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( along charles river ) la coloc

@Quincy Adler

ça te blases cette situation. tu regrettes pas d'avoir jeté ton dévolu sur cette boule d'poils trop cute. franchement, pas du tout même. mais tu pensais pas non plus que ça t'amènerais à quitter cette coloc que t'occupais depuis deux ans. t'essayes d'pas le montrer, mais t'es perdue. tu crèches un peu à droite à gauche depuis quelques jours, attendant d'avoir un nouveau chez toi. adler t'as gentiment proposé de t'aider, surement pour pouvoir prendre ta chambre et ton lit au plus vite. c'est vrai que t'avais de la chance toi. tu vivais une vraie vie d'princesse ici. la chambre la plus grande, celle avec la plus belle vue, tout ça tout ça.. sans parler du lit king size. c'dernier fait ENFIN irruption dans la chambre, tandis que toi, t'essayes de te retrouver parmi tout c'bordel ― MAIS.. pourquoi il râle lui ? rooh. tu prends le premier fringue qui te tombes sous la main et lui lances dans la tronche, c'est peut-être un soutif, mais pas grave ― râleur ! c'pas ma faute si j'ai trop d'choses et c'est bb Q qui a mit l'bazar, j'arrive à rien ! AIDE MOI VIEUX Q ! ah oui, t'as un peu zappé, dans l'feu de l'action, qu'il y a une bonne heure il voulait te plier en dix pour te foutre dans une valise... mais au lieu de remplir sa tâche, il s'met à papouiller bbQ.

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( along charles river ) la coloc

@Quincy Adler

regard qui s'fronce dès que tu le poses sur lui. non mais, adler, quincy, enfin vieux Q, il t'pousses à la violence. après il vient se plaindre que tu te comportes telle une psychopathe mais eh, il abuse hein ? regardez le à s'moquer de ta taille de bonnet. c'est bête pour lui, mais t'as aucun complexe avec tes minis boobs. de toute manière, t'as pas le choix que de les aimer. et au moins, t'as pas mal au dos. ― t'es vraiment entrain de clasher la taille d'mes boobs là ? regard désespéré pour lui. tu l'vois le jeter parmi les autres fringues. faisant une mine déçue. ― quoi, tu voulais pas l'garder en tant que nouveau doudou ? ya même mon odeur encore dessus. ouin. ― NON ! là c'est juste la valise pour aller chez mon pote. j'resterais que quelques petits jours chez lui. pas la peine de prendre toute ma garde robe. j'veux juste ranger correctement tout c'bordel quelque part pour que tu puisses récup' la chambre. ALORS.... tu viens saisir sa cheville, puis tires dessus d'un coup, le faisant difficilement glisser le long du lit et évidemment, il veut pas te rendre la tâche facile ―DEPECHE TOI DE M'AIDER SINON T'AURAS PAS LA CHAMBRE ! tu seras obligé de dormir au milieu d'mes soutifs et de mes habits qui empestent encore la clope ! aussi lourd qu'un parpaing celui là, on dirait pas.

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( along charles river ) la coloc

@Quincy Adler

regard noir que tu lui lances quand il continue dans sa lancée d'être médisant ― tu mérites pas que j'te montres que j'peux même t'étouffer avec. non c'est faux, tu ne peux pas. t'arriverais même pas à boucher ses narines pour l'empêcher de respirer. ― si c'est qu'ça, j'peux retirer celle que j'ai et te la donner. vraiment, tu t'attendais à des défis plus compliqués, venant de lui. MAIS NON. c'est pas l'moment, ya pas l'time là. l'heure est grave, tu dois faire tes valises. enfin, ta petite valise. il vient s'échouer sur le lit, et tu te dis qu'ici il ne te seras vraiment d'aucune aide le garçon. inutile de dire que tu le laisseras pas se prélasser de la sorte, tel un pacha, plus longtemps; cheville que tu saisis, tu t'efforces de le tirer, mais chaud chaud cacao ― N-NO-N. j'suis pas allée à la salle, j'irais PAS à la salle, lève toooi. tu couines tout en suant comme une porcinette, alors que bbQ s'en donne à coeur joie dans l'immense chambre. tout c'que t'as eu le temps de plier, il le déplie. tu vois l'carnage quand vieux Q parle de bb Q, profitant de faire une pause. tes petits bras sans muscles te remercient ― il s'en moque. il préfère tout détruire. est ce que t'es à moitié entrain de chouiner en voyant ça ? oui. et quand tu reposes ton attention sur le plus puéril des deux quincy, tu le vois, s'mettre en position bronzette. non mais, il sert à r à part t'enquiquiner lui. tu lâches un profond soupire en haussant les épaules. désespérée et épuisée. puis t'as le smile espiègle qui s'braque sur les lèvres d'un coup, ne prêtant même pas attention à c'qu'il venait de dire. tu te contentes d'avancer jusqu'au rebord de ton lit, te faufilant un peu plus à côté de lui en grimpant sur le matelas, la mine enjôleuse, battant presque des cils, alors que ton regard se balade le long de sa silhouette, venant se braquer enfin dans le sien et tu viens choper discrètement quelques vêtements posés non loin d'la tête de quincy, et en l'espace d'un quart de secondes, tu viens écraser la pile de vêtements sur sa face, t'acharnant sur lui en venant prendre une pose à genoux ― JSAIS PAS COMMENT FAUT SE FAIRE COMPRENDRE AVEC TOI. LA MANIERE FORTE HEIN ????? que tu dis en le secouant dans les sens. bon évidemment, ça ne dure que deux trois secondes, le temps qu'il arrive à maitriser la furie qui est en toi. oh ça va, t'allais pas vraiment l'étouffer non plus. t'as toujours besoin de son aide pour ranger c'bordel.  

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( along charles river ) la coloc

@Quincy Adler

chelou il relève même pas le fait que tu le menaces de l'étouffer avec des boobs. encore une fois, ça prouve qu'ils font pas bien peur. t'peux comprendre. tu sais qu'ils sont minuscules et po du tout effrayants. tu déploies ta force pour l'motiver, mais en vain. puis t'as aucune envie d'faire des efforts en allant à la salle. t'es pas faite pour le sport. ya qu'à t'voir jouer au tennis. c'est une cata. t'es molle comme pas possible. mais là, t'arrives à quelque chose. bon tu l'déplaces de quelques millimètres seulement mais eh c'est déjà pas mal. tu sues comme pas possible, tu serres tellement la mâchoire que tu t'es à deux doigts de te déchausser toutes les dents. t'uses d'une autre méthode. tu joues la carte de la séducti- ehm, séduction selon alix. tes prunelles qui détaillent sa silhouette, l'sourire enjôleur aux lèvres, faisant tes petits yeux d'biches et BAM tu l'attaques alors qu'il baisse sa garde. krkrkr. so proud de toi. il l'a pas venue venir celle là hein ? tu l'secoues dans tous les sens, et que vu que t'as le dessus sur lui, c'est bien plus simple que tout à l'heure. ouais tu l'as pris en traite et alors ? tu t'épuises, de plus en plus, mais pas grave. peut-être que ça va l'motiver à se lever pour t'aider. que neni. il reprend d'la force et te retournes sans même que tu l'vois venir, sur le matelas. ah bah ça te calmes d'un coup. rooh, pourquoi tu te fais toujours maitriser comme ça ? il tente de calmer la furie que t'es devenue durant quelques secondes. respiration saccadée que t'essayes de calmer. il t'menaces et après quelques instants de silence, tu lui éclates de rire à la tronche ! comme ci t'allais prendre peur en lui suppliant de t'épargner. ― t'as d'la chance, j'ai oublié mes bases de taekwondo, sinon je t'aurais retourné direct ! à quelle heure t'as fais du taekwondo toi ? bon il est pas censé savoir. peut-être qu'il s'doute quand même que t'es nulle dans tous les sports par contre. ça c'est un fait avéré depuis des lustres maintenant. puis tu regardes le tas de vêtements qui pend au dessus de ta tronche, et saisis la nuisette transparente pour la balancer devant son nez ― j'te la donnes celle là. elle moulera ton petit cul à la perfection. puis tu la balances au dessus de ta tête, et lâche un long soupire, molle comme une poupée d'chiffon ― j'ai plus d'force pour quoi qu'ce soit. j'sais que c'est la fin pour moi, alors vas y étouffe moi, qu'on en parle plus. t'as l'champ libre. bras qui se relâchent, jambes pareil... en vrai il t'a épuisée comme jaja. déjà que t'as pas trop de ressources niveau énergie, là c'est trop. tu pourrais l'contrer encore en venant lui pincer l'entrejambe, mais tu sais qu'au bout du compte, tu perdras.

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( along charles river ) la coloc

@Quincy Adler

biensur que tu sais c'que c'est du taekwondo. enfin t'imagines que c'est un peu comme le judo non ? des arts martiaux quoi. par contre qu'il te demandes pas de lui expliquer les règles, parce que là, t'en es incapable. le principal c'est qu'il s'imagine dans sa petite tête que si t'es capable de le prononcer correctement, c'est que t'en connais un minimum ? bof, ça c'est pas sur qu'il s'dise ça mais pas grave. il s'moque en plus. fronces les sourcils instantanément, faisant mine de bouder. tu t'vengeras. tu sais pas comment mais tu trouveras. t'attrapes une de tes nuisettes qu'il tient en main, puis roules des yeux quand il dit qu'il savait que tu mâtais son cul. comme ci c'était un truc de fou ― biensur que j'le matte ton petit cul. à chaque fois que j'le vois j'ai une envie d'le claquer, t'imagines même pas ! un petit cul rebondi comme ça, c'est grave tentant, mais pas envie d'y laisser ta marque dessus et qu'il vienne chouiner parce que ça brûûûle, ouin ouin. non en réalité, vieux q a joli petit derrière. c'est un fait. bref, c'est mal parti pour toi là. t'es entrain de capituler, faisant semblant d'agoniser sur le lit. t'es à bout de souffle. en même temps, le remuer dans tous les sens, c'est super physique et tout l'monde sait que toi, t'es loin de l'être. limite pire que si t'avais couru un marathon. faut ralentir sur le bédo, la clope tout ça. c'pas bon pour la santé et c'est dans ses moments là que tu t'en rends vraiment compte. tu lâches l'affaire. même s'il te laisser récupérer un peu, ça marcherait pas. t'es plus d'jus. ya plus rien là. alors ouais, t'es une ouf toi, tu le laisses faire ce qu'il veut. carte blanche babe. s'il veut t'plier en dix, qu'il le fasse. tu peux plus te défendre de toute manière. mais que ce soit rapide, que tu souffres pas trop quoi. dans ta tête, il s'en passe des scénarios possibles. bon, généralement dans ta tête il s'passe des trucs chelous. tu ricanes à sa remarque comme une petite diablesse, puis hausses les épaules en roulant des yeux ― d'habitude, si j'le dis je m'attends à ce qu'il descende un peu plus bas. sourcils que t'agitent puis regard qui se focus sur vos deux bassins, sourire espiègle au coin des lèvres. vraiment la position est spéciale. mais drôle. c'est original ceci dit pour une fin imminente. oui parce que là c'est censé être la fin pour toi bientôt. mais il s'met vite en mode séducteur là. restes figée quelques instants sans vraiment rien faire à partir soutenir son regard. sourcils qui se froncent, t'as les doigts qui te démangent d'un côté et de l'autre t'apprécies pas mal la proximité qui s'est installée entre vous. c'pas comme ci quincy avait un oeil qui disait merde à l'autre et qu'il avait qu'une dent quoi. mais sans grande surprise, la connerie te reprends vite, parce qu'il n'est question que d'ça à chaque fois qu'il est dans l'coin lui. tu fronces les sourcils, grimace longuement puis fait mine de sentir quelque chose, rapprochant ton nez de visage ― t'as bouffé de l'ail ? tu pues du bec. tu reposes ta tête sur le matelas, le fixe quelques instants et éclates de rire. ravagée la gosse.