« putain mais rép.. » et j'ai pas le temps de finir ma phrase que tes mains viennent attraper mon visage et tes lèvres se posent sur les miennes. coeur qui loupe un battement, mes yeux qui restent ouvert pour être sur que c'est bien en train d'arriver. et quand tu t'éloignes de moi, je me rends compte que je respire toujours pas.  « pourquoi ? » pourquoi tu nous fait ça ? je déteste ça et en même temps putain, ça m'a tellement manqué.

@Aidan Nesbitt
Panique à bord, tu ne sais pas vraiment quoi répondre. Une bouche qui s’ouvre sans un son, regard perplexe, lèvres qui ne savent quoi dire avant de refermer, une déglutition. Cœur qui s’emballe comme lors d’une course intense. ❝ Je … euh … beh … pardon. Dernier mot lâché précipitamment. Seule mot presque audible. Tu retournes à ta terrasse, allume à nouveau une cigarette, lui tournant le dos. ❝ T’es trop conne capucine, trop conne. Te murmures tu de colère.

j'suis décontenancé, je m'attendais pas à ça en fait. j'avais pas prévu que les choses tournerait de cette manière. et j'suis incapable de réfléchir en fait. parce que j'suis Aidan, pauvre humain qui réfléchir plus souvent en laissant aller ses pulsions qu'en contrôlant et en analysant les choses. alors j'te suis sur la terrasse. j'attrape ta clope et je l'écrase dans le cendrier. « tu pars pas comme ça » que je dis avant de venir poser une de mes mains sur ta taille pour te coller contre moi, une main sur ta joue pour attirer ton visage à moi. et sans aucune hésitation je viens t'embrasser à nouveau.

@Aidan Nesbitt
A peine le temps de tirer sur cette cigarette que le blond vient l’écraser te faisant sursauter. La panique en plein cœur. Tachycardie qui s’accélère un peu plus encore lorsqu’il vient poser une main sur ta taille pour rapprocher vos corps. Phrase qui tourne en boucle dans ta tête : il fait quoi ? Et soudain une sensation d’un cœur qui se stoppe en plein course, chaleur de sa main sur ta joue, pression de ses lèvres contre les tiennes. Désir trop puissant pour stopper cet échange, main qui souhaite ne rien rompre, reprenant place comme cet été sur sa joue. Sensation d’un ventre léger, comme si on papillonnait à l’intérieur. C’est comme un soulagement qui s’empare de toi, un manque qui s’éteint.

j’suis incapable de stopper ce qui est en train d’arriver, incapable de m’arrêter. ta bouche contre la mienne, j’ai pas le force de nous séparer. pas la force, pas l’envie. j’ai juste envie de te presser un peu plus contre moi, te prendre dans mes bras et t’embrasser plus langoureusement. entre ouvre mes lèves, laisse ma langue retrouver la tienne pour un baisser chaud et humide. deux corps qui se connaissent et qui se retrouvent. mon corps qui pousse un peu le tien en arrière, te colle contre le mur de ta terrasse, complètement subjugué par la situation : nos retrouvailles, les vrais.

@Aidan Nesbitt, le 27/09
Des heures, des jours, des semaines que tu meurs d’envie que ce contact physique de reproduise. Manque viscéral qui se comble sous ses mains, ses lèvres qui viennent te posséder. Poussée contre le mur, plaquée entre ce dernier et Aidan, le désir, l’envie irrésistible te pousse à guider cette main posée sur ta joue à descendre et caresser ta taille. Baiser humide qui semble être plus vibrant, envoûtant que dans tes souvenirs, ton autre main rejoint son visage. Passion au bord des lèvres, t’es incapable de ralentir, freiner cette situation qui révèle la nature de votre lien. Pulpeuses qui glissent le long de son cou avant de revenir sur les siennes. Il n’y a que vous deux, rien d’autre n’est dans ta tête.

est-ce que j'en ai rêvé de ce moment ? ouais. j'ai longtemps espéré pouvoir retrouver le chemin de tes lèvres, même pendant ces moments où on se déchirait. parce qu'on est doué pour ça, se reprocher, se rejeter la faute, s'insulter, se blesser. sur le moment je pense pas au mal que je peux causer à ML si elle l'apprenait, en réalité je pense à rien, rien d'autre que toi. mes mains qui agrippent un peu plus ta taille pour resserrer l'étreinte. tes lèvres qui viennent embraser mon être tout entier en glissant sur ma peau avant de venir attraper les lèvres à nouveau. une de mes mains qui caresse tes cheveux avant d'entremêler mes doigts aux mèches et de tirer légèrement dessus pour que ta tête bascule en arrière. mes lèvres chaudes qui redécouvre ta peau, ton cou puis la naissance de ta poitrine avant de retourner contre les tiennes.

@Aidan Nesbitt, le 27/09
Tout en lui semble t’enivrer : son parfum, son haleine, ses lèvres, ses doigts… C’est impossible de résister, de le repousser. T’en as strictement pas envie, et tu voudrais que ça continue encore et encore, jusqu’à ce tes pulpeuses et ta langue en soient engourdies. Souffle saccadé, poitrine qui se soulève à chaque respiration, un frisson te parcourt lors qu’il vient basculer ta tête en arrière pour glisser ses lèvres des tiennes à l’embrasure de ta poitrine. Etreinte qui se fait plus forte autour de sa nuque, vous reprenez vos baisers, tandis que tu le guides à l’aveugle jusqu’à fauteuil d’à côté. Courte séparation lorsqu’il se laisse tomber sur l’assise, avant de venir réduire cette distance, t’essayant à califourchon sur ses cuisses. Mains de part et d’autre de son visage, en pleine contemplation, silencieuse ton regard semble vouloir lui dire tout ce que t’es incapable de verbaliser.

j'suis incapable de m'arrêter, pourtant au fond de moi je sais que je devrais pas, que je devrais tout stopper pour ML, que je devrais pas lui faire un truc pareil. après tout elle a déjà été trompé par Arthur, avec toi en plus. mais c'est plus fort que moi, j'suis attiré par toi. mon corps, mon esprit, tout, comme aimanté, comme ensorcelé. alors je me laisse faire quand tu me pousses dans le fauteuil, je m'abandonne complètement, te contemple quand nos lèvres se séparent et viens poser mes mains sur tes fesses quand tu te assois sur moi. mon regard planté dans le tien, je comprends ce que t'essaies de me dire. et même si je voudrais le cacher je peux pas, c'est complètement réciproque Capucine et tu le sais au fond de toi.

@Aidan Nesbitt, le 27/09
T’as comme l’impression d’avoir retrouvé ta place, être là où tu devrais être depuis longtemps. Souvenir de cette chanson partagée avec lui, parlant d’une dépendance, les paroles semblent réellement prendre sens. Est-ce qu’elles sont le reflet de tes sentiments ? Impossible de contredire, car t’aimerais ne pas avoir l’impossibilité de te passer de lui, et de ressentir toutes ses choses à son égard. Contemplation silencieuse, vous n’avez pas la nécessité de parler pour vous dire les choses. Les mots ne sont pas votre fort, incapables d’exprimer correctement vos pensées et de vous comprendre. Lèvre inférieure que tu te mords, tu voudrais pleinement t’abandonner à lui, être mise à nue : honnête. T’enlèves finalement ton haut, courage que tu as pris à deux mains avant de venir l’embrasser à nouveau. Pression forte, comme si tu voulais t’assurer qu’il ne te repousse pas.