit ruben et moi, tu ne te serais pas mis dans cet état là. n'y pense plus d'accord ? quant au reste, j'ai bien vu que t'étais dans l'émotion. à l'inverse de moi, tu laisses transparaitre beaucoup plus d'émotions que tu ne le penses. n'ait pas honte de ça. c'est une qualité plus qu'un défaut. il faut juste que tu arrives à les maitriser et ça, ça viendra surement avec le temps. » je parle en connaissance de cause. j'ai réussi à me blinder de toute émotion. elles m'atteignent difficilement. je me lève de ma chaise et m'approche de toi. « je peux ? » lève les bras khol, que je prenne place sur tes cuisses. « allez viens là » j'enroule mes bras autour de toi et te prends dans mes bras. avec l'envie de te caliner depuis ta toute première phrase. je déglutis en silence, difficilement. « quoi que je te dise, tu auras quand même cette peur khol. je n'ai pas l'intention de fuir mais je ne te demande pas de me croire sur parole. je vais te le prouver. et je le ferais autant de fois que nécessaire. » je me recule pour te regarder. plonger mes yeux dans les tiens. « merci de me faire confiance au point de me dire tout ça. je veux que tu continues à ressentir ce que tu viens de décrire. je veux t'apporter des bonnes choses et être là pour toi, autant que tu es là pour moi... je t'avoue que j'ai eu peur. j'ai cru que tu ne voulais plus me voir après le fiasco de samedi soir.. et quand tu m'as repoussé, j'ai vraiment eu peur d'avoir merdé avec toi ... » mes doigts saisissent ton menton et je t'embrasse tendrement. « quand t'es pas bien, tu m'appelles. peu importe l'heure du jour ou de la nuit, tu m'appelles et je rapplique, okay ? ça peut se faire tu crois ? »
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Faceclaim : Christian Daloi
Crédits : me & Tenor
Multicomptes : Ravi, Leone & Grayson
Description (1) : Vincent - Cousin maternel
Tullio - Cousin maternel
Jaël - Petit copain. Addiction.
Cornelius - Il bosse pour sa mère dans son restaurant. Il sait des choses... Les deux se considèrent comme des "cousins" et s'entraident.
Griffith - Très bon ami, ancien plan cul régulier.
Ange - Ancien flirt amical, illégal.. Aujourd'hui une amitié en reconstruction.
Neal - Passé d'ambiguïté italienne... Relation du passé dangereuse. Ami.
Ruben - Aventure. Amitié possible en développement...

Description (2) : Talk to me  - ft. Hans  My4GJ0Pz_o
RPS en cours :
Warnings : Le personnage est sujet à aborder le langage cru, vulgaire, la sexualité (même voir débridée), l'abandon, de la négligence parentale (pas de maltraitance), certaines difficultés psychologiques comme la dépression. La cigarette. L'usage passée des drogues. TCA (trouble alimentaire)
RPS : 122
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Khol Canova
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Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t165950-khol-canova-repertoire-rps#7822362Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t165218-khol-canova-fiche-de-liens

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@Hans Weatfield
tw dans les rps à venir : propos cru/vulgaires, dépression, drogue, passé lourd, pensées noires, traumatismes, difficultés alimentaires, peurs.

Est-ce qu'il comprend, maintenant, pourquoi je ne suis pas à l'aise de visiter le luxe...? Pourquoi j'étais réticent à l'idée d'accepter sa carte magnétique et de me retrouver dans cet endroit...?  Tout ce que j'ai, je l'ai travaillé et je l'ai obtenu de mon dur labeur. Je n'ai jamais cherché la charité de personne, quand au fond je cherche uniquement leur sincérité. Je sais que mes mots sont durs, que personne ne veut entendre parler de possible suicide, d'idées noires. Personne. Pas même moi envers moi-même... Mais je suis prisonnier de mes propres démons. Je sais qu'il n'est pas le meilleur avec les conseils et ce n'est pas ce que je cherche. Je cherche en lui une oreille attentive plus qu'autre chose et je suis désolé s'il m'en tien rigueur... Mais je ne peux plus défaire ce que je lui ai dit. Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter qu'il m'écoute et se montre bienveillant..? Je n'en sais rien, mais j'écoute les mots sans l'interrompre. Parce que j'ai déjà trop parlé. J'en suis surpris lorsqu'Hans se redresse, me demandant s'il peut quand je devine ses intentions et je finis par hocher de la tête, le lui autorisant et je lève les mains pour le laisser s'installer sur mes cuisses. Position qui me surprend, quand j'aurai plus pensé que je serais celui qui viendrait sur les siens. J'entoure ses hanches d'un bras, mon autre main descend doucement sur sa cuisse. Je le retiens ainsi de glisser. L'espace est un peu restreint, mais il ne me gêne pas. En se rapprochant pour me prendre dans ses bras, mon menton creuse gentiment dans le bout sensible entre son épaule et son cou. J'en tourne la tête pour que mon menton se cache un peu dans son cou. Sa chaleur et son odeur semblent m'apaiser juste assez pour diminuer les battements frénétiques de mon coeur. Ma peur de le voir partir. J'ai peur de l'abandon uniquement lorsque je m'attache. Et pour Hans... Je me suis attaché plus fort que je ne l'aurai imaginé. Ange a peut-être raison... Je suis peut-être en train de tomber pour lui, mais cette réalité... Je ne veux pas encore y faire face. C'est trop tôt. C'est trop... Je ne peux pas. Je suis bien avec lui et je veux encore profiter. Ne pas me poser des questions quand le tentateur m'a bien fait réfléchir ce soir là, même autour du verre. "- De toute façon, je préfère les actes..." Que je murmure, toujours contre lui, comme si je refusais qu'il s'éloigne à prèsent. J'ai ouvert une grande partie de mon coeur, sans que ce ne soit tout. Sans qu'il ne sache tout, parce que c'est trop pour moi, tout ce que je lui ai déjà dit. Mais Hans sait l'essentiel. Il sait le pire. J'en lève un peu mes yeux lorsqu'il vient reculer pour regarder et ses mots me touche droit au coeur. Ça me chambarde, quand il m'avoue pour samedi et j'ai envie de répliquer, mais alors que j'en ouvre la bouche, ses doigts contre mon menton m'en empêche et je deviens silencieux. Mes paupières deviennent lourdes lorsqu'il se rapproche et que ses lèvres cherchent les miennes dans un contact plus tendre. Étrangement... Ça ne me gêne pas. Je ne suis pas habitué aux contacts plus tendres, mais je ne me défais pas du sien. Mes doigts sur sa cuisse se serrent juste un peu, mais ils redeviennent normaux bien vite. "- Je crois que nous avons eu peur tous les deux d'avoir merdés... J'vous en voulais, c'est vrai. J'étais pas prêt tout de suite à vous pardonner.. Mais je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à t'en vouloir. J'ai beau être rancunier envers bien des gens. Comme si je disais envers et contre tous... Mais j'y arrive pas. La première soirée... Je voulais être seul, parce que je savais que si tu débarquais, j'aurai juste voulu que tu me prennes contre le premier meuble et que j'en oublie mon prénom. Et ça, j'pouvais pas." Je baisse un peu le menton. "- J'avais besoin de réfléchir.. Et ni ma résidence, ni ta présence ce soir là ne pouvaient m'aider." Étrangement, c'est à mon tour de lui donner un geste tendre et c'est ma main dans son dos qui se fait un peu plus présente, remontant le long de son échine avant de redescendre jusqu'à la base de ses reins dans une douce caresse. "- J'ai cru aussi que tu ne voulais plus me voir après que j'ai fais le con avec les comprimés..." Je soupire avant de venir coller mon front contre son épaule. "- Je crois que ça peut se faire... Je ne pourrais pas toujours y penser, parce que je ne suis pas infaillible. Mais je...." Je m'arrête. Cette fois, je me tends. Oh, Khol... Tu n'en fait plus, des promesses. Je lève le menton pour plonger plus sérieusement mes yeux dans les siens. "- Je te promets de faire de mon mieux et de te contacter si ça ne va pas... Ou du moins, d'te le faire savoir." Même si je ne peux pas toujours le lui dire. Il y aura forcément des moments où j'vais manquer à ce devoir et je l'attire un peu plus vers moi pour que son torse soit contre le miens. Cette fois, mes deux bras viennent l'entourer et je viens le serrer contre moi. Jamais je n'ai donné un câlin comme celui-là depuis mon départ d'Italie. Depuis le départ de l'autre. Et j'en ferme les yeux plusieurs secondes en le serrant contre moi. Oh..Si je pouvais faire un pacte avec le maître du temps pour que tout s'arrête... Mais ce souhait ne se réalisera jamais. Je finis par le libérer pour en poser un baiser de retour contre ses lèvres. "- Merci de m'avoir écouté.. Je ne suis moi-même pas le meilleur en conseils, tu verras... Mais je tenais quand même à te remercier de m'avoir entendu et de ne pas me juger. D'être... Toi et d'être encore là.." Et ça, c'est sincère. Parce que dans mes ambres, il n'y a plus aucun voile. Que la vérité. "- Dort avec moi cette nuit..." Que je finis par murmurer. Les intentions que j'ignore quand il est venu, alors je préfère demander.



(Khol Canova)
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@Khol Canova
tw : consommation de weed, mention de suicide

les actes valent mieux que les longs discours. que les douces et fébriles promesses. nous sommes sur la même longueur d'onde à ce sujet. tu penses comme moi. j'aimerais pouvoir apaiser tes craintes tout de suite mais ce n'est pas possible. il n'y a que le temps qui pourra prouver ma bonne foi. je ne peux pas faire grand chose pour l'instant à part me montrer présent lorsque tu voudras de moi. comme ce soir. sur tes genoux, on se rapproche physiquement pour que je puisse t'embrasser tendrement. calmement. c'est dont nous avons besoin tous les deux, du calme. tu reparles de la soirée de samedi et y'a mon estomac qui se noue à l'intérieur de moi. j'essaie de ne pas trop le montrer. fin sourire qui se veut rassurant mais qui a un fond de tristesse. « t'as bien fait de prendre ton temps pour réfléchir, je ne t'en veux pas du tout pour ça .. mais tu sais, de nous deux, celui qui a le plus merdé et le plus perdu, c'est moi. » je redresse la tête et regarde la ville illuminée. grande inspiration pour finalement t'avouer la vérité, inutile de te la cacher, tu vas la connaitre tôt ou tard. « ruben vient de me poser sa démission, il ne veut plus travailler avec moi » mâchoire qui se serre. je ne pensais pas cela possible un jour. je me voyais déjà avoir trouvé mon binôme professionnel. celui qui m'aidera à assumer toutes ces responsabilités. mon alter égo à ce niveau là. « la chute fait un peu mal là .. tu vois, tu n'es pas tout seul à perdre les gens que tu apprécies. » au-delà de perdre mon assistant, je perds surtout un ami et une personne de confiance. ils sont si peu dans ma vie. ils ne se comptent même pas sur les doigts d'une main. je me racle la gorge et tourne de nouveau ma tête vers toi. t'es mignon de me rassurer. tu vas m'appeler lorsque tu n'iras pas bien. j'affiche un sourire un peu plus sincère cette fois. « merci de me faire confiance, je prends cette promesse attention, tu ne peux plus te défiler maintenant. » t'es obligé de m'appeler ou de le faire savoir. de mon côté, je tiendrais parole aussi. je répondrais présent à chaque fois qu'il le faudra ou que tu auras besoin de moi. tes bras se resserrent autour de moi. tu viens te blottir dans mes bras. mon visage se penche contre ta tête. je ferme les yeux. je me sens bien avec toi khol. apaisé. la guerre est loin d'être terminée des deux côtés mais on fait une trêve dans nos existences. une trêve qui fait un bien fou. je n'ai aucunement envie de bouger de là. de mettre fin à cette étreinte. beaucoup de choses se bousculent dans mon esprit. je choisis volontairement de faire taire la petite voix. ne plus rien ressentir, c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire. mentalement, je range ces derniers jours dans un coin de mon esprit pour ne plus y repenser. chasser la tristesse. l'incompréhension et l'angoisse. je ne ressens plus rien à présent. blindé. une armure mentale contre moi même. j'en ai besoin pour continuer de survivre. j'ai perdu gros ce week-end, surtout que mon père m'a fait part de ses doutes quant à mon mariage. il ne me croit pas et ça j'en ai parlé à personne, pas même à aspasia. y'a rien qui va mais ta chaleur me redonne espoir. réchauffe mon coeur si froid. si fermé et compressé. haussement d'épaule à tes remerciements. « tu n'as pas à me remercier khol » je remets une mèche de cheveux derrière ton oreille pour dégager ton visage. « tu ferais la même chose pour moi » je ne pense pas me tromper en affirmant ça. je sais que tu es présent pour moi. tu me l'as démontré ces deniers temps. je lâche un petit rire pour ensuite te murmurer à mon tour. « avec grand plaisir, je ne comptais pas rentrer maintenant, regarde il pleut » nous sommes protégés par la terrasse d'au dessus. dehors un torrent se déverse sur la ville. il ne manquait plus que ça tiens. je rallume le joint pour en tirer une taffe. puis baisse la tête vers toi. mes lèvres s'entrouvrent, t'invitant à faire de même. je souffle lentement, doucement, la fumée blanchâtre pour que tu l'aspires. ma main glisse dans ta nuque. je ne peux pas m'empêcher de venir capturer tes lèvres. t'embrasser. le moment qu'on vient de vivre était fort en révélations. moi aussi j'en ai à te dire mais je ne sais pas si je trouverais la force de le faire. alors je détourne le sujet. détourne la situation.
(Invité)
Khol Canova

Âge : 26
Lieu de naissance : Milan, Italie (origines et nationalité italiennes)
Quartier d'habitation / Colocation : Sur le campus
Situation sentimentale : 21 juin 2024 : Il a mis sa relation sur pause, sans le quitter suite à un grave accident par la faute de Jaël qui a coûté cher à Khol. (en couple depuis début janvier 2024) C'est en Italie qu'il a officialisé avec Jaël pour devenir son petit ami. Il a dit oui à la relation, oui au bonheur... Même s'il a terriblement peur encore et de merder.
Études / Métier : 9ème et dernière année en mode en septembre 2024
Date d'inscription : 01/10/2023
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@Hans Weatfield
tw dans les rps à venir : propos cru/vulgaires, dépression, drogue, passé lourd, pensées noires, traumatismes, difficultés alimentaires, peurs.

"- Pardon...?" Aies-je soufflé quand il parle de Ruben et mon expression devient plus sévère. Plus amère. Quand cette fois le plus timide venait de franchir une autre limite chez moi. Déjà me laisser pour compter sans aucune explication et maintenant il laissait tomber Hans... Me voilà sur le point d'être énervé, mais je me sens un peu mou entre ses mains. Je sens ma tête être un peu plus lourde. Je suis vraiment désolé pour lui et je serais là pour soutenir l'homme qui est contre moi. Je ne connais rien dans son domaine d'études, mais je veux être présent comme je le peux. Mais au fond c'est peut-être de ma faute. C'est sûrement de ma faute. Et là j'en sens une culpabilité qui ne devrait pas exister. Un son s'échappe. Faible. Comme un gémissement de douleur, quand c'est exactement ce que c'est. La douleur d'un coeur autrefois trop fragile qui s'est barricadé jusqu'à souffrir un peu de nouveau. Le timide... Je pensais même pouvoir m'en rapprocher pour peut-être en développer une sorte d'amitié quelconque. Difficile peut-être au départ, mais je le pensais. Et ça me fait mal. Parce que je me rends compte que c'est assurément aussi de ma faute.

Je suis blotti contre lui, même si l'aîné est assis sur mes jambes. Je le serre doucement contre moi, ma tête se cachant dans son cou. Je le sens qu'il bouge un peu, que sa main replace la mèche de mes cheveux. Je redresse le menton afin de pouvoir le regarder dans les yeux. J'aime l'entendre rire, même si c'est peu. Mes paupières se ferment temporairement avant que je ne les rouvre pour regarder. Je n'avais pas fait attention à la température et pourtant j'adore la pluie. J'adore tellement... La regarder et me mettre dessous comme un imbécile aussi. Et je sais que c'est la même chose pour lui. Je l'espère, du fond de mon coeur, quelque part.

Le joint se rallume et je l'observe. La fumée s'envole et j'ouvre les lèvres quand il souffle. Docile, à aspirer la fumée jusqu'à fermer les paupières encore lorsqu'il vient poser ses lèvres aux miennes. Je penche un peu la tête vers l'arrière, sa main contre ma nuque et j'aspire la fumée qui vient pénétrer dans mes poumons. Je serre un peu mes doigts contre sa cuisse, mais je finis par soupirer lentement des narines. Hmm... J'adore ce petit geste. Meme les plus petits ont parfois le don de me rendre plus.. doux.

Mes mains glissent cette fois sous son haut. Elles sont un peu froides je le sais, mais elles glissent sur sa peau basanée, grimpant jusqu'à ses reins que je serre un peu afin de le maintenir contre moi. Je suis patient pour le jour où il voudra inverser, mais il m'a donné libre cours à pouvoir le toucher. C'est ce que je fais et je le veux. "- Encore.." que je demande en pointant le joint du menton afin qu'il réitère son geste avec ses lèvres. Que je puisse être gourmand et qu'il recommence. Un petit sourire apparaît sur mes lèvres. Et je ne le force pas à parler. Il se confiera à son tour le moment venu. Je viens poser mon menton contre son épaule et j'émets un petit soupire. De bien-être, cette fois.
"- Ce que j'adore la pluie..." Que je murmure. "- Avec toi contre moi c'est encore mieux.." Je serre juste un peu plus, mes doigts qui prennent possession de sa peau. "- On a du temps... Parles moi quand tu te sentiras prêt. Ce soir. Demain. Le mois prochain. Je n'ai jamais été le genre à pousser pour recevoir des confessions. Ça doit venir de toi. Je devais le faire... Parce que j'étouffais et que je voulais aussi que tu saches pourquoi je réagis d'une certaine façon..."

Je finis par reculer la tête, non sans poser un baiser dans son cou et je finis par le regarder. "- Je sais pas exactement ce que je ressens. Les questions ne doivent pas trop se poser... Mais une chose est sûre c'est que je te veux dans ma vie." Et ça, j'en graverais la pierre.



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@Khol Canova
tw : consommation de weed, mention d'enlèvement, adoption, trafic d'enfant

j'ai perdu cher dans toute cette histoire. l'impression qu'un point de non retour s'est formé avec ruben. on a mal fait les choses. j'ai mal fait les choses peut-être. cette histoire de petit ami, ma femme. les conditions n'étaient pas bonnes pour qu'on puisse matcher. pas maintenant en tout cas. mauvais timing ? j'en sais rien. toujours est-il que je suis dégoûté de le perdre. je perds mon assistant, mon ami et sans doute mon meilleur ami. j'ai les boules mais je ne suis pas venu pour me lamenter sur mon sort. surtout pas avec tout ce que tu me balances sur ton passé. avec ton coeur que tu m'ouvres volontairement. j'ai pris place sur tes genoux. surpris de l'étreinte qu'on échange, à ton initiative. joint qu'on reprend là où on l'a laissé. ce mood me fait du bien. première fois que je me sens aussi vulnérable mais en même temps, aussi compris. je ne t'ai encore rien dit sur moi, sur mon passé mais je sais que tu sauras l'entendre. l'écouter. tu n'en feras pas bon usage. tu t'es livré à moi à un point inimaginable. je me dois de faire pareil. j'en ai envie. ce secret me ronge depuis tellement de temps, il est temps que ça sorte. qu'au moins une personne soit au courant. une personne en plus du concerné. tu réclames encore une soufflette. je rigole légèrement et renouvelle l'expérience avec envie. je t'embrasse un peu plus longtemps cette fois. on a beau parler de choses sérieuses, tu n'en restes pas un mois qui me plait beaucoup physiquement. tu m'attires et j'ai bien du mal à rester sage. dès que l'occasion de toucher tes lèvres m'est donné, j'en profite allégrement. t'en profite aussi. ta main caresse mon dos. tes doigts glissent sur ma peau avec aisance, ça me fait du bien de te sentir aussi à l'aise avec toi. tes initiatives me plaisent, tu le sais déjà. je ne te repousse pas, bien au contraire. lis dans mon sourire à quel point j'aime ça. mèche de cheveux replacée derrière ton oreille. je capte que la pluie tombe dehors. rafraichissant l'habitacle. raison de plus de se coller l'un à l'autre. «  t'aimes bien la pluie à ce point là ? » tu piques ma curiosité à lancer des phrases comme ça. et tu sembles deviner que j'aimerais bien me livrer un peu plus sur moi. sur ma vie. c'était le deal de départ. tu le fais et je me lance aussi. c'est beaucoup moins facile à faire une fois devant le fait accompli. tu te montres si compréhensif avec moi. m'assure qu'on a le temps, que je ne suis pas obligé de le faire tout de suite. je comprends où tu veux en venir mais finalement, faire trainer les choses ne changera rien au problème. je ne réponds rien à ça. mais la phrase que tu lances juste après m'assomme un peu. t'es lancé dans les révélations, tu ne t'arrêtes plus. t'as ouvert le livre à paroles, tu ne sais plus t'arrêter ? tant mieux, j'aime ta sincérité et ton honnêteté qui rend le moment vraiment spécial. « ça tombe bien, je te veux aussi dans ma vie.. donc ne te pose aucune question qui pourrait être dérangeante s'il te plait. vivons le truc comme il doit être vécut. j'ai pas envie qu'on se mette des barrières inutilement. j'ai pas envie d'en avoir avec toi. » mes doigts apportent le joint à mes lèvres pour en fumer une taffe. la dernière que je fumerais ce soir. je te donne le restant d'ailleurs. je prends une grande inspiration avant de me râcler la gorge. « okay, à mon tour de me livrer. et après ça j'aurais besoin d'un verre. » je tente de rigoler légèrement mais je deviens surement un peu pâle. c'est la première fois que je me lance sur ce sujet là. je ne sais même pas par où commencer. « je n'ai jamais parlé à personne de ça mais en réalité, mes parents ne sont pas mes parents biologiques. je devais avoir 8/9 ans, ma mère est venue me voir dans ma chambre après une soirée arrosée. elle avait un peu trop bu je pense ... et elle m'a balancé une phrase que je ne pourrais jamais oublier. elle pensait que je dormais et elle m'a dit : hans, j'espère que tu pourras nous pardonner un jour de ce qu'on a fait, j'aurais aimé être ta mère biologique, j'aurais aimé te donner la vie. elle a quitté ma chambre sur la pointe des pieds et le lendemain, je suis sur qu'elle ne se souvenait plus de rien. cette phrase khol, elle m'a littéralement hanté toute mon enfance. et dès que j'en ai eu l'occasion et le fric, j'ai contacté un détective privé. les recherches ont pris trois ans. trois putain d'années et il a finit par découvrir la vérité. je ... mh ... je ne suis pas né à paris comme tout le monde le croit. je suis né à bali lors d'un voyage de mes parents. je suis né là bas, dans un petit hôpital.. le truc c'est que là bas, le trafic d'enfants est un véritable fléau. j'ai été enlevé. ma mère biologique est parti en vacances enceinte de jumeaux, elle est rentrée en amérique avec un seul bébé. les weatfield ont dépensé une somme astronomique pour ... m'acheter ? ouais m'acheter, y'a pas d'autres mots de toute façon. ils sont restés 8 mois en france pour faire croire à une grossesse.. j'en viens même à me demander s'ils n'ont pas payés pour l'enlèvement d'un enfant me ressemblant. mais bref.. mon père n'est pas mon père et il n'est pas au courant que je le sais. tu vois avec cette putain d'information là, tu peux ruiner ma famille.. mais je ne dis rien pour l'instant. et c'est aussi pour cette raison que j'ai choisi harvard et pas une autre université à paris ou ailleurs dans le monde. j'ai un frère jumeau et il est là ... sur boston. on s'est rencontrés il y a un mois.. il ... me ressemble comme deux gouttes d'eau. une copie conforme putain. il n'a rien dit à ses parents. personne ne dit rien, on essaie d'apprendre un peu à se connaitre. mais je suis assez perturbé par tout ça. c'est encore plus dur pour moi d'accepter la pression de mon père, tu t'en doutes bien khol. je vis avec ce secret depuis tant d'années. je ne comprends pas comment on peut agir de cette façon, comment on peut manquer d'humanité à ce point là. tu vois, j'ai peut-être vécut dans l'opulence et dans une famille présente pour moi, l'envers du décor fait froid dans le dos...  » okay là j'ai besoin d'un verre.
(Invité)

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