― Parce qu'à l'époque ils préféraient les petites. Mais bon c'est vrai qu'objectivement une statue de Valentin serait bien différente, même si tu ne l'avouera pas à voix haute. ― Evidemment, c'est mon clic clac ! Je l'ai choisi avec soin pour quand tu viendras dormir chez moi. Même si vous savez qu'il finira toujours dans ton lit... ou toi dans celui de l'atelier finalement. ― C'est vrai qu'il est magnifique Le radeau de la Méduse, bien qu'un peu glauque. Super important pour les français. Mais bon, pas sûr qu'ils s'en rendent compte ceux-là, les gens ne s'intéressent pas suffisamment à l'Art et à leur histoire. Tu éclates de rire en repensant à la reproduction du Cri de Munch par Valentin. ― Je m'en souviens très bien. C'était... original. T'aurais bien voulu voir la tête de la prof quand même. ― Si ! Je te l'ai dit, j'ai des bébés abdos qui apparaissent. T'es juste jaloux parce que moi je les ai sans rien faire. Enfin si, t'as participé à un mois de compétition. Ton regard se baisse sur vos mains unies. ― Désolée mais je ne peux dire que la vérité, Rothschild tu murmures. C'est toi où l'ambiance a changé d'un coup ?

@Valentin Rothschild

SHE DOES NOT CARE ANYMORE

 j'aurais pas pu vivre à l'époque alors que je dis sur un ai faussement pensif.  oh c'est gentille, tellement d'attention t'aurais pas dû que je dis en rigolant. en réalité je dos un peu partout. quand je fais du camping c'est pas toujours du grand luxe, mais ça va avec le côté aventure.  ouais il est tragique c'est vrai. je trouve justement que le drame derrière la beauté du coup de pinceau se comprend en un regard. il me touche, je l'aime beaucoup ouais j'suis pas qu'un corps musclé, j'ai aussi un cerveau et une sensibilité artistique. mais ça tu le sais déjà.  faudrait que je le retrouve, ce serait drôle j'aurais peu-être dû te demander des cours de dessin à l'époque d'ailleurs.  c'est ça t'as tout compris, j'suis grave jaloux que je dis en riant. pas du tout, parce que j'aime pas rien faire. j'ai la bougeotte.  si tu pouvais dire que la vérité tu dirais pas ça andouille les mots qui sont taquins mais mon regard qui se pose sur toi. un peu comme si c'était la première fois. ton beau sourire, ton regard brillant, tes mains douces dans les miennes. il est la le vrai chef d'oeuvre du louvre à mon coeur.


@Olympia Wolford

― Si mais personne n'aurait voulu de toi et de ton pénis. T'aurais été tellement malheureux. Parce que bon, il pourrait difficilement se passer de son harem le Rothschild, et ça t'agace un peu. Tu le regardes quand il parle de son tableau préféré. Ça te surprend toujours quand il parle avec aisance d'Art ou de sujets similaires, bien que tu sais qu'il s'y intéresse un peu. C'est l'une des choses que t'aimes le plus avec lui : avoir des conversations intéressantes et profondes, partager des idées, des opinions. ― Il est pourtant si loin d'être aussi touchant que ta revisite du Cri. Tu devrais exposer ta version sur ton frigo pour que tout le monde puisse l'admirer. Tu t'étais bien marrée à l'époque quand tu l'avais vu. ― Bientôt je serais plus musclée que toi. Tu lui tires la langue pour le taquiner. C'est impossible et ça serait super moche. Tu es trop fine, trop menue. ― Je dirais quoi alors ? Qu'il est incroyablement beau, probablement, surtout quand il te regarde comme ça, comme si t'étais la plus belle chose à ses yeux. Et tu te détestes d'imaginer que ça pourrait être le cas. Les doigts s'entremêlent, tes pouces caressent délicatement le dos de ses mains. Tu as l'impression que le temps s'arrête, il n'y a plus que vous, rien d'autre ne compte.

@Valentin Rothschild

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 j'suis persuadée que quelques rebelles auraient adoré ça la question c'est toi, t'aurais aimé ? je secoue doucement ma tête pour chasser les quelques images qui commencent à naitre dans mon esprit. souvenir de cette nuit de camping, où on était complètement dans notre bulle. une bulle qui a explosé depuis.  j'ai toujours su que j'avais une âme d'artiste que je dis en souriant, mes fossettes qui se creusent un peu plus sur mon visage. il parait que c'est super attirant, moi pourtant je les ai jamais aimé.  tu seras jamais plus musclé que moi Pia, rêve pas. t'aura jamais mes abdo que je dis en lâchant une de tes main pour venir tapoter ton ventre, y laissant trainer ma main, quelques secondes avant qu'elle ne glisse sur tes hanches.  ni même ça ma main qui effleure tes fesses alors que mes sourcils se soulèvent pour te provoquer.  tu dirais que je suis beau, incroyablement attirant et surement tout un tas d'autre chose je chuchote à présent, laissant mon corps s'approcher un peu plus du tien.


@Olympia Wolford

Son sourire est contagieux parce que tes lèvres s'étendent des deux parts de ton visage. Il n'y a que lui pour te faire sourire si grand. Tu admires les fossettes qui se creusent entre les coins de ses lippes et ses joues, tu ne t'es jamais rendue compte à quel point tu trouves ça attirant. Tout chez Valentin Rothschild t'attire de toute façon, et c'est difficile à vivre, surtout quand vous ne devez être qu'amis. ― Bon ok, mais de toute façon ça serait super moche sur moi. ça jurerait horriblement avec le visage de poupée et le corps trop chétif, bien que plus athlétique depuis cet été. Tu évites de justesse un frisson lorsque sa main se balade sur ton ventre, puis sur tes hanches, avant de venir effleurer tes fesses. Tu essayes de ne pas montrer à quel point ça te déconcerte. ― Par contre j'ai de jolies fesses, elles sont mieux que les tiennes que tu réponds d'un ton enjoué pour répondre à sa provocation. Sauf que tu fais moins la maline, Pia, quand vos corps se rapprochent, que tu peux sentir son parfum enivrant. La proximité te déconcentre, tu ne penses plus à rien d'autre que vous deux. Tu es dans votre bulle. ― Menteur... tu souffles alors que tes lèvres sont dangereusement proches des siennes. Menteur c'est ce que tu dis toujours quand tu ne sais plus quoi répondre, quand il a raison mais que tu refuses de l'admettre. Menteur, presque comme un code de votre complicité. Pourtant il ne ment pas, parce que tu le trouves incroyablement beau et attirant. Beaucoup trop. Le temps reste en suspens un moment, jusqu'à ce que tu te hisses sur la pointe des pieds pour venir sceller vos lèvres dans un baiser passionné.

@Valentin Rothschild

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 j'sais pas, ce serait .... différent ?  j'aime les filles musclée, celle qui aime faire du sport et qui pourrait partager cette passion avec moi. bon, c'est pas toi, mais ça je le sais depuis toujours, ça ne m'a pas empêché de m'attacher et puis.. c'est toi quoi. elles sont jolies j'peux pas le nier  que je souffle sur ton visage, tout en souriant discrètement, laissant ma main effleurer tes fesses à nouveau. je ne mens jamais quand il s'agit de toi et moi  que je lance, maintenant ton regard, ne reculant pas, ne cédant pas à la pression qui monte entre nous. hors de question que je fuis. un regard, aller retour entre tes magnifiques yeux et tes lèvres. cèdes. s'il te plait. voeux exhaussé quand tu te hisses sur la pointe des pieds et que tes lèvres viennent percuter les miennes. d'abord un baiser chaste et doux mais très vite la douceur disparait pour laisser place à la passion. ma langue qui glisse contre la tienne, une main qui attrape ta chevelure pour plaquer garder encore ta bouche contre la mienne et mon autre main qui empoigne ta taille pour coller ton corps au mien.


@Olympia Wolford

Tu sais que si vous n'aviez pas votre long passif derrière vous, Valentin et toi ne seriez probablement pas amis. Trop de différences entre vos caractères, vos hobbies, vos goûts et vos attentes qui sont parfois totalement opposés. Pourtant le destin a forcé les choses pour vous rendre inséparables, pour te rendre totalement dépendante de celui qui est ton meilleur ami, celui pour qui tu as éprouvé des sentiments dévastateurs, celui pour qui tu serais capable de remuer le monde entier. C'est vous, inexplicablement. Pourtant ton sourire s'efface lorsqu'il dit ne jamais mentir à propos de vous. Tu comprends les sous-entendus de cette affirmation, t'aimerais y croire, mais après ces derniers mois tu te forces à ne plus rien attendre du Rothschild et de ses sentiments à ton égard. Pourtant le cœur s'emballe quand même, il te trahit en espérant plus que de simples mots ou des caresses furtives. Alors tu prends les devant en venant sceller tes lèvres aux siennes, et le baiser d'abord doux et chaste devient rapidement plus passionné. Les langues se mêlent dans une danse endiablée et les corps se collent, cherchant désespérément le contact. Et tu oublies tout. Tes mains se posent sur son torse, tu sens les muscles sous la chemise que tu agrippes pour rapprocher Val de toi comme pour faire disparaître le moindre millimètre qui pourrait vous séparer. Mais tu veux encore plus, éternelle insatisfaite.

@Valentin Rothschild

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 on ne devrait sans doute pas se mettre dans des situations pareils. certains diront qu'on est juste deux meilleurs amis en balade à Paris. mais nous on sait qu'à chaque secondes où on se retrouve seul, c'est un risque en plus de tout compliquer. même si on s'est mis d'accord pour tenter de retrouver notre amitié. ça ne change rien au fait qu'on soit irrepressiblement attirés l'un par l'autre. de tel sorte que mon regard n'arrive pas à se maintenir dans le tien, il glisse sur ton corps. apprécie le décolleté de ta robe. et résultat, mes mains s'approchent dangereusement de ton corps, le touche, le caresse même. et très vite tes lèvres se retrouvent contre les miennes. plaisir dangereux dont je me détecte. je sais que c'est pas bien, que ça complique tout, que t'as un mec. mais Styx, j'en ai strictement rien à foutre. je te veux et je n'ai aucun respect pour lui. alors ma langue se glisse entre tes lèvres, venant jouer avec sa jumelle. tes mains qui s'accrochent à ma chemise et me colle contre toi. j'ai besoin de prendre ma respiration alors je pose une main sur ta joue, pour nous détacher quelques secondes le temps de respirer. eh mauvaise idée de m'embrasser parce que tu vas me donner envie de plus et c'est pas compliqué pour toi de réveiller certaines partie de mon corps.  

@Olympia Wolford

Vous jouez avec le feu, t'en es consciente Pia. Tu ne devrais pas céder à la tentation, écouter ton cœur aux tendances chaotiques. Ça va mal finir, tu le sais avant même que ça commence réellement. Tu vas souffrir, encore. Pourtant t'oublies tout, la logique et la raison. Plus rien n'a d'importance lorsque vos lèvres se scellent et que ses mains se baladent sur ton corps. Tu ne penses plus à Styx resté au summer camp, tu ne penses plus aux semaines passées à tenter de prendre de la distance avec ton meilleur ami. Il n'y a que Valentin qui compte, comme toujours. Il n'y a toujours eu que lui. ― et si j'ai envie de plus justement ? que tu murmures lorsqu'il sépare vos lèvres pour que vous puissiez respirer. T'as le souffle court, le myocarde qui déraille. Tu te sens incroyablement vivante. Les yeux perdus dans les siens, un sourire se dessine sur tes lèvres gonflées. Un défi.

@Valentin Rothschild

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